samedi 25 décembre 2021

L’homme de Trogneux-gneux

J’ai appris à ne pas croire. Mais aussi à me méfier de la bien-pensance comme d'un poison redoutable !
Nous sommes fin 2021 et le chaos règne en maître en notre beau et bon pays. Une année épuisante, marquée par l’instauration progressive d’un fascisme à forte connotation reptilienne.
Les nouvelles, surtout les mauvaises, vous malmènent la ruminance que c’est misère. En voici une qui a fait le tour de la toile, atteignant des pics de « popularité » insoupçonnés : Est-elle celui qu’elle dit ne pas être ? Est-il celui qu’il prétend n’avoir jamais été ?
Je parle de Brigitte Macron, notre première (on toussote à discrétion) dame. La nouvelle est tombée comme une pluie acide dans un bol de soupe bio. Devrons-nous parler désormais de premier transgenre de France ?
De quoi animer le débat cinéphile, histoire de fournir de la matière à des cinéastes en rade, d’inspiration et de talent. La rumeur, étayée, selon laquelle la première dame de France ne serait qu’une illusion a mis le feu aux réseaux sociaux et obligé la susdite à déposer plainte pour laver l'honneur « bafoué »
Certains, y compris des opposants « farouches », ont tout de suite écarté l’hypothèse d’un puissant « fake news », poussant le bouchon jusqu’à hurler à la « transphobie » et au complot d'une extrême droite « nauséabonde » et revancharde, termes hautement disqualifiants quand il est donné à des ectoplasmes manipulés, convaincus d’avoir une idée personnelle !
« Impossible ! », disent-ils, n’osant pas imaginer Jean-Michel Trogneux devenant Brigitte Macron mais ne voulant pas savoir qu’est-il advenu de ce frère qu’on évoque comme on le ferait d’une nébuleuse planétaire.
Quel dommage ! L’idée d’une adaptation, certes très libre, de la comédie « madame Doubtfire », avec le magnifique Robin Williams, sur fond pédo-sataniste à l’Élysée, a pourtant de quoi séduire un public privé de vrai cinéma, parce que, pareil que pour le reste, le cinéma a perdu ses couilles, si je puis dire.
Quant aux artistes, aux comédiens, aux fous du Roi, les pauvres sont pieds et poings liés, nécrosés à force de soumission, évoluant hors sol, ne pouvant que flagorner entre deux ricanements amers.
Pourtant l’idée d’un trans ayant transgressé tous les protocoles et se hissant par la seule force de la chirurgie et du dieu argent au plus haut sommet de l’État, mystifiant au passage dieu et ses saints, en devenant Madame, a de quoi faire bander, parole de scout !
Tout cela est aussi étonnant que l’idée jugée complotiste la veille et se faisant rattraper par la réalité à la vitesse de la lumière !
Et si cette histoire, révélée par Natacha Rey, après une enquête « minutieuse » de trois ans (lisez les liens) s’avérait aussi vraie que le pass sanitaire ou l’obligation vaccinale pour les enfants ou, encore, le projet de loi autorisant le « placement » d’internement des non vaccinés...
Allez, les bonnes fêtes quand même. J'ai fini de vomir. A vous le tour.
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

vendredi 10 décembre 2021

Ce n’est pas la pandémie qui fait mal mais le crime et la corruption.

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Tout le monde connaît le « code de Nuremberg », sinon dans sa totalité, du moins dans les lignes essentielles. A savoir, que l’expérimentation médicale pratiquée sur l'être humain se doit d’être acceptable et de répondre à un code éthique librement consenti.
Tel ne fut pas le cas chez les nazis pendant la durée de leur pouvoir. Raison pour laquelle le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 - août 1947) fait office de référence et de loi encore de nos jours. Pour combien de temps, telle est la question ?
Or cette loi, aménagée au cours des ans pour empêcher ou faire ralentir les nouveaux apprentis sorciers, n’aurait plus l’heur de plaire aux oligarques qui gouvernent le monde.
Depuis le déclenchement de l’opération « pandémie »  (cela a tout de l'opération militaire) et l’instauration de « l’état d’exception sanitaire », avec vaccination obligatoire, politiques, hommes de lois et scientifiques corrompus, font tout pour faire disparaître le désormais obsolète « code Nuremberg », de la même façon qu'un magicien ferait sortir un éléphant du cul d'une colombe !
C’est cela que la présidente de l’UE, Ursula Leyen, s’emploie à faire avec les lois européennes. De toute évidence pour la Dame l'Europe est d'abord une entreprise familiale (voir les liens).
Nous nous trouvons devant un état de corruption effrayant. Ce que l’on prend pour une démocratie n’est que le reflet de la « crédulité citoyenne » née d’un matraquage intensif via des médias pour la plupart propriété des oligarques, le journaliste devenant en la circonstance un domestique qu'on rémunère (grassement) pour ses bons et loyaux services.
Évoquer la démocratie dans l'état actuel des choses, c'est un peu comme si nous disions à l'occasion d'un dimanche en famille, visitant un zoo en compagnie des enfants, que les animaux confinés dans cet espace vivent en liberté. Animaux devant s’estimer heureux du contexte puisqu’on les nourrit à l’œil sans qu’ils aient à se casser le train pour aller chasser en territoire inconnu.
Si cette démocratie, dont on claironne si haut et si fort les mérites, était ce que l’on dit qu’elle est, tout pareil pour le vaccin anti-Covid, pourquoi le Sénat de la petite province France, suivant les consignes du Nouvel Ordre Mondial, se dépêche de voter des lois pour empêcher les personnes vaccinées de porter plainte contre les fabricants de vaccins en cas d’effets secondaires graves et aux familles en cas de décès à la suite des injections ?
Que penser alors des liens entretenus par des proches du pouvoir avec les lobbys, conditionnant ainsi les décisions des gouvernements « démocratiquement » élus ?
Ainsi du fils Fabius et du fils de la présidente Ursula Leyen, tous deux travaillant pour McKinsey, cabinet qui gère les campagnes de vaccination partout où il y a des millions à se faire sur le dos d’une fausse pandémie, mais des vraies mines du Roi Salomon !
Ajouterai-je pour arrêter là la nausée qui me gagne les multiples conflits d’intérêts de ces éminences qui dénigrent le Pr Didier Raoult et qui « conseillent » le gouvernement ? Ici le LIEN plus qu’édifiant.
Est-ce du délire de dire et d’écrire que la pandémie n’est pas le Covid mais la corruption et le crime ?
 
 
Sous l'Casque d'Erby
 
 

 

dimanche 5 décembre 2021

Tous dehors !

