samedi 27 juillet 2024

Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Paris occupé !

Le rêve de l’État profond depuis toujours – de l’Amérique au cœur de la City : que l’Europe ne se fasse pas. A aucun prix. Mais si oui, parce que les aléas et les « caprices » de l’histoire... ce serait en tant que « puissance » vassale. Et si – tout n’est jamais écrit d’avance -, par malheur, elle échappait à son contrôle, il s’agirait alors de tout faire pour la détruire.
Nous y sommes.
Les « élus », corrompus jusqu’à la moelle, sont désignés pour mener à bien leur sale entreprise, les moyens allant du chantage au crime de masse et plus si la « cause l'exige ».
Des vents néfastes soufflent sur la France et l’Europe en général. La peur de l’admettre, d’en reconnaître, ne serait-ce que les signes les plus flagrants, laisse perplexe quiconque possède un peu le sens de l'observation.
Dans un contexte sombre, le pays donne l’impression d’être fin prêt à accepter l’idée d’un totalitarisme « sécurisant » ! Orchestré et réalisé rien que pour « notre bien » !
Trêve de sinistrose ! Nous sommes en vacances et mettons tout en œuvre pour « décompresser », sous des températures qui, à partir de 20 °C, relèvent du chaos climatique, comme inoculé par des propagandistes du monstre mondialiste. L’infantilisation des masses bat son plein !
Depuis quatre ans tout s'est accéléré, et nous avons tout avalé : confinement, couvre-feu, port du masque, tests pcr, vaccination, attestation dérogatoire de déplacement, licenciements abusifs pour refus de se faire vacciner et maintenant, pour cause de JO d’été, le QR code et la reconnaissance faciale ! 
Que faut-il de plus pour sonner le Tocsin ?
Pour revenir chez toi, après une journée de taf, c’est la bataille de Marathon ! L’histoire dit que ce fut la victoire du courage et de l’honneur ! Nous en sommes encore loin !
Au fait, la flamme olympique, connaissez-vous l’origine ? Merci monsieur Goebbels !
Riez, riez, le pire est déjà dans le fruit et l’insecte dans la farine. Riez !
Des JO, où des blindés paradent, pendant que des longues files longent les quarante mille barrières transitoires de bétail. Accessoires nécessaires aux contrôles et à la traçabilité des bestiaux !
Des jeux ? Moins de public dans les enceintes sportives ? Aucune importance. Des figurants rétribués suffiront pour faire illusion et une sonothèque pour ambiancer la diffusion à la télé. Car l’objectif de ces jeux n’a rien à voir avec les jeux et beaucoup avec le totalitarisme dont rêve l’État profond et leurs très serviles serviteurs, fausse opposition comprise, comme on le voit depuis les dernières élections neurodégénératives !
Les mêmes avant le scrutin, les mêmes après , pendant que le pays chauffe du cul dans le Chaudron magique !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

samedi 20 juillet 2024

Lecture : Maurice Frot et le Roi des rats

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Les livres sont des drôles d'oiseaux. Même dans cette vie après la vie, dont on dit des choses étranges, les livres ont la force de vous entraîner vers des sentiers inexplorés.
« Salut... T'as deux minutes ?... Figure-toi ...»  
Au bout du fil, Rémi. Un drôle d'oiseau, lui aussi.
« Il y a deux jours, j'ai croisé un ami bouquiniste qui , bref ... » ; « j'ai quelque chose pour toi... » «  Je te l'envoie. » « Surprise !... » 
C'est ainsi que je suis entré en possession d'un Maurice Frot. Je dis un Maurice Frot comme on pourrait dire, je ne sais pas, un Kandinsky. Pourquoi Kandinsky ?... Peut-être pour ce que le peintre définit comme le « trouble mental de l'homme devant le monde ».
En ces temps d'allégeance, d'électoralisme effréné, de trahisons et des intentions criminelles de « nos élus », il est bon de pouvoir compter sur le hasard et sur l’amitié.
L'oiseau Maurice Frot est mort en 2004 à l'âge de 76 ans. Pour faire vite, on dira que le gars de la marge a de la ressource et un potentiel révolte propre à faire sucer de la tototte les petits rebelles de la néo planète NFP !
A dix-sept ans, il dégage son bled, son ennui, sa maternelle, qui le rejette et qui finira par se pendre, pour s'engager dans l'armée de l'air, direction l'Indochine...
Cette expérience traumatisante, nous la retrouverons tout au long de ses pages, tantôt sous forme métaphorique, tantôt de manière brutale... C'est l'histoire revisitée par un poète aussi vertical que viscéral. Un homme doublement blessé. Pas de place pour le regret, ni pour l'amertume, mais toujours cette douleur qui plane comme une ombre pour lui rappeler ce que le miracle de la vie a de précieux pour pousser le présent vers l'avenir, si incertain vous paraisse-t-il.
Chaque mot est une fenêtre et chaque paysage un monde à découvrir. Ils sont disposés non point pour faire joli ou pour l'épate, mais pour nous inviter à une chorégraphie que chacun prolongera au fil de son imagination.
Le bouquin s'ouvre sur l'histoire d'un gars qui a décidé de mettre les bouts. Ras calebasse. De Clichy, son bled, son quartier, son pays. Marre de sa gouaille, de cette vie de « civil à la con ».
C'est décidé, direction Lhassa, la capitale du royaume du Tibet. Plus tard, ce fut Katmandou... Mais auparavant, quelques bricoles à régler. Il faut qu’il se débarrasse d'un putain de rat qui prend sa tête pour un grenier. Aucun psy ne pouvant l’aider dans ce combat singulier contre lui-même.
On sent que cette extirpation va être rude, que pour vaincre la bête, il va lui falloir se surpasser, surmonter les derniers restes d’empathie afin d’atteindre ce haut niveau de détachement auquel il aspire.
« Le temps d'arracher cet enragé Gaspard qui s'agrippe à ma viande et circule comme chez lui dans la rue de mes artères. Qui se balade à l'air libre de mes poumons. Se paye des samedis dans mes testicules. Mais surtout, démon la vache, sait se blottir sans bouger d'un poil parmi les replis douillets de ma cervelle, ricanant tout son saoul, sous le jugement dernier de ma coupole. »  
Aura-t-il sa peau ? En plus de fort, il va lui falloir être rusé avec la bestiole ! Réussira-t-il à atteindre Lhassa ? Et si, finalement, Lhassa ne se trouvait pas là où les cartes l'indiquent ?... 
Autre bonne surprise de ce livre magnifique, la préface. Je l'ai lue après le livre. Œuvre de Léo Ferré, que Maurice Frot rencontra en 1956 et dont il fut secrétaire et régisseur jusqu'à leur brouille en 1973, sans que cela entache ni l'amitié ni le respect qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre… 
Voici ce que Léo écrit au sujet de son ami et complice : « Il me dit avoir écrit pour se libérer. La belle affaire ! On n'écrit jamais que pour un miroir possible, pour se regarder d'abord, et puis partir dans des yeux lecteurs dont on ignore à jamais les capacités de rapt… ».
Ailleurs, Ferré ajoute : « Frot a une poche spéciale pour ses souvenirs : il les fait remonter et les remange.  C'est un ruminant. À son pis s'égoutte tout un breuvage d'inavouables ratages. Frot, le jour, vend du contreplaqué pour acheter des plumes qu'il usera, la nuit, loin de ses amis qui ne sauront le reconnaître qu'à force d'illusions dominées. » 
« Le Roi des Rats » est le premier volet d'une série de trois (« Nibergue », « Le tombeau des jaloux ») dans lequel Maurice Frot cherche à se débarrasser des sales choses commises pendant la « pute de guerre d'Indochine » qui lui a fracassé le cœur.
À défaut de s'en être débarrassé, il aura eu le mérite d'avoir dénoncé sa vie de « pauvre con » au milieu d'un tas d'autres qui n'ont pas eu cette chance ou ce mérite…
 
