jeudi 5 décembre 2024

En attendant, il ne s'en va pas !

Nous sommes de plain-pied dans le délirant scénario du « je l'avais dit » ; « je ne me trompais pas », et autres « t'aurais dû t'en douter » ! Les savants sont d'une grossièreté !
Nous voici , tâtonnant dans le noir, de quoi décrypter l'avenir. Le marc de café devenant ringard, bien que riche en azote – l'odeur insupportable du café froid ! – cherchons dans la poussière des oracles la réponse aux déboires du présent. Il y a tant et tant de siècles que l'homme cache vainement sa misère qu'au final ses frusques le dévoilent plus qu'elles ne le dissimulent. N'importe qui peut s'improviser voyant, pour peu que le bouton de l'ignorance soit on !
« Je l'avais dit !» ; « Je ne me trompais pas ! » ; « T'aurais dû t'en douter ! » ; « Pauvre cloche ! » ; « Je le savais ! ».
De l'insulte à l'excommunication, un pas suffit, celui de la peur et de l'ignorance. En attendant, vous avalerez de l'anaconda à tous les repas. Pas de couleuvre, de l'anaconda !
Quand le riche fait la guerre, il n'a qu'une cible : le pauvre. On ne bombarde pas les palais, on n'éradique pas le nanti de l'autre camp, on passe au phosphore blanc ou au lance-flammes les camps de réfugiés, comme Israël fait avec le peuple palestinien !
On bazarde ceux qu'on ne veut pas sauver parce qu'ils représentent un « manque à gagner » !
L'incertitude, c'est la peur, et la peur, c'est le danger, la glissade vers l'inconnu. Le frisson ! Pas le frisson voluptueux de l'amour et du plaisir, mais celui, plus poisseux, de l'animalité, de la colère irraisonnée et des actes irréparables. Celui qui vous pousse vers les terres inconnues des choses impalpables. Celle qui nous pousse à inventer d'autres horizons, hors ceux des enclos où l'on nous tient confinés.
Vote de censure contre Barnier et redoublement de tambours, l'idiot est élevé au rang d'intellectuel de premier plan. Tout ce que le pays a d'indigents, de prétentieux, de débiles, d'atrophiés de la réalité, poussés par la mécanique ronflante des médias, se lève, pas pour ouvrir les quinquets, mais pour prolonger l'illusion : avant c'était pareil que maintenant sans les feuilles arrachées du calendrier. Bravo !
Vogue jolie galère. Rame, ô beau galérien ! Au bout de l'océan, c'est toujours l'océan, sauf qu'un élément remplace un autre. N'aie crainte, la mer revient toujours à la maison.
Ce soir, Freluquet, plus seul que jamais, va venir causer dans le poste. On pixelise. Va-t-il brandir l'article 16 ? Que va-t-il faire de son statut de paria ? Démissionner, contre toute attente ou se torcher avec ?
Quelle quantité de poudre autour et dans les narines avant de se présenter devant le pays ?
« Je l'avais dit !» ; « Je ne me trompais pas ! » ; « T'aurais dû t'en douter ! » ; « Pauvre cloche ! » ; « Je le savais ! ».
Demain, nous saurons ou nous ne saurons rien, tout en ayant tout compris du manège.
Une chose est sûre : le pays n'a rien à foutre d'un président hors-sol, ni des amours homosexuelles d'un ministre, ni de sa nouvelle vie de parvenu avec son petit copain. Ce que veut le pays, c'est d'un gouvernement qui s'occupe sérieusement de la destinée du pays et non d'une bande de loubards qui le met à sac !
Tous dehors, à commencer par le chef de meute !

Sous l'Casque d'Erby

dimanche 1 décembre 2024

Allez votre chemin, loin du mien !

Nous vivons dans un monde de crapules. Cette élection américaine va laisser des traces indélébiles dans l'inconscient collectif et traumatiser durablement des personnes qui n'ont besoin de grand-chose pour crier au loup. L'arrivée du « monstre » Trump, sorte d'ogre jaunâtre, plus dangereux que Satan lui-même, a mis certaines stars du show-biz dans un état de délire proche de « Vol au-dessus d'un nid de coucou », la poésie et l'insolence du héros du film en moins, bien entendu.
Ces nantis tirant à la balle dum-dum sur l'Américain moyen qu'ils méprisent, à qui ils reprochent de n'être qu'un tas d'analphabètes sans culture ni savoir-vivre, et à qui ils doivent cependant la part de gloire qui les maintient au firmament de la notoriété, n'ont ni l'élégance ni l'humanité que leur statut permet de supposer.
Pas d'honneur, pas d'humanité chez eux. Prouvent-ils par là qu'ils sont les dignes descendants de ces pionniers ayant donné grandeur à l'empire qu'ils s'apprêtent à fuir : putes, escrocs, assassins et autres gibiers de potence ? Tous ceux à qui la vieille Europe n'a laissé d'autre choix que d'aller conquérir le nouveau monde en effaçant les traces des peuples indigènes, revenant avec l'estampille « Retour à l'envoyeur » !
Comme si la bordée sortante de faucons était l'incarnation du tout blanc/tout propre ! À voir l'entrain qu'ils montrent à mettre la planète à feu et à sang, avant l'investiture officielle du président élu, je doute fort que cette équipe ait quelque chose à voir avec l'univers des Câlinours !
Une gloire mise à mal par un vote qui plonge le marais et ses créatures - dont Lovecraft semble à peine avoir exploré les méandres -, dans un état de fébrilité révélateur quant à la nature profonde de leur engagement. Des personnalités du septième art au talent indiscutable, dont la gloire doit beaucoup à la part obscure d'un pouvoir qui plonge ses griffes dans la partie abjecte de l'âme humaine ! Ce sombre et glacial univers qui leur sert de demeure et qu'ils disent vouloir quitter pour en bâtir de nouveaux, ailleurs, comme on colonise des planètes primitives dans un monde à l'agonie. A moins qu'ils ne cherchent à poursuivre leurs « aventures » de ce côté-ci de l'océan !
Au final, ces personnes se révèlent des sinistres hypocrites ! En fuyant leur pays, elles prouvent,  si besoin, qu'elles ont cautionné tout ce qui détruit l'humanité de manière inexorable : fausse pandémie, vaccin à ARN messager, port du masque, confinement, guerre en Ukraine, génocide à Gaza, réseaux pédophiles, prostitution, détournement des valeurs éthiques de l'éducation, satanisme et destruction de l'économie pour le compte d'une élite qui tient le monde par les testicules !
Notre petite Hexagonie faisant partie des pays touchés par les retombées toxiques, nos élites étant liées à la branche majeure de l'Etat profond, par la trahison et, aussi, par conviction, attendons-nous à des secousses de haute intensité.
Nos dirigeants faisant preuve d'une obstination sans borne dans leur course vers le chaos, ils est souhaitable de les démettre au plus vite pour tenter de redresser ce qui est tout de même bien tordu. 

Sous l'Casque d'Erby 


mercredi 20 novembre 2024

La vie n'est pas du cinéma !

