dimanche 29 janvier 2023

La vie d'avant, la vie d'après et la guerre en dessert

M art' IN
La guerre est une tumeur maligne dont l'humain ne guérira qu'en quittant cette vie et les suivantes. La guerre ne disparaîtra-t-elle qu'avec la disparition de l'espèce ? Quand je découvre les morts causées par ses soins c'est comme si des villes entières disparaissaient de la surface de la terre. Comme si le clignotant qui les signalait sur la carte soudain s'éteignait pour toujours.
La guerre, cette chose hideuse qui nourrit la vermine gouvernante !
« Dis, c'était quoi la vie d'avant ? » La même que maintenant sans le Covid et sans la guerre.
« Et celle d'avant le Covid ? » Tu parles de la plus récente ou de celle des « Trente glorieuses » et ses poussières ? 
La même sans le Covid, mais avec le SIDA et le trou dans la couche d'ozone, miraculeusement rebouché par des maçons experts en fissures et étanchéité !
« Et la vie de demain ? » Tout pareil que celles d'avant, en pire peut-être... Quand on ne sait pas on spécule, n'est-ce pas ?
La vie d'avant, dis-tu. Pour avoir une idée, inutile d'appeler madame Irma. Un peu d'introspection suffira amplement. C'est comme quand tu regardes des photos souvenir de cet autre qui n'est plus toi. Et qui pourtant a l'air d'en avoir l'air.
Tu ne seras jamais plus le petit bébé adorable devant lequel l'entourage de tes parents s'extasiait. Regarde-toi ! Ni ce petit garçon espiègle dont le noir et blanc de l'image t'attendrit. Ni le beau jeune homme servant à illustrer les couvertures des magazines pour midinettes ; ou cette belle jeune femme pour qui risquer sa vie est la plus belle des missions romantiques !
La vie de demain ? On ouvre les yeux un peu ? Ou on les ferme pour mieux visualiser le film. Elle est cette utopie qui bouge et bougera l'espoir jusqu'à ton dernier souffle. La vie de demain, c'est de garder assez de vie dans ton esprit pour penser que l'image que le miroir renvoie est aussi belle, aussi différente et aussi vraie que toutes celles que tu fais défiler dans le livre de ta mémoire. Qu'il suffira de montrer la richesse accumulée par l'expérience et fera de ta sagesse l'aliment dont se nourriront ou ne se nourriront pas les futures générations.
La vie de demain, c'est cette guerre – encore elle ! – toujours recommencée de l'intelligence contre la bestialité !
La vie de demain, c'est ce souffle qui réveille le printemps, quand les vents tièdes des saisons chauffent la terre et font éclore les graines. Celles qui nourrissent l'espoir d'un monde enfin libéré de la terreur !
La vie de demain, c'est courir dans le noir, tout pressentir, ne jamais s'appesantir, sans jamais regretter les pas qu'on faits, car ils sont inéluctables, pour le passé, pour le présent, pour l'avenir.
C'est notre leçon de vie. Notre raison de vivre. Pour que tout ne meure pas avec la guerre !

