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samedi 9 septembre 2023

Concert de mort pour tambours et mitraille

Erby
Si nous pouvions entendre l’écho des consciences chaque fois qu’une parole est émise par des personnages importants, de ceux qui ont pouvoir de vie et de mort sur des millions de personnes, plus jamais nous ne leur accorderions le moindre crédit. Plus jamais, ils n’auraient droit d’exercer la plus petite fonction au sein de la collectivité humaine. Et moins nous déposerions nos destins entre des mains si viles !
Incroyable, ce que parfois un rêve peut sembler réel !
Tout le monde sait, parmi les hauts dignitaires, que la guerre en Ukraine est une guerre des États-Unis contre la Russie. Que l’Europe, ce modèle calqué sur celui de l’Oncle Sam, ne fait qu’obéir aux ordres, peu importe les conséquences pour les peuples. Tout comme ils savent que cette guerre est perdue pour le camp des globalistes, mais qu’ils la poursuivent parce que chaque montagne de morts les rapproche du but ultime, éradiquer un maximum d’humains afin d’atteindre ce chiffre idéal qu’ils se sont fixés, soit une population mondiale ramenée à 500 millions d'habitants.
Ceux qui ont pouvoir de vie et de mort, éprouvent un plaisir sataniste à rêver de postérité par le mal absolu.
Combien de jeunes, n’ayant pour beaucoup pas connu l’amour, sont fauchés par la mitraille, pourrissant sous un ciel indifférent, qui ne verront jamais les blés d’or ? C’est par centaines, par milliers que les soldats de la contre-offensive ukrainienne – cette réussite tant vantée par nos médias – désertent les rangs, parce qu’ils découvrent, horrifiés, que cette guerre n’est pas la leur ? Qu’on leur a vendu un mensonge ignoble avec lequel leur pays devra vivre désormais ?
Les élites qui ont tout planifié ont l’argent et le pouvoir. Avec le flouze, on achète les consciences, autrement dit une nuée de petites mains qui vont décupler d’énergie pour propager du mensonge comme on s’enduit le corps avec de la crème solaire.
Savent-elles qu’elles mentent en échange d’un revenu substantiel, devenant par le fait les « petites mains de la mort ? Bien sûr qu’elles le savent ! À combien se montent de nos jours les 30 deniers palpés par Judas quand il vendit Jésus ? En équivalent, on parlerait de 20 Francs Or, communément appelés des Napoléons ! C’est ça votre prix pour des millions de vies, messieurs les collabos ?
Demandons en passant aux artistes subventionnés ce qu’il en est, ils s’en sont si bien illustrés, usant de leur prestige, pour amener la population à se faire vacciner avec un vaccin génique, dont les effets secondaires ne sont plus à démontrer. Campagne de vaccination qui va redoubler d’intensité dans les semaines qui viennent, avec le même délire : la peur !
Parce que pour sauver des vies... N’oublions pas le très viral texto envoyé par le président à son ministre de la Santé lors de la première campagne : « Tiens bon, nous les aurons ces connards ! ».
Certains de ces artistes allant jusqu’à traiter de fachos ceux qui refusent la vaccination et le statut de futurs zombis ! Terme disqualifiant qui donne à l’artiste l’estampille de collabo. Or, nous savons, messieurs les « engagés » par l’hydre pharmaceutique, ce que signifie être un « collabo », l’avez-vous oublié ?
Dans ce concert de mort pour tambours et mitraille, diffusé par les médias du monde en continu, le public chloroformé se tient devant les écrans avec son plateau-télé, subjugué par la puissance de feu de l’orchestre, admirant religieusement, en famille et entre amis, la redoutable efficacité de la mise en scène. Hurlant, à la fin de chaque mouvement : « Mort à Poutine ! » 
Gare à celui qui aurait l’idée de venir gâcher une soirée si captivante avec des idées « réfractaires » !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

vendredi 5 mai 2023

Agenda 2030 ou la chasse au pigeon

De l’euphorie à la torpeur ; de l’inconscience au déni, l’Agenda 2030 et son projet de puissance mégalomane tourne sans pitié les pages d’un enfer programmé !
Ce qui est apparu en 2020 sous l’appellation contrôlée de Covid-19 est la remise en marche décomplexée du nazisme dans sa version soft. Comble du cynisme – les nazis en ont toujours été pourvus – la Cour Pénale Internationale, s’agissant d’un bureau d’enquête sans pouvoir, ne lance rien de moins qu’un mandat d’arrêt international contre Poutine pour « génocide et crime contre l’humanité » !
Le système de propagande occidental tourne au délire ! Qu’importe, puisque l’important se trouve dans l’effet généré dans l’esprit du bétail à l’heure où il prend sa dose de propagande intensive devant son écran télé. La télé, c'est comme si nous faisions asseoir un oligarque dans chaque foyer pour nous expliquer en quoi consiste notre bonheur.
Plus de 3 000 milliards de dettes en notre douce France, une dette qui ressemble à celle de la Grèce comme une sœur jumelle ressemble à une sœur jumelle, n’a eu comme réponse de la part du ministre de l’Économie que la publication d’un livre pornographique ! Ce n’est plus un gouvernement, mais une équipe de management stratégique travaillant à la perte du pays.
Soudain, je pense à la montée du nazisme en Allemagne dans les années 30 du siècle dernier. La défaite allemande lors de la Première Guerre mondiale ayant entraîné le chaos économique (il fallait une brouette pleine de biffetons pour s’offrir un café dans un bistrot) et la débandade politique que l’on sait, le pays ne connut son miracle et sa remontée que par l’industrie de guerre et le vampirisme d’un capitalisme qui voulait en finir avec la montée des mouvements révolutionnaires en Europe, en préparant la Seconde !
Si la première fut une réussite d’un point de vue stratégique, que penser de la Seconde ! Anesthésié, le peuple allemand, après avoir boulotté son pain noir, suivit aveuglément la ligne tracée par des dirigeants « messianiques » et les puissants lobbies militaro-industriels. Les mêmes qui, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, sous des appellations différentes, tous bords confondus, au nom de la « démocratie », portent le feu et le sang partout où il y a des profits à faire.
Les Allemands qui à cette époque avaient dénoncé la « démence totalitaire » s’étaient retrouvés, soit dans des camps, soit exilés dans des pays où il ne faisait pas bon être allemand ! Serait-ce ce sort qu’on réserve aujourd’hui aux complotistes ? Si vous voyez un lien de parenté entre ce qui s’est passé jadis en Allemagne et ce que nous vivons et allons vivre prochainement, ne voyez là rien de fortuit !
Quant à l’Agenda 2030, dont un petit nombre ose en parler, elle n’a qu’un objectif planifié de longue date : l’unipolarité et le nettoyage par le vide des surplus humains ! Une définition lapidaire des objectifs ? Ne servant plus à rien, l’humanité ayant « démesurément amélioré sa technologie, elle s’est rendue largement superflue ! » Autrement dit, que foutons-nous encore sur terre, cherchant à perturber les petites affaires de la minorité profonde?!
Quelle importance que tout cela, puisque l’événement médiatique du moment est l’arrivée sur le marché de la montre intelligente. La tocante qui vous alerte contre des possibles malaises biologiques pouvant vous sauver de vous-même ! Et peu importe si, parvenu au seuil de l’hôpital, pour vous sauver, vous trouvez porte close par volonté de l’État !
 