Source
Les lignes bougent en profondeur. Dans les ténèbres des officines, on brûle des documents compromettants, comme on brûle les ordures ménagères ! Ici, pas question de faire le tri ! On efface, tant bien que mal, les traces d'une tentative de génocide et de contrôle mondial des populations.
Je parle de l'empire pharmaceutique, des cabinets-conseils, de l'OMS et autres organismes de mort aux très mauvaises intentions. La gouvernance globale par la santé publique, visant à créer le mal pour faire semblant de le guérir, avec des gains colossaux, a du plomb dans l'aile. Quelles que soient les couches de vernis qu'on applique, la charpente de l'édifice satanique semble touchée par la mérule !
Entendre le discours hystérique des larbins de l’État profond dans cet Occident dégénéré, a été un moment de jouissance fort agréable.
Certains de nos faiseurs de propagande – ils se proclament journalistes – sont tellement déçus par les résultats de l'élection américaine qu'ils en perdent pied en direct. D'autres, tout autant affectés, ont évacué sans passer par la case toilettes !
Cela étant, se réjouir ne suffit pas. Il nous faut encore pousser la charrette pour que ce monde fait de crimes et d'escroqueries cède la place à des sociétés gouvernées avec humanité. Je ne sais pas si l'on peut parler de victoire, mais le fait est que cette élection américaine aura été un ravissement sublime.
Souhaitons seulement que la déception ne vienne pas ternir – ce qui est hélas souvent le cas – un espoir légitime, après tant de décennies d'horreurs sous couvert de démocratie et de liberté ! Deux vocables attrape-gogos que l'élite nous sert chaque fois qu'elle s'apprête à commettre ou à cacher un crime ! L'Ukraine et la Palestine étant des exemples palpables. Des dossiers qu'il faut clore avec les sanctions qui s'imposent, à savoir la condamnation et l'emprisonnement des responsables… 
Le peuple des States, cette nébuleuse perdue dans le smog étouffant d'un projet mondialiste génocidaire, a montré par les urnes que quand on ne triche pas en comptant les bulletins, sa parole n'est pas en raccord avec le discours officiel. Cette masse méprisée a montré que si on peut la mener en bateau, elle n'est ni indigne ni dupe !
Prise dans la nasse de la trinité travail, famille, télé, avec la décérébration massive que l'on sait, elle n'a pas toujours le temps ni la force de se prendre en main. Mais si inculte qu'elle paraisse, ou qu'on veuille nous le faire croire, elle sait au fond d'elle quand on lui veut du mal.
Au tour des européens de foncer sur l'UE, dont le seul remède qui lui reste pour sauver sa peau est le déclenchement d'une 3ème guerre mondiale, faisant tout pour qu'elle advienne, afin de nous libérer de la pourriture qui nous tue !
Tout cela me ramène à ces films de série B ou Z que je consommais avec voracité étant gamin. À la fin, tous les méchants mouraient comme ils le méritaient ! Quel soulagement et quel plaisir ! Mais ça, c'était du cinéma !
Sous l'Casque d'Erby 


mercredi 13 novembre 2024

Lettre à un ami européen

Cher ami européen,
Tu m'interroges à propos de la politique. Quelles sont les différences entre ton pays et le mien ?
Si par pays et par différence, on entend les particularités pouvant les distinguer, ma réponse est : hormis la langue et quelques coutumes régionales, tendant à disparaître, aucune. Nos pays sont remodelés selon des critères extérieurs à la culture de chacun, nous sommes dans le tout pareil.
Le reste ? Les mêmes ronds-points d'une contrée à la suivante, et ainsi jusqu'au bout de la route. Le bord de mer affichant les mêmes panneaux à l'adresse d'un public infantilisé, avec des « Attention, l'eau est froide ! », le même type de règlements, les mêmes menus McDo et les mêmes kebabs. Les mêmes tendances vestimentaires, les mêmes drones, les mêmes caméras de surveillance. Les mêmes propagandes et l'instillation des tendances à normaliser, drapeaux LGBT dans les lieux de baignade et dans les enceintes officielles, la transidentité, la pornographie à l'école, etc.
Pour le reste : Big Brother te regarde. Big Brother t'a à l’œil. Big Brother s'occupe de la post-civilisation ! Bienvenu dans le nouveau monde digitalisé . N'aie pas peur, c'est pour ton bien !
La politique est un jeu d'enfant. Tout le monde, de 7 à 77 ans, pourrait devenir ministre de la Vérité ou secrétaire d’État dans l'alimentaire, si l'on respecte la ligne tracée par l'élite. Le travail est tellement mâché par le personnel administratif que n'importe qui, avec un minimum de discipline, peut s'en acquitter. Salaire et avantages motivant le postulant à l'obéissance aveugle !
La politique, c'est une minorité qui guide une majorité sous sédatif pour l'empêcher de prendre conscience de sa force. Afin qu'elle ne déborde pas et ne devienne suspicieuse, voire dangereuse pour la conduite des bonnes affaires de l’État, il faut qu'elle demeure ignorante !
Les centres de rééducation par le discours et par l'image sont très efficaces pour obtenir des résultats. On n'imagine pas les ravages que cela cause dans les esprits !
Ici, comme chez toi, les groupes dominants font semblant de se faire la guerre dans un schéma identique. Certaines entreprises ne pratiquent-elles pas le défoulement du personnel dans des locaux dédiés ? On s'insulte, on s'accuse mutuellement des pires crimes, afin de bien chauffer la masse, jusqu'à la division et à la subdivision de la subdivision. Pareil que dans une pièce de théâtre ou dans une grande production cinématographique, tout est soigneusement écrit et mis en scène. 
Toute élection organisée dans n'importe quel point de la planète en est la démonstration. Quel que soit le gagnant, il n'y a qu'un perdant : le peuple, le citoyen, l'individu, la masse. Sous n'importe quel vocable, c'est lui qui est visé ! Est-ce dire que ceux qui pensent encore que la classe politique, bras armé du pouvoir invisible, est honnête sont plus crétins que ceux qui dénoncent le mensonge ? Disons que l'heure de la révélation ne sonne pas en même temps pour tout le monde.
L'exemple des derniers scrutins hexagonaux en est l'illustration. Comme il fallait s'y attendre, nous avons assisté au tir nourri d'injures de tous les groupes sur tous les groupes, dans un chaos aussi joyeux que ridicule. Qu'en est-il en réalité ? Que tous ces « ennemis » n'ont qu'un seul ennemi : le peuple. Faut-il une thèse de doctorat pour comprendre ce que Dindon veut dire ?
Le comble de la stupidité, par exemple, est de crier à tout va que Donald Trump, crédité de la victoire électorale aux États-Unis, est un nazi et tous ses électeurs des fascistes, parce que, se détournant du « droit chemin », le peuple n'en peut plus d'entendre « la voix de son maître » !
L'étrangeté vient du fait que les mêmes qui hurlent au nazisme ferment le clapet sur le soutien de l'UE aux nazis (de vrais ceux-ci) en Ukraine et à Netanyahou en Israël, avec le génocide qui éclabousse si méchamment les consciences ! 
Comment passer sous silence que certains dirigeants de l'UE (non élus) sont des descendants directs de dignitaires nazis au service d'Hitler et qu'ils font tout comme papa/maman jadis !
Le pouvoir s'exerce dans des zones tellement sombres que la canne blanche est nécessaire pour s'orienter dans ces ténèbres. C'est dans ces sous-sols que l'on pratique des rituels réservés à une élite triée sur le volet, où s'ourdissent les plans machiavéliques de la « grande politique » ! C'est dans ces lieux qu'on « équilibre » les pôles, quand ceux-ci donnent des signes de faiblesse. C'est là que l'on décide quel groupe va gagner ou va perdre une échéance électorale sans que cela affecte l’État profond dans sa marche funeste.
Nous voilà donc, cher ami, embarqués dans la même galère. Allons-nous continuer à ramer vers notre perte, faisant semblant que c'est pour notre bien ? Ou allons-nous enfin nous arracher en mettant un point final à une opération criminelle ?
Bien à toi, ton frère de la province voisine. 