Sous l'Casque d'Erby



samedi 21 janvier 2023

Pas si tranquille le fleuve de la Vie

« Les boîtes de conserve vides font toujours plus de bruit que les boîtes pleines. Il en va de même pour les cerveaux »
, écrivait Truman Capote.
Par cette réflexion l'auteur suggère – du moins c'est ainsi que j'ai envie de l'entendre – que le souci du capitalisme consiste à empêcher les gens modestes (l'immense majorité) d’avoir le temps de remplir leurs boîtes. Par un travail abrutissant et même inutile, l’école prenant le relais, parce qu'elle est au service du plus fort, afin de faire illusion, donnant à l’esclave des allures d’homme d’affaires cultivé, avec sa tenue Men in Black, son auto, ses congés payés, ses crédits, son bonheur « d’homme libre » avec des propos convenables sur la vie en général et la sienne en particulier. N'ayant de l'esclavage que des notions très vagues et lointaines, considérant que son bien-être n'est pas en relation avec la souffrance d'un tiers.
Libre de répéter de mémoire des dates historiques, sans connexion avec le présent, son souci consistant à briller sans éclat, mais assez pour faire de sa position sociale et de manière inconsciente le tremplin de sa perdition.
Certes, ce n'est pas ainsi que nous naissons, mais c'est ainsi qu'on nous fait grandir. C'est le destin de la classe moyenne. Cette classe qui sert (pour combien de temps encore) de liant entre la minorité richissime et la majorité maintenue dans la pauvreté et l'ignorance, relative ou extrême.
L'heure est donc venue de faire descendre la classe moyenne de son carrosse. Désormais, les élites ont décidé (et c'est peut-être une erreur grave de leur part) de les envoyer par le fond rejoindre les bataillons de miséreux qui écument le trottoir en quête de trimestres à mendier pour la retraite et autres « broutilles » sur fond de guerre et de chaos en Ukraine. Une guerre de routine ayant pour objectif le vol des richesses appartenant à des tiers, la Russie dans ce cas précis. En aucun cas pour notre félicité comme les médias nous en vendent le pack. Une guerre qui peut leur coûter très cher !
Une campagne de décérébration si bien orchestrée que la dénoncer nous vaut, au mieux, mépris ou condescendance, tout pareil que quand nous dénoncions la planification de la pandémie, s'apparentant à un coup d’État mondial, le vaccin comme moyen d'éradication, dans des pays on l'on fabrique le mensonge de la même façon qu'on passe la tondeuse dans les jardins.
Une liberté clés en mains dont le maître-mot est liberté sans liberté ! Une dématérialisation de l'humain qui finit par étonner le capitalisme lui-même, l’efficacité du modèle n’ayant plus besoin de son intervention directe tant l’exécutant montre de l'ardeur à la tâche.

Sous l'Casque d'Erby


lundi 16 janvier 2023

Noël Le Graët, pas seul à être sale !

Erby
Tout le monde le savait ; tout le monde (plus ou moins) le disait ; cela se murmurait, mais cela finissait dans l'étouffoir : Noël Le Graët (que des trémas dans son patronyme!) a des casseroles dans la braguette. A tout le moins, dit-on, il a la main et la libido au diapason. Il a fallu qu'il prononce des propos audacieux sur Zizou, notre icône, pour que il soit mis à l'index et que sonne l'halali !
Abus sexuels et pédophilie dans le milieu du foot ? Promotion à la victime et on tire les volets ! On change de palier l'auteur via un « transfert » et l'affaire est oubliée ! Ce qui se passe derrière les volets d'une maison respectable reste derrière les volets de la maison respectable ! Voir vidéo du jour de et avec Romain Molina.
Tout se tient dans le foot français : par le sexe, par la corruption et donc par l'argent ! Ce que jadis était un sport populaire sur lequel le riche crachait son mépris est devenu une affaire financière servant des opérations extrêmement louches où le pauvre sert de caution et d'alibi ! Normal, c'est lui qui remplit les stades !
Aujourd'hui, à 80 ans révolus, Noël Le Graët, alias « la Main baladeuse », amateur de triolisme et autres exercices physiques super excitants, selon des mauvaises langues, est sur la sellette pour, son entrain, sa polyvalence et son coup de rein de taureau andalou. Du très haut niveau ! Hélas, on ne peut tenir ce rythme éternellement, pilules bleus ou pas, les sportifs en savent quelque chose !
Sur la corde raide, la meute réclame aujourd'hui sa tête. Il a assez servi comme ça ! Place à plus jeune, plus vigoureux, plus entraîné, afin de poursuivre l'aventure, aidé par une classe politique dont le long silence en dit long sur les affaires de sexe, d'argent et de corruption, puisqu'au sein même des gouvernements on ne compte plus les affaires douteuses qui dorment dans les tiroirs des juges, par paresse, par pression ou par chantage !
Chauffé à blanc, le peuple éructe et réclame de la tête dans le panier, aidé par des médias soudain intègres !
Qu'est-elle d'autre la vie d'un homme sinon de poser sa tête sur le billot quand son heure est venue et que son milieu le désigne pour être le suivant d'une longue liste ayant servi les desseins de ceux qui lui ont permis de jouir sans entrave jusqu'à extension des feux !
Noël Le Graët aujourd'hui, Claude Simonet avant, qui se fit remarquer pour avoir dissimulé un trou de 14 millions d'euros en 2003 dans les comptes de la FFF et pour s'être offert une bouteille de Romanée-Conti 1998 d'une valeur de 4800 euros, comme s'il s'agissait de la « Réserve du patron » qu'on sert dans les restos ouvriers !
Si on ajoute à cette liste non-exhaustive (oh, que non!) les affaires Platini-Blatter, affaire de bakchich passée à la lessiveuse, et combien de combiennes d'autres sales combines poussées sous les tapis avec la poussière, dans un milieu qui clame et déclame de la Morale jusqu'à dans l'attribution du Mondial de foot au Qatar et son titre, on ne dira pas offert à l'Argentine, parce que, dit-on, l'Emir a des faiblesses de supporter, le dégueulis viendrait à manquer !
Vive le sport !
Sous l'Casque d'Erby 