Sous l’Casque d’Erby
 
 

lundi 1 mai 2023

1er Mai, la fête continue !

Je déteste les célébrations ! Ça m'agace à un point qu'on n'imagine pas. Chacune porte en elle l’amertume de la défaite des peuples.
Tout aussi déchirant que des adieux sur un quai de gare. Ce que j'aime dans les gares, ce sont les arrivées. Bienvenue en enfer !
En ce 1er mai de célébration et de défilés, la seule chose qu’on use, c'est de la grolle et quelques litrons de salive. C’est mon avis et je le garde.
Tout minot, dans le petit monde de la dictature dans lequel je vivais, quand je matais les grandes personnes, viocs, assoupis, prosternés de toute nature et condition, faire le salamalec à l'église ou dans les lieux publics devant plus puissant que nous, ça me mettait dans une rogne ingérable.
Ayant intégré certaines règles, acquises à coups de férule, voyant les gars de ma génération reproduire le même schéma – pour finir, on ne fait que copier/coller ce qu'on nous inculque –, ça faisait déborder la boîte à rouscailler que c'était Tragédie !
Pour un n'importe quoi, forcément tragique et injuste, célébration ! De la mort du bébé phoque à la mue de l'aiglon, victime prématurée d'une balle de fusil de chasse ; du moineau au piaf le plus insignifiant, phagocyté par son prédateur naturel, commémoration ! Fidèles au rendez-vous de la pleurniche, mes amis de la loose, comme on les désigne chez les capitalos, prennent rendez-vous commémoratif pour un déploiement festif de bannières, afin de lutter « contre l'oubli » et quelques revendications ponctuelles, en souvenir des ouvriers de tous bords défalqués pour nourrir grassement les gangsters qui gouvernent le monde depuis la nuit des temps, avant, pendant et longtemps après les grèves sanglantes du mois de mai 1886 à Haymarket Square, Chicago, couronnées par une manipulation criminelle que le pouvoir profond perpétue siècle après siècle.
Comment peut-on oublier que la racine sous les godasses, ce n'est pas du muguet, mais du chardon ! Marches bitumeuses, agitation de mouchoirs, irritation des gosiers, des slogans plus ou moins bien sentis sur le « mal que l'on nous fait » ; sur la « mal organisation des festivités » ; le « manque d'unité chez les opprimés », chacun vantant le produit dérivé de sa chapelle, probablement fabriqué par le Lumpenprolétariat chinois ou indien, pour, in fine, sans concertation formelle, rendez-vous est pris pour la prochaine, un massacre quelconque perpétré par le haut gratin au nom de la patrie et de sa saloperie de morale, pas plus tard que la semaine suivante, tant le calendrier ne manque pas de crimes passés à commémorer et des nouveaux à fomenter.
1er mai ou pas, les célébrations de ces défaites deviennent pénibles !
Mais, malgré cela, j’ai une pensée solidaire pour mes frères les opprimés, massacrés par les gros salopards de la caste !
 
Sous l’Casque d’Erb
 
 

samedi 15 avril 2023

Bouton totalitaire en état de marche

Erby
L’histoire est obstinément têtue ! Vous croyez l'avoir chassée, elle revient au triple galop !
Cette affaire de « marquage chimique » des manifestants à Sainte-Soline me ramène à la mémoire l’époque finissante du franquisme vers les années 70. La jeunesse espagnole s’enhardissant manifestait de plus en plus ouvertement son ras-le-bol contre la dictature. Un régime, bien que chancelant, n’hésitant pas à faire fusiller, pour l’exemple, quelques pauvres diables qu’une certaine opposition, par excès d'imprudence et calcul politique, offrait au franquisme pour se faire un peu de publicité dans les manifestations organisées dans les capitales des pays étrangers.
La police espagnole utilisait déjà les canons à eau pour disperser les manifestants. Pas satisfaite de l’efficacité du procédé, elle eut alors l’idée de remplacer l’eau du camion-citerne par de la peinture acrylique. C’est ainsi qu’une fois souillés, les manifestants se faisaient cueillir par les brigades volantes comme on ramasse le raisin mûr.
Une méthode remise au goût du jour par nos champions en démocratie à Sainte-Soline et bientôt partout en Hexagonie ! Qu’importe le nom que nous donnons au régime, puisque deux polices totalitaires se ressemblent autant qu'une rangée de boutons sur l'uniforme !
Je crois que c’est Felipe González, vieux routier de la politique politicarde, avocat et patron du PSOE, qui disait que « la vérité est ce que les gens pensent qu’elle est et non pas ce qu’elle est en vérité ». Jolie pantomime pour cacher des montagnes d’ordures sous le tapis ! Pour cela, ils sont forts nos traîtres en tout genre !
Qu'il est étrange de voir disparaître une à une les valeurs qui ont fondé une nation et forgé la personnalité de ses enfants au cours de sa longue histoire, sans même nous en rendre compte, ou presque. Il n'y a guère que trois ans – en 2020 pour être précis – nous vivions encore dans ce qu'on désigne désormais comme le « monde d'avant », oubliant que dans les laboratoires du pouvoir profond – pour ceux qui en sont conscients – se mettait en place un complot planétaire à visée génocidaire. Il aura suffi d'un canular pour que la dystopie tant redoutée par Orwell ne nous fouette le visage comme un cauchemar bien réel.
On se surprendrait quasiment à parler de ce que nous vivions il y a trois ans comme on lit des témoignages sur la période insouciante précédant l'occupation nazie, sans que cela soulève la moindre oscillation sur le pont du navire. C'est juste si on n'accepte pas comme naturelle la nouvelle mode chez les miliciens de l’État français, je parle de la police : le lancer de manifestants ! Qu'est-ce qu'ils doivent se marrer dans les casernes en se repassant les images !
Comme le disait très précisément un commerçant qui a tout perdu depuis 2020, au cours d'une énième manifestation. Je cite de mémoire, mais elle est bonne : « On ne peut plus se contenter de ces petits défilés. Nos chefs n'ont rien à foutre de nos « jérémiades »... Ils sont là pour tout casser !... Protester comme on le fait, c'est pisser dans un violon ! Ils font ce qu'ils veulent... C'est programmé... Si on ne durcit pas le mouvement, c'est foutu de chez foutu !... »  
Tout comme nous, cet homme sage et en colère n'a pas envie de laisser un tel héritage aux futures générations.
 