Le Roi des rats - Maurice Frot
 
Sous l'Casque d'Erby
 

 

dimanche 14 juillet 2024

La France est-elle encore une province ?

Le foot, le tennis, le cyclisme, les JO... La ministre Amélie Oudéa-Castéra patauge dans la vase de la Seine pour prouver qu'on « ne risque rien » à s’y baigner, démontrant qu'au milieu du chaos, la bêtise pavoise !
Le monde s'effondre sous nos yeux, mais on fait semblant... D'être beaux. Intelligents, même si nous devenons bêtes jusqu'à ne plus savoir qu'en faire de la bêtise !
Si nous devions mettre une épitaphe sur nos tombes, nous pourrions graver : « Ci-gît une promesse qui n'a pas tenu la sienne ».
C'est avec un générique dystopique que des élections européennes se sont transformées en scrutin législatif national sans que personne ou presque y trouve à redire. Rien dans le contenu. Même pas le moindre semblant de programme, comme nous pouvons légitimement l'espérer, dans un monde où penser est un luxe hors de prix.
Une seule idée en guise de programme : la désignation d’un faux ennemi. On le fabrique et on le jette en pâture comme on donne le foin aux bovins. Un plat mille fois réchauffé : le fascisme !
Lente et inexorable dégringolade de l'esprit. Comment en demander à des gens à qui on ne donne aucune chance de s’en pourvoir ?
Composée de trois tiers, à un poil près, la nouvelle assemblée fait ce que font de mieux toutes les assemblées : troquer, marchander, chantager. Pas pour le « salut du peuple », ça non, mais pour perpétuer les privilèges d'un groupe, d'un clan, d'une organisation mafieuse.
À ce jeu, la quête d'un Premier ministre « consensuel » se transforme en guerre intestine. Otage de ce jeu, l'électeur. Après avoir donné le max de ce qu'il pouvait offrir dans l'urne, triche comprise, il se repose sur le front de mer les pieds en éventail, si la « sécheresse humide » le permet dans la région de son choix.
Comme si la désignation d’un Premier ministre allait changer quelque chose au destin d’un pays dont le sort est décidé hors de ses frontières. 
« Mission accomplie ! » « No pasarán ! » « On vous a niqué ! » crient les petits pions qui s'agitent dans des bastilles improvisées, comme s'ils venaient de vaincre le nazisme, alors même qu'ils le nourrissent ! Alors même que ce sont eux qui dirigent l'Europe et sont en train de biffer ce que nous prenons encore pour notre nation.
La France est en train de se dissoudre sous nos yeux avec la complicité d'une horde de décérébrés pensant « sauver le pays » !
Dans une atmosphère de confusion totale, le globalisme tisse son horrible toile avec des parodies d’élections et des lois liberticides, afin de supplanter les États publics par des systèmes prédateurs sans foi ni loi, où le crime devient monnaie courante !
Applaudir cela comme cela est le cas avec les résultats de ces législatives, c’est se condamner à une mort certaine !
 
Sous l’Casque d’Erby
 
 

samedi 6 juillet 2024

Jours de Fête

Erby
On la fait courte. Marre des redites ! De devoir supporter les mêmes scénarios et les mêmes dialogues débilitants à chaque saison électorale que Dieu fait : Il fait chaud. Il fait froid. Quelle horreur ! Vivement que ça change ! Je m’en fous, je prends mes cliques et mes claques et je me tire ! Bonsoir Clara ! Attention à ceux-ci. Gaffe à ceux-là !
En général et entre nous, c’est plus de claques que de cliques qu’on s’en prend dans le steak !
Les candidats n'ont qu'un projet : « Moi, et personne d’autre ! » 
Demandons à Ruffin, en ballottage défavorable dans « sa » circonscription, qui n’en peut plus de ce « Boulet » de Méluche, à cause de qui il risque de perdre un « job » si durement acquis !
Ça, c’est du compagnonnage !
Aucun pictogramme sur l’écran pour avertir le public du caractère pornographique des débats politiques et campagnes électorales en particulier. Car de projets, il n’y a qu’un seul : MOI !
Celui qui pense le contraire est bon pour la camisole !
Pas de journée de la gentillesse en l’occurrence. On laisse ça dans le rayon Bisounours, à côté d’autres Utopies infantiles !
J’y pense : À quand la journée OCT : On Casse Tout ?
Désolé, c’est l’émotion. Parfois ça me prend, comme une éruption cutanée chez l’enfant.
Le pouvoir a toujours un train de mesures d’avance !
C’est dans la joie et la fausse colère que ces marlous piétinent les valeurs institutionnelles depuis des décennies, font semblant d’être en désaccord, s’envoyant piques et diatribes comme dans une pièce de boulevard. Pas pour tirer le pays vers le haut, mais pour tirer la couverture à soi et détruire ce qui reste des parties communes de l'édifice ! 
À la fin de la représentation, quand la mer retrouve son balancement apaisant, on quitte le costume, on se démaquille, et on passe à la caisse pour toucher son cachet !
« Les candidats lâchent leurs coups », lit-on sous la plume des analystes qui, sans cela, n’auraient pas grand-chose à analyser, hormis leur zèle à nous faire croire qu’ils sont honnêtes !
Tout est planifié pour que celui qu’on prend pour une andouille fournisse le couteau pour se faire tailler en rondelles ! 
Disons au-revoir — que dis-je, au-revoir, adieu ! — à ces bateleurs manipulateurs ayant fait de l’enfumage une profession !
Mais là, je rêve !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

lundi 1 juillet 2024

Élections : n'ayez crainte, c'est pour rire.