Sous l'Casque d'Erby

jeudi 7 novembre 2024

Du nouveau à l'Ouest !

Dans un contexte explosif comme celui des élections américaines, il n'est pas facile de quitter l'ornière, chacun allant de son analyse la plus fine et la plus contondante.
Que pouvons-nous attendre cependant de son résultat et de la politique américaine dans les quatre prochaines années ? Peut-être un peu de répit dans la folie sanguinaire qui s'est emparée d'elle et de tout l'Occident depuis plus d'une décennie. Et, pourquoi pas, espérer un retour au respect des règles morales bafouées, et dire halte à la dictature sanitaire de l'OMS par le biais de laquelle le monde bascule dans le totalitarisme !
Quoi qu'il en soit, victoire éclatante de Donald Trump sur tous les tableaux. Sans tricher !
Les pleureuses d'une gauche pervertie parlent de démocratie à tous les étages, avec des éléments de langage pitoyables, attribuant à Trump des intentions qu'elle a très largement outrepassées depuis toujours.
De ce côté-ci de l'Atlantique, en notre chère France, les petits roquets de l'empire glapissent sur la grandeur du modèle démocratique français, souillé par ces résultats. L'UE se sentirait-elle soudain orpheline de ses pourvoyeurs officiels, à savoir l'État profond, et, sa cheville ouvrière, l'OTAN ? Bonne nouvelle !
À force de braire, on finit par devenir des ânes !
Puisqu'on nous les brise menus avec des mots tout faits, parlons-en de la démocratie au pays des Lumières !
Prenons les dernières Européennes perdues par la majorité Macronienne : Dissolution de l’Assemblée nationale, ce qui n’avait rien à voir avec le résultat du scrutin européen, et, même pas le temps de faire ouf, en trois petites semaines, on organise un scrutin législatif ! Aucun programme, rien, Niet, Nada !
Akoibon s'éplucher la cervelle à concevoir un projet, puisque personne ne le lit et, mieux, personne ne le mettra jamais en œuvre ! C'est un mandat pour rire !
Nouveau scrutin et nouvelle défaite de la Macronie démocratique et toujours pas de majorité, mais un Premier ministre imposé et un gouvernement de la même eau que le précédent.
Je ne sais pas, mais cela s’appelle un coup d’État !
Alors, démocratie ?
Là, on nous prépare à accepter l'idée d'une nouvelle pandémie pour le mois de décembre. Ce n'est pas encore tout à fait au point, mais on y pense ! Une réunion est prévue à cet effet entre le virus qui ne dort que d'un œil et les Éminences grises de l’OMS. C’est de l’étroite relation de l’un avec les autres qu’est née une forme de collaboration régulière et redoutablement fructueuse.
Le quidam ayant le trouillomètre en alerte rouge ne sera pas dépaysé en reprenant du masque, observant les gestes barrières élémentaires, regagnant son repaire pour un confinement salutaire, absorbant Pastis et Intox en surdose, ne quittant son salon que pour se faire administrer une énième piquouse à ARN messager.
Alors, démocratie ?
Avec HAARP en action, les limites atteignant des limites, c'est dans le sinistre qu'on patauge : tremblements de terres, pluie, vent, mort et misère, au menu. On tire un trait de craie sur le tableau noir de nos croyances. Incrédules, s'abstenir. Rideau !
Valence a été le théâtre d’un déluge qui n’a rien à voir avec la météo et beaucoup à l'ingénierie climatique. Satan a toujours la main lourde ! Pendant qu'on se débat dans la boue, le ventre creux, les rotules en vrac et le moral dans les chaussettes, l'esprit critique est la dernière chose à laquelle on pense, n'est-ce pas ! Et le séisme qui a dévasté Haïti n’est-il pas le résultat d’un essai « réussi » par arme sismique ? Et ceux de la Turquie et de la Syrie, des mesures de rétorsion pour avoir contrarié le pouvoir profond ?
Après avoir accusé Trump d’être fasciste, sioniste, raciste, que sais-je combien d’autres cistes, faut-il le désigner aussi comme principal responsable de ces funestes événements ?
Qui contrôle l’ingénierie climatique a entre les mains des armes de guerre d'un pouvoir absolu !

Sous l'Casque d'Erby 



vendredi 1 novembre 2024

La brique rouge des infirmes / Ô Toulouse !

La rue est à la rue ! Il n'y a qu'à l'observer pour s'en convaincre. Comme vous, je suppose, j'ai jeté des quinquets fureteurs à l'Opéra urbain de Toulouse et aux commentaires qu'il a suscités. Je me trouvais dans l'état particulier de celui pour qui la récidive n'est pas un accident que je cherche à corriger.
L'électrophone calé sur « Toulouse », de Claude Nougaro — eh, oui, j'en ai un, et les vinyles qui vont avec — déroulant une diction de perforateur à percussion, fait des étincelles dans mes portugaises :  « Qu'elles sont loin, mes idées, qu'elles sont loin / Parfois au fond de moi se raniment / L'eau pourpre du sang des révoltés / Et la brique rouge des infirmes / Ô mon païs, ô Toulouse… » 
Cette kermesse toulousaine, défilant dans ses plus ténébreux apparats, n'a pas choqué un public entièrement acquis à la festoyance ! La presse régionale s'est mise au diapason pour l'aider à oublier un contexte politique nauséabond. C'était la fête au village ! Et tant mieux, si l’Église n'est pas au centre de celui-ci !
Tel est le message répercuté par les concepteurs du projet. Main dans la main, amnésie sociale et acculturation dansent une sarabande funeste sur la dépouille d'un pays qu'on fait disparaître dans l'indifférence générale. Les milliards de la dette publique, détournés au profit des cabinets-conseil, des guerres qui ne sont pas les nôtres, des laboratoires et des actionnaires, entre autres, ne paraissent pas effrayer une foule qui pourtant devrait l'être !
Seule une minorité, frustrée par le peu d'écho que ses propos suscitent, dénonce avec vigueur la supercherie ! La même minorité qui en son temps avait mis en garde sur la fausse pandémie et l'obligation vaccinale, ainsi que sur le totalitarisme naissant.
Avec Lilith, la femme scorpion, son 666 chevillé au corps, ; Astérion, le Minotaure ; Ariane, l'araignée, c'est un pan de ladite « contre-culture » que le public est invité à aimer, applaudissant à tout rompre la prouesse technique !
Qu'importe si le but est de rendre Satan aussi sympathique que possible, au nom de la « démocratie », ce leurre. Pas le gendre idéal encore, mais ça viendra. Ça viendra !
J'ai beau aimer les carnavals et l'esprit païen qui anime ces manifestations populaires, de Venise à Rio, de Nice à la Nouvelle-Orléans, parmi beaucoup d'autres, montrant une attitude iconoclaste, revendicative et bon enfant à l'endroit du pouvoir politique et religieux. Sauf qu'ici, dans la foulée des cérémonies des JO de Paris, sous la fumée et les paillettes, c'est pour le compte d'une minorité sans foi ni loi que le jeu de cartes est mélangé !
C'est cet esprit qui a guidé les festivités de Toulouse, dont on annonce d'ores et déjà une suite.
Si parmi les bénévoles et les militants de cette « cause », il en existe des naïfs, ignorant tout de la manipulation, ils n'en demeurent pas moins les petits soldats, la main d’œuvre gratuite !
Pendant combien de temps encore vont-ils ignorer la portée véritable de l'événement qu'ils soutiennent aveuglément ? Sont-ils à ce point zombifiés pour ignorer que derrière ce spectacle se cache la Grande Réinitialisation, le Nouvel Ordre Mondial et l’avènement du IVe Reich ? 
En conclusion, ce n'est pas l'esprit de carnaval qui dérange, mais la banalisation du Satanisme qui interpelle !
La bonne fête à tous les saints !