Erby
Les bouleversements politiques ayant entraîné des changements importants dans l’organisation des sociétés ont toujours été l’œuvre des minorités. Décriées jusqu’à la nausée quand elles se battaient seules « contre tous » pour empêcher le pire ; adoubées avec indécence quand la victoire se matérialisait. Rien d’étrange à cela, car c’est ainsi que l’humain fonctionne.
Hier, ce fut l’Ancien régime qui s’inclinait devant la bourgeoisie (et donc le système bancaire) omnipotente, imposant sa place au banquet des puissants. L’aristocratie changeait de nom.
Ôtons-nous de l’idée que la Révolution française fut la révolution du peuple. En la circonstance, le peuple servit de main d’œuvre à la nouvelle classe pour consacrer son pouvoir.
Tout récemment ce furent les nazis qui plièrent bagage, non sans auparavant avoir mis le monde dans un sale état, laissant derrière eux de l’héritage aux futurs apprentis sorciers. Ceux qui aujourd’hui, sous une autre casquette et des méthodes dites « lénifiantes », cherchent à atteindre les mêmes objectifs.
Le Covid (peu importe le nom du fléau mis en vitrine) servant de prétexte pour donner aux héritiers les moyens de leur pouvoir : l’esclavage de masse. La destruction des particularités locales et l’uniformité massive pour faire du monde tel que nous le connaissons et l’avons bâti, un immense enclos. Cela s’appelle le Grand Reset. Soit l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial, porté par le forum économique de Davos dont le grand prêtre est Klaus Schwab. Un criminel qui en a toujours rêvé. On n’est pas fils de Rothschild (côté maternel) pour rien !
La minorité qui aujourd’hui grandit pour, à nouveau, tuer la « bête immonde » a du pain sur la planche.
Aujourd’hui comme hier, l’adversaire le plus redoutable demeure notre voisin le naufragé. Celui à qui nous tendons la main pour sauver nos peaux. Victime comme tous de la manipulation de masse, il ne parvient pas à croire que la bête soit si immonde et, dans un réflexe de peur atavique, s’en prend à son allié, à son frère, à sa famille, s’il le faut !
En 1933, Adolf Hitler introduisit le « Der Ahnenpass », connu sous le nom de « passeport généalogique ». Ce pass confirmait que le détenteur était bel et bien d'origine arienne (les vaccinés aujourd’hui) et lui donnait accès aux musées, bâtiments publics, théâtres, écoles et emplois…
Si des esprits mal avisés voient en ce propos un lien de parenté entre les décisions du Père Adolf et celles prises par les gouvernements du monde depuis l’apparition si opportune du virus du Covid, je les conforte, c’est volontaire de ma part !
Si l’obligation vaccinale n’existe pas dans le texte (pas encore), le pauvre diable apeuré s’en sert comme argument quand il doit argumenter en faveur d'une démocratie de façade, oubliant que lui-même fait l’objet de chantage pour conserver son job ou tout autre activité, faute de quoi « adieu veau, vache, cochon, couvée » !
De la science-fiction ? Cela reste plus crédible que l’idée selon laquelle l’homme a marché sur la lune ! Quand le cinéma est capable de représenter des martiens, quoi de plus facile que de montrer trois gus en scaphandrier marchant dans le désert de l’Arizona feignant se trouver là où ils n’ont jamais mis les pieds !
Ce qui n’est pas du cinéma c’est le nombre de personnes vaccinées victimes d’effets secondaires graves et qui doivent interrompre leurs activités. C’est le cas dans le monde du showbiz où certaines stars font des malaises sur scène suite à la deuxième injection de saloperie vaccinale. Itou chez les sportifs où les problèmes cardiaques se multiplient…
Nouveauté : les médias dominants, ayant milité pour la vaccination à outrance, commencent à ouvrir les vannes et à aborder le sujet publiquement… Même si ces médias sont en grande majorité la propriété des héritiers du père Adolf la marmite commence à chauffer du cul !
Et si la minorité de complotistes grandissait, grandissait, grandissait et foutait en l'air toute la pourriture qui pourrit la vie sur terre ? Il faut y croire !
 
Sous l’Casque d’Erby 
 


mercredi 1 décembre 2021

J’aurais voulu être une autruche...

M art' IN
Après avoir longuement observé l’homme et l’autruche, j’ai tenté un rapprochement. Expérience que j’ai menée au terme d’un voyage personnel enrichissant, poussant le bouchon aussi loin que possible. La singularité désarmante de cet oiseau d’envergure conséquente a souvent émoustillé mon esprit, me demandant où allait-il chercher la force de son indifférence.
Dès lors que ma décision était prise, j’ai cherché sans relâche une plage d’or fin où mener à bien mon entreprise de déstructuration ou l’inverse.
J’ai enfin trouvé ce que je cherchais, vers là-bas, au bout du monde, dans ma Bretagne originelle. La baie des trépassés était l'endroit idéal pour creuser mon trou !
Cette étendue de sable située entre les deux pointes de Plogoff et de Cap Sizun, m’a semblé l’endroit idéal pour tester et adopter la posture de cet oiseau coureur ne s’intéressant qu’à ses petites affaires sans se soucier de l’histoire du monde, ni de celle de sa propre communauté.
L’endroit où jadis s’échouaient les cadavres et les restes de navires naufragés, poussés par les vents dominants de l’ouest qui les fracassaient sur les récifs de Sein, endroit à qui l’histoire et une mauvaise traduction prêtent une si mauvaise réputation.
La baie des trépassés pourrait devoir son nom sinistre à une erreur de traduction : elle s'appelait à l'origine Bae an Avon, « la baie de la source » (un petit fleuve côtier s'y jette effectivement). Mais l'erreur a conforté la légende et attiré le touriste. Aubaine ou infortune ?
Un ami m’avait averti : « Attention, on ne devient pas autruche sans une préparation mentale préalable. L’autruche ne connaît pas l’empathie. Du moins la version humaine de ce sentiment. Cela peut te conduire très loin. »  
Je suivis son conseil. J’entamais une préparation minutieuse ! J’essayais de ne rien négliger de l’effort et de la fatigue physique et mentale que j’allais infliger à mon organisme.
Me munissant d’un bloc de polystyrène assez épais, j’opérais un trou aux dimensions de mon crâne afin d’y placer la tête le moment venu. Ce fut le début de ma préparation. Ensuite, pendant deux longues semaines, nuit et jour, j’ouvrais les vannes de l’information sur les canaux intensifs, de ceux qui ne dorment jamais et vous en empêchent tant le matraquage est énorme. Je sautais d’horreur en horreur comme l’abeille butine les fleurs. Ce fut une expérience extrême. Quand cela atteignait le paroxysme, que mon esprit entrait en fusion, que je sentais mon âme chavirer dans le néant, j’enfouissais mon crâne dans le polystyrène et j’y restais assez longtemps pour étouffer la douleur qui m’étreignais. Ça marchait ! Surtout lorsque cela s’accompagnait d’une bonne rasade de vodka !
Après cette épuisante préparation j’arrivais sur les bords de cette plage écumeuse au sable d’or au point du jour. Pas âme qui vive à l’horizon. Pas de gendarmes à des kilomètres à la ronde, j’avais pris soin d’inspecter les environs auparavant. La rumeur des vagues m’enivrait. Je sentais en moi la rumeur jumelle de l’apaisement m’envahir. Le bonheur à l’état pur ! J’allais enfin éprouver le ressenti de cet oiseau venu du fond des âges.
Avec la bêche je creusais un trou au diamètre d'un crâne que j'avais gros. Je me suis agenouillé, postérieur en l'air. A cette heure je ne risquais rien, j'étais seul. J’ai plongé ma tête dans la béance et ne ressentis rien d’autre que l’odeur d’eau salée dans laquelle plongeait le sable.
Le bruit des hommes et les horreurs dont ils sont capables avait disparu. Ne restait qu’un bourdonnement persistant aux oreilles. Comme si j'étais devenu sourd, ou sur le point de l'être.
Me sentais-je heureux pour autant ? Voire libéré ? Point du tout. A la rigueur un peu stupide.
En définitive, malgré ses efforts, l’homme ne sera jamais une autruche.
Vivre la tête enfouie dans le sable, ce n’est pas une vie !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