Sous l'Casque d'Erby 
 

 

samedi 21 janvier 2023

Pas si tranquille le fleuve de la Vie

« Les boîtes de conserve vides font toujours plus de bruit que les boîtes pleines. Il en va de même pour les cerveaux »
, écrivait Truman Capote.
Par cette réflexion l'auteur suggère – du moins c'est ainsi que j'ai envie de l'entendre – que le souci du capitalisme consiste à empêcher les gens modestes (l'immense majorité) d’avoir le temps de remplir leurs boîtes. Par un travail abrutissant et même inutile, l’école prenant le relais, parce qu'elle est au service du plus fort, afin de faire illusion, donnant à l’esclave des allures d’homme d’affaires cultivé, avec sa tenue Men in Black, son auto, ses congés payés, ses crédits, son bonheur « d’homme libre » avec des propos convenables sur la vie en général et la sienne en particulier. N'ayant de l'esclavage que des notions très vagues et lointaines, considérant que son bien-être n'est pas en relation avec la souffrance d'un tiers.
Libre de répéter de mémoire des dates historiques, sans connexion avec le présent, son souci consistant à briller sans éclat, mais assez pour faire de sa position sociale et de manière inconsciente le tremplin de sa perdition.
Certes, ce n'est pas ainsi que nous naissons, mais c'est ainsi qu'on nous fait grandir. C'est le destin de la classe moyenne. Cette classe qui sert (pour combien de temps encore) de liant entre la minorité richissime et la majorité maintenue dans la pauvreté et l'ignorance, relative ou extrême.
L'heure est donc venue de faire descendre la classe moyenne de son carrosse. Désormais, les élites ont décidé (et c'est peut-être une erreur grave de leur part) de les envoyer par le fond rejoindre les bataillons de miséreux qui écument le trottoir en quête de trimestres à mendier pour la retraite et autres « broutilles » sur fond de guerre et de chaos en Ukraine. Une guerre de routine ayant pour objectif le vol des richesses appartenant à des tiers, la Russie dans ce cas précis. En aucun cas pour notre félicité comme les médias nous en vendent le pack. Une guerre qui peut leur coûter très cher !
Une campagne de décérébration si bien orchestrée que la dénoncer nous vaut, au mieux, mépris ou condescendance, tout pareil que quand nous dénoncions la planification de la pandémie, s'apparentant à un coup d’État mondial, le vaccin comme moyen d'éradication, dans des pays on l'on fabrique le mensonge de la même façon qu'on passe la tondeuse dans les jardins.
Une liberté clés en mains dont le maître-mot est liberté sans liberté ! Une dématérialisation de l'humain qui finit par étonner le capitalisme lui-même, l’efficacité du modèle n’ayant plus besoin de son intervention directe tant l’exécutant montre de l'ardeur à la tâche.

Sous l'Casque d'Erby


samedi 3 décembre 2022

Quitter l'arène ici et maintenant ?

Chaud/froid
Nous vivons une époque héroïque à bien des égards. Par certains aspects, elle me fait penser aux états d'âmes de cet écrivain célèbre et claustrophobe qui quitta la France, parce que le froid l'empêchait de créer, filant vers le sud au climat plus clément.
Une fois sur place, garé à l'écart de la foule tapageuse d'Andalousie, le front plissé en quête d'inspiration, perdu en pleine serrania, le pire commença : il faisait trop chaud ! Impossible de produire la moindre phrase par une telle canicule !
Au final, entre deux suées et quelques spasmes léthargiques, il accoucha d'une œuvre que les manchots et bien d'autres ne purent saisir entre leurs mains pour des raisons évidentes.
Cela n'empêcha point les médias - toujours à la pointe de la rigueur morale - de balancer du compliment sur l'ensemble des réseaux comme on tire à la carabine dans les fêtes foraines, colportant du « chef d’œuvre » jusqu'à déboucher l'oreille des sourds pour que les ventes soient à la hauteur du tapage produit !
N'est pas Christian Bobin qui veut ! Pour ne citer qu'un récent disparu au talent exemplaire.
C'est un peu ce qui arrive ici et maintenant. Il y a ceux qui pensent que pour raison de froid ou de chaud, en traversant une frontière les problèmes seront résolus, alors que la question n'est pas d'ordre météorologique, mais dans ce que le crâne a comme combustible pour alimenter la bécane sous n'importe quelle latitude.
Si, comme nous le savons, le mal est d'ordre mondial, cet état perdurera quel que soit le nombre de frontières franchies. Si, comme le prétend tel témoin, le prix du café est moins cher au Portugal à quoi bon se déplacer pour s'en procurer si les rayons sont vides ? A quoi bon quitter les contraintes sanitaires d'un pays pour retrouver les mêmes déboires ailleurs ? A moins que notre conscience soit la dernière chose qui nous interpelle !
Cela me fait penser à certains réfugiés politiques grecs, espagnols, argentins, etc., à une certaine époque, qui trouvaient la matraque des CRS français plus douce que celles utilisées par les policiers des pays qu'ils avaient fui. A l'époque, je m'amusais à faire le comparatif entre les échelles de douleur d'un traumatisme crânien ou d'une côte cassée par un policier français et la même chose prodiguée par des policiers grecs, espagnols ou argentins...
L'exil intérieur est celui qui n'offre aucun refuge satisfaisant nulle part en ce monde.
C'est ici et maintenant qu'il faut défendre son droit à vivre, sa culture et son Histoire. Résister de manière passive ou active, selon les moyens de chacun, pour empêcher l'instauration d'un nazisme qui tait son nom, rampant tel un serpent, avant la morsure létale !
Défendre la vérité si difficile soit-elle à entendre. Tout faire pour chasser, les mettant hors d'état de nuire, escrocs, menteurs, collabos et criminels mondialistes.
Quitter l'arène aujourd'hui c'est abandonner la mémoire des anciens, morts pour notre liberté, c'est ne laisser en héritage à nos enfants et à l'avenir que ruines et lâcheté !

Sous l'Casque d'Erby 



dimanche 20 novembre 2022

On marche sur des œufs, c'est peu de le dire.



