vendredi 18 octobre 2024

Chronique Vagabonde

M'art'IN
Mi-octobre. 8 h du matin. Il fait noir. Le jour tremble à l'idée de devoir se lever. Une pluie fine et poisseuse tamise la lumière jusqu'à la rendre opaque. La couette remontée jusqu'aux yeux, je flemmarde comme un militant dépressif se livrant à des séances d’autostimulation, découvrant soudain que l'hiver peut vous saisir à n'importe quelle saison.
Le mal que je me trimballe ! J'ai le melon comme une pastèque qui a trop pris le soleil. Une nuée de mouches la survolant, attendant le moment pour s'y jeter dessus pour un festin de tous les diables. Adieu sucre ! Adieu fraîcheur ! Pas le moindre cacheton de Doliprane pour me soulager ! Et pour cause ! L'usine va être donnée aux Amerloques, comme tout ce qui fonctionne dans ce pays ! La France est devenue la Foire du Discount !
Les Psys que je consulte par le biais des pages Web multiplient les fausses pistes de lien en lien, comme dans une intrigue d'Alfred Hitchcock ! Heureusement que les séances sur le Web sont gratuites ! Un canapé et une tablette suffisent à mon bonheur. Ça yoyotte là-dedans comme dans une usine de yaourts !
Les spécialistes se disputent mon clic, avec appel et contre-appel, comme des joueurs de foot dans un match à enjeu !
Dans mon petit traité sur l'immensité des gouffres, je n'ai pas encore atteint le niveau zéro de la désespérance. Je m'accroche ! À l'instar de monsieur Tesson dans Les chemins noirs, j'évite les grandes artères de la « civilisation ».
À mon chevet, mon livre de citations préféré. Une sorte de réponse à tout où sont groupées les questions les plus courantes et les réponses les plus définitives. Bien que cela n'existe pas, il est rassurant de penser qu'il y a des réponses définitives à tout. Je ne me sépare jamais de ce petit livre vert de l'Espérance. Où que j'aille, il est dans ma bandoulière, n'attendant que le moment opportun pour clouer le bec à ces abrutis de contradicteurs, soumis à l'esclavage par le mirage d'un bonheur factice ! Inutile de les renvoyer à l'école, ces camps de rééducation, c'est elle qui les a rendus idiots !
Dans l'état actuel des choses, le choix, si choix il y a, n'est guère réjouissant. La dérive est si bien orchestrée qu'il ne reste qu'une alternative possible entre capitalisme et capitalisme : le capitalisme ! C'est ainsi, sauf que l'une des deux appellations est à vocation Sataniste !
Que nous applaudissions avec les oreilles ou avec les voûtes plantaires, le résultat ne fait pas de doute : c'est une ratonnade !
Ben quoi, le monde serait tellement pourri que même le rêve en est proscrit ? Non, il n'est pas interdit de rêver. Pas encore. Mais bientôt, il sera interdit d'exprimer ses rêves, d'en échanger le contenu. Le contrôle sera absolu.
Je pense à Jack London et à son Vagabond des étoiles. À ce condamné à mort, enfermé dans une taule américaine, soumis au supplice de la camisole pour refus d'obtempérer. Afin de s'évader, il pratique l’autohypnose ou l'évasion par la pensée. C'est par ce moyen qu'il devient escrimeur sous Louis XIII, jeune garçon de courses pendant la Ruée vers l'or, navigateur en Corée, centurion en Palestine, avant un final inéluctable, comme celui de tout être vivant…
Tout ça, nous pouvons encore le penser et l'écrire, mais plus pour longtemps. Le temps, comme le lever du jour, a du mal à quitter son habit noir !

Sous l'Casque d'Erby


dimanche 13 octobre 2024

Le monde fait sa vie et nous, on fait ce qu'on peut !


ERBY
Comment faut-il s'y prendre pour faire accepter la vérité – ou sa forme la plus proche – telle qu'elle est et non telle que la propagande la présente ? 
La guerre en Ukraine a débuté en 2014 et non en 2022 avec la désormais historique « Opération militaire Spéciale » russe, comme on ne veut pas l'admettre. Elle n'a pas été déclenchée par les Russes, mais par la CIA, l'OTAN n'étant que le faire-valoir qui a servi à noyauter l'UE en ruinant ses peuples, à commencer par l'Ukraine !
Il convient de souligner que depuis 2014, le Donbass, partie russophone de l'Ukraine, a été le théâtre d'exactions exercées sur les habitants par des escadrons nazis, tandis que l'UE, la CIA et tout ce que le pouvoir profond concentre de maléfique fabriquaient leur grammaire narrative.
L'empire avait — et a toujours — pour objectif d'encercler la Russie afin de l'affaiblir et, comme pour le fruit mûr, d'attendre que ça tombe pour ramasser les immenses richesses contenues dans les sous-sols.
Cette guerre, comme quasiment toutes les autres, n'a rien à voir avec la démocratie, sorte de carotte qu'on brandit pour faire avancer les ânes. Rappeler cela est considéré comme du radotage, premier et inéluctable pas vers la sénilité. Soyons donc séniles ! Soyons-le jusqu'à rappeler ce qu'Israël et consorts tentent de cacher avec la destruction et le génocide des populations en Palestine et au Liban maintenant, sous des prétextes mensongers.
Mais qu'ont-ils tous à vouloir se farcir la Russie et porter la guerre partout où le territoire permet l'expansion et la richesse. Combien de morts tout cela a coûté et coûte de part et d'autre ? 
Vouloir faire plier la Russie, la domestiquer, la réduire à la vassalité est un vieux fantasme des chefs de guerre, plus soucieux de leur gloire que du bien-être des peuples ! 
L'histoire est remplie de ces échecs sans cesse recommencés, chaque tentative révélant de cuisants revers. Derrière chaque incursion se cachent masochisme et mégalomanie en proportion égale ! Déviances psychologiques graves que l'histoire déguise pour rendre comestible un produit frelaté.
Vaincre pour alimenter la voracité d'une minorité aveuglée par un sentiment de puissance à la durée ridicule. De la naissance à son zénith et à son déclin, l'homme ne voit guère au-delà de son ego qu'il prend pour l'étendue infinie de l'univers. En somme, c'est ce côté congénitalement ridicule qui le rend infini !
Manque de bol, Vladimir Poutine n'est pas le petit dirigeant européen qu'on soumet à volonté et qu'on manipule à souhait, par la peur, par le chantage et la petite gloriole. Mais un homme d’État, soucieux de la destinée de son peuple, dont l'envergure vous écrase comme on pulvérise un insecte avec une tapette à mouche. C'est à cette triste et douloureuse réalité qu'est confronté un Occident gangrené par la décadence.
Tout est donc parti en sucette et, au bout de 400 milliards consacrés à la mort, il est temps de penser à la vie, si ce n'est pas trop tard ni trop demander !
Telles ne sont pas, hélas, les intentions de nos dirigeants qui préparent d'ores et déjà une nouvelle campagne pour 2025, avec des budgets qui plongent les peuples dans le noir ! Il n'y a qu'à se pencher sur le budget 2025 du Cirque Barnier dont l'arme principale est le cutter ! De la lacération sur mesure pour faire de la France une région du tiers-monde !
Ce n'était pas ça le projet Macron, réélu grâce aux voix des écervelés de la « gauche » pour faire « barrage à l'extrême droite » ? Finalement, c'est grâce à Marine Le Pen qu'il rallonge la sauce ! Extraordinaire !
Alors quoi ? Changer le monde ? Soyons humbles. Le monde est en dehors de nous. Laissons-le continuer son chemin, comme il le fait depuis plusieurs milliards d'années. Il prouve qu'il n'a besoin de personne pour être ! En revanche, si nous nous centrions sur notre minuscule existence, il y aurait un chantier pharaonique en perspective. En prendre conscience éviterait bien des déconvenues à notre misérable ego.