vendredi 25 juin 2021

Second tour des régionales : le doigt dans l'cul !

Erby
Costume de scène et loups pour cacher le visage hideux de la décadence, les élections régionales sont là pour perpétuer le viol permanent du peuple.
La gauche, cette pute protéiforme avec laquelle on anime les trottoirs, s’est sabordée par le mensonge et la collaboration.
« Gauche » étant dans mon esprit un terme auquel se rattachait jadis une pensée politique séparant une rive de l’autre, une sorte de frontière entre le « bien » et le « mal » qui n’existe plus que dans le délire compulsif de quelques naïfs. Dans la réalité, cela fait longtemps qu’elle est partie sans laisser d’adresse. Reste les boniments avec lesquels les escrocs tiennent (pour combien de temps encore ?) la bête en laisse.
Faut croire que la gamelle est bonne au palais des attablés !
Depuis un an et demi, vague après vague, je n’ai pas entendu un dirigeant de la « gauche du bien » dénoncer la dérive totalitaire du pouvoir, alors qu’elle ne cesse de donner du clairon pour exhorter la militance à gagner la rue pour crier haro contre le péril d’une extrême droite plus bavarde qu’active sur le terrain politique.
Confinement, couvre-feu, vaccination et passeport pour la mort, ont servi et servent les intérêts des élites, sans que la « gauche » jacassante, complice jusqu’à la nausée, ne renverse la table pour condamner un crime de masse et n’appelle le peuple à la révolte !
En l’occurrence c’est le peuple des gilets jaunes qui se fait casser sans que cela ne soulève la conscience de ces bonnes gens, ou si peu !
Des échéances locales aux échéances nationales la comédie des faux affrontements fratricides de la gauche contre la gauche, de la droite contre la droite, l’une et l’autre, une fois le ménage fait dans leur antre, unies contre le peuple, finit par lasser tout le monde, ce qui, in fine, sert les intérêts des élites dont le règne repose sur le chaos. Et ce n’est pas le sicaire de la finance installé à l’Elysée qui démentira.
Et ce n’est pas, non plus, la giflounette reçue lors d’un de ses déplacements récents, ni la lamentable histoire en compagnie de Mcfly et Carlito sous les lambris de la république pour « séduire » la jeunesse française qui empêchera le naufrage.
Un second tour électoral pour quoi faire ? Pour assister au carnaval des corrompus ?
Voter c’est donner encore et toujours du crédit à des criminels et à des escrocs. Libre à vous.
Mais n’oublions pas ceci : que nous soyons 70 % d’abstentionnistes ou plus, au final les médias proclameront la victoire éclatante des élites !

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 9 juin 2021

A huit heures moins une, je fais le fou !

M art' IN
De la panique pandémique au délire électoral il n’y a qu’un pas. Nous y voilà.
La campagne pour la prochaine présidentielle est lancée, avec les « gentils » – ceux qui bientôt seront sur le banc des accusés pour un Nuremberg 2 ? – et, bien entendu, tous les « vilains », islamophiles, islamophobes, antisémites et fachos, se livrant une guerre sans merci devant une opinion fracassée par le cruel dilemme : la peste ou le choléra ?
Le vote blanc n’étant toujours pas validé par la constitution on peut s’attendre à une abstention historique, si tant est... Quelle sera donc la légitimité « démocratique » de l’heureux gagnant ?
Banques, multinationales et Big Pharma, génératrices de pouvoir profond et vrais ordonnateurs du Nouvel Ordre Mondial, désignant celui que nous pensons être notre choix.
La multiplication de candidats mettant en relief que nous n’avons pas besoin d’appareils sophistiqués pour fausser une élection, comme cela a été le cas aux Etats-Unis, le trucage étant l’élection elle-même.
Des patrouilles de mercenaires écument l’espace médiatique avec frénésie afin de distraire un auditoire indifférent, à force de péroraisons pandémiques sur un virus sans presque pas de morts, hormis ceux que l’on vaccine de force.
Bientôt un an et demi que ça dure, cette tartuferie où le con devient son propre otage et le mort un patient qu’on fait patienter.
Et dans ce jeu de dupes qui de mieux pour fournir la batte en relançant la machine ? J’ai nommé Jean-Luc Mélenchon !
En déclarant qu’un « grave incident », semblable à celui de Mohammed Merah en 2012 pourrait faire basculer le scrutin présidentiel « lors de la dernière semaine de campagne de la présidentielle de 2022 », Méluche à mis le feu aux poudres !
Aussitôt dit, la cohorte de mercenaires est venue à la fenêtre médiatique cracher de l’injure, caillasser à tout va celui qui dit tout haut ce que n’importe quel homme normal pense tout va, y compris parmi ceux qui crachent et caillassent ! N’importe quel livre d’histoire peut nous éclairer au sujet des complots fomentés par le pouvoir pour retourner l’opinion.
Un de ces vitupérateurs, philosophe à la petite semaine, va jusqu’à dire que dans un tel contexte et à son corps défendant  - il se murmure qu'il est de gauche - à « huit heures moins une il irait voter Le Pen plutôt que de laisser la porte ouverte à Hugo Chávez » ! Quel homme !
Hélas, en guise de « grave incident » le président a reçu une gifle de la part d’un quidam lors d’un « bain de foule » à l’occasion d’une visite officielle.
Maigre consolation pour un pays qu’on enfonce, mais suffisant pour faire grimper le baromètre des intentions de vote.
Ce n’est pas de candidats que la France a besoin, mais d’un homme d’Etat pour qu’elle retrouve enfin son honneur !

