jeudi 29 décembre 2022

2023 s'annonce pire que 2022. Jusqu'ici « Tout va bien » !

ERBY
On me souffle à l'oreillette que si 2022 a été (est toujours) une année dégueu, 2023 sera encore pire, parole de spécialistes ! Pour l'instant tout va bien. Je crains l'instant fatidique, celui du dernier coup de minuit le 31 décembre. Le moment où nous basculeront dans l'horreur absolue si bien décrite par Orwell avant l'heure.
Une lueur d'espoir, en ce qui me concerne, eh, oui, c'est chacun pour soi : je ne me prénomme pas Winston ; pas plus que mon nom n'est pas Smith. Et, chose importante, je ne turbine pas au Ministère de la Vérité à ré-gribouiller l'histoire en fonction de la ligne du Parti, mais au ministère de la Vérité-Vraie !
Je suis l'être le plus soumis que vous puissiez trouver en rayon. Je m'appelle Charliel Sangenre et suis membre actif du Parti Renaissance depuis octobre dernier. Un choix mûrement réfléchi. Je suis innocent de tout ce dont pourrait m'accuser le Parti et l'opinion publique ultérieurement.
Je suis aussi docile que l'agneau sacrificiel se rendant de son propre gré au piquet, s'y attachant avec un nœud de huit pour servir de festin à la Bête immonde, parce que c'est ainsi qu'elle l'exige !
Pour un salaire raisonnable, certes, j'ai travesti l'Histoire jusqu'à la rendre aussi lénifiante qu'un film des Studios Walt-Disney ! En comparaison, Blanche Neige et les 7 nains est une histoire gore ! 
Je ne me suis pas révolté contre le Parti, ni été révulsé par ses décisions concernant l'obligation vaccinale, le confinement, le couvre-feu, la taxe énergétique et tant d'autres excès, changeant le récit de dose en dose jusqu'à l'overdose finale.
Je ne suis pas de ce genre de personnes colportant de la fausse nouvelle pour le plaisir sadique de nuire à l'image du Guide Suprême ; ou chercher à ruiner les fondements de notre merveilleux système de gauche hérité de notre Grande Révolution, rythmant une vie de bonheur permanent que tout le monde admire et nous envie.
J'ai même, à l'occasion de colloques destinés à l'instruction citoyenne, devant des individus ordinaires, défendu l'idée d'une régulation drastique de la population mondiale afin de sauver ce qui peut encore l'être de notre belle planète. Pour cela, ai-je martelé, la démocratie n'est pas nécessaire. Seuls comptent les êtres d'exception. Ce que le comte de Gobineau appela les « Fils de Roi » dans « Les Pléiades » et Nietzsche « Les Surhommes » dont le Zarathoustra en véhicule l'héritage et qu'aujourd'hui on désigne comme l’Élite. A quoi bon s'encombrer d'un trop grand troupeau, ai-je conclu, à chacune de mes interventions.
N'ai-je pas dit tout le mal dont j'étais capable, et plus encore, sur la Russie et sa brute de Président, l'Ours Poutine ? Caché les vrais raisons de la guerre autant que j'ai omis de signaler dans mes rapports quotidiens la présence massive de milices nazis au cœur même du pouvoir ukrainien, que nous célébrons comme des héros ?
N'ai-je pas arrangé au mieux des intérêts du Parti l'addiction du Guide Suprême aux drogues et au sexe déviant, occultant sa paranoïa croissante et rédigeant des dizaines de feuillets le présentant devant la postérité comme un dirigeant exceptionnellement doué ?
Pauvre de moi ! Fou que je suis d'avoir pensé être récompensé pour ce dur labeur entièrement consacré au mensonge pour le bon fonctionnement du nouveau ministère de la Vérité-Vraie dont j'ai accepté la fonction avec joie et ambition. N'ai-je pas milité de toute la force de mon âme, monsieur le Juge, pour le bien de notre nouvelle religion ? Qu'ai-je fait pour mériter pareil sort, Votre Grâce ?
J'ai poussé le zèle jusqu'à refuser le vaccin afin d'éviter la moindre altération de mon immunité naturelle, dans l'unique but de mieux servir les intérêts du Parti et voici qu'à présent on me juge pour « complotisme aggravé », comme on le faisait jadis lors des grands procès de triste mémoire où le Juge était à son tour accusé et condamné comme le prévenu qu'il venait d'expédier devant le peloton d'exécution !
Voilà le sort qui vous attend, vous qui vous apprêtez à commettre l'irréparable en m'expédiant par-delà le monde terrestre ! 
Maudite soit cette maudite année 2023 qui se profile et qu'on annonce si noire !
Profitons de 2022 tant qu'il reste un dernier bout de calendrier à brûler ! Bonne fin d'année aux futures victimes !