Sous l'Casque d'Erby


mercredi 9 octobre 2024

La pendule d'argent qui dit oui, qui dit non, qui dit « je vous attends ».

« La vie est un brouillon qu’on ne mettra jamais au propre.» 
Michel Bakounine 


Les cheminées tournent à plein régime dans cet automne tempétueux, ce qui est un temps de saison.
Dans les taupinières, on jette le bois par brassées dans les foyers. Ce qui sera bientôt interdit par la branche politique de l'escrologie !
L’hiver ouvre une brèche entre l'orteil et l'occiput par où s'engouffre un froid mortifère.
Dans les pays aux chutes de neige abondantes, c'est au printemps, avec le dégel, qu'on retrouvera les corps des indigents ensevelis sous deux mètres de poudre.
Évitons de mettre le nez à la fenêtre, pas pour éviter le froid, nous y attraperions la malemort en respirant la bouffée fétide portée par le mauvais vent des assassins !
Nous avons eu Vichy 1, avec son lot de mauvaises raisons. Pas question, par conséquent, de se prendre un Vichy 2 en pleine poire, tant on nous prend pour des chiffes molles !
J'ai dit chiffes, pas chiffres. En ce qui concerne ces derniers, les zéros sont si nombreux que ça file la boule au ventre. Chaque zéro étant un maillon qui ramène à la longue chaîne de l'esclavage. On appelle ça la dette.
Après enquête des « autorités compétentes », c'est la faute à tellement de gens que même les paisibles retraités, après une longue vie de labeur et de cotisations, sont suspectés d'avoir participé à la banqueroute !
Au point que les membres du Cirque Barnier les pointent du doigt comme s'ils étaient bons pour la déchette ! Et si on les bazardait une fois pour toutes, se disent-ils ? Ça ferait de la place et des économies !
Les parasites qui gouvernent auraient de la maille à se mettre dans les fouilles et à distribuer aux migrants, envoyés par bordées par Soros and C° pour « régénérer une race » en soins palliatifs. 
Tous coupables, sauf le gouvernement ! Un gouvernement de démis, mais tous remis ! Dans la foulée, des mesures drastiques se dessinent, au-delà de celles déjà subies : on augmente le prix du billet d'avion et, par le fait, ne pouvant plus se déplacer, les Français se trouveraient confinés en Hexagonie par la faute des viocs !
Ce confinement-là paraissant moins « brutal » que celui relatif au Covid, mais tout aussi efficace ! D'une pierre deux coups ! Si on ajoute la ré-augmentation du prix de l'électricité, du gaz, du carburant et des produits de première nécessité, sans oublier le projet de taxation SNCF sur les poussettes (si, si !), ça aidera la horde à grimper le mont Ventoux de la crise avec le braquet ad hoc !
Des champions, ces parasites au service des élites.
Je pense soudain à ce personnage décrit par Giono dans « Les grands chemins ». Un joueur de cartes. Un illusionniste, sorte de wanderer à la recherche du bon bivouac. Je cite :
« Il tripote son paquet de cartes comme s’il tirait sur un accordéon… le frappe, le pince, le soufflette, le caresse, l’étire et le referme, tirant chaque fois… la carte annoncée »
Magie de l'illusion ! Cela date de loin, mais c’est comme si c’était déjà demain.
Les salauds portent des masques, mais ont toujours le même visage. 

Sous l'Casque d'Erby


vendredi 4 octobre 2024

Ce qui doit arriver arrivera. Vraiment ?

Avec la riposte de l'Iran aux multiples provocations israéliennes, frappant avec une pluie de feu la cité du « peuple élu », nous sommes prêts pour une campagne intensive où la larmoyante va occuper les premières loges. C'est déjà le cas dans le pays le plus colonisé de l'Europe par le gang sioniste : la France !
Car, dans nos médias, toute voix discordante, tentant de mettre les aiguilles à l'heure de la vérité, est aussitôt poussée dans les cordes par les matons d'une presse sous contrôle absolu. Situation qui rappelle celle vécue avec le Covid et l'obligation vaccinale, dont les résidus ont changé de statut pour s'improviser géostratèges du proche et du Moyen-Orient !
Israël et son inentamable bouclier de fer ont eu des gros soucis sous la déferlante iranienne ! Rien à ajouter non plus sur la dérouillée terrestre au Liban que l'on cache avec des pudeurs de jeune effarouchée. On prépare son stock de menaces et de mouchoirs sur les plateaux télé et on ouvre le tiroir-caisse, ça va être la nouvelle Shoah !
En attendant, aucun rappel dans nos médias sur les raisons qui ont causé cette déferlante : le Liban, la Syrie, le Yémen, l'Iran, la Libye, des pays méchamment agressés par Israël. Rien non plus – ou si peu  –sur les milliers de morts à Gaza, ni sur le bombardement intensif des hôpitaux, des écoles, des églises. Du viol des femmes et l'assassinat d’enfants par des snipers haineux !
Et motus sur les bombes au phosphore blanc utilisées au Liban. Arme proscrite entraînant des dégâts irrémédiables, sans que nos politiques s'en émeuvent, alors que l'on tressaute parce que certaines boîtes de camembert sont en bois, ce qui est dommageable pour l'environnement ! Étrange manière d'écrire l'histoire !
D'autant plus étrange que plus l'ignorance grandit, plus on yoyotte de la touffe. Plus on ouvre les vannes au délire, lequel, dans ce contexte de folie, peut paraître aussi crédible que la plus étrange des vérités.
Ainsi donc, les images qui nous parviennent ressemblant à des extraits de jeux vidéo se prêtent déjà à la spéculation. C'est ainsi que tout est envisageable depuis que l'humanité est sous contrôle numérique total ou partiel. Le fait est indiscutable : plus nous possédons des moyens d'information, plus l'imagination pousse les limites de la spéculation à son paroxysme.
Partant de l'idée que les images diffusées par les médias sur le canardage d'Israël par l'Iran ressemblent à des extraits de jeu vidéo, certains pensent à l'hypothèse d'une mise en scène. Pour eux, cette attaque serait un galop d'essai pour installer dans les mentalités l'inéluctabilité d'une 3ᵉ guerre mondiale, guerre commencée en Ukraine en février 2022. L'idée consistant à répandre la peur dans les têtes afin d'annihiler l'esprit critique. Avec pour fil rouge l'idée de faire reporter les élections en Amérique et ailleurs (c'est déjà le cas en Ukraine) aux calendes grecques !
Le tout enrubanné pour instaurer dans la partie occidentale de l'Europe, qui tant préoccupe le pouvoir profond, le système globalisé dont rêvent les mondialistes !
Tiré par les cheveux ? Peut-être pas !
Plus ça va, plus je pense aux manipulations de la Guerre froide : de la provocation, des conflits d'intérêt, beaucoup de guerres locales, des morts et de la peur. Mais pas de troisième guerre mondiale en vue, même si l’État d'Israël fait tout pour qu'il y en ait une !