Sous l'Casque d'Erby

samedi 26 octobre 2024

Les barbares

Source
Jadis, la peur du communisme soviétique, paradis du prolétariat militant, auquel s'accrochait une partie de la classe ouvrière du monde, était notre pain quotidien.
Tout était écrit au menu de cet éden socialiste, y compris le passage obligé par un régime dictatorial. Marx l'avait bien dit : « Pour atteindre le monde idéal, le socialisme doit passer par la dictature. » 
Tout était merveilleux dans ce nouveau paradis terrestre, dont la Russie eut la primauté à grande échelle ! Tant pis pour ceux qui rêvaient à des choses frivoles, tels des petits-bourgeois. Pour eux, le chemin était tout tracé : « Vous voulez de l'espace ? De la liberté ? Suivez la flèche, direction le Goulag, c'est vers là-bas. Loin, très loin ! » 
À la revoyure, Tovaritch !
Ces danses que l'on a faites quand le mur est tombé ! Ces visages réjouis ! Ces gens heureux, venus de toute l'Europe, labourant du parpaing comme on travaille le potager au printemps, festoyant avec des poings dressés pour commémorer la victoire du bien contre le mal !
Et ces fragments de rempart qu'on emportait chez soi en guise de souvenir, que certains gardent comme reliques, l'œil humide chaque fois qu'on les montre 35 ans après. Quel triomphe, mes aïeux !
Victoire par KO du capitalisme cannibale sur le capitalisme d’État !
Heureux enfin de voir la Russie devenir un État secondaire, bientôt un État vassal, rêvaient les vainqueurs à voix haute !
Ainsi, libre comme l'air, le « meilleur des mondes » dansait sur les cendres fumantes de l'Ancien. À nous le butin !
Pour l'équilibre de ce tout merveilleux qu’était le monde à deux facettes, il fallait que le totalitarisme de là-bas justifie dans les faits les dictatures de par ici, y compris la montée du nazisme en Allemagne dans les années 30. Et c'est au nom de ce paradigme qu'on évitait de passer l'aspirateur dans les coins !
De nouveaux monstres furent créés afin de continuer à entretenir les bonnes affaires. Après l’Union soviétique, la Chine était toute désignée pour jouer le méchant dragon. Coriace, le chinetoque ! Belle cible ! Avec la Corée du Nord, les groupes islamistes, le terrorisme made in CIA (chut !) et le très puissant retour de la Russie sur la scène mondiale, l'opinion publique, bien cornaquée par des médias disciplinés, peut croire à la version moderne du retour de la « guerre froide ».
Machiavel retrouve sa place dans l’échiquier. L'a-t-il seulement quittée ?
Cependant, l'empire américain a du souci à se faire pour se maintenir à flot, au milieu du chaos qu'il a si bien généré. Si la disparition de l’Union soviétique l'a soulagé pendant un moment, l'arrivée des BRICS sur la scène mondiale, sous la houlette sino-russe, représente un sacré caillou dans la godasse. Au point que cela donne la migraine et des aigreurs d'estomac à tous les stratèges du crime et de la corruption, made in USA.
Ironie et cruauté de l'histoire, le communisme soviétique, qui a tant alimenté le narratif des menteurs des deux côtés du rideau de fer, est devenu par enchantement le rêve du très nostalgique Klaus Schwab. C'est l'idée que les globalistes font mijoter dans leur arrière-cuisine depuis des lustres : un retour au totalitarisme soviétique, avec un zeste de nazisme et plus si affinité ! !
Avec des villes à 15 minutes, des vaccins pourris, des passeports vaccinaux, le fichage numérique et les multiples contraintes, pour vivre et travailler « normalement », ça fait rêver la horde sauvage qui le seconde, pour le grand orgasme de l'Oligarchie !
Les charmeurs de serpents sont déjà sous le charme ! 
Hélas, Messieurs, les contes de fées, ça ne dure qu'un temps ! Gare à vos fesses !

Sous l'Casque d'Erby 


mercredi 23 octobre 2024

Zéro de conduite !