Source
De fausse nouvelle en faux débat politique le pays a empoigné la pioche et creuse énergiquement le trou de sa sépulture. Une cavité assez large et assez profonde pour héberger quinze siècles d’histoire et son poids de gloire, de douleur et de joie. Son coffre-fort a été percé par des mains expertes contrôlées par l’Empire, nettoyant le fond avec Bang avant de quitter les lieux sans laisser d'empreintes ! Il ne restera bientôt du pays qu’un souvenir diffus, dont les amateurs de légendes parleront plus tard comme on le fait de l'univers de Narnia ! A moins que, comme le montrent certains signes, l'immeuble globaliste ne commence à se lézarder sous les coups répétés d'une résistance chaque jour plus importante.
En attendant, ne réveillons pas l’idiot qui sommeille en nous, votre vérité signerait votre perte, car elle repose sur des éléments non diffusés à l’antenne et sévèrement punie par la Loi ! La mise sous curatelle d’un pays jadis insouciant et fier de sa noblesse est un désastre inacceptable.
N’interpellez plus votre voisin pour l’alerter sur la disparition de la lettre L comme Liberté ! Les dictionnaires ayant été brûlés sa définition s’est perdue dans les brumes de l’oubli ! Le terme même de dictionnaire semblera suspect aux yeux de n’importe quel interlocuteur basiquement suspicieux.
Ne parlez pas de la prolifération inquiétante des rats dans les villes, car le wokisme vous reprocherait de facto une allégorie à caractère raciste avec déviance fascisante orientée vers l’humain venu de loin goûter aux plaisirs de la prospérité occidentale. Un voile de pudeur épisodiquement déchiré par quelques viols et autant d’agressions au couteau. Vétille !
N’exprimez plus devant quiconque le moindre regret sur ce monde qui se dissipe et les contours de cet autre dont vous ne souhaitez aucunement l’arrivée. Vous seriez cet anti-progressiste que le gauchisme chasse jusque dans les moindres recoins du royaume céleste.
A propos d’arrivage, ne vous avisez pas de montrer un visage étonné et à vous interroger sur l’intrusion de migrants qu’on dépose à quai au terme d'une croisière très organisée et qu’on installe « chez vous » comme à l'hôtel, sous peine de devoir affronter une meute de chiens enragés brandissant pancartes et calicots, contre la morsure de qui il n’existe aucun vaccin !
Pour des raisons évidentes de collaboration avec le pouvoir ou pour des motifs plus complexes tout le monde n'est pas l'ami des peuples !
Cette alerte cohorte nous ne l’avons pas vue ou entendue au plus fort de la pandémie pendant que l’économie se faisait démonter par le gang des mondialistes ! Pas plus qu'elle ne s'est fait remarquée pendant les revendications des GJ. Ou ces temps-ci pour dénoncer le soutien sans condition de l'occident au nazisme en Ukraine !
Itou en ce qui concerne le vaccin et les mesures d’accompagnement très extrêmes suggérées par d’obscurs « Conseils scientifiques » et brutalement appliquées au diapason par les gouvernements de l’Union.
L’idée même de suggérer une relation de cause à effet vous mettrait dans une position semblable à celle de n'importe quel patient occupant un lit en hôpital psychiatrique, comme cela fut le cas en ex-Union soviétique. Bien que cette pratique avait aussi ses agréments à cette époque dans nos « démocraties » exemplaires !
Comme le déclarent ouvertement les autorités Canadiennes on songe à imposer un traitement psychiatrique aux personnes qui refusent les injections d'ARNm ou toute autre forme de vaccination, car « quelque chose ne va pas mentalement chez les gens qui refusent les vaccins » !

Sous l'Casque d'Erby 


mercredi 9 novembre 2022

Un Rothschild en cache toujours un autre

M art' IN
L'Empire (États-Unis, Angleterre et satellites) perd de son influence et donc de sa puissance. Du moins, c'est ainsi que je le perçois par l’œilleton de mon microscope. Et même si cela n'est pas le cas tout à fait, c'est ainsi que j'ai envie de le positiver.
Je ne peux que me réjouir de voir cette puissance du mal réduire son champ d'influence en tirant une gueule à lécher la merdouille des caniveaux.
Chaque goutte de sueur exsudée par l'humanité est la sœur jumelle d'un torrent de sang irrigant les cultures d'où nous tirons la nourriture, depuis que cette puissance, par le biais de quelques banquiers, a décidé de faire de l'enfer non pas un futur séjour pour pécheurs mais un quotidien infâme.
Cette puissance, touchée par des coups répétés, qu'on dit au bord du knock-down, est encore capable de faire un mal infini à l'humanité avant de quitter la scène en redevenant une nation parmi tant d'autres, commerçant et respectant ses pairs.
En tant que témoin impuissant, s'agitant de manière pathétique, comme des milliards d'autres petits animaux pris au piège (certes supérieurs en nombre), je ne peux arborer qu'un état de frustration, de colère et de peur pour que le pire n'arrive avec la défaite tant souhaitée des « Maîtres du Monde ». Cette misérable minorité avec un pouvoir de nuisance inouï !
L'horreur que vit l'humanité est l'histoire d'un homme et de ses cinq fils : les Rothschild ! Un membre ou l'héritier du Club des Cinq ( on s'y perdrait dans les branches de cet arbre) vient de quitter le navire pour toujours.
Ces fils à papa furent envoyés en des pays stratégiquement clés pour, avec l'argent comme moteur de toute chose, décider de la vie et de la mort de millions de gens à travers les cinq continents !
Mettre ou ôter du pouvoir une marionnette de leur choix, dans un spectacle de Guignol qui amuse tant les élites et subjugue encore les sans dents, n'est qu'une pure formalité.
Plus qu'une famille, nous avons affaire à un clan sans foi ni loi, ne se mêlant aux nations que par le commerce de l'argent et le pouvoir infini qu'il confère à ceux qui en ont le contrôle. Fortune amassée avant, pendant et après des guerres au service de tous les camps, sans scrupule ni morale. Seul compte la puissance et le contrôle de la plèbe dont il faut par tous les moyens ventiler le surnombre.
C'est Stefan Zweig qui raconte dans « Les heures étoilés de l’humanité » l'épisode d'un ancêtre du clan Rothschild enflant sa fortune en récupérant les cadavres des batailles d'Austerlitz et Waterloo, remplissant les bateaux affrétés à cette fin avec des cargaisons d’ossements humains recueillis, les rapatriant en Angleterre pour fertiliser la culture anglaise, après les avoir dument broyés. Parce que pour pousser de manière optimale, les plantes doivent pousser dans un sol riche en azote, en potassium et phosphore. Et les macchabées, disait-on, en regorgeaient, selon ceux qui en firent le commerce ! « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » 
Avant, pendant et après, l'humain reste une marchandise rentable ! C'est ce clan et les produits dérivés (Schwab et bien d'autres) qui sont les vraies plaies d’Égypte, dont il faut débarrasser la planète.