Sous l’Casque d’Erby



samedi 22 mai 2021

La réalité est un polar, la vérité un cauchemar

M art' IN
Voici quelques citations sur la façon dont fonctionnent les « grands hommes » qui dirigent la planète. Elles sont extraites d’un ouvrage édité par Investig’Action sous la direction de son auteur Michel Collon : « USA, les 100 pires citations » (1).
Si certaines personnalités citées dans l’ouvrage ont aujourd’hui disparu leur malveillance perdure dans l’esprit de celles qui les ont succédées. Le mal ne connaît pas le repos.
Dans un prolongement logique, depuis l’apparition du fameux et très opportun virus du Covid-19 à l’hiver 2019, les personnes ayant cherché soit à suggérer un remède, à contester ou dénoncer l’imposture, ou à exprimer tout autre forme de doute, ont soudain trouvé une mort aussi étrange que suspecte, sans que cela n'alerte massivement une population sous sédatif médiatique. Des personnes ayant travaillé dans l'environnement proche du milieu où le virus s'est déclaré ou ayant à prendre des décisions politiques liées à la chose. Pas n'importe quel néophyte donc...
Ces personnes sont mortes par défénestration, par crise cardiaque ou par simple exécution d’une balle dans la tête. Certains auteurs de ces crimes ayant à leur tour été exécutés par d'autres tueurs, effaçant par le fait toute trace d'accointance avec quiconque, personne civile ou morale !
Un véritable bataillon de la mort et de tueurs à gage œuvrant sur la planète, pour le compte... de qui ?...
Des morts ayant été qualifiées par les services de police comme des suicides liés à un état dépressif ou à des accidents de santé, ou, encore, plus étrange, au « meurtre-suicide par strangulation », comme cela fut le cas avec le couple Barry Sherman, propriétaires du grand laboratoire canadien Apotex, un des principaux fabricants d’hydrochloroquine ! Selon l'enquête réalisée par monsieur Philippe Aimar, auteur de « Covid-19 – Enquête sur un virus » (2).
La réalité est un polar, la vérité un cauchemar !
On ne s’égare pas. Comment le pourrai-je, puisque tout est si machiavéliquement imbriqué !
Quelques citations donc du livre de Michel Collon cité en haut :
De l’Amiral Kurt Tidd, à propos du Venezuela : « Organisons pillages, troubles, insécurité… Le moment d’agir est arrivé (…) intensifier l’insatisfaction populaire, en favorisant plus d’instabilité et de pénurie jusqu’à des niveaux critiques, en intensifiant la dé-capitalisation, la fuite des capitaux étrangers et la dégringolade de la monnaie nationale (…) contribuer à rendre plus critique la situation pour la population (…) appel à des alliés internes afin qu’ils génèrent des manifestations, des troubles et de l’insécurité… » Un humaniste, l’Amiral !
De Michael Short, commandant des Forces alliées US Europe du sud (1944-2017) : « Si vous vous réveillez le matin et que vous n’avez pas d’électricité, ni gaz pour le poêle, et si le pont que vous prenez pour aller travailler est démoli et gît dans le Danube pour les 20 ans à venir, je pense que vous pouvez commencer à demander : « Hé Slobo (Slobodan Milosevic, président de la Yougoslavie), qu’est-ce qui se passe ? On va devoir supporter ça jusqu’à quand ? » Un grand poète, ce Short !
De Thomas Friedman, journaliste US, éditorialiste au New York Times et grand partisan de la guerre contre la Yougoslavie en 1999 : « Pour que la globalisation marche, l’Amérique ne doit pas craindre d’agir comme la superpuissance omnipotente qu’elle est. La main invisible du marché ne fonctionnera jamais sans un point caché. McDonald’s ne peut être prospère sans McDonnell Douglas, le constructeur de l’avion F-15. » Les journalistes, ces grands collabos !
Les 97 citations restantes sont de la même eau ! Et ils appellent ça le « Monde Libre » !

Sous l’Casque d’Erby



jeudi 20 mai 2021

Marée haute, marée basse

Du début à la fin 
Le meilleur et le pire 
Se tiennent par la main
Au cœur des contes de fées, 
Le cauchemar
La tête enfouie dans le sable
Bonheur improbable

Rupture de ton 
Rupture de temps
Soufflent les vents


En quête d'un refuge 
Imposture
Crique où loger
Le rafiot des illusions
Fracassé sur la roche en fusion
Pages gribouillées
L’oracle chante 
Des chimères échevelées

Marée haute, marée basse 
L’onde s'esclaffe
File des baffes

Les vagues se succèdent 
Sans que sous l’algue
L'humus n’apporte 
Le miracle
Caressant l'idée d’un alizé austral
Poussières d'étoiles
Effaçant l’horreur des âmes sales

Rupture de ton 
Rupture de temps 
Soufflent les vents

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 16 mai 2021

Palestine : extermination programmée ?

Une nouvelle fois, la Palestine, pays hôte du jadis SDF Israël, se fait canarder par les invités et les civils tombent, tombent, tombent. Comme souvent, femmes, enfants et vieillards sont les principales victimes.
Assistons-nous à une nouvelle « solution finale » imaginée par des cerveaux criminels ? A force, même les esprits les plus modérés finissent par le penser. Y compris au sein de la propre communauté juive !
En 1947, les forces alliées, anglais en tête, trouvent une terre d’accueil à la diaspora juive, après la rouste nazie de la seconde guerre mondiale. La Palestine est choisie et sa terre arbitrairement « partagée ». Tel le coucou, les israéliens pondent leurs œufs dans le nid des autres. 
Israël est né et très vite les palestiniens commencent à avoir la chtouille, non sans raison, puisque en une petite vingtaine d’années seulement le peuple invité a jeté ses tentacules sur 75 % du territoire palestinien. Colonisation express ! En avant, marche ! Le tout agrémenté d’exactions ad hoc avec la bénédiction d’un occident subjugué par une telle hardiesse !
Et si quelqu’un proteste, crie à l’expropriation, au vol et au crime, on l’écarte avec des arguments dignes de l’autofiction. Dieu en personne n’avait-il pas désigné Israël comme le « peuple élu », un soir où il avait visiblement abusé de la bouteille ? Si tant est que Dieu existe et qu’un quidam ait été témoin du propos ! Ne dit-on pas que l’abus d’absinthe rend fou ? Personne cependant pour authentifier la chose, puisqu’à l’époque Dieu, s’escrimant à rompre sa solitude, occupait son temps à créer tout et n’importe quoi !
Mais qui est le menteur dans cette histoire sans témoin ? Qui est le fou criminel ?...
L’agression systématique des palestiniens n’est pas la conséquence d’une énième réponse à l'attaque d’un peuple moribond, mais un projet préexistant pour imposer une loi et un discours manipulateurs afin de finir le travail. La censure et la contre-information des médias dominants servant de relais pour faire passer un crime pour un geste défensif.
A Berlin, Londres, Madrid, en Irlande…, dans toutes les capitales du monde, la mobilisation pour condamner cet acte criminel a été exemplaire.
A Paris, les manifestations de soutien ont été interdites par le gouvernement sous prétexte – on ne rit pas – d’empêcher la propagation de la « haine et l’antisémitisme » !
Aujourd’hui en France, c’est très tendance, celui ou ceux qui trouvent à y redire sont de fait disqualifiés avec des accusations calomnieuses comme « antisémite », « facho », « identitaire », « brun », et j’en passe. Or quand des millions de personnes, toutes opinions confondues, assistent à un crime et se mobilisent sans violence pour le dénoncer doit-on en déduire que l’humanité a sombré dans l’horreur ? 
Un crime reste un crime et les droits de l’homme ne sont pas faits uniquement, comme l’affirmait froidement Henry Kissinger, salaud parmi les salauds, pour « contrer les communistes ».