samedi 7 janvier 2023

7 janvier : la rue est à nous !

Source
Il s'en passe du vilain, du pas glop, du sale et de l'ignoble dans la tête de la horde dirigeante. On parle ici de sadisme porté à son paroxysme comme un culte à la haine.
Qu'ont fait les peuples pour mériter le sort qu'elle leur cuisine ? A quels seins a-t-elle été allaitée pour transformer ce qu'à l'origine devait être des êtres innocents en des monstres sans pitié ? Sont-ils nés comme ça ? Le serpent ne vient-t-il pas à la vie pourvu de son arsenal mortel ? Pourquoi pas ces semblables si dissemblables n'appartiendraient-ils pas à une espèce aussi traître que nuisible ?
De la très opportune apparition de la pandémie, à l'obligation d'un vaccin expérimental aux effets secondaires dévastateurs, rien n'est laissé au hasard pour faire de nos vies cet enfer que Dante avait à peine esquissé dans la Divine Comédie.
Dans la vraie vie, la nôtre et celle de nos enfants, il est fort peu probable que la rédemption soit au rendez-vous comme on le raconte dans les contes pour enfants plus ou moins mûrs.
Prenons l'exemple de Brigitte Macron, si tant est que sa féminité soit avérée, intronisée par les lois du détournement de mineurs et du mariage, première Dame de France, qui veut (ou voulait) remplacer la flèche de Notre Dame détruite par l'incendie, oeuvre de feu Eugène Viollet-le-Duc, par un cornet à deux boules dorées, symbole de... Symbole de quoi, au juste ? Un égout entrouvre une gueule obscène dans la beauté du monde et nous avons sous les dorures de nos palais son ambassadrice.
Au moment où la « branche famille » de la Sécurité Sociale balance des millions d'euros dans les poches de Cabinets Conseil pour faire de la SS ce que la horde fait avec les acquis sociaux du pays, les Gilets Jaunes reprennent du service, se mobilisent pour empêcher la ruine d'un pays et la destruction d'un continent à la culture millénaire, sauver leur peau avec l'aide d'autres bras, ou tomber au « champ d'honneur » avec la dignité pour bagage.
J'ignore si le mouvement sera suivi et soutenu comme il le mérite, mais une chose est indiscutable : les revendications ne sont pas de la roupie de sansonnette ! Elles étaient justes avant la pandémie, elles le demeurent après la filante de 49-3 que le gouvernement balance en guise de démocratie.
La « crise » s'est même aggravée avec une guerre d'Ukraine programmée dans ce but ! Posons la question à ceux qui se retrouvent sur le carreau pour ne pas avoir pris au sérieux un mouvement décrié par les mercenaires du pouvoir et par ceux qui, se croyant à l'abri, sont aujourd'hui à la rue ou sur le point de l'être !
Et qu'on ne chante pas, comme des nombreux tapineurs l'ont fait et continuent de le faire, artistes à talonnettes et chanteurs « engagés », que si l'Ukraine ; que si la pandémie ; que si la Chine ; que si la Russie... Que si les antivax...
Comme si le vaccin était ce « miracle » qui sauvera le monde ! A bientôt la cinquième dose, il s'en trouve des décervelés (j'en connais!) qui s'en enquièrent auprès des néo-piquousés comme si on prenait renseignement sur les améliorations mécaniques du dernier modèle de Lamborghini !
Eh, les gars ! On a le feu au cul ! Ne sentez-vous pas l'odeur de chair grillée qui agace les narines ?

Sous l'Casque d'Erby