L'art de la propagande est à la base de victoires et de défaites dans les guerres, sachant que la guerre 2. O se gagne ou se perd par le bourrage de crâne, autant que par la force bestiale.
Dans l'épouvantable tourmente que l'on traverse en ce premier quart de siècle dystopique, je prends soin de ne pas me lancer dans le « jeu » hasardeux de qui a tort et qui a raison. Je tiens à conserver mon intégrité psychique dans le désordre de la pensée intellectuelle. Même si, petite chose apeurée, j'ai mon idée sur la question.
Se taire ? Jusqu'à un certain point, car qui ne dit rien consent, et ça, c'est au-dessus de mes forces.
L'objectif d'une guerre est toujours le même : la spoliation, le viol, les crimes et la soumission des peuples à une idéologie, les deux camps se disputant le 1ᵉʳ prix !
Les gagnants dans ces jeux du cirque modernes sont toujours les comploteurs (les vrais !), ceux qui trouvent dans le commerce des guerres de quoi tuer, affamer, atterrer et ruiner la masse d'esclaves que l'Oligarchie déteste, tout en affirmant le contraire.
Cette minorité, composée de groupes « invisibles », de chefs militaires et d’agences gouvernementales, nouent et dénouent les crises selon une stratégie bien rodée, avec toujours le même dessein : globaliser le monde. Le modeler selon un critère propre, réduisant à néant toute tentative de redressement moral et politique venant des parties pensantes de la société. Car pour la minorité dirigeante, en dehors de son cercle, il n'existe que des troupeaux d'animaux qu'on découpe en quartiers pour les besoins de la « cause » !
Dans cet univers de plomb, ni ministres intègres, ni vertu. Une seule obsession domine chez chacun : sauver sa peau, quoi qu'il en coûte. À ce point de désintégration morale, la réflexion sur les valeurs à préserver est un navire en perdition dans un océan de corruption. Les quelques poches de saine résistance se faisant absorber par une masse saisie par la terreur et la soumission.
La guerre a perdu son sens héroïque, son panache. Où sont passés ces héros et les épopées qui ont nourri l'enfance de générations entières ? Les hommes sans imagination sont perdus pour eux-mêmes et pour l'humanité dès lors qu'on les ampute de leur part d'imaginaire !
À l'instar d'Israël, à Gaza ou au Liban, on bombarde à tout-va. Des tonnes de bombes lancées sur les églises, les hôpitaux, les lieux publics pour tuer non point l'ennemi, mais ce « surplus » d'encombrants.
On rase, on décoiffe, on nivelle et quand il ne reste plus que poussière et des morts pourrissant sous les décombres et des estropiés, on envoie les troupes au sol. On fait comme à la parade de cérémonie d'ouverture des Olympiades, on achève les survivants sous les hourras d'une foule démente !
À l'heure où tout le monde est à la becquée, demandant que faire, bien malin qui… Ce que je peux dire, à l'instar de beaucoup d'autres, est que partager nos angoisses, dénoncer les crimes et les dénis, demeure essentiel dans le chaos mental actuel. Pour le reste… le ciel est assez vaste dans sa miséricordieuse étendue pour tourner le dos à nos prières.
Ce que nous devons urgemment faire, c'est nous affranchir des « miracles » qui tombent du ciel, afin de retrouver le pays qu'on nous vole, cesser d'être un protectorat américain gouverné par des Chicago Boys et envoyer par-dessus bord son officine, l'UE !
Cela n'est qu'un pas, certes, mais ce serait un grand pas !

Sous l'Casque d'Erby


vendredi 18 octobre 2024

Chronique Vagabonde

M'art'IN
Mi-octobre. 8 h du matin. Il fait noir. Le jour tremble à l'idée de devoir se lever. Une pluie fine et poisseuse tamise la lumière jusqu'à la rendre opaque. La couette remontée jusqu'aux yeux, je flemmarde comme un militant dépressif se livrant à des séances d’autostimulation, découvrant soudain que l'hiver peut vous saisir à n'importe quelle saison.
Le mal que je me trimballe ! J'ai le melon comme une pastèque qui a trop pris le soleil. Une nuée de mouches la survolant, attendant le moment pour s'y jeter dessus pour un festin de tous les diables. Adieu sucre ! Adieu fraîcheur ! Pas le moindre cacheton de Doliprane pour me soulager ! Et pour cause ! L'usine va être donnée aux Amerloques, comme tout ce qui fonctionne dans ce pays ! La France est devenue la Foire du Discount !
Les Psys que je consulte par le biais des pages Web multiplient les fausses pistes de lien en lien, comme dans une intrigue d'Alfred Hitchcock ! Heureusement que les séances sur le Web sont gratuites ! Un canapé et une tablette suffisent à mon bonheur. Ça yoyotte là-dedans comme dans une usine de yaourts !
Les spécialistes se disputent mon clic, avec appel et contre-appel, comme des joueurs de foot dans un match à enjeu !
Dans mon petit traité sur l'immensité des gouffres, je n'ai pas encore atteint le niveau zéro de la désespérance. Je m'accroche ! À l'instar de monsieur Tesson dans Les chemins noirs, j'évite les grandes artères de la « civilisation ».
À mon chevet, mon livre de citations préféré. Une sorte de réponse à tout où sont groupées les questions les plus courantes et les réponses les plus définitives. Bien que cela n'existe pas, il est rassurant de penser qu'il y a des réponses définitives à tout. Je ne me sépare jamais de ce petit livre vert de l'Espérance. Où que j'aille, il est dans ma bandoulière, n'attendant que le moment opportun pour clouer le bec à ces abrutis de contradicteurs, soumis à l'esclavage par le mirage d'un bonheur factice ! Inutile de les renvoyer à l'école, ces camps de rééducation, c'est elle qui les a rendus idiots !
Dans l'état actuel des choses, le choix, si choix il y a, n'est guère réjouissant. La dérive est si bien orchestrée qu'il ne reste qu'une alternative possible entre capitalisme et capitalisme : le capitalisme ! C'est ainsi, sauf que l'une des deux appellations est à vocation Sataniste !
Que nous applaudissions avec les oreilles ou avec les voûtes plantaires, le résultat ne fait pas de doute : c'est une ratonnade !
Ben quoi, le monde serait tellement pourri que même le rêve en est proscrit ? Non, il n'est pas interdit de rêver. Pas encore. Mais bientôt, il sera interdit d'exprimer ses rêves, d'en échanger le contenu. Le contrôle sera absolu.
Je pense à Jack London et à son Vagabond des étoiles. À ce condamné à mort, enfermé dans une taule américaine, soumis au supplice de la camisole pour refus d'obtempérer. Afin de s'évader, il pratique l’autohypnose ou l'évasion par la pensée. C'est par ce moyen qu'il devient escrimeur sous Louis XIII, jeune garçon de courses pendant la Ruée vers l'or, navigateur en Corée, centurion en Palestine, avant un final inéluctable, comme celui de tout être vivant…
Tout ça, nous pouvons encore le penser et l'écrire, mais plus pour longtemps. Le temps, comme le lever du jour, a du mal à quitter son habit noir !

Sous l'Casque d'Erby


dimanche 13 octobre 2024

Le monde fait sa vie et nous, on fait ce qu'on peut !