Sous l'Casque d'Erby

dimanche 29 septembre 2024

Philippine n’est pas le nom d'un archipel, c’est un crime !

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Doit-on réduire la mort d’un être humain à une affichette que l’on colle ou qu’on arrache ? Ou aux origines ethniques de celui qui a commis le crime, pour démontrer que là où l’on réclame justice, l’on vous frotte le museau avec le disqualificatif « xénophobe et raciste » ? Drôle de monde ! 
En attendant, une jeune personne qui avait tout à apprendre sur le bien et le mal a été fauchée pour toujours. S’en émouvoir n’est ni raciste ni xénophobe. Mais cela ne semble pas être l’avis des idéologues de la pensée dominante.
C’est à ce lamentable spectacle que nous assistons avec l’assassinat de Philippine, la jeune étudiante de 19 ans, tuée par un individu récidiviste dans l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) dans un délai de 30 jours. Laps de temps suffisant pour commettre l’irréparable !
Découvrir des jeunes militants décérébrés arrachant les affichettes fraîchement collées en hommage à sa mémoire, pour que soient sévèrement condamnés par la justice les auteurs de ces actes de barbarie, est quelque chose de très choquant !
Faire comprendre à une masse compacte, qu’elle se fait manipuler par un pouvoir pervers ayant trouvé, dans le « jeu » des émotions et de la haine, le chemin du contrôle mental absolu, relève du défi ! L'aveuglement est à son point culminant !
Dans ce contexte, interdisez-vous de suggérer que les vagues de migrants déboulant en Europe sont un projet fomenté par les élites, via la galaxie Soros, car là vous quittez le statut de « complotiste » pour devenir une « bête immonde » !
J’ai récemment entendu sur X le témoignage d’une juge – corporation à la peine – déclarant, à propos du laxisme que l’on reproche à la justice, que la « justice n’est pas laxiste », comme on le proclame à tort et à travers. Qu’au contraire, elle reçoit des consignes pour que la loi ne soit pas appliquée telle qu’elle doit l’être, mais en fonction de paramètres dictés par l’instance supérieure, autrement dit l'État !
Le monde atteint ce point de déshumanisation que la « bonne justice » consiste désormais à exonérer la bien-pensance de gauche d’une justice égale pour tous. Par le fait, on exclut les crimes commis sous prétexte que les auteurs sont noirs, jaunes, cuivrés ou basanés, condamnant ainsi ceux qui réclament justice à assumer le sale rôle de raciste et de xénophobe !
En attendant, Philippine a été poussée vers le cimetière alors qu’elle avait tout à découvrir de la vie !

Sous l’Casque d’Erby


samedi 21 septembre 2024

Votes et conséquences

Le Parlement européen a adopté la résolution appelant les pays de l'UE à se débarrasser de ses faux scrupules, une fois pour toutes. Par ce fait, elle autorise le nazillon de Kiev à frapper, avec du lourd fourni par les pays européens, le cœur de la Russie, après s’être bien poudré les narines ! Tant pis si cela entraîne une guerre nucléaire avec ce qui se fait de pire dans le genre, puisque c’est cela que l’on cherche à déclencher par tous les moyens depuis dix ans !
Le pouvoir profond dicte sa loi, la classe politique fait ouah-ouah. Quatre cents députés ont voté pour, 131 contre et 63 se sont abstenus.
Outre des considérations mille fois rabâchées sur la soumission de nos politiques aux instances secrètes qui les tiennent par l’entrejambe, je ne saisis pas vraiment sur quoi reposent les 63 voix qui se sont abstenues. Est-ce parce que les porteurs savaient que ce vote était réglé d’avance et qu’il ne valait pas la peine de se triturer l’esprit plus avant, ou est-ce par fatalisme, qu'ils disent : « Et merde ! Après nous, le déluge ! »
Quoi qu’il en soit, ceux qui ne font pas la guerre la déclarent ou la consentent. Souvent, il s’agit de ceux qui ne souffriront pas de sa ruine ni des retombées néfastes pour les peuples, applaudissant à l’horreur, surenchérissant comme s’il s’agissait d’une sinistre vente aux enchères !
Je n’ai pas de vérité à portée de pensée, mais quelque chose me dit que la vérité, c'est comme un défilé de mode, n’importe quelles frusques font l’affaire du modèle !
Le modèle en l’occurrence étant une opinion publique « corvéable », et pourtant de plus en plus excédée par les humiliations qu’on lui fait subir. Ce qui est important avec elle ne peut se résumer d’un trait ou d’un mot d’esprit. La vérité n’est pas une certitude, mais un doute qui trace un chemin dans la mélasse ambiante !
Nous sommes nombreux à le dire, à l’écrire, à le vociférer : L’Europe n’a pas besoin d’une guerre contre elle-même !
En revanche, l’Amérique n'a jamais supporté l’idée de la réunification du vieux continent dans sa formation naturelle ! Ou comme l’évoquait de Gaulle en 1959 : « L'Europe, de l'Atlantique à l'Oural. » 
Rien que d’y penser, l’Amérique a les foies !
Je ne suis pas nostalgique du « monde d’avant », sous prétexte que je ne sais pas ce que nous réserve le futur. Celui qu’on nous prépare et pour lequel on conditionne les peuples, mais ce qu’il préfigure laisse présager le pire pour l’espèce humaine.
Dans la lutte permanente entre le bien et le mal, qui dure et perdure, nous devons chasser le mal absolu !

Sous l’Casque d’Erby


dimanche 15 septembre 2024

Est-ce si difficile de devenir humains ?