Erby
Jour de vote. Jour de rien. 
On a annoncé tant de procurations de vote (les maisons de retraites sont prises d’assaut par les milices), que cela ressemble à une chasse à l’homme du temps du Ku Klux Klan !
Je me suis demandé à quoi servirait-il de me déplacer jusqu’aux latrines électorales, sinon pour tirer la chasse d’eau !
À vrai dire, entre un voisin qui vote Bardella, parce qu’il « présente bien » et qu’il a des refoulements compatibles, un autre qui bene son rectangle dans la fente pour Macron, parce que Macron « fait ce qu’il peut » dans un pays « ingouvernable », et un antifa attifé de noir de la tête aux pieds, scotché dans des chaussures Rangers chopées dans les surplus de l'armée, je me sens comme un condamné attendant l’heure de son exécution dans les couloirs de la mort !
Cette guerre civile qu’on cherche à déclencher par tous les moyens vicieux dont le pouvoir dispose, n’est pas le fait du peuple français, mais la volonté des élites pour parachever l’œuvre de destruction du pays entreprise par des mercenaires au service des mondialistes.
Pompidou, Mitterrand, Chirac, Sarko, Hollande et maintenant Macron n’ont été et ne sont que les bras armés ! Tout comme le Nouveau Front Populaire, consciemment ou pas, en est l’auxiliaire ! Les siècles passent, l’horreur demeure. Quel que soit le temps reculé d’où arrive un bout de pensée humaniste qu’on utilise comme citation, une constante s’en dégage : si le monde bouge, dans sa spirale négative, l’homme reste fidèle à « sa » logique, inoculée dès les bancs de l’école : soumission et bêtise.
Avec ces législatives anticipées, le peuple s’offre un frisson comme au cinéma. Quoi de mieux que de lui faire croire avant sa transhumance estivale qu’il est le « maître » de son destin !
Ça s’agite. Ça trépigne. Ça s’égosille. Mais tout ça ne porte pas à conséquence. Cela fait partie du spectacle. C’est la générale comme on dit dans le milieu du théâtre. Une générale avortée ? Probablement. Pourtant, que des promesses !
Voyons, rapidement, les tendances de l’urne. Pas de quoi partir en courant, demander asile politique dans un pays voisin : 
L’extrême droite fait le plein. 35 % c’est le max qu’elle peut faire, sachant que dans ce nombre, il y a un vote « sanction » contre une politique qui plonge le pays dans le chaos, avec une dette abyssale et des décisions prises par l'UE allant à l’encontre des intérêts de la nation. Le reste des voix de ce scrutin somme toute très convenu se répartit entre les cadors habituels, quelle qu’en soit la défroque, gauche « relookée » et droite éparpillée ! 
Les états-majors font d’ores et déjà des tractations, négocient, donnent dans le chantage, afin d’obtenir la « bonne part » de gâteau. Sinon à quoi servirait de se « péter l’cul » avec tout ce cirque !
Il faudra bien consentir quelques « sacrifices », mais le jeu en vaut la chandelle ! Où est le danger ? Ce ne sont pas les quelques sautes d’humeurs d’une foule bien attelée qui vont mettre en péril un commerce si lucratif. 
À la revoyure... Au prochain tour, si vous le voulez bien !
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

mercredi 26 juin 2024

Elections et petites horreurs entre amis

Amorim
Julian Assange est « libéré » tout en plaidant « coupable » ! Place désormais aux opportunistes qui n’ont jamais bougé leur petit doigt pour cela et qui se présenteront comme les grands artisans de sa libération !
Rien de surprenant à cela, l’être humain étant doté d'un culot et d'une duplicité incroyables !
Après le bordel soigneusement orchestré par Macron avec la dissolution (aidé par BlackRock ?), nous ne sommes pas au bout des sales surprises.  Larry Fink, le patron de BlackRock, n’était-il pas dans la capitale française lors de l’annonce de la dissolution ? Ne dit-on pas que cette décision, transformant une consultation européenne en scrutin national, aurait été soufflée à Manu par le vrai patron de la politique intérieure du pays ?
C’est ce que pensent les « mauvaises langues » complotistes qui, depuis la mise en place de la plandémie, ne cessent d’avoir raison sur tout ce qui touche à la manipulation de masse !
L’été s'annonce caniculaire et les prochains JO de Paris seront le théâtre de compétitions bien moins ludiques qu’une partie de water-polo dans une Seine aussi « propre » que la maire qui dirige la capitale.
On informe ceux qui s’intéressent aux choses glauques de la politique profonde que le faux drapeau sera une des activités les plus prisées de cet événement dont la flamme s'épuise à chaque foulée du porteur, gay, transgenre ou simple travelo !
La guerre américaine contre la Russie en Ukraine connaissant, avec son tournant terroriste un virage horrifique d’importance, prenant désormais pour cible la population civile, on avance un possible élargissement pendant les jeux olympiques, avec des attaques terroristes sous faux drapeaux, le tout indiquant l'implication directe de la Russie !
Ceci se traduira chez les candidats au partage du pactole électoral par un consensus qui ne s’est jamais démenti depuis que la politique existe. Le peuple, servant de faire-valoir, sera convoqué à la barre pour donner l’illusion qu’il existe. Et même si la partie est finie avant même d’avoir commencé, le gueux sera convaincu d’avoir sauvé le pays !
Rien n’est plus simple et plus complexe qu’une campagne électorale ! Entre psychopathes confirmés et sociopathes en pleine expansion, il n’y a pas de place, ni pour le peuple, ni pour la démocratie !
Tandis qu’en France, on agite l’épouvantail des petits soldats RN, base et sommet de la stratégie électorale présidentielle, sans autre danger que celui du frisson à bas prix, le vrai fascisme, celui qui s’est moulé dans le costume nazi, jusqu’à en épouser l’horreur, représenté par l'Etat d'Israël, continue son entreprise de liquidation à Gaza, sans que cela perturbe outre-mesure la conscience des « bonnes gens » de la République « une et indivisible » !

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 17 juin 2024

Bouge te neurones

Bien que le clip date, son actualité ne se dément pas. Raison pour laquelle, plutôt que de vous offrir un commentaire redondant sur la période trouble et troublante que l’on traverse, je vous propose la rediffusion de ce moment de pure jovialité, que nous avons pris plaisir à tourner au cœur de l’hiver 2008, par moins deux degrés !, texte en bonus, pour ceux qui auraient du mal à suivre. 
Le Front Koi ? Vous dites ? J’entends mal… 

Bouge tes neurones     

 Bouge 
 Bouge tes neurones
De mouton de tonte 
Nourris tes hormones 
De bougre sans honte 
Va et vote… Va et vote… Va et vote… 
 Pour moi… Pour moi… Pour moi… 
Et moi… Et moi… Et moi… 
Vos gueules, les requins ! 
Télésarcophiles d'un idéal débile ! 
 Temps de faire la vidange 
Larguer les amarres 
Chanter d'autres plages 
Y'en a marre ! 
De cette mare à limaces 
Faire de la place 
Jeter le chloroforme 
Sans jeter l'éponge 
Rien n'est conforme 
Tout est mensonge 
 Émission/provision 
Banque/agios 
T'as pas l’bon filon 
T'es l’bon couillon 
 Juridiquement naze 
Tu n'es rien d'autre 
Qu'un pion de base 
Sur lequel on dégoise 
 Rien d'autre… Rien d'autre… 

Rodolfo Diaz

 Sous l’Casque d’Erby 



mardi 11 juin 2024

Élection, piège à rats.