Sous l'Casque d'Erby 



lundi 26 décembre 2022

Mort à crédit - Louis-Ferdinand Céline

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Rien n'est plus horrible que l'attente. L'attente c'est la mort à petit feu. L'espoir des « bonnes nouvelles » qui n'arrivent jamais ou alors trop tard. Il vous empêche de penser à autre chose, l'espoir. Toujours l'espoir ! L'espoir c’est attendre un putain de bateau qui ne vient pas et quand enfin il arrive, soit il passe sans vous voir, soit il fait naufrage à quelques brasses du mouillage. L'espoir c'est le coma sans rémission, ton caillou de Sisyphe qui roule dans ton sensorium de la naissance à la mort. C’est une île déserte grouillant de fantômes.
J'avais graillé de l'infini, accroupi au bord de cette grève à contempler la ligne légèrement courbe de l’horizon sans que jamais rien n'arrive. Sans que rien ne s'échoue, hormis quelques objets d'une autre vie que les vagues poussaient sur les galets. Parfois c'étaient des bouteilles sans vie, sans messages.
J'étais là à lancer du glaviot sur l'écume, l’œil fixant l'ennui, le cerveau aussi sec qu'un bout de bois flotté.
Louis-Ferdinand Céline, on est pour ou on est contre, influencés que nous sommes par la défroque qu’on lui a mis sur les épaules. Il l’avait bien cherché aussi. Mais il était comme ça, Céline : à l'intérieur et à l'extérieur de la réalité. Il était une île qui dérivait selon ses propres lois.
Le temps passe et repasse. Le bouquin reste silencieux dans son coin. Pour « plus tard ». Tout comme vous, il prend la poussière, mais pas une ride. Vaincu par plus fort que vous, vous le prenez et vous lisez. La lecture vous laisse totalement stupide, ébranlé, secoué, remué. Vous vous sentez coupable et honteux de l'avoir délaissé par pure bêtise, parce qu’on vous a dit que… 
Heureux d'avoir enfin osé, joui tout au long de la lecture, devant la puissance d'une œuvre de vie et de mort, de souffrance, d'errements, de génie, d'esprit insoumis et d’amour désespéré pour son prochain, vous vous reprochez d’avoir suivi comme un mouton des voix qui n’étaient pas celles de votre conscience.
Le temps continue de passer, la vue baisse à mesure que monte votre envie de continuer de lire. Parce que votre vie, c'est cela, lire, lire. Lire encore et toujours. Lire, non pas ces fadaises qu'on adorne du bandeau rouge du mégot littéraire récompensé, qu'on vous pousse à consommer tous les ans en guise d’œuvre littéraire. Que des « chefs-d’œuvre » !
Lire pour s'enfuir, pour sentir l'odeur de l'encre vous impregnant jusqu'aux os. Une encre noire. Formidablement noire. Faire un résumé de « Mort à Crédit » c'est épouser le ridicule en frisant la honte. Lisez-le et foutez-vous la paix avec ces histoires sur lesquelles règnent les agents de la « bonne conscience ».
Dites-vous une chose : Céline criait si fort sa douleur que tout le reste n'est rien en comparaison. Laissez-vous emporter par son immense talent. Par sa poésie et son style exceptionnel. Sa grandeur est unique dans l’histoire de notre littérature !
Ici je convoque le grand Frédéric Dard, le paternel d'Antoine San-Antonio, un autre monsieur de la voltige littéraire. Voici ce qu'il disait à propos de ce livre et de Louis-Ferdinand Céline : 
« Mort à crédit est pour moi le bouquin le plus important de ce siècle. Parce qu'il contient toute la détresse de l'homme. A côté du cri de Céline, moi, je pousse des plaintes de chiot qui a envie de pisser. Lui, il l'a balancée sa clameur ! Elle est intacte, satellisée au-dessus de nous. On ne peut rien y toucher. C'est toute la misère de la vie, toute l'angoisse, toute la mort. C'est plein d'amour, c'est plein de pitié, c'est plein de colère, c'est plein d'éclairs, de mains tendues, de poings brandis, de mains tendues qui se transforment en poings. Et puis de désespoir. Parce que le désespoir, c'est la vie. Lui l'a su. » 
Lire ou relire Céline c’est toujours un plaisir.