Sous l'Casque d'Erby

samedi 29 octobre 2022

Tu meurs d’art - Pierre Soulages

ERBY
Pierre Soulages est mort à 102 piges. Paix à ses cendres. Qu’on les protège des bourrasques et de la foudre ! Tout mort a droit à la vérité. 
Il y a longtemps, dans la ville de Lannion, j’exposais ma poésie, la partageant avec artistes peintres et photographes. Jouxtant le lieu, dans un local d’Etat, j’ai eu l’occasion de zieuter la sauce au noir et la flopée de nuances de Soulages dont on itinérait les œuvres de centre culturel en centre culturel à travers l’Hexagone, sur ordre du ministère de la Culture. Mitterrand aimait Soulages. Un reportage télé que j'ai visionné plus tard montrait le président lui rendant visite dans son sanctuaire, à l'écart du monde, loin de la foule, scellant par le fait son intronisation au panthéon des célébrités dont le nom s’insère dans le catalogue de l’Histoire de l’art, à tort ou à raison.
Même si le public ne comprend goutte à la chose, ni n’aime ce qu’il pense être une couillonnade, la machine à enduire de l'éloge submergeait l'esprit critique de tout son poids.
J’ai quitté le lieu où les institutions l’avaient imposé, l’esprit brouillé par le malaise et, aussi, par la colère. Qu’on puisse à ce point nous prendre pour des péquenots m’insupportait !
J’avais éprouvé le même sentiment avec le cinéma et ce que l’on appelait la « Nouvelle vague », à laquelle je n’ai jamais pu adhérer malgré des efforts de politesse très louables. Des faiseurs qui jouaient à faire croire qu’ils pensaient, alors que leur babillage sonnait aussi creux que cela pourrait se faire dans le crâne d’un australopithèque récemment découvert. Oh, l’infiniment lointain murmure du néant dans l’oreille des sourds et muets !
Mes potes de l’époque, biberonnés aux « choses fondamentales » de l’engagement culturel avec un grand C, trouvaient là de quoi se prendre pour des grands penseurs, méprisant les gens de faible condition, qui cependant les nourrissaient, crachant sur le prolo une bile dédaigneuse, rêvant à des mondes éthérés, du haut du vide sidérant qui les empêchait de voir autre chose que leur beau miroir !
Dire cela (et bien d’autres choses encore) de Pierre Soulages dans les années 80/90 était sacrilège ! Jack Lang distribuait ses sucreries à la sortie des collèges et il fallait se prosterner devant le dieu « culture » et son armée ! Les soldats de la Junte de l’art vous sautaient sur le râble vous réduisant à l’état de chiffe, si jamais vous osiez ne serait-ce qu’un début de doute devant la grande œuvre imposée au public ! Juste si on n’ouvrait pas dans nos « démocraties » décadentes des camps de rééducation pour un nettoyage express du disque dur.
Ce sont les mêmes petits soldats, ou leur alter ego (ça se reproduit si vite !), qui aujourd’hui militent pour la culture Woke, la transidentité, la Grande Réinitialisation et le Nouvel Ordre Mondial, si cher à Klaus Schwab et aux vampires du VIème Reich, qu’on désigne du côté de Davos d’une pudique « IVème Révolution Industrielle » !
Ces mêmes domestiques, cornaqués et téléguidés, dont l’activité principale consiste à militer pour des causes funestes. L’important étant de déclencher de la rivalité et de la haine, ce tous contre tous si cher aux mondialistes : le noir contre le blanc ; l’arabe contre le noir et contre le blanc ; la femme contre l’homme ; les enfants contre leurs parents…, les vrais ennemis vivant dans l’ombre (de moins en moins ces temps-ci), ourdissant des nouveaux complots, au cas où ceux-là n’atteindraient pas l’objectif programmé.
Voilà que je m’égare ! Tant que ça ?... 
De tout ce que j’ai lu sur Pierre Soulages depuis sa disparition, la page que lui consacre Egalité & Réconciliation est de mon point de vue celle qui résume le mieux l’artiste et la dérive de l’art en ce monde. Comme tout le reste !

Sous l’Casque d’Erby 



mardi 25 octobre 2022

On se tait et on creuse !

ERBY
Ce début de vingt et unième siècle que nous imaginions éblouissant dans ses promesses s’avère être celui des larmes, du feu et de l’extermination de masse.
Alors que tout annonçait la fin des guerres comme celles qui ont précédé les trente dites glorieuses, le temps, dans un virage sanglant, inversant le mouvement des aiguilles, fait voler en éclats l’espoir insensée d’un monde évolué.
Roulant son ruban d’acier, le froid des glaciers pénètre les âmes comme une « bombe sale » conçue par des esprits criminels pour faire de la terre un vaste enfer !
Tels des condamnés à mort attendant le jour et l’heure de l’exécution, nos vies ne sont plus que le bruit de ce tic-tac obsédant qui martèle nos cerveaux comme un marteau-pilon atteignant ce point final que la vie a mis entre parenthèses.
La nostalgie de ce qui fut n’est plus que temps blanc, ce brouillard épais qui en colonisant l’esprit dématérialise la structure que nous pensions être.
La folie gagne les étages de la nouvelle Babel, cité conceptuelle dont le ciel devient la route vers un futur hideux.
Plongés dans un chaos mental voulu par un dieu maléfique que les humains dérangent dans sa folie mégalomane, la langue n’est plus l’outil régulateur d’harmonie, mais son ange exterminateur, opérant dans une langue étrangère, sans personne pour la comprendre.
Dans ce désordre total, des voix nous exhortent avec des signes anciens : « Retirez votre argent de la banque, vous allez tout perdre ; c’est décidé en haut lieu ! ... C’est pareil qu’en 2008, lors des subprimes, mais en pire ! »
Quel argent ? Dans quel monde vivons-nous ? Pour retirer, il faut en avoir ! … Or… Or… Dites-moi ? … Comment approvisionner mon vide bancaire afin de valider mon retrait ?... Un braquage de banque ?... Mais si, comme vous l’affirmez, les banques ont retiré les liquidités ? … On fait quoi ? … On aide la police à remplir les prisons en échange d’un repas chaud ? ...
Les mêmes voix, un ton plus loin, saisies de panique, vous mettent dans le bain pour une douche froide, au cas où vous doutiez du bienfondé de l’alerte : « Faites des provisions, les temps futurs s’annoncent sinistres ! Remplissez vos placards, verrouillez vos portes ! Mettez des barreaux aux fenêtres… Armez-vous contre l’intrus ! … Tirez d’abord, renseignez-vous après … Ne sortez de chez vous que si vous en êtes sûrs. Absolument sûrs ! Et à la condition stricte que vous soyez en possession du codex imprimé à l’arrière de votre crâne, comme dans Hitman ! Chaque vivant est potentiellement l’ennemi de son semblable ! Tracez votre route, un point c’est tout ! »
Comment faire si les banques n’ont plus de liquidités ? Les prendre d’assaut, ce que les communards n’ont pas su ou voulu faire en 1871 ? S’approprier l’or et le distribuer aux nécessiteux dans les ronds-points, aidés à la tâche par les Gilets Jaunes, les Bonnets Rouges et les bénévoles des Restos du Cœur ? ... Ça va faire beaucoup trop de riches, ne trouvez-vous pas ?
Et la nourriture, comment faire pour faire du stock ? La voler ?... Et la moutarde, pouvez-vous expliquer l’énigme de sa disparition ? Est-ce pour la fabrication à grande échelle du gaz moutarde ? ... Ca avait fait des sacrés dégâts ! ... Vraiment flippant, ce scénario ! 
En résumé, on se tait et on creuse, c’est ça ? ... Tombe ou charnier ? Charnier, je pense...