ErbyErby
C’est à cela que se résume ce scrutin européen. Je n’ai pas voté et n’éprouve aucun remords. Peut-on en avoir devant la grossièreté d’une manœuvre destinée aux pauvres gens qui pensent vivre au paradis de la transparence démocratique ?
Un scrutin européen devenant par un tour d’illusion « dissolution nationale » ! Même pas surprenant, tant la logique de l’élite est lisible pour qui s’y intéresse un peu. Les particularités nationales devenant ce monolithe politique qu’on nous impose, effaçant la mémoire des peuples dont les générations à venir ne garderont aucune trace.
Vous y croyez, vous, à la dissolution, suite à des résultats désastreux pour le gang Macronien ? Que les choses soient claires : dissous, nous le sommes, mais cela date de bien avant cette grossière mascarade ! Si certains parlent de défaite « écrasante » de la Macronie, il faut s’entendre sur le sens à donner au mot « défaite ». Ni défaite, ni Trafalgar, mais une opération destinée à mieux nous enfoncer le pieu dans le poitrail, pour rester poli !
Tellement rapide l’annonce de dissolution que cela sent le petit Machiavel de supérette dans les contrées les plus distantes ! Sauf, bien sûr, pour l’idiot qui se mouche dans son délire pour faire croire qu’il vient de choper le covid long et qu’une piquouse supplémentaire serait la bienvenue ! 
Le résultat de ces élections, hors trucage – qui ne s’en doute pas passe son chemin – est une colonisation de très haute intensité orchestrée par ce pouvoir profond dont le naïf met en doute l’existence.
Le bêlant est déjà là dans son pré carré à claironner qu’il faut sauver la France du péril de l’extrême droite et de la Russie ! Le pire étant déjà là, je me demande ce qui pourrait advenir de pire que pire pour nous tirer du traquenard judéo-maçonnique qui tient le pays dans ses serres, avançant désormais à visage découvert.
Le scénario mis en place se dessine très clairement. Donner de la bride à l’extrême droite, lui dégrader l’image, ce qui est fort aisé, la faire piteusement chuter et reprendre la main sous les applaudissements d’une faune froc baissé jusqu’aux chevilles pour une nouvelle danse du fion, avec le retour de Macron 3 en 2027 !

Sous l'Casque d'Erby 


samedi 25 mai 2024

Les loups sont dans la bergerie !

Erby
Comment échapper au marteau-pilon électoral sans se bousiller la carcasse sur une Union européenne plus Serial killer que jamais ? S’offrir une échappée oxygénante à Bali, priant pour qu’un tsunami nommé Haarp ne vienne pas gâcher la fête ? Ne plus entendre pour la énième fois les âneries d’une faune décérébrée ânonnant qu’il faut nous garder de la « montée de l’extrême-droite », serait une pas trop mauvaise nouvelle pour l’esprit. Le tout servi dans des paquets-cadeaux sur fond gazaoui, Kanaky, Iranien, Ukrainien, sous une pluie torrentielle de crimes et de mensonges !
Comment admettre que la peste brune avec laquelle on postillonne de l’averse est déjà dans les murs ? Comment reconnaître que nous, simples pions dans l'échiquier, nous sommes fourvoyés au point que la honte nous pousse au silence, nous rendant par le fait deux fois coupables ?
Plus l’éducation d’un pays baisse de niveau, plus les gangs au pouvoir ont les coudées franches !
Ce n’est pas en bariolant la façade des échoppes avec des effets décoratifs « en vogue » que cela va empêcher les mérules de becqueter le bois de charpente à loisir. Dans ce cas, la charpente, c'est le peuple et les bestioles, c'est l’État et sa nuée de bacilles qui par contagion propage la mort noire.
Qu'importe le candidat et les sentences avec lesquelles il adorne les enseignes des villes. Ces déclarations, sans programme à la clé, sont là pour perpétuer le commerce de farce et attrape !
Nous avons beau le savoir, le crier, dénoncer l’imposture, ou tout simplement comme le murmure depuis des siècles l’anonyme, les moyens mis en œuvre par les flibustiers de la politique, sous commandement « invisible », finissent, par conditionnement, par usure, par peur, par obtenir gain de cause : l’ongle infecté de l’État s'est si profondément enfoncé dans la chair que désinfecter la plaie est  quasiment impossible.
Pour l’heure, dans une élection sans programme et des candidats sous influence, rien ne laisse présager un bouleversement politique favorable aux intérêts des personnes et des pays. Nous ferons comme ils veulent que nous fassions : aller sagement fourrer l’urne avec un bulletin obsolète, la conscience en paix ! 
Le plus probable dans tout cela étant un tour de vis supplémentaire dans la régression. 
Aujourd’hui, un seul programme a mon agrément  : embastiller les pillards, les fraudeurs, les exploiteurs, ainsi que les spoliateurs qui gouvernent le pays afin de donner à l’Hexagone les couleurs d’une révolution qui n’a jamais eu lieu ! 1789 n’ayant été qu’un coup d’État maçonnique !
Or donc, qu’avons-nous à nous mettre sous la molaire pour cette mascarade électorale, laquelle s’annonce aussi pourrie que les précédentes et d’une pauvreté encore plus affligeante ? Rien ! Rien, hormis les vociférations récurrentes sur la peste brune, afin de nous protéger de l’attaque des loups, alors que les loups sont déjà au pouvoir !