Source
Il faut s’y faire. Je ne dis pas se résigner. La guerre est le seul moyen que les hommes ont trouvé, depuis qu’ils sont venus au monde, pour tailler la bavette sur des monceaux de cadavres, comme on prend un thé à la menthe à l'ombre d'un baobab.
Bien qu’il existe d'autres moyens de converser, l’homme n’a trouvé que celui-là pour apprendre à parler. Et cela, je le crains, ne prendra fin qu’avec sa disparition.
Quitter l’Europe ou tourner le dos à l’Union européenne ? La réponse se trouve dans la question.
Quitter notre bout de terre est faisable. Un avion, un bateau, une voiture, un train, et même à pied ! Les moyens ne manquent pas. Mais quitter son « chez-soi » par obligation, par soumission, c’est renier ce que nous sommes au nom de l’intérêt supérieur d’un pouvoir politique étranger. Je veux parler de la « grande » Amérique, dont l’emprise sur les peuples montre des signes de faiblesse indéniables. Sans dire qu'elle est au bout du rouleau, on ne peut pas passer sous silence son état de santé.
D’autres forces, ayant eu à subir la violence d'un règne sans partage, se conjuguent pour mettre fin à une domination outrageante reposant sur des fausses doctrines, la démocratie faisant partie de ces illusions ! J’ignore quelles sont les véritables intentions des nouvelles puissances, une fois la victoire acquise, ni quel sera le modèle de régime qui se s'imposera pour un renouveau de la gouvernance, mais une chose est sûre : un nouvel empire est en train de naître.
Je suppose que, comme toute nouvelle puissance, elles sera soumise à des pressions et reprendront, comme celles qu’on vient de chasser, des schémas de gouvernance similaires. Car ce qui nuit n’est pas la gouvernance en soi, mais le pouvoir et la tentation de son abus !
La disparition de l’Amérique en tant que puissance dominatrice est quasiment actée. Ceux qui pensent que c’est aller vite en besogne n’ont qu’à jeter un regard rapide sur l’histoire.  On découvrira sans surprise que ce fut le cas pour toutes les puissances depuis que l’homme a foulé cette terre, croyant et entretenant l’idée d'un statut éternel. C'est ce qui arrive quand on vend son âme au diable. On grille les dernières cellules vivantes de l'organisme au profit d'une mégalomanie psychopathe.
Les États-Unis sont comme ces personnes sur le point de se noyer que vous tentez de sauver en vous jetant à l’eau et qui vous entraînent par le fond. L’Amérique ne peut survivre à son chaos qu’en entraînant l’Europe dans son naufrage.
Allons-nous accepter l'idée du suicide vers lequel nous pousse une classe politique corrompue, ne possédant d’autre pouvoir qu’un ordre de mission délivré par le maître, sans piper mot ?
J’accepte l’excuse du conditionnement par l’éducation et la culture des sociétés modernes, instillées dès la naissance. Mais accepter notre disparition comme une fatalité historique pour le seul bien-être d'une minorité de malades, de pervers, de pédophiles, de satanistes et des criminels en tout genre, c’est tout bonnement inacceptable ! 
Est-ce si difficile que de devenir humains ? 

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 9 septembre 2024

Ce monde nouveau qui tarde à venir

Source
Un château de cartes est une structure qui n’a pas besoin d’un séisme de grande magnitude pour s’effondrer. Ni d’une grosse tempête pour tout balayer. Une simple pichenette, un petit geste maladroit, un soupir non contrôlé, suffit à envoyer valser une architecture ayant demandé des milliers d’heures de patience, d’adresse et de travail.
C’est un peu cela qui est en train de se produire avec nos sociétés, notre histoire, nos cultures. Tout est en train de se diluer dans le délire paranoïaque de dirigeants à qui les peuples ont fait confiance et qui n’ont d’autre objectif que de les réduire en cendre pour le compte d’une minorité diabolique.
Ce monde est bel et bien en guerre, cela ne date pas d’aujourd’hui. Une guerre sans pitié ni règle morale entre deux façons de le gouverner. Ceux qui jusqu’à présent ont la main semblent avoir du mal à garder le contrôle et pour tout dire à l'y perdre. Combien de temps encore avant qu’ils ne lâchent prise ? Nul ne le sait, parmi la nuée de stratèges des renseignements et des spécialistes de la « chose », mais une chose est claire : ça va encore monter de plusieurs crans et les victimes seront s'amoncèleront encore et encore.
Chaque image diffusée sur l’horreur perpétrée par Israël dans la bande de Gaza est un coup de poignard porté par des mains criminelles au cœur de l’humanité. Chaque fois, je détourne le regard. Chaque fois, ma chair est marquée par une nouvelle lacération, chacune d’elles portant le sceau de la colère et de l’impuissance. Et comme si cela ne suffisait pas, il nous faut faire profil bas sous peine d’être avili par la meute de chiens de garde dont les niches sont installées jusque dans nos palais !
La lentille d’aucun télescope, percevant jusqu’au plus infime détail à des distances colossales, ne sentira sous la carlingue l’odeur du soufre et du sang.  Ni celle qui émane de l’épiderme et se diffuse comme un brouillard sans fin : la peur et le désespoir.
Tout cela a lieu dans la plus totale insouciance, sur fond de cérémonies olympiques, de diverses élections, de débats politiques tronqués et d’antifascisme rance ! Les peuples ont-ils encore besoin d’autre chose que d’un smartphone, des logiciels expliquant le « bonheur d’être pucés » et les « bons plans » pour l’éclate ?
Soudain, je pense à l’Ukraine martyrisée, tombée entre les mains des mondialistes et des groupes de pression nazis, avec le concours des soldats de la presse dominante. Que serait-il advenu des populations du Donbass sans l’opération spéciale de la Russie ? Auraient-elles connu le même sort que nos frères palestiniens, au nom d’un peuple élu ou quelque chose dans ce goût-là ?
Les sociétés occidentales, prisonnières de l’État profond, sombrent dans le chaos et risquent de disparaître pour la survie l’empire américain. Il est écrit que sans la disparition de l’Europe, ou, ce qui revient au même, la soumission totale à sa volonté, sa mort est inéluctable.
Aujourd’hui, la notion du bien et du mal ne se mesure plus à être de gauche ou de droite. À ces petits débats qui ont jadis animé les amphithéâtres de nos facs et les cours de lycées. Ces concepts sont révolus depuis longtemps. Le vrai combat se situe désormais entre deux conceptions diamétralement opposées : peuple souverain (hors clivage) contre État profond !
En dehors, point de salut !

Sous l’Casque d’Erby 


lundi 2 septembre 2024

Un Premier ministre, pourquoi faire ?