Sous l’Casque d’Erby 

samedi 22 octobre 2022

La gomme des chaussures syndicalistes freine mieux et plus vite

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La vie est on ne peut plus paradoxale. Je prends l’exemple des dernières manifestations sur des thèmes récurrents et à la mode. Je ne sais plus quelle qualité de gomme nous utilisions, mais ça sentait l’odeur forte du freinage sur le bitume. De temps en temps je me joins au cortège et navigue de groupe en groupe, l’occasion de tailler la bavette avec des connaissances comme on tape le carton avec des « potes » de bistrot.
Banderoles et calicots contre la vie chère et pour la lutte contre le climat. Deux marronniers qui cachent mal l’indigence d’un mouvement sous contrôle. De la diversion et de l’amusement. Pendant le parcours, je pensais aux bateleurs qu’on trouve sur les marchés autour de qui les gens se massent pour repartir avec des parures de lits, des tasses dorées ou la batterie de cuisine en cuivre qu’on n’utilisera jamais, mais qui fera son effet dans une cuisine grand design qui vous aura coûté le prix d’une année de boustifaille.
Le soir venu, observant le regroupement des oiseaux avant la nichée, ça piaillait, ça criait et ça croassait tant que je me demandais si je ne me trouvais pas devant la manif contre le climat. Quelle cacophonie ! J’ai cherché dans la foule impatiente le meneur. Un moment, j’ai cru y distinguer les traits dans le cormoran pie, parce que la période pour les parades nuptiales de cette espèce se situe à l’automne. Saison à laquelle notre volatile national expectore « La France c’est moi » !
Ça me ramène au temps jadis et aux augmentations de salaires que le patronat avait consenti après le barouf soixante-huitard. Nous étions tous contents avec cette manne obtenue de « haute lutte ». Le problème est que les prix des produits de première nécessité ont grimpé de manière proportionnelle sitôt la nouvelle annoncée : 15 partout, balle au centre.
La fin des trente glorieuses était proche. Celle où le cannibalisme libéral allait phagocyter le libéralisme social issu de la Résistance au nazisme lors de la libération de 1945. Nous empruntions dès lors le long couloir des « trente piteuses » nous ayant conduits à l’endroit exact où nous nous trouvons aujourd’hui !
Venons-en maintenant au second thème de la manif du 18 octobre dernier : le climat. Cette ultime arnaque sur l’air qu’on respire que nous devons aux globalistes ! Là encore y a du beau monde parmi les défenseurs du « marché de l’écologie ». La cause a du candide à se mettre sous la main pour appuyer dans la rue la sinistre taxe carbone imaginée par les mondialistes pour un racket à grande échelle ! Les cerveaux à la dérive ne manquant pas pour la basse besogne, voyez les défalquées qui ont vandalisé la toile de Van Gogh à la National Gallery de Londres !
Certaines puissances émergentes, comme la Chine et l’Inde (malgré d'énormes pressions) n’ont pas adhéré totalement à cette escroquerie qui a pour objectif non avoué de ralentir leur développement, avec cette idée incroyable d’acheter le « droit de polluer » ! De la grosse ficelle géopolitique dont le gars de la rue ne comprend pas toujours la finasserie. Gentils mais pas cons, les émergents !
Quel sera le mot d’ordre de la prochaine manif syndicalo-collabos, messieurs-dames de l’opposition ? La gratuité d’un vaccin sans effets secondaires, garanti par Pfizer et mis en vitrine par McKinsey ?

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 11 septembre 2022

Dans le noir mais pas à genoux. Pas encore !

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Faut-il se lasser d’entendre répéter ce qu’une minorité sait mais que des millions d’autres ignorent ?
Il y a des choses qui font bondir, qui font gémir, qui font vomir. Des choses impartageables, bien que communes.
Aux premières lueurs tout est clair. Le ciel s'ouvre sur une nouvelle toile, tissée dans la meilleure étoffe. Je suis heureux, puisque je suis vivant. Du moins je le pense. Je me tâte, me pince, file torse nu sur le balcon recevoir la morsure du froid. Ça pique, tout va bien. Je respire pour de vrai, qu’importe la saloperie que j’inhale puisque je suis vivant. Je respire et ça suffit ! Enfin, je le pense. On pense à tant de choses qu’au final on ne sait plus ce que c’est que de penser vraiment.
A cette heure, j'ignore toujours de quoi je suis fait, ni quel est mon carburant. Je pense être l'ombre d'un nuage en devenir, mais va savoir ! Je suis peut-être cette virgule dépendante du hasard, assez fière d'être ce qu'elle est au milieu de sa croyance, de son addiction, de son néant. Suffit de le penser avec force, avec passion, avec orgueil.
Le jour se lève et une onde rétive enveloppe le cure-dent que je suis dans une mer mythologique grouillant de bêtes malfaisantes, les ténèbres s’épaississant pour recadrer l'idiot optimiste que je demeure. A l'instant précis où un miroir se brise donnant naissance à des milliers d’éclats, à des milliards d’étoiles. Les particules font ondoyer des reflets dans l'obscur refrain de mes peurs. Je tremble. J'ai froid. Comme si, réveillé par la réalité, la bestialité du monde enfonçait son injection létale dans ma chair. Impitoyable et obscène.
Comme le suggère la photo d'illustration, je ne suis rien, rien que l’ombre d'une minuscule bête apeurée tournant comme une souris prise au piège de la roue. La question qui me vient est : fait-elle cela par volonté propre ou est-elle là attendant sans le savoir la morsure du serpent avant de se faire avaler ?
Le paradoxe est suffisamment effrayant pour qu'il se passe de commentaires… Même à genoux nous refusons de voir que nous vivons prosternés, persuadés que nous avons été amputés, convaincus que la verticalité nous est impossible dans cet état !
Tout va bien, puisque tout est clair comme le jour : l'argent, le pouvoir, le sexe, la drogue et quelques autres denrées du même marais gouvernent le monde ! Au pays du « bien penser » il fait mauvais temps pour qui s’interroge, doute, questionne et dénonce. Au pays de l’utopie dite « libertaire » et de la flamboyance « révolutionnaire » dont on fait commerce depuis 230 ans, on attaque le faible au nom de valeurs que l’Etat bafoue sans scrupule, parce que tel est son bon vouloir.
De temps en temps, entre un œil qu’on crève, une main qu’on arrache et un vieux qu’on bastonne, on procède à la garde à vue très voyante d’un homme ((cette fois c’était le tour d’Éric Verhaeghe) qui s’exprime librement, un lanceur d’alerte, pour « incitation à la haine » (rien que ça !), afin de l’intimider, l’empêcher de propager la flamme que le non éveillé pourrait saisir à son tour. 
Une fois bafoué, l’Etat fera tout pour que l’éveillé soit diffamé, harcelé, marginalisé par les « petites mains » du pouvoir (toutes à la besogne) et par la méfiance qu’aura pour lui l’être non informé, par peur ou par paresse … Manque de bol, ça ne prend pas !
Argent et propagande médiatique sont les armes utilisées pour persécuter d’honnêtes citoyens, ainsi que les vrais opposants politiques. Pas forcément des personnes voulant mettre le pays à feu et à sang, juste des hommes et des femmes honnêtes ayant gardé de la morale une idée très précise.
Avant de penser à bâtir ce qui pourrait être un autre modèle de société sortons-nous du piège de la souris. On ne commence pas la maison par le toit. Résistance et ré-information !

Sous l’Casque d’Erby




lundi 18 juillet 2022

Le pouvoir cannibale est-il végétarien ?