Sous l'Casque d'Erby



samedi 18 mai 2024

L’incertitude pour viatique, mais le cœur à l’ouvrage

Source
Entre deux soupirs bien cambrés 
Au bout d’une plaine desséchée 
Des voix anonymes timbrent 
Des messages d’éternité 

Si le nombre d’éveillés augmente – ce dont je me réjouis – que penser de la multitude de crétins qui affichent un conformisme d’esclaves béats, refusant obstinément d’écouter ce bruit de bottes qui nous revient comme un boomerang.
C’est le moment où l’on se sent seul et triste.
En Slovaquie, Robert Fico, ne voulant pas s’aligner, se fait « opportunément » attenté !
L’auteur de l'attentat serait selon les médias un « loup solitaire » contrarié par le résultat de récentes élections (?!) 
Le fait est que tous ceux qui refusent les plans globalistes sont, soit victimes de chantage, soit se font proprement sulfater, comme on tire le faisan lors des lâchers annuels.
Malgré l’atmosphère de terreur progressive qui s’installe dans une Europe vendue comme « salvatrice » par le gang qui la tient en otage, j’ai la « faiblesse » de penser que l’humain vaut mieux qu’un larbin prenant plaisir à se faire souiller.
La science-fiction est un genre littéraire que j’ai jadis aimé, mais dont je me suis détourné tant le réel l’égale et même la dépasse. Dans ses livres et dans ses films, elle a presque toujours représenté le penchant des élites pour le totalitarisme, tendant à faire de l’homme un robot, voire le remplacer massivement par celui-ci. Lecteur et spectateur frissonnent et se rassurent en pensant n’avoir affaire qu’à de la fiction. Un divertissement pour amateurs de dystopie et d’émotions fortes, à l’instar de ceux qui, dans un genre voisin, raffolent de films de zombis et autres « immortels ». On sait que cela « n’existe pas », même si nous ne cessons pas d’y croire.
Ils sont de plus en plus nombreux, ceux qui rendent leur tablier, abandonnent tout, épuisés, à force de vouloir « sauver » ce qui ne l’est pas, de ce monde qui glisse vers sa perte et qui pourtant mérite qu’on y consacre un peu de notre énergie. 
Ces pessimistes, pour qui tout effort supplémentaire s’avère au-dessus de leur force, tant ils ont donné ! Contents de « passer le témoin », laissant là, espoirs et convictions, de se calter le plus loin possible de ce merdier, où, le mieux qu’on peut espérer, à condition de fermer son clapet, comme c’est le cas dans toute dictature qui se respecte, pour atteindre le mortel ennui d’une « vie sans ennui » !
Partir vers des tropiques inouïs pour enfin atteindre ce qui n'est qu'un mirage ! Danser sous les cocotiers avec l’insouciance du « désinhibé », l’impuissance pour excuse. Regarder l’Eurovision ou le Festival de Cannes, comme on regarde s’effondrer pan après pan un monde et les valeurs qui l’ont bâti. Comme on mate un film d’horreur, nous disant que tout ça n’est pas vrai, que cela finira par passer, comme tant et tant d’autres horreurs que l’histoire cache sous le manteau.
L’humain a la faculté extraordinaire d’encaisser le pire en oubliant douleur et humiliations. Sacrée performance !
Le soir venu, loin de ce chaos, s’asseoir à une table, le sourire jusqu’aux oreilles, sur un fond sonore, de salsa, de mambo ou de makossa, l’esprit brouillé par des breuvages exotiques, les pensées un brin nostalgiques s’envolant vers les êtres chers restés de l’autre côté des illusions. Choisir soigneusement la meilleure vue d’un paysage qui fait rêver et tracer au stylo-bille des formules de « bonheur » et de « magie paradisiaque » à rendre jaloux les morts pour rien dans des guerres que le sans dents sait perdues d’avance.
Ne plus avoir à subir l’image de travelos portant des flammes olympiques jusqu’à faire oublier que la pollution de l’esprit est bien supérieure à celle de tous les océans ! 
Effacer de la mémoire, à grands coups de beuveries, le carnage des habitants de Gaza par une nouvelle génération de nazis, poussant le crime jusqu’au cynisme le plus sinistre !
Oublier, ne serait-ce qu’un instant, que l’humain peut être plus sauvage que la plus sauvage des bêtes sauvages !
Puis se réveiller pour crier sa colère, sa douleur. Son refus d’obtempérer, quitte pour cela à perdre trace de son état civil !
Haut les cœurs ! 

Sous l'Casque d'Erby


dimanche 5 mai 2024

Glucksmann, de l’entrisme à l’exfiltration !

Erby
Raphaël Glucksmann se fait jeter d’une manif à Sainté, ce mercredi 1ᵉʳ mai pour des raisons très lisibles, parmi lesquelles « trahison » et « escroquerie » ne sont pas les moindres.
Candidat sans crédit sous ses propres couleurs et celles du PS aux élections européennes, monte-t-il un non-événement pour attirer le chaland dans ses filets ? 
Il avait l’air bizarre en se faisant exfiltrer par le service d’ordre !
Même Père Méluche a participé à la messe pour le « défendre », reprochant à ses propres gens le manque de « tolérance » et de civisme démocratique !
Extraordinaire Jean-Luc, toujours là pour rappeler la loi des Évangiles ! Ce n’est pas lui qui avait aboyé à la gueule de la poulaille : « La république, c’est moi ! », lors de la perquisition houleuse du siège de la France Insoumise en 2018 ? 
Quoi de plus naturel qu’un mélange de torchons et de serviettes pour célébrer ce bal des fripouilles du 1ᵉʳ mai à la mémoire des martyrs de la classe ouvrière qui en ont vu d’autres !
On entend et on lit des choses sur la marche et sur le dysfonctionnement du monde ! Un monde dans lequel la représentation grotesque des valeurs qu’on jette consciencieusement dans les poubelles de l’histoire sert d’alibi aux gangs qui se gavent sur la crédulité des masses !
Existe-t-il des gens honnêtes dans cet immense tripot où le chantage se le dispute à la violence ? Si « gens honnêtes » il y a, cela reste immatériel !
Quand ce ne sont pas les Russes, ce sont les Chinois. Quand ce ne sont pas les deux, main dans la main, qui fournissent à l’Empire matière à cacher l'horreur, pointant des doigts accusateurs sur des ennemis séculaires !
L’homme commun, le débile, le crétin, l’idiot – ça pousse sous serre de manière intensive – l’honnête citoyen ainsi formaté fera du narratif de l’Empire l’Évangile dont il ne se séparera que très rarement. Mieux : il se fera enterrer avec des éditions de luxe, des fois qu’on lui demande des comptes au moment de franchir les frontières de l’au-delà !
On nous dit que l’aide américaine à l’Ukraine se poursuivra, malgré la défaite sur le terrain, jusqu’au mois de novembre, malgré le fait que sur le terrain la guerre est finie, car, dit-on, dans les caves du pouvoir profond, que cela ferait mauvais effet de déclarer l’Ukraine vaincue, avant les prochaines présidentielles au mois de novembre aux États-Unis ! 
Il n’y a que les morts qui n’ont pas fini de crever ! 
Raison pour laquelle Zelensky va recruter dans les écoles de l’agneau sacrificiel pour alimenter le front et entretenir le narratif dans les grands cimetières sous la lune !
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

mercredi 1 mai 2024

Emile Pouget pour donner un sens au 1ᵉʳ mai

Source
Ce n’est pas parce que l’on fait le motus que la pression de combustion des gaz a cessé de réguler la température au niveau de la comprenette.
En ce 1ᵉʳ mai de célébration et de fripouilleries, la seule chose qu’on use, c'est de la grolle et quelques litrons de salive, pour se donner l’impression d’être au diapason. 
Je saisis la boîte à souvenance pour imprimer un peu de dynamique à une bécane qui danse d’un pied sur l’autre sans avancer un calot !
On songerait à une voiture électrique au milieu des intempéries !
Et qui de mieux que feu Émile Pouget pour mettre à l’endroit des cerveaux abîmés par la surabondance de saletés qu’on y met dedans ? Un endroit où le tri sélectif ne serait pas un luxe ! Inutile de faire référence aux syndicalistes d’aujourd’hui dont les préoccupations n’ont depuis longtemps rien de commun avec celles des pères fondateurs du syndicalisme révolutionnaire ! On lit :
 