ERBY
Comment faut-il s'y prendre pour faire accepter la vérité – ou sa forme la plus proche – telle qu'elle est et non telle que la propagande la présente ? 
La guerre en Ukraine a débuté en 2014 et non en 2022 avec la désormais historique « Opération militaire Spéciale » russe, comme on ne veut pas l'admettre. Elle n'a pas été déclenchée par les Russes, mais par la CIA, l'OTAN n'étant que le faire-valoir qui a servi à noyauter l'UE en ruinant ses peuples, à commencer par l'Ukraine !
Il convient de souligner que depuis 2014, le Donbass, partie russophone de l'Ukraine, a été le théâtre d'exactions exercées sur les habitants par des escadrons nazis, tandis que l'UE, la CIA et tout ce que le pouvoir profond concentre de maléfique fabriquaient leur grammaire narrative.
L'empire avait — et a toujours — pour objectif d'encercler la Russie afin de l'affaiblir et, comme pour le fruit mûr, d'attendre que ça tombe pour ramasser les immenses richesses contenues dans les sous-sols.
Cette guerre, comme quasiment toutes les autres, n'a rien à voir avec la démocratie, sorte de carotte qu'on brandit pour faire avancer les ânes. Rappeler cela est considéré comme du radotage, premier et inéluctable pas vers la sénilité. Soyons donc séniles ! Soyons-le jusqu'à rappeler ce qu'Israël et consorts tentent de cacher avec la destruction et le génocide des populations en Palestine et au Liban maintenant, sous des prétextes mensongers.
Mais qu'ont-ils tous à vouloir se farcir la Russie et porter la guerre partout où le territoire permet l'expansion et la richesse. Combien de morts tout cela a coûté et coûte de part et d'autre ? 
Vouloir faire plier la Russie, la domestiquer, la réduire à la vassalité est un vieux fantasme des chefs de guerre, plus soucieux de leur gloire que du bien-être des peuples ! 
L'histoire est remplie de ces échecs sans cesse recommencés, chaque tentative révélant de cuisants revers. Derrière chaque incursion se cachent masochisme et mégalomanie en proportion égale ! Déviances psychologiques graves que l'histoire déguise pour rendre comestible un produit frelaté.
Vaincre pour alimenter la voracité d'une minorité aveuglée par un sentiment de puissance à la durée ridicule. De la naissance à son zénith et à son déclin, l'homme ne voit guère au-delà de son ego qu'il prend pour l'étendue infinie de l'univers. En somme, c'est ce côté congénitalement ridicule qui le rend infini !
Manque de bol, Vladimir Poutine n'est pas le petit dirigeant européen qu'on soumet à volonté et qu'on manipule à souhait, par la peur, par le chantage et la petite gloriole. Mais un homme d’État, soucieux de la destinée de son peuple, dont l'envergure vous écrase comme on pulvérise un insecte avec une tapette à mouche. C'est à cette triste et douloureuse réalité qu'est confronté un Occident gangrené par la décadence.
Tout est donc parti en sucette et, au bout de 400 milliards consacrés à la mort, il est temps de penser à la vie, si ce n'est pas trop tard ni trop demander !
Telles ne sont pas, hélas, les intentions de nos dirigeants qui préparent d'ores et déjà une nouvelle campagne pour 2025, avec des budgets qui plongent les peuples dans le noir ! Il n'y a qu'à se pencher sur le budget 2025 du Cirque Barnier dont l'arme principale est le cutter ! De la lacération sur mesure pour faire de la France une région du tiers-monde !
Ce n'était pas ça le projet Macron, réélu grâce aux voix des écervelés de la « gauche » pour faire « barrage à l'extrême droite » ? Finalement, c'est grâce à Marine Le Pen qu'il rallonge la sauce ! Extraordinaire !
Alors quoi ? Changer le monde ? Soyons humbles. Le monde est en dehors de nous. Laissons-le continuer son chemin, comme il le fait depuis plusieurs milliards d'années. Il prouve qu'il n'a besoin de personne pour être ! En revanche, si nous nous centrions sur notre minuscule existence, il y aurait un chantier pharaonique en perspective. En prendre conscience éviterait bien des déconvenues à notre misérable ego.

Sous l'Casque d'Erby


mercredi 9 octobre 2024

La pendule d'argent qui dit oui, qui dit non, qui dit « je vous attends ».

« La vie est un brouillon qu’on ne mettra jamais au propre.» 
Michel Bakounine 


Les cheminées tournent à plein régime dans cet automne tempétueux, ce qui est un temps de saison.
Dans les taupinières, on jette le bois par brassées dans les foyers. Ce qui sera bientôt interdit par la branche politique de l'escrologie !
L’hiver ouvre une brèche entre l'orteil et l'occiput par où s'engouffre un froid mortifère.
Dans les pays aux chutes de neige abondantes, c'est au printemps, avec le dégel, qu'on retrouvera les corps des indigents ensevelis sous deux mètres de poudre.
Évitons de mettre le nez à la fenêtre, pas pour éviter le froid, nous y attraperions la malemort en respirant la bouffée fétide portée par le mauvais vent des assassins !
Nous avons eu Vichy 1, avec son lot de mauvaises raisons. Pas question, par conséquent, de se prendre un Vichy 2 en pleine poire, tant on nous prend pour des chiffes molles !
J'ai dit chiffes, pas chiffres. En ce qui concerne ces derniers, les zéros sont si nombreux que ça file la boule au ventre. Chaque zéro étant un maillon qui ramène à la longue chaîne de l'esclavage. On appelle ça la dette.
Après enquête des « autorités compétentes », c'est la faute à tellement de gens que même les paisibles retraités, après une longue vie de labeur et de cotisations, sont suspectés d'avoir participé à la banqueroute !
Au point que les membres du Cirque Barnier les pointent du doigt comme s'ils étaient bons pour la déchette ! Et si on les bazardait une fois pour toutes, se disent-ils ? Ça ferait de la place et des économies !
Les parasites qui gouvernent auraient de la maille à se mettre dans les fouilles et à distribuer aux migrants, envoyés par bordées par Soros and C° pour « régénérer une race » en soins palliatifs. 
Tous coupables, sauf le gouvernement ! Un gouvernement de démis, mais tous remis ! Dans la foulée, des mesures drastiques se dessinent, au-delà de celles déjà subies : on augmente le prix du billet d'avion et, par le fait, ne pouvant plus se déplacer, les Français se trouveraient confinés en Hexagonie par la faute des viocs !
Ce confinement-là paraissant moins « brutal » que celui relatif au Covid, mais tout aussi efficace ! D'une pierre deux coups ! Si on ajoute la ré-augmentation du prix de l'électricité, du gaz, du carburant et des produits de première nécessité, sans oublier le projet de taxation SNCF sur les poussettes (si, si !), ça aidera la horde à grimper le mont Ventoux de la crise avec le braquet ad hoc !
Des champions, ces parasites au service des élites.
Je pense soudain à ce personnage décrit par Giono dans « Les grands chemins ». Un joueur de cartes. Un illusionniste, sorte de wanderer à la recherche du bon bivouac. Je cite :
« Il tripote son paquet de cartes comme s’il tirait sur un accordéon… le frappe, le pince, le soufflette, le caresse, l’étire et le referme, tirant chaque fois… la carte annoncée »
Magie de l'illusion ! Cela date de loin, mais c’est comme si c’était déjà demain.
Les salauds portent des masques, mais ont toujours le même visage. 

Sous l'Casque d'Erby


vendredi 4 octobre 2024

Ce qui doit arriver arrivera. Vraiment ?