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Depuis que l’injection chez les sportifs a été rendue obligatoire, tout comme on l’a fait avec les soignants (tant pis pour ceux qui l’ont refusée !), que ces mêmes sportifs font campagne dans les médias en faveur de la vaccination tous azimuts, on ne compte pas le nombre d’athlètes déclarant forfait dans les compétitions où ils excellent pour des problèmes de santé !
On n’oublie pas de préciser que le chantage dont ils ont fait l’objet de la part des institutions politiques et sportives pour « l’obligation vaccinale », c’est du jamais vu dans un pays qui arbore la démocratie à chaque coup de poignard porté à la liberté de chacun ! Un pays où l'interdiction devient la règle. On saigne des yeux en voyant ça !
Ces forfaits sont liés aux effets secondaires qu’il est « interdit » de corréler avec le vaccin, sous peine de sanctions disciplinaires et d’arrêt brutal de l’exercice du métier de sportif. Mais les faits sont là : le nombre d’infarctus est en augmentation constante chez les footeux, aussi bien que chez ceux qui ne pratiquent pas de sport d'aucune sorte. Sans parler des choses glauques qui s’installent dans l’organisme et vous pourrissent la vie !
On a avancé, à propos des sportifs, l’intensité des entraînements et la chaleur accablante de cet exceptionnel été 2022, alors que ces effets néfastes avaient déjà été enregistrés en hiver, au printemps et en automne !
Actuellement, c’est autour du Tour de France, fleuron du cyclisme et du sport national, dont feu Antoine Blondin a tiré des sublimes récits, que le vaccin est en train de faire disparaître des radars pour cause de forfaits à répétitions et des déclarations des cyclistes qu’on ne peut plus ignorer.
Des journalistes ont bien questionné les coureurs victimes de ces abandons en cascade, tous très étonnés par le « phénomène », puisque tous vaccinés et affirmant, unanimement, être « négatifs » au Covid, mais proclamant d’une seule voix avoir les poumons « niqués », sans comprendre d’où ça vient, ou ne le sachant que trop bien ! Or, la chose est élémentaire, pas d’oxygène, pas de muscles performants, aussi simple qu’une piqûre sur l’épaule !
Les « bons journalistes » ont bien questionné, mais pas trop. Ils sont comme l’opposition parlementaire, ça respecte les consignes ! Ça sait freiner à temps, rétropédaler, se mettre en danseuse, en position inclinée, le tout c’est d’adopter la bonne stabilité pour ne pas perturber l’aérodynamisme et la fonction digestive que le proprio du canard et l’exécutif politique ont sensible. Le « journaliste » est cette tour de garde qui veille au contrôle de l’opinion en escamotant la vérité au prix de sa vie !
Pas question que les sportifs demandent des enquêtes pour savoir si cette affaire relève du pangolin, ou si le pangolin a été utilisé à « l’insu de son plein gré » pour nous injecter de la saleté dans le sang ! Pas question non plus d’apporter de l’eau au moulin des vaccino-sceptiques ! Ça risque de réveiller du monde et ça ferait du boucan ! Juste au moment où le nouveau ministre de la Santé veut fermer le service des urgences les weekends et la nuit ! Comme ça on pourra nourrir le con en lui injectant des surdoses de fake news avec des hôpitaux saturés et l'accord d’une opposition consentante !
Mais qu’ont-ils fait les peuples pour qu’on les haïsse de la sorte !
Dans un registre différent, mais à peine, cela me fait penser à la chasse au Ben Laden à l’époque du grand délire jumellesque où des journalistes propagandistes s’égosillaient en clamant « nous sommes tous américains » !
A l’époque, on avait cherché l’ex-agent américain Ben Laden (parce que c’en était un !) partout, en Afghanistan, en Irak… On a fait semblant de le traquer dans des galaxies si lointaines qu’on a oublié de le chercher aux bons endroits, là où les « chasseurs » savaient qu’il nichait !
Quelle relation entre ces deux affaires, apparemment sans rapport ? Le mensonge et la mort de millions d’innocents pour une prise de contrôle planétaire, tout comme cela se fait aujourd’hui avec le Covid !

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 8 mai 2022

« JE SUIS » ! Quoi au juste ?

En mugissant, le bétail éructe des slogans qui le confortent dans son statut de marionnette. Ainsi, les « je suis » fleurissent à toute époque. La sève atteignant des pics élevés, le « je suis » devient une herbe envahissante. Si vous n’y prenez pas garde, très vite, votre jardin mental ne sera plus qu’une terre en état d’inculture. Ce qui jadis pouvait apparaître comme un espace dégagé, avec perspective et ligne de fuite, n’est désormais qu’un lieu désolé en manque de fertilisant.
Quand la grande Amérique décide, le reste s’incline. Qu’importent les dommages collatéraux. Son histoire n’est faite que de cadavres. Ainsi, au nom de la démocratie – joli concept – et des gogos qui scandent du « je suis » comme on allume des feux de joie, les morts s’entassent, s’entassent, sans que nul ne voit les ficelles, pourtant grosses, agitées par des marionnettistes experts.
Quand ça lui chante elle se fabrique un ennemi, et pourquoi pas l’allié de la veille. La trahison est l’arme préférée des puissants. L'image du dirigeant du pays ciblé est écornée par une politique désastreuse, dictée par qui ? Ça s’agite dans la rue. On braque les projecteurs sur l’opposant dont le costume de futur Chef, fraichement repassé est prêt à être enfilé. Le pays est riche, très riche, mais l’opposant n’a pas un tune pour fomenter un coup d’Etat. Aucun appui extérieur, hormis la sympathie de quelques illuminés dans les capitales de l'Empire. Aucune importance, l’Amérique est là pour aider. Le dollar c’est du papier et de l’encre. Ça procure des armes dernier cri. On arrose la rue de millions de dollars et de millions de morts s'il le faut et on active la résistance. Voilà une affaire vite pliée!
A charge de revanche, n’est-ce pas ? 
Votre sol est riche et nous avons nos spécialistes en extraction. Vos matières fossiles, votre or, vos diamants, votre cuivre, l’uranium, le lithium… Tout ce qui sert le confort des peuples dégénérés par des besoins inutiles, dont l’Amérique a le contrôle, servira à éponger la dette.
Mais d’abord les intérêts ! Et comme les intérêts sont exponentiels, la dette sera éternelle. Va pour un coup d’Etat ? Vous aurez un grand palais. Vous aurez les honneurs et les avantages de votre fonction. Les conseillers de la grande Amérique seront là pour guider vos pas et former vos milices, afin de vous protéger…
Aucun souci avec l’opinion publique pour une affaire qui pourrait indisposer la morale et la bonne conscience de ceux qui pensent militer pour les bonnes causes. La « bonne cause » c’est l’Amérique ! Elle a, pour eux aussi, la planche à billets et un réseau de manipulation haut de gamme. Vous prenez le premier larbin venu, responsable d’une ONG de préférence, vous arrosez la direction d’espèces sonnantes et trébuchantes et vous avez là le plus bel spécimen de chien enragé défendant l’indéfendable !
Prenez l’exemple de la fiole en Irak. De Ben Laden qu’il fallait traquer en Afghanistan… Et tant et tant d’autres « affaires juteuses », comme l’Ukraine aujourd’hui et la plandémie juste avant, où l'on voit l’homme de science, alertant sur les dangers du vaccin, devenir un complotiste et le comploteur un scientifique respectable.
L’arme de l’Amérique est des plus simples. Car avec les esprit simples il faut procéder de manière simple. Des images choquantes dans les bulletins d’information diffusées de manière intensive afin de déclencher peur et empathie, des comédiens recrutés pour jouer les morts afin de simuler un massacre, comme cela a été le cas tout récemment en Ukraine, afin d’activer le bon réflexe, avec le bon mot d’ordre : JE SUIS UKRAINIEN !