Sous l’Casque d’Erby



lundi 3 mai 2021

Fascisme sauce pandémique

Erby
Qu’est-ce qu’on s’amuse en ce début de 21ème siècle !
Il a suffit que quelques militaires, retraités ou pas, inquiets du vent mauvais qui secoue la France, viennent tirer la sonnette d’alarme auprès des fossoyeurs de la république, pour que des malins et la cohorte habituelle de mongoloïdes crient au « coup d’état », au « fascisme », à l’éclosion d’un « totalitarisme sanguinaire », attachés qu’ils restent à l’ancien logiciel, représentant le militaire la poitrine bardée de médailles devant sa garde prétorienne, prête à exécuter à la chaîne des citoyens par milliers après une prise de pouvoir sanglante.
Ces esprits perturbés oublient qu’un coup d’état ne s’annonce pas sur BFMTV ou un autre média à l’heure de l’apéro, il s’exécute. Subsidiairement, ces abîmés de la comprenette n’ont pas intégré que l’habit ne faisant pas le moine, le fascisme n’a plus besoin de l’équipement des ancêtres pour réussir à se saisir du pouvoir et à conduire le surplus du troupeau à l’abattoir.
Pour cela, nos dirigeants ont développé la torture sous une forme plus raffinée, cette fois via une peur de masse propagée par des pangolins déchaînés et dont la guérison ne peut passer que par un vaccin obligatoire, contenant on ne sait quelle saloperie, et l’instauration d’un nouvel ordre mondial « protecteur » que certains allumés confondent avec la jadis utopique « solidarité internationale » !
Notre opposition nationale n’a pas été dernière à danser sur l’air des « militaires séditieux », préoccupée qu’elle est par les futures élections, plus que par la bonne santé mentale et le bonheur des français, celui-ci passant d’abord par le leur. Tellement dévorée par l’ambition que rien de ce qui pourrait lui faire perdre une voix, comme la dénonciation du port du masque, le couvre-feu, le confinement, le passeport vaccinal, la destruction de l’économie et la misère subséquente ne les branche pas autant que ces militaires retraités atterrés par tout cela et par la disparition propre et nette du pays dont ils ont leur vie durant défendu les valeurs.
Entre ceux qui savent et ceux qui s’en doutent, nous sommes assez nombreux à penser que sous couvert de démocratie et du « droit de vote » gauche et droite servent d’abord les intérêts des banquiers dans un système « d’auto-alternance » aux rouages bien huilés, le parti de Marine Le Pen jouant à fond son rôle d’épouvantail. Tellement efficace !
Depuis plus de cinquante ans la classe politique brandit la menace de l’extrême droite pour se maintenir à flot. Or en cinquante ans l’extrême droite n’a jamais gouverné le pays et pourtant c’est sous un régime préfasciste que nous vivons ! Étonnant, non ?

Sous l'Casque d'Erby

samedi 20 mars 2021

Vive la Commune, mais pas que !

Source
Il y a 150 ans, la Commune de Paris allait écrire une page sanglante de l’histoire de notre pays, en même temps qu’elle soulevait une vague d’espoir jamais concrétisée par la suite, sauf, dans l'esprit, l’intermède espagnol de 1936 à 1939 pendant la guerre civile. Du sang et de la terreur au menu.
Depuis des générations, tous les ans, à date ponctuelle, on célèbre sa mémoire à grands coups de sniff-sniff, répandant mouchoirs en papier sur les trottoirs, après avoir essuyé des yeux irrités et des tarbouifs dégoulinants.
Dire que cette dépense d’énergie m’a toujours gavé, tout autant que la distribution de tracts à la sortie des bouches de métro, ne donne qu’une petite idée de l’état dans lequel cela me plonge. Ni utile ni agréable. Et très frustrant.
Avant la Commune, je fais vite, ce fut la révolte des canuts à Lyon en 1831 ; et avant encore - bien avant - Spartacus et « ses » parias – 73 avant J.-C. - donnant pendant trois ans du fil à retordre à l’Empire romain pour une crucifixion massive.
Après ça, plus près de nous, les marins de Kronstadt, en 1921, dénonçant la dictature bolchevique et se faisant larder, tout pareil que les communards précédemment. N’oublions pas, lors de cette période de dictature du « prolétariat » naissante, l’attitude néfaste des bolchos à l’égard de Nestor Makhno et de son armée ukrainienne, souvent alliés du nouveau pouvoir contre les « russes blancs » et sitôt trahis, massacrés par ce même pouvoir, dont le bras armé n’était autre que feu Léon Trotsky, que certains nous présentent dans le milieu politique français actuel comme un angelot ! Je t'en foutrait !
Comme on le voit, les occasions de célébrer une tragédie ne manquent pas ! En fait on ne célèbre que des défaites ouvrières, au fur et à mesure que le monde s’enfonce dans le chaos et le totalitarisme.
En vérité j’en ai franchement marre de ces « festivités » ponctuelles qui endorment plus qu’elles n’éveillent !
En 1945 nous pensions que le ventre de la « bête immonde » avait été rendu infécond. Or, avec une certaine distance, on s’aperçoit avec horreur que ceux qui avaient œuvré à rendre stérile le nazisme, s’enrichissant au passage, sont les mêmes qui aujourd’hui poussent à la gouvernance globale, à l’eugénisme et à l'effacement de toute volonté... 
Alors, nos petites manifs de célébration annuelle, non seulement ils s’en tamponnent, mais ils les encouragent pour développer plus de désordre dans les esprits.
Plus un pays est acculturé, plus il est facile à manœuvrer. 