Sous l’Casque d’Erby
 

samedi 24 décembre 2022

Les meilleures Fêtes

Un poème et des crobars, c'est peu, mais c'est tout ce que nous pouvons offrir au milieu du chaos qui nous submerge en cette période de tradition où tout le monde souhaite le meilleur à tout le monde sous le fracas des bombes et les éclats de mitrailles. Malgré notre bonne volonté on s'interdit de chanter « Tout va très bien, Madame la Marquise » !
On sait tous comment tout cela avait fini !

Du fil à retordre

Erby
Un presque quart de siècle 21 avalé 
La vie brûle ses dentelles
Dit adieu aux hirondelles
C'était l'automne
Et c'est l'hiver
C'est Noël qui s'en vient
Mémoires blessées
Logées sous les combles
Fredonnant un air chaud
Dans ce recoin sombre
Où le passé chante son passé
Qui sait ce que la poussière recouvre ?
Danse, danse, danse
Sous un ciel bleu
Sous un ciel pourpre
Sous un ciel de papier
Tandis qu'au dedans
Tout au fond
Cette chose qui lancine
Plantée comme une aiguille
Dans le vaudou de nos peurs
Un quart de temps de siècle
Horreurs passées, horreurs à venir
L'année s'en va, faut-il applaudir ?
L'année s'en vient, faut-il s'en réjouir ?
Feuilles mortes qui ne finissent pas de mourir 
Qui ne finissent pas de revenir
Qui finiront par faire éclore 
Des fleurs pour l'avenir
Qui sait ?