Dans les syndicales 
 
Eh oui, les fistons, le gniaff journaleux reprend sa plume et lève son tire-pied. Il repique à la bataille, plus hardi et plus enragé, après avoir, pendant quelques mois (tant qu’a duré le Journal du Peuple), profité de ce que d’autres étaient à la besogne pour souffler un brin. On est de vieilles connaissances ! Je pourrais donc, à la rigueur, ne pas me décarcasser pour expliquer ce que j’ai dans le ventre et dans la cafetière. Pourtant, comme j’espère bien qu’aux vieux amis, il va s’en ajouter des nouveaux, qui se paieront nos flanches, je vais me fendre de quelques palabres explicatives.
 
Mon programme
 
Le programme du vieux gniaff est aussi connu que la crapulerie des généraux ; il est plus bref que la Constitution de 1793 et a été formulé, il y a un peu plus d’un siècle, par l’Ancien, le Père Duchêne : « Je ne veux pas que l’on m’em … mielle ! » C’est franc. Ça sort sans qu’on le mâche ! Et cette déclaration, autrement époilante que celle des Droits de l’Homme et du Citoyen, répond à tout, contient tout, suffit à tout. Le jour où le populo ne sera plus emmiellé, c’est le jour où patrons, gouvernants, ratichons, jugeurs et autres sangsues téteront les pissenlits par la racine. Et, en ce jour-là, le soleil luira pour tous et pour toutes la table sera mise. Mais, mille marmites, ça ne viendra pas tout de go ! La saison est passée où les cailles tombaient du ciel, toutes rôties et enveloppées dans des feuilles de vigne. Pour lors, si nous tenons à ce que la Sociale nous fasse risette, il faut faire nos affaires nous-mêmes et ne compter que sur notre poigne. Certains types serinent qu’il y a mèche d’arriver à quelque chose en confiant le soin de nos intérêts à des élus entre les pattes desquels on abdique sa souveraineté individuelle. Ceux qui prétendent cela sont, ou bien aussi cruches, ou bien aussi canailles que les abrutisseurs qui nous prêchent la confiance en Dieu. Croire en l’intervention divine ou se fier à la bienveillance de l’État, c’est identique superstition. Y a qu’une chose vraie et bonne : l’action directe du populo. Et, foutre, ceux qui s’imaginent que pour agir, il faut que se présentent des circonstances exceptionnelles, se montent le bobêchon. Certes, pour faire le saut de la société bourgeoise dans la société galbeuse où il n’y aura plus ni riches, ni pauvres, ni dirigeants, ni dirigés, il y faudra un sacré coup de chambard. Mais, d’ici là, on peut préparer le terrain. C’est la besogne à laquelle est attelé le Père peinard.
Il y a deux façons de comprendre la chose : en obliquant vers la politique ou en aiguillant sur les questions sociales et économiques. La Politique ? Le vieux gniaff s’en occupera juste assez pour en fiche la salopise en lumière ; par l’accumulation des faits, il prouvera la malfaisance permanente des gouvernants. Puis, c’est avec une faramineuse jubilation qu’il crossera les souteneurs de la société actuelle. 
Les Galonnards qui abrutissent nos fistons dans les casernes, au point de les transformer en assassins de leurs paternels, de leurs frangins et de leurs amis. Les Ratichons qui rêvent le rétablissement de l’Inquisition et qui, avec leurs cochonnes de Croix, empoisonnent le pays. Les Jugeurs qui distribuent l’Injustice au gré des dirigeants, sont patelins avec les gros bandits et teignes avec les mistoufliers. Pas un de ces chameaux, non plus que les autres vermines, ne passera au travers et n’évitera l’astiquage du Père peinard. 
 
La question sociale
 
Ah, fichtre, ceci est une autre paire de manches ! C’est aux questions économiques, qui sont la trame de la Vie, que le Père peinard donnera la première place : il s’intéressera aux moindres rouspétances des exploités et jubilera chaque fois qu’il verra une flopée d’entre eux laisser les politiciens à leurs billevesées et partir carrément en guerre contre leurs singes. Les grèves et tout ce qui s’ensuit : exodes, boycottages, sabotages… de tout cela, le Père peinard ne perdra pas une bouchée. Et, comme de juste, il ne perdra pas un geste des groupements corporatifs qui, par la vulgarisation de l’idée de Grève générale, poussent richement à la roue de la Sociale. Sur ce, je pose ma chique. Il fait soif… On s’en va boire une versée de picolo, avec quelques copains… et on va trinquer à la santé des lecteurs du Père peinard et à la prochaine venue de la Sociale.
 
Sous l’Casque d’Erby
 

mardi 9 avril 2024

Leurre et argent du leurre !