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 14 mars 2021

Noir c'est noir

M Art' IN
Retour de la ville. Muette et immuable. Le désert de Gobi version Big Brother.
On murmure à l’oreille du canasson que je suis que « ça bouge » ; que le pouvoir profond n’a qu’à bien se tenir ; que tout ça va sauter ; que les salauds seront pendus avec les boyaux des derniers capitalos.
Dans le doute, j’ai sorti le costume de la naphtaline et le tient fin prêt pour le cas où… Noir avec sa cravate rouge, mes couleurs, celles de l’anarcho-syndicalisme ! Pas ce rouge bâtardé qu'on nous sert en guise de consolation entre deux arnaques électorales. Du rouge bakouninien tendance Buenaventura Durruti.
Je dis bien au cas où.
Tellement de choses se bousculent dans l’esprit par ces temps chaotiques qu’on ne sait plus sur quel mur taper le front pour faire désenfler l’hématome.
Ainsi, la dernière polémique au sujet d’un livre venu d’outre-Atlantique, laquelle fait suite à d’autres de la même eau, comme celle qui m’oblige à baiser les arpions des blackos pour des « crimes » que je n’ai pas commis.
Un remède contre la connerie ? Hélas, non !
La traductrice désignée, Marieke Lucas Rijneveld, écrivaine et poétesse néerlandaise, pour traduire son homologue américaine, la poétesse noire Amanda Gorman, choisie par Joe Biden pour son investiture, abandonne la partie, non point pour incompétence, au contraire, mais parce qu’elle n’est pas noire de peau, pas plus qu’elle n’affiche un CV d’activiste poursuivie par les services de sécurité de l’État ! Bref, elle est victime de sa couleur de peau et d’une histoire militante aussi plate que l’eau du robinet.
En effet, une décérébrée de gros calibre, journaliste et militante noire, Janice Deul (là on s’accroche !) estimant qu’une « personne noire aurait dû être choisie pour ce faire » !
Et si nous répondions à cette hystérique aux neurones mal fagotés que les noirs n’ayant pas inventé l’écriture, leur culture étant d’essence orale, au nom de qui ou de quoi écrivent-il des livres ou des articles comme le sien avec des signes inventés par des non noirs ?
On laisse couler, noir c’est noir !

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 7 mars 2021

Nos gouvernants n'aiment pas la France ni les français

Erby

Ce n’est pas souvent que je file en ville. Je ne l’ai pas fuie pour éprouver soudain le besoin d’un  « retour aux sources », comme on dit dans le jargon. Quand j’y reviens, faut pas se mentir, j’éprouve du plaisir à la retrouver. A goûter son anonymat sinon sa terrible indifférence, c'est selon. Peut-être parce que je sais que je ne vais pas m'y éterniser.
Quand j’y atterris, je m’installe à la terrasse d’un troquet dans une rue passante, et là, bien calé dans mon trip, le monde y défile comme dans un manège magique. Tous les pays s’y donnent rendez-vous pour un festin visuel digne de la quatrième dimension. Les couleurs flamboient comme des oriflammes poussées par la brise des rêves, sans autre notion que celle d’exister parce qu’on respire, on rit, on pleure, on aime ou on déteste, sans haine et sans crainte.
Parce que c’est la vie et que c’est ainsi qu'on l'aime.
Hélas, ce dernier passage a été un désastre moral. Comme si le glas des espérance, sonnant la fin des temps, ouvrait des passerelles vers un enfer perpétuel. Comme si des poignards maléfiques perçaient les entrailles, vous laissant juste ce souffle ténu pour que vous caressiez l’espoir insensé d’un retour à la vie normale. La vie d’avant la torture.
Plus de troquets pour voir défiler le monde dans sa sublime beauté. Que des gens tristes, tristement masqués. Des couples se tenant par la main ne cherchant même plus à s’embrasser. Il ne leur manquait que les gants pour éviter le peau à peau délictueux ! 
Plus de musées où aller faire fleurir l’arbre de l’esprit devant l’origine du monde.
Plus de cinémas où étancher une soif d’imaginaire en regardant 2001 l’odyssée de l’espace, Les sentiers de la gloire, un bon Sergio Leone, Citizen Kane ou n’importe quel navet pourvu qu’il procure du plaisir à celui qui regarde.
C’est cette liberté que nos dirigeants veulent effacer, ouvrant les vannes à une gouvernance totalitaire.
Les gens qui sont à la tête du pays n’aiment pas la France ni les français. Peut-on laisser la direction d’une nation à des personnes qui n’ont que la haine pour moteur ?

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 25 février 2021

Tricher, mentir, voler, Macron connaît la zyque

Erby
J’ai lu que chez nos voisins les germains le ministère de l’intérieur est le plus grand pourvoyeur de fausses nouvelles du pays sur le Covid 19. Une usine à mensonges !
Die Welt, un média tout ce qu’il y a de plus normal chez les teutons flingueurs, expliquait comment le « ministère de l’Intérieur allemand a commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes » !
Un esprit simple pourrait-il imaginer devant ce scandale des choses identiques par chez nous sans se faire démolir par la propagande médiatique ?
Même si l’exagération des chiffres reste chez nous en dessous des calculs allemands, l’approche est la même. En conséquence, la sanction, s’il devait y en avoir, devrait être identique.
Les salauds sont à l’œuvre et les peuples sont sous l’effet de puissants narcotiques. Qu’on ne me dise pas que la sinistrose en est l’unique cause. La connerie a aussi sa place dans cet état !
Les criminels de l’exécutif savent jusqu’à quel point la bêtise peut servir leurs desseins ! L’acte criminel étant avéré, il n’en est que plus grave !
Les gouvernants suivent un plan de nivellement par le bas soigneusement préparé. Sinon, qu’on explique scientifiquement quelle différence cela fait, en matière de létalité virale, un couvre-feu à 18h au lieu de 20 heures, sinon à infliger une torture psychique à la personne ? En supposant que le couvre-feu soit le miracle tant attendu pour venir à bout d'un virus finalement pas si mortifère ! Il ne faut pas prendre le peuple pour plus con qu’il n’est. A force, ça finit par se voir. Gare à sa colère quand il en prendra conscience !
Qu’on nous prouve en quoi un confinement le week-end et pas le reste de la semaine va faire reculer le virus ? Des questions simples qui ne nécessitent pas la réponse des forces de l’ordre !
Chez certains – j’en fais partie – on parle de « crime contre l’humanité », de « collaboration », pour les individus complices de l'arnaque, en référence à l’occupation allemande. On évoque aussi très sérieusement une liste de Schindler pour y inscrire les noms de ceux qui consciemment ont contribué à répandre des fausses nouvelles, moyennant qui une fonction, qui un revenu, qui les deux ! Sans oublier, cerise sur le gâteau, le nouveau procès de Nuremberg pour actes de torture volontaires.
Pour ma part, je suis contre les procès : trop coûteux pour défendre des vandales, cet argent pouvant servir à redresser les nations.
Ces gens, si le peuple se réveille – je reste cependant dubitatif sur ce point – devront fournir d’autres explications que les très éculés « j’appliquais les consignes », « j’obéissais aux ordres », « je ne savais pas », et autres « si j’avais su » ! 
Tous savent ! 