Sous l’Casque d’Erby




mercredi 19 août 2015

Traité du zen et de l’entretien des motocyclettes de Robert M. Pirsig

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Savez-vous ce qu’est le Chautauqua ? Jusqu’à ce que je n’entreprenne la lecture du livre de Robert M. Pirsig, « Traité du zen et de l’entretien des motocyclettes », j’ignorais l’existence de cette coutume américaine. Se présentant comme un road movie, ce livre - jugé comme un mauvais roman par certains critiques, dont la parution remonte aux années 70 du siècle dernier - est aux antipodes du genre, même si dans sa construction, tout peut donner à penser que cela est le cas, car si l’aventure se déroule sur la route les voies qu’elle emprunte sont celles d’un vol majestueux au-delà de la trouée nuageuse qu’on atteint par la force de l’esprit. Je n’en suis qu’à la moitié de la lecture de ce périple d'un père et de son fils sur les routes de Californie et je ne peux m’empêcher de vous conseiller d’aller le zieuter de plus près.
Or donc, jadis, on appelait Chautauqua des spectacles ambulants, sorte de causeries populaires, ou veillées, donnés sous une tente partout chez nos cousins d’Amérique par des artistes. Conçues pour « élever l’esprit par la culture », la représentation s’ouvrait par « Quoi de neuf ? » lancé à la cantonade, question certes intéressante mais quelque peu réductrice qui petit à petit, au fil de la vie et des mauvais événements qui l’émaillent, s’est muée en « Quoi de mieux aujourd’hui ? » dont la portée est singulièrement différente en ce sens qu’elle trace des nouveaux chemins dans les consciences, « loin des platitudes indéfiniment répétées », cherchant à guider l’individu vers un état de liberté, relatif en la circonstance, l’aidant à trouver et à partager ce que la vie offre comme maigre salut pour éviter la folie. 
Aujourd’hui tout cela, regrette l’auteur, a été supplanté par des technologies très performantes comme la radio, la télé, le cinéma et on en passe. Ce qui dans l’absolu devait être un signe de progrès est devenu selon lui la machinerie infernale avec laquelle on fait d’un humain un robot ou un perroquet, répétant des passages entiers du missel que le dogme libéral fait matraquer pour nous rendre marteau. Si l’uniforme n’a plus cours obligatoire dans certains de pays, reste le neurotoxique qu’on nous fait absorber par goulées dès la naissance : l’uniformité ! En matière d’évolution j’avoue que c’est un peu court, mais, attendant mieux, comme par exemple une prise de conscience globale qui fait le dos rond sous le cyclone, il est important pour toute personne tant soit peu éveillée de tout faire pour ne pas sombrer.  
Rompre avec cela est un boulot de dingue ! Hercule et ses 12 travaux n’est rien en comparaison. Quant à Sisyphe et sa caillasse qu’il s'obstine à remonter, au lieu de la fracasser à coups de masse et de porter le tout une fois pour toutes par petits tas, c’est de la gnognotte à côté de ce qu’on nous pousse à accepter. Pas étonnant qu’on ne croise que des gens fatigués dans la rue, au Pôle emploi, partout où le pas de la démence conduit toute personne cherchant à trouver l’antidote contre cette morsure mortelle…
Cela parmi bien d'autres choses l'auteur nous les délivre l'esprit serein.

« Traité du zen et de l’entretien des motocyclettes », collection Points, le Seuil

Sous l’casque d’Erby


dimanche 24 mai 2015

Pablo Neruda un Grand homme

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J’ai passé une semaine duraille ! Pas au point de me faire sauter le caisson, quand même pas, mais suffisamment turbinante pour faire extravaguer le citron des heures durant. Je n’aurais jamais dû quitter les terres fertiles des certitudes réconfortantes héritées d’un passé sous influence. Pour des raisons que j’ignore je n’avais jamais lu « J’avoue que j’ai vécu » de Pablo Neruda, que je considérais dans mon esprit comme un acquis culturel, tant son émanation incitait au culte de la personnalité. Quand il est pauvre de culture l’humain a la foutue manie de mettre en gage au Mont-de-piété son bien le plus précieux, la liberté.
Neruda, un pseudo emprunté chez Connan Doyle, selon les propres dires de Don Pablo, dans l’un des épisodes de Sherlock, qu’il aimait à lire tout minot, tout comme il aimait les films d’indiens et l'observation méticuleuse du milieu ambiant, dont il tirait de forts jolis poèmes.
Après lecture du Chef-d’œuvre, j’ai passé ma semaine à ruminer du sordide à l’intention du Grand poète chilien, me surprenant à reprendre la lecture de Francisco Coloane pour me mettre le corgnolon à l’endroit. A croire que j’aime la douleur pour me prouver que le mal fait effectivement très mal, surtout quand il est gratuit !
Il est des mensonges qui n’ont de vérité que l’artifice qu’on leur donne pour soulager une conscience mise à mal par la réalité, tant le poids est léger aux épaules du bonimenteur. Pablo Neruda a pris plaisir à débobiner la pelote de sa vie pour nous offrir le code de conduite du petit-bourgeois : petit fonctionnaire d’Etat par piston, il a démarré à 23 ans une carrière diplomatique qui lui offrait le loisir de s’épanouir avec le monde de son époque, de Rangoon à Ceylan, de Madrid à Buenos Aires et partout où un monde en mutation avait fait de la guerre et de la destruction un art perpétuel.
Grand écrivain, Grand poète, Grand homme, Pablo Neruda s’était engagé corps et âme en faveur des républicains espagnols dans leur lutte contre le fascisme et il y donna beaucoup de sa personne pour éviter à l’Espagne une longue nuit qui dura 40 ans. Il aimait la République espagnole, mais en bon petit-bourgeois stalinien il n’aimait pas les anarchistes, pas plus que les trotskystes dont il dresse en quelques lignes définitives un portrait aussi haineux que mensonger. Si Pablo Neruda n’aimait pas Franco, il détestait tout ce qui en Espagne s’employait à faire un exemple de révolution réussie, réduisant les anarchistes à une horde de tueurs qui, au lieu de se battre sur le front contre le fascisme, préféraient exécuter des innocents à tour de bras à l’arrière-front. Sans plus de scrupule, Don Pablo dérobe à la vérité la réussite d’une révolution sociale dont anarchistes, socialistes et, dans une moindre mesure, les trotskystes étaient (cela est historiquement prouvé par des historiens indépendants) les grands précurseurs, menant de front la guerre et l’organisation sociale du camp républicain en développant un modèle de société dont aucun capitalisme, libéral ou d’Etat, ne voulait, d'où le manque de soutien de la part des démocraties au peuple espagnol, avec les conséquences que l'on sait. Mais de cela le stalinien Pablo Neruda n’avait que faire ! Il avoue même dans ces mémoires ne rien regretter de ses choix et de son engagement militant.
C’est toujours lui qu’on retrouve à Marseille, après la défaite républicaine, affrétant des bateaux pour embarquer des exilés espagnols, dont le sort en France n’était pas des plus enviable, vers l’Amérique Latine, le Chili en particulier, prenant soin de ne délivrer de laissez-passer en priorité qu’aux encartés staliniens ! Exemplaire !
Je me console, un peu, en me disant qu’au moins je sais que le « Grand homme » est une notion aussi improbable que de chercher à ripoliner des plinthes avec une échelle à coulisse !


Sous l'casque d'Erby