Erby
La lecture a ceci d’authentique qu’en vous occupant l’esprit vous empêche de dire des sottises, et, surtout, de les écrire !
En ce moment, je lis les révélations sur l’orchestration de la fausse pandémie ayant pour but d’exercer un contrôle de masse absolu et je me dis qu’il est temps d’écrire un brin, même si... 
C’est en Allemagne que le missile a explosé, révélant jusqu’à quel point les responsables de la classe politique et du pouvoir avaient été informés dès le début que le Covid était moins dangereux qu’une grippe saisonnière, mais qu’il était impératif de tester le degré de soumission des masses et, pourquoi pas, réussir le fameux « coup d’essai, coup de maître » !
Les mesures prises pour parer à un danger, montées de toutes pièces, étaient non seulement inutiles, mais très nuisibles d’un point de vue psychologique pour la santé des personnes et des sociétés. Ce déséquilibre voulu trouvant son point culminant dans la destruction des économies nationales et la mise au pas des populations, avec l’ombre violente de l’autorité planant sur l’ensemble comme dans une production cinématographique de très mauvais goût.
Cette domination par la terreur s’accompagnant par des injections, dont les décideurs – tous ceux en qui nous avions « confiance » – savaient qu’elles étaient, au mieux, inefficaces, la pudeur empêchant encore aujourd'hui de mettre sur la table le dossier des « effets secondaires néfastes » que ces piqures expérimentales ont entraînés.
Ceux qui savaient, ou se doutaient de la manipulation, qui l’ont inlassablement dénoncé sans céder un pouce de terrain, payant au prix fort leur audace, ayant perdu le travail et connu la dégringolade et l’opprobre, sont aujourd'hui en droit d’exiger !
Bien sûr, tout ceci se passe chez les voisins allemands. Rien à voir avec la France et des médias touchés par le « syndrome du larbin » !
Comme souvent, notre pays a pour le silence une adoration sans limites. Comme d’habitude, on nous dira qu’on ne savait pas, qu’on croyait bien faire. Qu’une autorité supérieure et occulte intimait l’ordre, sous peine d’avoir des morts sur la conscience ! Et quoi de plus consciencieux que de la fermer !
Le crétin surdosé (arrêtons de nous apitoyer sur son sort !), que l’on a cherché à alerter, vous prenant pour un fou, vous salissant jusqu'à la démesure, aura toujours du mal à admettre qu’il a passé les bornes, parce qu’il n’accepte pas l’idée de s’être trompé au point de risquer sa peau et celle de ses proches par excès de zèle !
Quelle gueule va-t-il faire quand il apprendra que toutes les mesures de contrainte ont été ordonnées par les politiciens et les militaires, sans de vrais débats scientifiques, et contre l’avis d’experts mondialement reconnus ?
Nuremberg 2 ou pas de Nuremberg du tout ? 
Il serait temps d’admettre que ce plan fait partie du projet mondialiste de contrôle social et de dépopulation. Sans passer sous silence la destruction des nations par la dette et immigration massive, vous plaçant d'office chez les complotistes ou, ultime avatar du déshonneur, de militant d’extrême-droite !
Ne pas oublier cependant que, parmi les futurs « éveillés », il s’en trouvera dès opportunistes faussement repentis, qui, après avoir farouchement milité pour la vaccination et l’ostracisation de ceux qui la refusaient, se présenteront comme des résistants de la première heure ! 
 
Ni oubli ni pardon ! 
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

mardi 2 avril 2024

Notes de lecture - Albert Londres, l’exemple

Une librairie, c'est comme une recherche sur le Net : on s'y rend pour se procurer un ouvrage, on repart avec d'autres. C'est ainsi qu'allant chercher un titre qui tardait à arriver, je saisis une série de petits bouquins d'Albert Londres. En fait, j’étais venu chercher « Sur les chemins noirs » de Sylvain Tesson. J’aime l’écriture et l’esprit de monsieur Tesson. Une autre fois, je parlerai de son magnifique et très éprouvant « Berezina » que j’ai beaucoup aimé...

Homme de santé fragile, mais à l'énergie farouche, Albert Londres est né à Vichy en 1884 et mort dans l'incendie d'un bateau qui le ramenait de Chine en 1932, à l'âge de 48 ans. Entre ces deux dates, il s'était forgé une sacrée réputation et donné au journalisme ses lettres de noblesse.

De voyage en voyage, Albert Londres a dessiné les contours d'une géographie mentale avec la curiosité pour viatique et la justice pour obsession. De reportage en reportage, il a façonné des chemins impraticables, jeté des ponts d'une rive à l'autre pour que, dans sa diversité, l'homme découvre ce qui l'unit ou le sépare, en bien ou en mal.

Forçats de la route 

Dans ce reportage de 1924, c'est le Tour de France cycliste qu'il met en lumière. Le moment est héroïque et le journaliste, halluciné, nous donne de l'exploit, de la souffrance, des drames qui l'émaillent, une échographie d'un naturalisme époustouflant ! Le Musée de la littérature sportive l’affiche comme référence avec fierté En passant, villes, villages et habitants sont décrits d'un trait génial. À un cycliste au ravitaillement, un monsieur plein de sollicitude : « Vous avez le temps, trois minutes… », le cycliste rétorque : « Non, monsieur le notaire, ce n'est pas que je sois pressé, mais mon masseur m'attend à deux cents kilomètres d'ici pour me remettre le cœur en place, alors, vous comprenez… » La réplique est à mettre au crédit de Jean Alavoine. 

Dans la Russie des Soviets 

Albert Londres est le premier journaliste occidental à se rendre, en 1920, au prix d'un voyage kafkaïen, au cœur de la République des soviets, à Petrograd, aujourd'hui Saint-Pétersbourg. Sans fioritures, il nous rapporte ce qu'il voit, ce qu'il entend. Il donne à sentir  — déjà ! — la mesure de sa terreur devant le spectacle qu'il découvre. L'homme tel qu'il sera tant que durera ce « paradis » pour lequel ont bandé des légions d'imbéciles manipulés : un chien, monsieur Londres.

Prémonitoire, il écrit ceci à propos du bolchevisme : « l'acte fondamental de leur doctrine est l'antiparlementarisme… » Un sujet, on ne peut plus brûlant, au pays du 49-3 !

Un peu plus loin, Londres chasse le clou : « Le bolchevisme n'est pas l'anarchie, c'est la monarchie, la monarchie absolue, seulement le monarque, au lieu de s'appeler Louis XIV ou Nicolas II, se nomme Prolétariat 1ᵉʳ. »  

Si ce changement d'appellation ne vous suggère rien, le toubib ne vous sera d’aucune aide. 

L'Homme qui s'évada 

Magnifique récit sur la vie d'Eugène Dieudonné, jeune ébéniste, militant anarchiste, homme de bien, condamné comme complice de la bande à Bonnot, alors qu'il n'a rien à voir avec elle. Seulement la justice française, jamais avare d'une injustice, ne l'entendant pas de cette oreille, l'expédie aux îles du Salut. De son arrivée à son évasion, tout est conté au fil du rasoir. Un livre qui se lit comme un roman et se crache comme on crache sa haine à la face d'une justice de classe. Des hommes ayant perdu jusqu'au souvenir de leur nature, tant les conditions sont hideuses. Albert Londres donna beaucoup de sa personne pour rapatrier Dieudonné en 1927, avec, disons-le, le concours actif de la justice brésilienne, persuadée que le forçat évadé avait été victime d'une injustice.

Comme toujours, la France fut dernière à innocenter l'innocent qu'elle avait envoyé en enfer ! Sans même un mot d'excuse de la part de la grande institution, Dieudonné pouvant s'estimer heureux qu'elle consente à descendre de son piédestal pour le « blanchir » !