Erby
L’un, Emmanuel Macron, tient à son coup d’État et à sa gouvernance version start-up, au service des multinationales et des banquiers. Les autres, la meute des « opposants politiques », dressée à vociférer,  comme on fait la claque dans une mauvaise pièce de théâtre, se contentant de ce rôle provisoire jusqu’au prochain tour de manège.
En réalité, dans le contexte sulfureux actuel, le confort consiste à tout faire pour ne pas hériter d’une gouvernance dont personne ne veut. Qui veut vraiment de la patate chaude dans la paume de sa main ? Qui, pour briser réellement la chaîne avec la mère maquerelle de l’UE, tirant profit du commerce de la chair ? Qui avec assez de courage pour tourner le dos à l’Empire américain et reconstruire le pays, à partir des lambeaux restants ? Personne.
Que fait-on alors en attendant le sursaut ? On raconte des histoires comme celle du loup à la veillée. Aucun membre de la meute n’ayant d’autre intérêt que le sien propre. On ne quitte pas une si bonne place pour aller jouer le « résistant » risquant de tout perdre pour des gens qui…
Comme la situation n’est pas assez urgente, en cette période de rentrée, les syndicats – divisés comme il se doit – ont décidé de se donner le temps pour « organiser une riposte » ad hoc ! Le temps de laisser le temps grignoter les menues intentions qui restent.
Dans ce tout habilement boutiqué, il ne reste plus rien où le « peuple », cette obscure entité bien réelle dont on parle comme d’un amas diffus, ne puisse s'accrocher à autre chose qu'à son téléphone portable, bientôt greffé aux esgourdes dès la naissance pour se donner l'air de quelqu'un d'important.
Le syndicalisme, lui aussi, s’est fondu dans la masse.
Deux camps supposés opposés se disputent l’exercice du pouvoir. Laissons de côté les extrêmes. Ils sont là pour se faire tricoter le poil. C’est la planète interdite. Ceux que ni droite ni gauche n’ont pas le droit de solliciter pour faire la différence dans le cadre d'une élection. Une « bonne cause » ne saurait se compromettre avec le diable, que diable !
Quand la droite tire sur la corde, la gauche couine et recouine, entraînant dans son sillage la très corvéable main d’œuvre des brigades bobos. Des écervelés pour qui barouf et formules à l’emporte-pièce font office de programme électoral et de manifeste philosophique.
La droite s’en va, justement déshonorée, et la gauche prend le siège encore chaud, pas pour arrêter le massacre, mais pour continuer le travail de destruction laissé en plan par les sortants !
Prétexte à son impuissance : « La droite a tellement mal fait les choses, qu’il est impossible de les réparer. » Alors, la gauche fait pire !
Les deux camps se frottant les mains par la réussite de ce merveilleux tour de passe-passe !
La nomination du prochain Premier ministre (on parle beaucoup de celui-ci) s’inscrit dans cette logique : faire croire qu’il existe deux camps retranchés se livrant une guerre sans merci. La réalité est autre : ces gens « respectables » ont conclu un pacte avec les globalistes pour qui la disparition de milliards d’êtres humains est une obsession. Le restant, profitant des « bonnes grâces » des seigneurs de la haute, arborera un QR code muni d’un explosif implanté dans l’occiput, qui explosera en cas de désobéissance grave, pour une robotisation express et une planète enfin débarrassée de ses scories !
Heureusement, les lignes bougent et les choses ne se présentent pas très bien pour ce pouvoir profond qui donne des signes conséquents d’affaiblissement. On parle même d’agonie, mais celui-ci ne disparaîtra pas sans des dégâts irréparables. 

Sous l’Casque d’Erby 



samedi 24 août 2024

Être aveugle n’est pas être libre

Erby
Le battant des horloges de la vie oscille sans relâche d’un point cardinal à l’autre. Le costaud qui pense lui tenir tête a omis un détail : la durée de l’un et le déclin de l’autre. L’éternité ou, ce qui reviendrait au même, l’immortalité, sont des légendes qu’on lit pour endormir les enfants. On nous les a lues, on les lit à notre tour, perpétuant un rêve vieux comme la vie.
Sommes-nous seulement sûrs de vivre dans le présent et non dans une autre dimension ? D’avoir touché, senti, aimé, rire, pleurer, haït, rêver quelque chose de réellement palpable qui ne se soit pas évaporé dans les brumes du temps sans laisser de trace ou la sensation d’une croyance ? Ne sommes-nous pas que l’illusion d’une réalité cherchant sa matérialité dans la maison des esprits ?
Esclave du tic-tac du temps, l’humain cherche dans les nouvelles technologies les voies de la pérennité, de l’ineffaçable beauté, ignorant que l’apparence n’empêche pas la déchéance. C’est imperceptiblement que la vérité laisse apparaître la flétrissure des tissus abîmés.
Dans la course effrénée vers l’amour du soi, dont on lustre l’enveloppe, il ne restera qu’un tas d’ossements que les archéologues tireront d’un reste au cours de fouilles aléatoires. Les scientifiques détermineront alors s’il s’agit d’hommes, de femmes ou d’enfants, de manière objective et binaire. Amputé de son délire conceptuel, le non-binaire ira se faire brouiller des œufs dans le grand néant de son ego.
Ignorant pourquoi, je pense soudain à ce pauvre Faust qui, pour avoir troqué son âme contre l’apparence et un peu de temps pour tout assimiler de la vie, finit par le regretter amèrement. Ce qu’il voulait de toute la force de son âme, il a fini par l’abhorrer à force de toujours revivre les mêmes épisodes de sa terrestre vie. Les gens et les événements passaient, revenaient, disparaissaient avant de réapparaître avec un ennui métronomique.
Ni vainqueur ni vaincu dans cette lutte chimérique où, in fine, chacun reste à sa place, le temps dans sa durée implacable, nous à la nôtre.
À l’époque de la trépidation, des croyances extrêmes et de la sainte trinité – selfie, piercing et tatouage –, on se demande si courir n’est pas une sorte de chasse au trésor pour chasser les démons de nos placards. Un jeu dans lequel les gagnants ont le choix entre un prix unique et un prix unique : smartphone, écran plat avec bouquet numérique et cerveau en bon état de fonctionnement.
Est-il nécessaire de désigner le prix qui a les faveurs des gagnants ? Les organisateurs du jeu ont stocké le surplus de cerveaux dans des boîtes isothermes, attendant, qui sait, leur retour en grâce auprès d’une foule qui les refuse obstinément.

Sous l’Casque d’Erby 



vendredi 16 août 2024

On nous prend pour des singes !