Sous l’Casque d’Erby 

 



dimanche 21 février 2021

L’honneur perdu des insectes

Un an bientôt qu’on bride, on brime et on ligote les peuples du monde, avec des voix sporadiques qui s’élèvent, mais pas assez nombreuses pour que la rue se soulève.
Je n’y crois plus à ce « retour à la normale » tant attendu et tant proclamé. J’entends par là, l’idée de retrouver les marqueurs que nous avions avant la mise en place de cette maudite dictature « sanitaire ».
Nous avons changé de dimension par le fait d’un mensonge. Des insectologues missionnés pour étudier le comportement chez les différentes colonies de la planète terre l’ont ainsi pensé et décidé. Que sommes-nous d’autre, malgré nos airs, sinon des insectes entre les mains d’entomologistes froids comme des coups de scalpels ?
Le « monde d’avant » appartient désormais à cette mémoire confuse qui agite encore l’intérieur de ceux qui ne perdent pas espoir, mais dont le poids dans la balance n’est qu’anecdotique. Même si mathématiquement la masse a ce poids pour elle, la minorité dominante a quasiment partie gagnée, puisqu’elle neutralise l’esprit par la peur et le mépris.
Par peur et par contrainte, nous porterons un masque qui ne protège pas mais qui est obligatoire !
L’enseignant imposera des règles traumatisantes aux élèves parce que telles sont les consignes.
Les infirmières continueront de sonder les trous de narines et du cul des patients à la recherche d’un trésor enfoui, parce que c’est ainsi qu’on le décide.
Les policiers frapperont au hasard tout « contrevenant », qu’il soit jeune, vieux ou handicapé, parce que c’est pucé dans les gènes et que c’est ainsi qu’on l’ordonne !
Les médecins prescriront en silence ce qu’on leur dit de prescrire, sous peine de se voir radiés du Conseil de l’Ordre, lui-même au service des multinationales de la santé.
Pour les mêmes raisons on vaccinera jusqu'à extinction les vieux dans les Maisons de retraite et on empêchera les familles de les approcher, les condamnant à mourir dans l’indifférence.
On obligera le personnel des entreprises à se faire vacciner sous peine de perdre l’emploi en cas de refus.
Une fois tous bien ligotés, autrement dit vaccinés et revaccinés, munis d’un passeport sanitaire (permettant l’accès aux lieux publics), séquestrés, menant une vie d’animaux en cage, on continuera de porter le masque, d’observer la distance sociale, de respecter le couvre-feu et de s’auto-confiner pour le plaisir des psychopathes qui ont tout imaginé et qui se frottent les mains devant ce spectacle incroyable qu’ils n’imaginaient pas aussi facile à réaliser.
Quant aux formules divertissantes qui fleurissent sur les réseaux sociaux, dans les milieux politiques et médiatiques, alimentant débats et rivalités, telles complotiste, islamogauchiste, antisémite – l’arsenal de istes est inépuisable – sont des bouts d’os qu’on lance à la meute pour lui faire croire qu’elle a des crocs et qu’elle jouit d’une liberté totale. Leurre !
Le monde d’avant ? On l’oublie ! Sauf si… Mais j’en doute.
La question que je me pose : pourquoi continuer d’aboyer « dans le désert » avec un blog sans audience, hormis celle de quelques chiens galeux qui osent encore y croire ? Peut-être parce qu’au fond de moi brille toujours cette chose qu’on appelle l’honneur. Mais sûrement, j’ai un grain !

Sous l’Casque d’Erby 



vendredi 19 février 2021

Dieudonné c’est 9 000 balles la chanson !

Source
Dieudonné a été condamné par la cour d’appel de Paris à une amende de 9 000 balles pour sa chansonnette « C'est mon choaaa  ». Balancée sur Youtube et autres plateformes en 2017, elle avait fait bondir une communauté aux nerfs à vif.
Une pantalonnade où l’artiste réfractaire se lâche pour le rire et pour le bien.
Il avait précédemment sévi en farcissant les pygmées, les chinois, les africains, etc., sans que cela ne froisse la bonne conscience de quiconque (voir vidéo « racistes anonymes », colonne de droite).
J’aime l’humour décapant de cet artiste unique, qu’on pousse à vivre comme un animal traqué !
Quoi qu'il en soit, ce n’est pas de cette oreille qu’on a reçu les paroles « Shoananas » du côté de la communauté juive de France, très pointilleuse en ce qui concerne le copyright de la Seconde guerre mondiale. Pour mémoire, la Seconde guerre mondiale fit, selon des sources fiables, entre 50 et 85 millions de morts, en Europe et en Asie, dont quatre millions de juifs… Pourquoi alors réduire cette horreur à la seule communauté ?
Que deviennent dans ce calcul les russes, chinois, espagnols, français, allemands, sénégalais, anglais, américains et tant d’autres ? Pertes et profits ?... 
C’est la combientième condamnation de Dieudonné pour des sketchs jugés choquants ? A force, l’homme de la rue, celui qu’on vaccine et qu’on confine, finit par trouver banal que les tribunaux de la république soient sous le contrôle des communautés organisées. Pas seulement de la communauté juive ! Cela fait les affaires de qui et pour quel dessein ?
Un pays fier de sa liberté n’interdit ni n’embastille ses artistes ou ses intellectuels pour des propos jugés outranciers. Ce n’est pas par l’outrance que ce monde s’est hissé à un niveau supérieur ?
C’est en usant de cette liberté qu'une nation montre sa force. Quand cette valeur se perd ou est réduite au silence par le biais de quelques formules d’un pathos affecté, ce pays est en train de ruiner son destin.
Haut les cœurs !