Terre d'ébène  

De loin le plus dense de ces quatre reportages. Embarqué pour un périple de quatre mois qui le conduira au Sénégal, au Niger, en Haute-Volta (Burkina-Faso), la Côte d'Ivoire, c'est un Albert Londres révolté qui se dresse sur le chemin du colonialisme. Sans concession. Le ton est cassant. Avec objectivité et colère, il dénonce, fustige et condamne une politique d'où la France et sa grandeur ne sortent pas grandies. Encore une fois, le reporter, fera honneur à sa devise : « Je demeure convaincu qu'un journaliste n'est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. » 

Prenez bonne note, ô larbins médiatiques ! Ce reportage lui valut quelques solides inimitiés et autant de menaces de la part des forces conservatrices du sabre et du goupillon. 

Collection Arléa - diffusion Seuil – prix du volume entre 7 et 8€, mais gaffe à l’inflation !

Sous l’Casque d’Erby 

Semaine 12


 

dimanche 24 mars 2024

Les prêts-à-tuer sont dans les starting-blocks !

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Les temps sont au grotesque. À ce ridicule criminel qui laisse des traces indélébiles dans l’histoire. Ces temps qu’on ne pourra pas évoquer plus tard sans ressentir un grand sentiment de honte, au point de regretter d’avoir été le témoin et même le complice d’un crime.
L’histoire présente et notre avenir sont entre les mains de grossiers échantillons d’humanité, n’ayant de la vie et de l’histoire des pays qu’on leur confie, qu’un grand mépris. Du président poulet-bicyclette (c’est ainsi qu’on nomme en Afrique la volaille peu en chair), se prenant pour un Musclé de foire, au dernier Gamelin venu, tous, veulent voir du sang sur le trottoir. 
C’est le black friday du prêt-à-tuer ! 
Leurs nuits ne sont qu’éviscération et dislocation ! Jack l’éventreur ? Un vulgaire amateur ! Ils ne dorment plus, ils fantasment un héroïsme au rabais, tapi dans les replis de leur lâcheté. Quand on dit le sang, on ne parle pas du leur, mais de celui des « fils et des filles de la France » qu’ils voudraient sacrifier, comme on sacrifie un poulet dans un rituel vaudou.
Tout cela, afin d’empêcher un ennemi imaginaire de nous envahir, alors que nous sommes déjà sous l’emprise de notre véritable ennemi, celui que nous nourrissons avec notre crédulité.
Pour qu’une guerre soit possible, il faut du conditionnement, du mensonge et un terreau. Il faut que les moyens de l’information et de la diffusion soient sous contrôle. Ils le sont. Ne reste plus qu’à appliquer le principe des neurosciences cognitives comme on fait dans le marketing, afin d’obtenir l’aval du consommateur, autrement dit l'opinion publique ! Le fait n’est plus contestable ! La guerre, c'est la fabrication de deux camps furieusement opposés. Ne l’emporte que le camp disposant de moins de scrupules, d'humanité. Le reste, c’est de la littérature pour des gens n’ayant jamais mis un pied dans le bourbier d'une guerre ni senti l’odeur du sang dans la nourriture qu'on avale au milieu des cadavres. Pas plus qu'ils ne comprennent la douleur des parents perdant le fruit de leurs entrailles pour satisfaire au plaisir d'une minorité sanguinaire !
De Gaza en Ukraine, ça ne fait qu’un pas vite franchi par des barbares qui fomentent les guerres sans jamais la faire, et ceux qui bêlent au son du tambour, courant vers l’abattoir comme on se rend à une manifestation sportive !
 
Sous l'Casque d'Erby 
 

 

mardi 19 mars 2024

Je m’en fous des européennes, je vote Poutine !

Erby
De temps en temps, lors d’une campagne de télévente, comme les escrocs en organisent continuellement, on m’invite à répondre à un questionnaire sur l’énergie. Sur l’habitat. Sur la qualité de prestation de tel ou tel « opérateur ».
Récemment, c'était à propos des élections européennes. Un institut dont je n’ai pas retenu le nom, souhaitait savoir si... Je vous passe les détails de mon défoulement.
Si vous avez ou n’avez rien d’autre à faire… Une batterie de questions vous est soumise, afin de « donner de votre temps », en instruisant un ennemi invisible sur vos idées, vos penchants, vos « besoins ». Et – c’est la carotte – savoir si vous êtes éligible à l’aide de l’État dans n’importe quel domaine !
Qui ne tente rien, n’est-ce pas ?
Quel que soit l’emballage, cela s’appelle du harcèlement. Comme cela est le cas depuis que le téléphone existe et depuis que des petits malins censés protéger votre vie privée, se font de la maille en vendant nos données, nous rangeant dans telle ou telle étagère !
Désormais, quand un numéro inconnu (jamais le même) me gratte l’oreille, je ne laisse pas le temps à l’intrus d’étaler sa mixture. Direct au grain : « Écoutez, j’en ai marre d’être heureux. Pour tout vous dire, je n’en peux plus du bonheur qui me submerge et m’empêche presque de respirer. De grâce, allez proposer votre marchandise à des gens qui en ont vraiment besoin. Merci. » Et je raccroche. Ou c’est le contraire.
Il m’arrive de céder à la tentation, de croire en l’utopie d’un système désintéressé. Je réponds patiemment à des questions sur l’âge, les revenus, la surface du lieu d’habitation, le nombre de personnes partageant le toit, la superficie du jardin, etc. Big Brother ne néglige rien dans sa soif de savoir !
Je me prête au jeu avec un brin de curiosité et d’amusement, mais trop, c’est trop !
Avez-vous déjà vu un État, dépouillant l’oligarque pour l’épanouissement des nécessiteux ? Ce ne serait plus l’État, mais des révolutionnaires exaltés par l’idéal de la Révolution Sociale !
Les choses se gâtent quand je réponds à la question sur mon âge. Là, c’est silence brutal et rupture de communication. Ni bonjour ni bonsoir, le vide est en toi. Pas de commentaire, du genre : désolé, mais vous n’entrez pas dans les critères d’éligibilité. Rien ! Tu restes planté là, comme un con, te demandant où la chose a foiré. On te ferme le clapet sans aucune explication !
Par le fait, on découvre que vous êtes trop vieux pour espérer. À partir d’un certain âge… 
Bientôt, même les soins seront un luxe ! 60 euros la consultation chez le généraliste, qu’on nous annonce ! Sous peu, nous aurons des médocs, mais pas de quoi nous nourrir !
Autant laisser aller la barcasse vers la rivière sans retour. Si c’est pour te faire prescrire du Rivotril afin de guérir un rhume saisonnier, autant attendre chez soi que le glas sonne en comptant les gouttes de pluie sur le toit. 
Macron n’a-t-il pas déclaré récemment qu’il fallait « regarder la mort en face », à propos des viocs qu’il cherche à défalquer ?
Pour ma part, en ce qui le concerne, je suis prêt à lui rendre ce service dès maintenant !
 
Sous l’Casque d’Erby