Empaquetée, la foule (nous tous) fait ce qu'on lui dit de faire, alors qu’elle est persuadée que rien ne peut la contraindre, puisqu’elle est libre de respirer où bon lui semble ! Elle pense l’être dans le pays qui l’a vue naître et jouir sans entrave d’une liberté durement acquise et patiemment mais sûrement grignotée.
L’autosuggestion procure de bien étranges sensations ! N’essayez pas de soutenir le contraire. Chantant gaiement sur le chemin de l’abattoir, elle refuse de savoir le sort qui l’attend au bout.
Nous sommes dans la seconde moitié du mois d’août et c’est la fête au village ! Bientôt la rentrée. En hiver, la poudreuse. En été, par effet de balancier, c’est le bord de mer. Une façade maritime interdite aux clébards, que la foule transforme en déchetterie, comme pour se venger de ce qui lui est interdit. La seule liberté qu'on lui autorise. Soyez sale, mais ne touchez pas au grisbi !
Elle pense être gouvernée par les candidats politiques de son choix, elle subit et applique, imperturbable, les consignes dictées par des gens qu’elle ne connaît pas et dont le nom quand elle en entend un la laisse indifférente. Ce n’est pas la personne dont l’image est imprimée dans les feuilles de propagande électorale, donc, tout va bien !
« J’ai voté NFP ! » « On vous a niqué ! », crie-t-on sous l’emprise d’on ne sait quel puissant produit narcotique. Même si, longtemps après, les ministres perdants ne sont pas remplacés et le chef de l’exécutif, plus chef que jamais, donne l’impression d’avoir réussi son parfait coup d’État ! À part lui, personne dans ce pays n’a ce qu’il faut là où il le faut pour mettre le holà !
Sait-elle, la foule, qu’elle est gouvernée par des mirages : hier le Covid, aujourd’hui la variole du singe qui nous revient après avoir été méthodiquement éradiquée (?!).
Pour info et avant de vous faire injecter n’importe quelle saloperie dans l’organisme, cherchez. Voici ce que l’on écrivait sur le sujet dans les années 1970/80 : « La variole du singe est peu contagieuse et surtout peu dangereuse. Le virus a été découvert dans les années 1950, chez des macaques crabiers de laboratoire. C'est en 1970 que le virus a été identifié pour la première fois chez l'homme. » Son vaccin était efficace à 85 %.
Attention à la (mauvaise) resucée ! 
Pour bien appréhender le sujet, méfions-nous de tous le fakistes qui envahissent de nouveau les plateaux télé, une main sur le cœur, l’autre dans le bakchich, pour nous atterrer avec la dangerosité de ce virus opportunément remis en circulation.
L’élite décide, l’élite applique, pour transformer l’être normal en chose corvéable et une fausse pandémie en monnaie sonnante et trébuchante.
Les JO clôturés de la même façon qu’ils ont commencé, par une bacchanale sataniste qu’on a présentée et vendue comme une création artistique de haute tenue, devant un public « enthousiaste » qui n’a vu que du feu ! La qualité du spectacle étant secondaire, dans la mesure où à partir du moment où ça brille, l’idiot prend la breloque pour le Koh-i-nor, le fameux joyau de la couronne.
Tout ceci donnerai mille fois foi à l’expérience Milgram montrant que 80 % de la population n’a pas les moyens psychologiques pour désobéir à un ordre de l’autorité, peu importe jusqu’où cet ordre peut la conduire.
En conséquence de quoi, nous savons que seulement 20 % ont la capacité de dire merde ! Ben, on ne se décourage pas ! Pour commencer, il y va de nos vies.
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

samedi 10 août 2024

On en reparle ?

Erby
On parle de la Palestine, on me parle du Congo, du Rwanda, de je ne sais quelle autre urgence. On oublie, par la diversion, les millions d’Indiens balancés dans les poubelles de l’histoire au nom de la conquête de l'Ouest ! Trop loin.
Indiens dont le petit reste est parqué dans des réserves et le souvenir enregistré dans les films de genre dans lesquels ils ont le mauvais rôle. Voilà ce qu’il en sera du peuple palestinien dans pas longtemps !
La planète est une chambre à air trouée en manque de rustines !
Je parle d’Israël et on me parle du Hamas, comme si celui-ci était la Palestine ! Pour moi, aujourd’hui (et ce depuis longtemps), Israël ne représente pas le peuple juif, même si en tant qu’État, il s’en réclame. Israël est une création anglo-saxonne qui date de la fin de la Seconde Guerre mondiale, même si l’idée a germé beaucoup plus tôt. Une création de l’Empire pour garder un pied bien enfoncé dans les énormes richesses des sous-sols voisins.
Arrivés sur la pointe des pieds, à la sortie des camps de la mort, en même pas un petit siècle, on a grignoté le pays d'accueil et liquidé ses actifs au nom de la Shoah ! Et comme on ne le répète pas assez, ce sont toujours les vainqueurs qui écrivent l’histoire !
Soudain, je pense au peuple tzigane, massacré avant même que les juifs ne le fussent à leur tour. Peu de gens savent, ou feignent d'ignorer, que, proportionnellement parlant, les tziganes ont été massacrés en plus grand nombre que les juifs. Pourtant, motus ! Pourquoi ? L’histoire a des mystères insondables et la mémoire étrangement sélective !
Sait-on comment le peuple tzigane désigne cette page noire de leur histoire et de la nôtre ? LA DÉVORATION !
Les juifs sont les otages de l’État d’Israël entre les mains sales du sionisme et pas les victimes d’une communauté hostile, comme on l’entend abusivement dans les médias du monde et par la bouche de quelques bouchers de la cause.
Israël est un État qui gouverne, non point au nom d’un « dieu miséricordieux », mais au nom d’un pouvoir mégalo ayant pour principe l’idée absurde du « peuple élu » ! In fine, cela entraînera la disparition d’Israël en tant que pays et précipitera la communauté juive du monde dans un nouvel abîme.
Quant au Hamas et à sa violence (ce qui est vrai), j’aimerais qu’on m’explique ce que le Hamas et le Mossad faisaient, main dans la main, en Syrie dans les années 2018/2020. Ici, j'évite le sujet qui fâche : le Grand Israël ! J'aimerais qu’on m’explique aussi, cette histoire de « bouclier de fer » infranchissable, qu’on a tant vanté et qu’on a percé comme on perce la baudruche !
Qu’on profite aussi pour nous dire, comment le service de renseignements le plus performant du monde (le Mossad) a pu laisser passer autant de matos dans la bande de Gaza sans donner l’alerte. En réalité, nous sommes devant un coup extrêmement tordu que seuls quelques naïfs refusent de considérer sérieusement !
Mais aujourd'hui, poser des questions revient à te mettre en « danger ». Pour moins de temps qu’il ne faut pour le dire, on vous range dans le rayon des ostracismes.
Si on s’interroge sur les flux migratoires et à qui cela profite, vous êtes xénophobe, facho ou nazillon ! Regardez ce qui se passe au Royaume-Uni, sa flambée de violence et l’affrontement entre communautés rivales attisé par des « mystérieux » agitateurs… 
Si, dans la foulée, on affirme que le mouvement de protestation de l’hiver 2013-2014 en Ukraine est une révolte menée par des forces fascistes, orchestrée par la CIA et soutenue par les puissances occidentales, pour affaiblir la Russie, c'est unanime : vous êtes un poutinien fanatisé, corrompu par la nouvelle puissance financière du rouble, alors qu’on ne fait que mettre le doigt dans la plaie !
Je me sens bien impuissant devant les monstres invisibles qui tirent les ficelles, tout pareil que devant le nombre infini de cons qui applaudissent des oreilles en creusant leur trou à grands coups de pioche. Idiots contre qui il faut batailler pied à pied pour tenter de les convaincre qu’il y a urgence à sauver ce qui peut encore l’être !

Sous l’Casque d’Erby


vendredi 2 août 2024

Vas-y, c’est remboursé par la SS !