Avec la riposte de l'Iran aux multiples provocations israéliennes, frappant avec une pluie de feu la cité du « peuple élu », nous sommes prêts pour une campagne intensive où la larmoyante va occuper les premières loges. C'est déjà le cas dans le pays le plus colonisé de l'Europe par le gang sioniste : la France !
Car, dans nos médias, toute voix discordante, tentant de mettre les aiguilles à l'heure de la vérité, est aussitôt poussée dans les cordes par les matons d'une presse sous contrôle absolu. Situation qui rappelle celle vécue avec le Covid et l'obligation vaccinale, dont les résidus ont changé de statut pour s'improviser géostratèges du proche et du Moyen-Orient !
Israël et son inentamable bouclier de fer ont eu des gros soucis sous la déferlante iranienne ! Rien à ajouter non plus sur la dérouillée terrestre au Liban que l'on cache avec des pudeurs de jeune effarouchée. On prépare son stock de menaces et de mouchoirs sur les plateaux télé et on ouvre le tiroir-caisse, ça va être la nouvelle Shoah !
En attendant, aucun rappel dans nos médias sur les raisons qui ont causé cette déferlante : le Liban, la Syrie, le Yémen, l'Iran, la Libye, des pays méchamment agressés par Israël. Rien non plus – ou si peu  –sur les milliers de morts à Gaza, ni sur le bombardement intensif des hôpitaux, des écoles, des églises. Du viol des femmes et l'assassinat d’enfants par des snipers haineux !
Et motus sur les bombes au phosphore blanc utilisées au Liban. Arme proscrite entraînant des dégâts irrémédiables, sans que nos politiques s'en émeuvent, alors que l'on tressaute parce que certaines boîtes de camembert sont en bois, ce qui est dommageable pour l'environnement ! Étrange manière d'écrire l'histoire !
D'autant plus étrange que plus l'ignorance grandit, plus on yoyotte de la touffe. Plus on ouvre les vannes au délire, lequel, dans ce contexte de folie, peut paraître aussi crédible que la plus étrange des vérités.
Ainsi donc, les images qui nous parviennent ressemblant à des extraits de jeux vidéo se prêtent déjà à la spéculation. C'est ainsi que tout est envisageable depuis que l'humanité est sous contrôle numérique total ou partiel. Le fait est indiscutable : plus nous possédons des moyens d'information, plus l'imagination pousse les limites de la spéculation à son paroxysme.
Partant de l'idée que les images diffusées par les médias sur le canardage d'Israël par l'Iran ressemblent à des extraits de jeu vidéo, certains pensent à l'hypothèse d'une mise en scène. Pour eux, cette attaque serait un galop d'essai pour installer dans les mentalités l'inéluctabilité d'une 3ᵉ guerre mondiale, guerre commencée en Ukraine en février 2022. L'idée consistant à répandre la peur dans les têtes afin d'annihiler l'esprit critique. Avec pour fil rouge l'idée de faire reporter les élections en Amérique et ailleurs (c'est déjà le cas en Ukraine) aux calendes grecques !
Le tout enrubanné pour instaurer dans la partie occidentale de l'Europe, qui tant préoccupe le pouvoir profond, le système globalisé dont rêvent les mondialistes !
Tiré par les cheveux ? Peut-être pas !
Plus ça va, plus je pense aux manipulations de la Guerre froide : de la provocation, des conflits d'intérêt, beaucoup de guerres locales, des morts et de la peur. Mais pas de troisième guerre mondiale en vue, même si l’État d'Israël fait tout pour qu'il y en ait une !

Sous l'Casque d'Erby

dimanche 29 septembre 2024

Philippine n’est pas le nom d'un archipel, c’est un crime !

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Doit-on réduire la mort d’un être humain à une affichette que l’on colle ou qu’on arrache ? Ou aux origines ethniques de celui qui a commis le crime, pour démontrer que là où l’on réclame justice, l’on vous frotte le museau avec le disqualificatif « xénophobe et raciste » ? Drôle de monde ! 
En attendant, une jeune personne qui avait tout à apprendre sur le bien et le mal a été fauchée pour toujours. S’en émouvoir n’est ni raciste ni xénophobe. Mais cela ne semble pas être l’avis des idéologues de la pensée dominante.
C’est à ce lamentable spectacle que nous assistons avec l’assassinat de Philippine, la jeune étudiante de 19 ans, tuée par un individu récidiviste dans l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) dans un délai de 30 jours. Laps de temps suffisant pour commettre l’irréparable !
Découvrir des jeunes militants décérébrés arrachant les affichettes fraîchement collées en hommage à sa mémoire, pour que soient sévèrement condamnés par la justice les auteurs de ces actes de barbarie, est quelque chose de très choquant !
Faire comprendre à une masse compacte, qu’elle se fait manipuler par un pouvoir pervers ayant trouvé, dans le « jeu » des émotions et de la haine, le chemin du contrôle mental absolu, relève du défi ! L'aveuglement est à son point culminant !
Dans ce contexte, interdisez-vous de suggérer que les vagues de migrants déboulant en Europe sont un projet fomenté par les élites, via la galaxie Soros, car là vous quittez le statut de « complotiste » pour devenir une « bête immonde » !
J’ai récemment entendu sur X le témoignage d’une juge – corporation à la peine – déclarant, à propos du laxisme que l’on reproche à la justice, que la « justice n’est pas laxiste », comme on le proclame à tort et à travers. Qu’au contraire, elle reçoit des consignes pour que la loi ne soit pas appliquée telle qu’elle doit l’être, mais en fonction de paramètres dictés par l’instance supérieure, autrement dit l'État !
Le monde atteint ce point de déshumanisation que la « bonne justice » consiste désormais à exonérer la bien-pensance de gauche d’une justice égale pour tous. Par le fait, on exclut les crimes commis sous prétexte que les auteurs sont noirs, jaunes, cuivrés ou basanés, condamnant ainsi ceux qui réclament justice à assumer le sale rôle de raciste et de xénophobe !
En attendant, Philippine a été poussée vers le cimetière alors qu’elle avait tout à découvrir de la vie !

Sous l’Casque d’Erby


samedi 21 septembre 2024

Votes et conséquences

Le Parlement européen a adopté la résolution appelant les pays de l'UE à se débarrasser de ses faux scrupules, une fois pour toutes. Par ce fait, elle autorise le nazillon de Kiev à frapper, avec du lourd fourni par les pays européens, le cœur de la Russie, après s’être bien poudré les narines ! Tant pis si cela entraîne une guerre nucléaire avec ce qui se fait de pire dans le genre, puisque c’est cela que l’on cherche à déclencher par tous les moyens depuis dix ans !
Le pouvoir profond dicte sa loi, la classe politique fait ouah-ouah. Quatre cents députés ont voté pour, 131 contre et 63 se sont abstenus.
Outre des considérations mille fois rabâchées sur la soumission de nos politiques aux instances secrètes qui les tiennent par l’entrejambe, je ne saisis pas vraiment sur quoi reposent les 63 voix qui se sont abstenues. Est-ce parce que les porteurs savaient que ce vote était réglé d’avance et qu’il ne valait pas la peine de se triturer l’esprit plus avant, ou est-ce par fatalisme, qu'ils disent : « Et merde ! Après nous, le déluge ! »
Quoi qu’il en soit, ceux qui ne font pas la guerre la déclarent ou la consentent. Souvent, il s’agit de ceux qui ne souffriront pas de sa ruine ni des retombées néfastes pour les peuples, applaudissant à l’horreur, surenchérissant comme s’il s’agissait d’une sinistre vente aux enchères !
Je n’ai pas de vérité à portée de pensée, mais quelque chose me dit que la vérité, c'est comme un défilé de mode, n’importe quelles frusques font l’affaire du modèle !
Le modèle en l’occurrence étant une opinion publique « corvéable », et pourtant de plus en plus excédée par les humiliations qu’on lui fait subir. Ce qui est important avec elle ne peut se résumer d’un trait ou d’un mot d’esprit. La vérité n’est pas une certitude, mais un doute qui trace un chemin dans la mélasse ambiante !
Nous sommes nombreux à le dire, à l’écrire, à le vociférer : L’Europe n’a pas besoin d’une guerre contre elle-même !
En revanche, l’Amérique n'a jamais supporté l’idée de la réunification du vieux continent dans sa formation naturelle ! Ou comme l’évoquait de Gaulle en 1959 : « L'Europe, de l'Atlantique à l'Oural. » 
Rien que d’y penser, l’Amérique a les foies !
Je ne suis pas nostalgique du « monde d’avant », sous prétexte que je ne sais pas ce que nous réserve le futur. Celui qu’on nous prépare et pour lequel on conditionne les peuples, mais ce qu’il préfigure laisse présager le pire pour l’espèce humaine.
Dans la lutte permanente entre le bien et le mal, qui dure et perdure, nous devons chasser le mal absolu !