Sous l’Casque d’Erby




mardi 16 février 2021

Écrivons une histoire moins glauque

Erby
Que raconteront dans vingt ans les enfants qui ont aujourd’hui entre cinq et dix ans quand ils entendront parler du Covid ? Que ce fut la version contemporaine de la mort noire ? Pandémie particulièrement meurtrière qui emporta la moitié de la population européenne en l’espace de cinq ans, entre 1347 et 1352 ! (1)
Pour info, à l’époque, L’Europe comptait dans les 50 millions d’habitants. Faites le calcul... 
En sommes-nous là aujourd’hui, malgré l’acharnement du gouvernement à infliger aux patients des traitements comme le Rédemsivir, de chez Gilead, dont même l’OMS y était opposée  ?
A quoi pensaient le Président Macron et Agnès Buzyn (aujourd’hui planquée à l’OMS) en interdisant le protocole du Professeur Raoult, classant L’hydroxychloroquine comme « substance vénéneuse » et imposant à la population un vaccin dont les morts après vaccination commencent à se compter ?
Et pourquoi ne pas autoriser l’ivermectine ou la vitamine D, alors que ces deux remèdes donnent de bons résultats, selon les gens du métier ?...
Même si nous sommes loin du compte en matière de vaccination, ce qui compte, c’est ce qu’on instille aux enfants à l’âge où l’esprit absorbe comme une éponge. Le gouvernement s’employant à faire propager la terreur, pas pour circonscrire un mal somme toute relatif, mais pour préparer les futures générations à accepter le totalitarisme comme un « pis-aller » ! Pour « notre bien » !
Macron joue-t-il consciemment le moyen et le long terme avec l’espoir de soumettre la population à la volonté de cette minorité sataniste dont il est le larbin ? Il se murmure d'ores et déjà qu'il est question d'un nouveau confinement début mars !
L’Éducation Nationale demeure en cette circonstance particulière l’auxiliaire privilégié du gouvernement. Prompte à envahir la rue quand on parle de « dégraisser le Mammouth » ou pour brandir des « Je suis Charlie » à la suite d'une brochette de dictateurs planétaires, lors des manifestations historiques, mais quasiment muette quand on l’oblige à appliquer sur les futures générations des protocoles qui ont plus à voir avec la soumission à Big Brother qu’avec la prévention sanitaire !
Je me dépêche de préciser que je connais et connu (dans ma famille) des enseignants très honorables, particulièrement ceux du primaire. A partir du secondaire, ça se gâte ! Je dis ça pour éviter la confusion qui ne manquera pas de me tomber dessus.
Si on ne prend pas les devants sur ce gouvernement criminel qui impose une politique et des rites ubuesques, nous aurons à subir les effets d’une dictature monstrueuse.
Quand je pense qu'aucune des deux Chambres ne trouve les 58 députés et les 35 sénateurs pour engager la procédure de destitution contre Macron, nous sommes en droit de douter de ce qu'on appelle l'opposition démocratique !
J’ose espérer que dans vingt ans nos enfants raconteront une autre histoire !

(1) « La légende noire du Moyen Age » - Claire Colombi – éditions Kontre Kulture 

Sous l’Casque d’Erby




dimanche 14 février 2021

Saint Valentin

Erby
Dimanche 14 février. Saint Valentin. Fête des amoureux.
C’est écrit sur le calendrier. Nouveauté en 2021 : en bas, tout en bas, précédé d’un astérisque, il est écrit, en tout petit, à l’intention des amoureux, et de tout le monde : pas de restaurant, pas de cinéma, pas de théâtre, pas de concert. Et pas de baisers dans l’espace public. Port obligatoire du masque et distance physique, sous peine d’amende.
Telles sont les consignes d’un gouvernement criminel à qui nous avons remis en toute innocence les clés du royaume. Les policiers sont là pour faire respecter les consignes, matraque au clair ! Et carnets de contredanse  au vent !
Mais une chose que ces psychopathes ne pourront pas emprisonner, ni masquer, ni confiner, ni lui imposer le couvre-feu, ni faire vacciner, c’est la pensée. Elle sera toujours plus puissante que le pouvoir de nuisance de ces vermines. 
Et, sur la vidéo du jour, tout en haut de la colonne de droite, Les amoureux des bancs publics du toujours vivant Georges Brassens.









Sous l'Casque d'Erby



vendredi 12 février 2021

Noirs et arabes en danger ? Vraiment ?


De la neige, un peu de vent, un changement de fournisseur internet et c’était, l’espace de quelques jours, la vie comme avant.
J’ai repris un livre : « Colline » de Jean Giono. Giono est parmi les auteurs pour qui j’ai un peu plus que de l’admiration. Avec « Regain » et « Un de Baumugnes »« Colline » est le premier de la trilogie consacrée au dieu Pan dans sa transposition provençale.
Quand il a publié ce premier volume, monsieur Giono avait 32 ans ! Une histoire austère, mais humaine, terriblement humaine. Et une écriture au contenu si puissant que ça fourgue le complexe à qui chatouille le clavier avec des prétentions ! J’y reviendrai plus longuement une autre fois..
Dans l’actualité, rien de spécial. Le virus si létal et si ruineux pour l’économie nationale, ne fait pas sonner le glas à la cadence dont les chaînes déchaînent leur propagande. Dans les cimetières et usines de crémation, c’est l’ennui. Je n’ose pas parler de « chômage technique », mais ça ne se bouscule pas au portillon.
Autre chose qui m’a interpellé pendant ma courte absence, c’est les propos d’Assa Traoré : « Les noirs et les arabes ne sont pas en sécurité en France ». Chouette ! On va pouvoir sortir en toute « sécurité » dans les quartiers « chauds » des grandes villes sans se faire binguer le portrait. Je plaisante !
Je ne sais pas qui tend le micro au clan Traoré, ni à qui cela profite, mais la question doit être posée. Son commerce, un qui marche à plein régime par ce  temps de faillites, sent l'escroquerie à des kilomètres à la ronde. Je sais des intellectuels et des scientifiques honnêtes qui ne bénéficient point d’un tel privilège, alors qu’ils ont des choses intelligentes à exprimer.
Jusque dans les salles de classe de l’éducation nationale on trouve trace de la tignasse d'Assa pour expliquer aux enfants l’hostilité qu’elle éprouve a l'égard de la France. J’en ai ma claque de cette clique !
Je m’explique, et tant pis si ça pique !
Rosa Parks, Malcolm X, Martin Luther King, Nelson Mandela, des citoyens respectables, que je cite en exemple et qui occupent une place de choix dans mon panthéon. Des hommes et des femmes d’honneur qui ont sacrifié leur vie pour le bien de l'humanité. Eux et tant d'autres victimes anonymes !
Cependant, ma conscience m’empêche d’ajouter à cette liste le clan Traoré, pour qui des personnes dévoyées battent le pavé en scandant tout et n'importe, crachant sur le pays une écume visqueuse.
Qu'il soit noir, blanc, jaune, cuivré, un homme honnête est toujours un homme respectable. À l'inverse, je ne puis le défendre s'il se livre au trafic, au vol, à la prostitution, au viol et à la violence…
La vie n’est pas un film de gangsters et les acteurs des candidats au prix d’interprétation !
Suis-je, obligatoirement, un criminel parce que je ne me prosterne pas devant des personnages malsains ? Suis-je bon à me faire brûler parce que je suis blanc de peau et donc coupable de j'ignore quel crime ? Et si nous retrouvions un peu de cette raison perdue et nous mettions à réfléchir comme des personnes responsables ?
Les mêmes devoirs pour tous et tout ira bien !


Sous l’Casque d’Erby