Erby
J’ai reçu par la poste, en recommandé avec AR (je suppose que parmi vous beaucoup d’autres l’ont également reçu) mon code-barres réactualisé. Code à présenter dans tous les points de contrôle du pays, avec sa nouveauté : la reconnaissance faciale.
Désormais, je suis un néofasciste à tendance xénophobe, ringard de surcroît, parce que calotin ! Car je me joins au concert de protestation de la cérémonie d’ouverture des JO. Même si je ne suis pas « croyant », j’en suis !
À force d’avaler ce qui n’est que le maquillage grossier sous lequel on cache un « joli » coup d’État, il fallait que j’emboîte le pas de ceux qui ont gardé un certain sens de l’honneur.
La horde gauchiste, reliquat de l'esprit soixante-huitard, suivie par une nuée de décérébrés, sous prétexte d’originalité, cautionne et conforte l’avènement des temps noirs.
Plus tard, certains s’en mordront les doigts, d’autres mourront, faisant cocorico les pattes enfoncées dans le fumier ! Car, aujourd’hui, être « normal », c'est accepter la sodomie d’un petit garçon comme un fait naturel et l’inceste comme la preuve de l’amour parental.
Tout comme il est proscrit d’afficher de la répulsion devant ce petit garçon qu’on pousse à se faire couper les parties génitales pour l’obliger (je dis bien obliger) à devenir une bimbo !  Lui aussi regrettera peut-être un acte barbare irréversible !
En attendant, le selfie, largement diffusé sur les réseaux sociaux, montrera le triomphe absolu de la tolérance sur l’obscurantisme !  L'image sera illustrée par cette légende édifiante : les frais de l'opération sont remboursés par la SS ! Une avancée sociale de grande envergure !
Imposer aux enfants à l’école, avant même de leur apprendre à lire, écrire et penser correctement, comment faire une « bonne fellation » est la nouvelle religion à laquelle il ne faut point s’y soustraire sous peine d’être voué aux gémonies !
Certains artistes participant à ce spectacle déplorable, heureux d’avoir été tirés des placards de l’oubli, ne comprennent pas qu’on puisse être choqués par « une paire de fesses ». Ils ignorent que cette affligeante représentation montrait des choses autrement plus obscènes ! Le retour à la lumière est à ce prix pour certains oubliés !
La permissivité est une chose, la perversité, une autre !
Dans un système qui s’effondre en même temps qu’une certaine idée de la civilisation, la seule chose qui s’épanouit, ce sont les salons de beauté et l'image bonifiée d'un ego survalorisé.
L’aberration pseudo-philosophique, véhiculée par des cons, des criminels et des escrocs, sert désormais de repère pour le renversement des valeurs !
Et de ce qu'on peut glaner comme images des répétitions en cours, la cérémonie de clôture s’annonce, au moins, aussi dégénérée. Histoire de bien enfoncer le clou !
A moins que, la pression aidant, le rétropédalage n’oblige les organisateurs de cette gigantesque Gay Pride à revoir leur copie. Mais là, j’ai un doute.
 
Sous l’Casque d’Erby
 

samedi 27 juillet 2024

Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Paris occupé !

Le rêve de l’État profond depuis toujours – de l’Amérique au cœur de la City : que l’Europe ne se fasse pas. A aucun prix. Mais si oui, parce que les aléas et les « caprices » de l’histoire... ce serait en tant que « puissance » vassale. Et si – tout n’est jamais écrit d’avance -, par malheur, elle échappait à son contrôle, il s’agirait alors de tout faire pour la détruire.
Nous y sommes.
Les « élus », corrompus jusqu’à la moelle, sont désignés pour mener à bien leur sale entreprise, les moyens allant du chantage au crime de masse et plus si la « cause l'exige ».
Des vents néfastes soufflent sur la France et l’Europe en général. La peur de l’admettre, d’en reconnaître, ne serait-ce que les signes les plus flagrants, laisse perplexe quiconque possède un peu le sens de l'observation.
Dans un contexte sombre, le pays donne l’impression d’être fin prêt à accepter l’idée d’un totalitarisme « sécurisant » ! Orchestré et réalisé rien que pour « notre bien » !
Trêve de sinistrose ! Nous sommes en vacances et mettons tout en œuvre pour « décompresser », sous des températures qui, à partir de 20 °C, relèvent du chaos climatique, comme inoculé par des propagandistes du monstre mondialiste. L’infantilisation des masses bat son plein !
Depuis quatre ans tout s'est accéléré, et nous avons tout avalé : confinement, couvre-feu, port du masque, tests pcr, vaccination, attestation dérogatoire de déplacement, licenciements abusifs pour refus de se faire vacciner et maintenant, pour cause de JO d’été, le QR code et la reconnaissance faciale ! 
Que faut-il de plus pour sonner le Tocsin ?
Pour revenir chez toi, après une journée de taf, c’est la bataille de Marathon ! L’histoire dit que ce fut la victoire du courage et de l’honneur ! Nous en sommes encore loin !
Au fait, la flamme olympique, connaissez-vous l’origine ? Merci monsieur Goebbels !
Riez, riez, le pire est déjà dans le fruit et l’insecte dans la farine. Riez !
Des JO, où des blindés paradent, pendant que des longues files longent les quarante mille barrières transitoires de bétail. Accessoires nécessaires aux contrôles et à la traçabilité des bestiaux !
Des jeux ? Moins de public dans les enceintes sportives ? Aucune importance. Des figurants rétribués suffiront pour faire illusion et une sonothèque pour ambiancer la diffusion à la télé. Car l’objectif de ces jeux n’a rien à voir avec les jeux et beaucoup avec le totalitarisme dont rêve l’État profond et leurs très serviles serviteurs, fausse opposition comprise, comme on le voit depuis les dernières élections neurodégénératives !
Les mêmes avant le scrutin, les mêmes après, pendant que le pays chauffe du cul dans le Chaudron magique !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