Sous l’Casque d’Erby


dimanche 15 septembre 2024

Est-ce si difficile de devenir humains ?

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Il faut s’y faire. Je ne dis pas se résigner. La guerre est le seul moyen que les hommes ont trouvé, depuis qu’ils sont venus au monde, pour tailler la bavette sur des monceaux de cadavres, comme on prend un thé à la menthe à l'ombre d'un baobab.
Bien qu’il existe d'autres moyens de converser, l’homme n’a trouvé que celui-là pour apprendre à parler. Et cela, je le crains, ne prendra fin qu’avec sa disparition.
Quitter l’Europe ou tourner le dos à l’Union européenne ? La réponse se trouve dans la question.
Quitter notre bout de terre est faisable. Un avion, un bateau, une voiture, un train, et même à pied ! Les moyens ne manquent pas. Mais quitter son « chez-soi » par obligation, par soumission, c’est renier ce que nous sommes au nom de l’intérêt supérieur d’un pouvoir politique étranger. Je veux parler de la « grande » Amérique, dont l’emprise sur les peuples montre des signes de faiblesse indéniables. Sans dire qu'elle est au bout du rouleau, on ne peut pas passer sous silence son état de santé.
D’autres forces, ayant eu à subir la violence d'un règne sans partage, se conjuguent pour mettre fin à une domination outrageante reposant sur des fausses doctrines, la démocratie faisant partie de ces illusions ! J’ignore quelles sont les véritables intentions des nouvelles puissances, une fois la victoire acquise, ni quel sera le modèle de régime qui se s'imposera pour un renouveau de la gouvernance, mais une chose est sûre : un nouvel empire est en train de naître.
Je suppose que, comme toute nouvelle puissance, elles sera soumise à des pressions et reprendront, comme celles qu’on vient de chasser, des schémas de gouvernance similaires. Car ce qui nuit n’est pas la gouvernance en soi, mais le pouvoir et la tentation de son abus !
La disparition de l’Amérique en tant que puissance dominatrice est quasiment actée. Ceux qui pensent que c’est aller vite en besogne n’ont qu’à jeter un regard rapide sur l’histoire.  On découvrira sans surprise que ce fut le cas pour toutes les puissances depuis que l’homme a foulé cette terre, croyant et entretenant l’idée d'un statut éternel. C'est ce qui arrive quand on vend son âme au diable. On grille les dernières cellules vivantes de l'organisme au profit d'une mégalomanie psychopathe.
Les États-Unis sont comme ces personnes sur le point de se noyer que vous tentez de sauver en vous jetant à l’eau et qui vous entraînent par le fond. L’Amérique ne peut survivre à son chaos qu’en entraînant l’Europe dans son naufrage.
Allons-nous accepter l'idée du suicide vers lequel nous pousse une classe politique corrompue, ne possédant d’autre pouvoir qu’un ordre de mission délivré par le maître, sans piper mot ?
J’accepte l’excuse du conditionnement par l’éducation et la culture des sociétés modernes, instillées dès la naissance. Mais accepter notre disparition comme une fatalité historique pour le seul bien-être d'une minorité de malades, de pervers, de pédophiles, de satanistes et des criminels en tout genre, c’est tout bonnement inacceptable ! 
Est-ce si difficile que de devenir humains ? 

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 9 septembre 2024

Ce monde nouveau qui tarde à venir

Source
Un château de cartes est une structure qui n’a pas besoin d’un séisme de grande magnitude pour s’effondrer. Ni d’une grosse tempête pour tout balayer. Une simple pichenette, un petit geste maladroit, un soupir non contrôlé, suffit à envoyer valser une architecture ayant demandé des milliers d’heures de patience, d’adresse et de travail.
C’est un peu cela qui est en train de se produire avec nos sociétés, notre histoire, nos cultures. Tout est en train de se diluer dans le délire paranoïaque de dirigeants à qui les peuples ont fait confiance et qui n’ont d’autre objectif que de les réduire en cendre pour le compte d’une minorité diabolique.
Ce monde est bel et bien en guerre, cela ne date pas d’aujourd’hui. Une guerre sans pitié ni règle morale entre deux façons de le gouverner. Ceux qui jusqu’à présent ont la main semblent avoir du mal à garder le contrôle et pour tout dire à l'y perdre. Combien de temps encore avant qu’ils ne lâchent prise ? Nul ne le sait, parmi la nuée de stratèges des renseignements et des spécialistes de la « chose », mais une chose est claire : ça va encore monter de plusieurs crans et les victimes seront s'amoncèleront encore et encore.
Chaque image diffusée sur l’horreur perpétrée par Israël dans la bande de Gaza est un coup de poignard porté par des mains criminelles au cœur de l’humanité. Chaque fois, je détourne le regard. Chaque fois, ma chair est marquée par une nouvelle lacération, chacune d’elles portant le sceau de la colère et de l’impuissance. Et comme si cela ne suffisait pas, il nous faut faire profil bas sous peine d’être avili par la meute de chiens de garde dont les niches sont installées jusque dans nos palais !
La lentille d’aucun télescope, percevant jusqu’au plus infime détail à des distances colossales, ne sentira sous la carlingue l’odeur du soufre et du sang.  Ni celle qui émane de l’épiderme et se diffuse comme un brouillard sans fin : la peur et le désespoir.
Tout cela a lieu dans la plus totale insouciance, sur fond de cérémonies olympiques, de diverses élections, de débats politiques tronqués et d’antifascisme rance ! Les peuples ont-ils encore besoin d’autre chose que d’un smartphone, des logiciels expliquant le « bonheur d’être pucés » et les « bons plans » pour l’éclate ?
Soudain, je pense à l’Ukraine martyrisée, tombée entre les mains des mondialistes et des groupes de pression nazis, avec le concours des soldats de la presse dominante. Que serait-il advenu des populations du Donbass sans l’opération spéciale de la Russie ? Auraient-elles connu le même sort que nos frères palestiniens, au nom d’un peuple élu ou quelque chose dans ce goût-là ?
Les sociétés occidentales, prisonnières de l’État profond, sombrent dans le chaos et risquent de disparaître pour la survie l’empire américain. Il est écrit que sans la disparition de l’Europe, ou, ce qui revient au même, la soumission totale à sa volonté, sa mort est inéluctable.
Aujourd’hui, la notion du bien et du mal ne se mesure plus à être de gauche ou de droite. À ces petits débats qui ont jadis animé les amphithéâtres de nos facs et les cours de lycées. Ces concepts sont révolus depuis longtemps. Le vrai combat se situe désormais entre deux conceptions diamétralement opposées : peuple souverain (hors clivage) contre État profond !
En dehors, point de salut !

Sous l’Casque d’Erby