samedi 20 juillet 2024

Lecture : Maurice Frot et le Roi des rats

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Les livres sont des drôles d'oiseaux. Même dans cette vie après la vie, dont on dit des choses étranges, les livres ont la force de vous entraîner vers des sentiers inexplorés.
« Salut... T'as deux minutes ?... Figure-toi ...»  
Au bout du fil, Rémi. Un drôle d'oiseau, lui aussi.
« Il y a deux jours, j'ai croisé un ami bouquiniste qui , bref ... » ; « j'ai quelque chose pour toi... » «  Je te l'envoie. » « Surprise !... » 
C'est ainsi que je suis entré en possession d'un Maurice Frot. Je dis un Maurice Frot comme on pourrait dire, je ne sais pas, un Kandinsky. Pourquoi Kandinsky ?... Peut-être pour ce que le peintre définit comme le « trouble mental de l'homme devant le monde ».
En ces temps d'allégeance, d'électoralisme effréné, de trahisons et des intentions criminelles de « nos élus », il est bon de pouvoir compter sur le hasard et sur l’amitié.
L'oiseau Maurice Frot est mort en 2004 à l'âge de 76 ans. Pour faire vite, on dira que le gars de la marge a de la ressource et un potentiel révolte propre à faire sucer de la tototte les petits rebelles de la néo planète NFP !
A dix-sept ans, il dégage son bled, son ennui, sa maternelle, qui le rejette et qui finira par se pendre, pour s'engager dans l'armée de l'air, direction l'Indochine...
Cette expérience traumatisante, nous la retrouverons tout au long de ses pages, tantôt sous forme métaphorique, tantôt de manière brutale... C'est l'histoire revisitée par un poète aussi vertical que viscéral. Un homme doublement blessé. Pas de place pour le regret, ni pour l'amertume, mais toujours cette douleur qui plane comme une ombre pour lui rappeler ce que le miracle de la vie a de précieux pour pousser le présent vers l'avenir, si incertain vous paraisse-t-il.
Chaque mot est une fenêtre et chaque paysage un monde à découvrir. Ils sont disposés non point pour faire joli ou pour l'épate, mais pour nous inviter à une chorégraphie que chacun prolongera au fil de son imagination.
Le bouquin s'ouvre sur l'histoire d'un gars qui a décidé de mettre les bouts. Ras calebasse. De Clichy, son bled, son quartier, son pays. Marre de sa gouaille, de cette vie de « civil à la con ».
C'est décidé, direction Lhassa, la capitale du royaume du Tibet. Plus tard, ce fut Katmandou... Mais auparavant, quelques bricoles à régler. Il faut qu’il se débarrasse d'un putain de rat qui prend sa tête pour un grenier. Aucun psy ne pouvant l’aider dans ce combat singulier contre lui-même.
On sent que cette extirpation va être rude, que pour vaincre la bête, il va lui falloir se surpasser, surmonter les derniers restes d’empathie afin d’atteindre ce haut niveau de détachement auquel il aspire.
« Le temps d'arracher cet enragé Gaspard qui s'agrippe à ma viande et circule comme chez lui dans la rue de mes artères. Qui se balade à l'air libre de mes poumons. Se paye des samedis dans mes testicules. Mais surtout, démon la vache, sait se blottir sans bouger d'un poil parmi les replis douillets de ma cervelle, ricanant tout son saoul, sous le jugement dernier de ma coupole. »  
Aura-t-il sa peau ? En plus de fort, il va lui falloir être rusé avec la bestiole ! Réussira-t-il à atteindre Lhassa ? Et si, finalement, Lhassa ne se trouvait pas là où les cartes l'indiquent ?... 
Autre bonne surprise de ce livre magnifique, la préface. Je l'ai lue après le livre. Œuvre de Léo Ferré, que Maurice Frot rencontra en 1956 et dont il fut secrétaire et régisseur jusqu'à leur brouille en 1973, sans que cela entache ni l'amitié ni le respect qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre… 
Voici ce que Léo écrit au sujet de son ami et complice : « Il me dit avoir écrit pour se libérer. La belle affaire ! On n'écrit jamais que pour un miroir possible, pour se regarder d'abord, et puis partir dans des yeux lecteurs dont on ignore à jamais les capacités de rapt… ».
Ailleurs, Ferré ajoute : « Frot a une poche spéciale pour ses souvenirs : il les fait remonter et les remange.  C'est un ruminant. À son pis s'égoutte tout un breuvage d'inavouables ratages. Frot, le jour, vend du contreplaqué pour acheter des plumes qu'il usera, la nuit, loin de ses amis qui ne sauront le reconnaître qu'à force d'illusions dominées. » 
« Le Roi des Rats » est le premier volet d'une série de trois (« Nibergue », « Le tombeau des jaloux ») dans lequel Maurice Frot cherche à se débarrasser des sales choses commises pendant la « pute de guerre d'Indochine » qui lui a fracassé le cœur.
À défaut de s'en être débarrassé, il aura eu le mérite d'avoir dénoncé sa vie de « pauvre con » au milieu d'un tas d'autres qui n'ont pas eu cette chance ou ce mérite…
 
Le Roi des rats - Maurice Frot
 
Sous l'Casque d'Erby
 

 

dimanche 14 juillet 2024

La France est-elle encore une province ?

Le foot, le tennis, le cyclisme, les JO... La ministre Amélie Oudéa-Castéra patauge dans la vase de la Seine pour prouver qu'on « ne risque rien » à s’y baigner, démontrant qu'au milieu du chaos, la bêtise pavoise !
Le monde s'effondre sous nos yeux, mais on fait semblant... D'être beaux. Intelligents, même si nous devenons bêtes jusqu'à ne plus savoir qu'en faire de la bêtise !
Si nous devions mettre une épitaphe sur nos tombes, nous pourrions graver : « Ci-gît une promesse qui n'a pas tenu la sienne ».
C'est avec un générique dystopique que des élections européennes se sont transformées en scrutin législatif national sans que personne ou presque y trouve à redire. Rien dans le contenu. Même pas le moindre semblant de programme, comme nous pouvons légitimement l'espérer, dans un monde où penser est un luxe hors de prix.
Une seule idée en guise de programme : la désignation d’un faux ennemi. On le fabrique et on le jette en pâture comme on donne le foin aux bovins. Un plat mille fois réchauffé : le fascisme !
Lente et inexorable dégringolade de l'esprit. Comment en demander à des gens à qui on ne donne aucune chance de s’en pourvoir ?
Composée de trois tiers, à un poil près, la nouvelle assemblée fait ce que font de mieux toutes les assemblées : troquer, marchander, chantager. Pas pour le « salut du peuple », ça non, mais pour perpétuer les privilèges d'un groupe, d'un clan, d'une organisation mafieuse.
À ce jeu, la quête d'un Premier ministre « consensuel » se transforme en guerre intestine. Otage de ce jeu, l'électeur. Après avoir donné le max de ce qu'il pouvait offrir dans l'urne, triche comprise, il se repose sur le front de mer les pieds en éventail, si la « sécheresse humide » le permet dans la région de son choix.
Comme si la désignation d’un Premier ministre allait changer quelque chose au destin d’un pays dont le sort est décidé hors de ses frontières. 
« Mission accomplie ! » « No pasarán ! » « On vous a niqué ! » crient les petits pions qui s'agitent dans des bastilles improvisées, comme s'ils venaient de vaincre le nazisme, alors même qu'ils le nourrissent ! Alors même que ce sont eux qui dirigent l'Europe et sont en train de biffer ce que nous prenons encore pour notre nation.
La France est en train de se dissoudre sous nos yeux avec la complicité d'une horde de décérébrés pensant « sauver le pays » !
Dans une atmosphère de confusion totale, le globalisme tisse son horrible toile avec des parodies d’élections et des lois liberticides, afin de supplanter les États publics par des systèmes prédateurs sans foi ni loi, où le crime devient monnaie courante !
Applaudir cela comme cela est le cas avec les résultats de ces législatives, c’est se condamner à une mort certaine !
 
Sous l’Casque d’Erby