Sous l'Casque d'Erby



samedi 17 décembre 2022

Mensonges et résistances

Source
Chaque fois que je vois un drapeau ukrainien accroché au fronton d'une Mairie ; chaque fois que j'entends un appel aux dons pour soutenir une guerre qui n'est faite que pour prolonger notre misère, colère et révolte se conjuguent en moi jusqu'à vomir sur le mensonge qui transforme le crime en acte de charité et le citoyen sous influence en collaborateur à tout faire.
La crédulité ambiante est consternante ! Plus les outils pour s'informer et approcher la vérité, ou sa forme la plus relative, sont nombreux, plus le nombre d'ignorants augmente. A croire que le principe d'Archimède a été révélé pour expliquer cela !
Qui n'a jamais voulu de l'Europe et qui une fois fabriquée a tout fait pour la contrôler et la détacher de sa partie naturelle, la Russie, alors que l'Union Soviétique en tant qu'ennemi politique avait cessé d'exister ? Les américains !
Qui n'a jamais voulu que l'Europe en tant qu'ensemble de nations ait une armée constituée pour se défendre ? Les américains !
Qui tire bénéfice de la fausse campagne de pandémie et d'un vaccin meurtrier, avec son arsenal coercitif cachant de plus en plus mal les mauvaises intentions ? Les américains !
Quel est le pays qui s'est fondé sur le génocide des indiens ? L'Amérique !
Quel pays a balancé deux bombes atomiques sur le Japon alors que celui-ci avait abdiqué une semaine avant que les bombes ne soient jetées sur des populations civiles ? L'Amérique !
Quel pays démocratique a fait de l'homme noir l'or de son économie, au nom de la supériorité blanche et de la « liberté d'entreprendre » ? L'Amérique !
Faut-il lister les pièces à conviction et les témoins à charge pour démontrer la culpabilité du comparaissant devant le tribunal de l'Histoire ?
Jusqu'à quand l'homme conditionné par des années d'éducation orientée et de cinéma hollywoodien montrant qui sont les bons, qui les méchants, va continuer à creuser le sable pour y enfouir ce qui tient lieu de récipient à cervelle ?
C'est pour l'or, noir ou jaune, que la puissance américaine et les nations vassales ont fait ou font la guerre. Aux indiens et aux pays non-alignés, aux sous-sols regorgeant de richesses !
Et c'est toujours au nom de raisons fallacieuses – la liberté, la démocratie – que le con se fait coloniser le corps et l'esprit !
L'Ukraine aujourd'hui, c'est l'Amérique d'avant les pionniers, quand les espagnols y posèrent le pied pour la première fois et que les colons américains – miasmes d'européens – plus tard enfoncèrent la dague jusqu'à la garde avec fierté !
Hier, ce furent les indiens les méchants de l'Histoire – Hollywood en a fait des tonnes avec. Aujourd’hui ce sont les Russes, les méchants qu'il faut exterminer ! Pourquoi ? Pour deux raisons simples :
La première est que l'Oligarchie américaine, dont le gouvernement de l'Empire est sa propriété, ne veut pas d'une Europe englobant la Russie, ce qui serait mauvais pour le N.O.M. sur lequel elle fonde beaucoup d'espoir !
La seconde – qui pourrait être la première – les énormes richesses contenues dans le sol Russe représentant ce nouvel Eldorado dont la minorité Sataniste qui contrôle le monde rêve de s'approprier par tous les moyens.
L'ignorant continuera-t-il, lui, à faire des dons solidaires et à user de la semelle dans des manifestations bidons, pensant défendre la Liberté et (aïe, aïe, aïe!) la Démocratie, ou va-t-il enfin dessiller les mirettes ?
Ce monde est désespérant ! Et pourtant... des lumières scintillent au loin... J'aime à le penser.

Sous l'Casque d'Erby


lundi 12 décembre 2022

Le Grand Complot

ERBY
S'inspirant d'une histoire vraie, « Les mutins de Tarnac », lamentable flop de l’État français sur un supposé réseau terroriste à haute intensité, dont la justice se souvient avec le sentiment d'avoir été prise pour ce qu'elle est devenue depuis, le voisin allemand, ne pouvant rester à la traîne par les temps conspirationnistes que nous traversons, a écrit, produit et mis en scène le remake sous le titre « Coup d’État au Parlement ». Une histoire où l'extrême-droite cherche à s'emparer de la représentation nationale afin d'instaurer la monarchie outre-Rhin, rôle pour lequel elle fait de la figuration plus qu'elle ne donne la réplique. Une intrigue sans suspense est un mauvais film !
C'est l'histoire du coup de filet spectaculaire de la police allemande dans les milieux d'extrême-droite, filmée à grands renforts d'effets spéciaux. La chose restera dans les annales comme la tentative grotesque d'une énième manipulation politique. Merci au « Courrier des stratèges » d'avoir partagé ce moment comique avec ceux qui ont gardé un certain goût pour la dérision.
La reprise allemande de cette méga production, tout aussi ridicule que l'homologue française, malgré des moyens considérables, a lamentablement chuté, laissant sur le parquet des rayures difficiles à effacer. Qu'a-t-il manqué à cet opus pour devenir le succès public tant recherché ?
Riche d'une distribution à faire de l'ombre à Jason Bourne en personne : un prince nostalgique cherchant à ceindre la couronne de ses ancêtres  ; un ex-militaire rêvant à des nouveaux sentiers de la gloire ; une russe nymphomane (forcément), partageant la couche avec les deux principaux comploteurs, courant de l'un à l'autre comme dans une course de lévriers, ayant pour mission de faire mamour-mamour avec le Kremlin pour donner force et courage à une équipe de bras cassés, parmi lesquels quelques antivax et autres auxiliaires de moindre valeur qui ne demandaient rien à personne.
N'économisant aucun effet, le scénario tisse du poncif comme un fabricant de laine roule ses pelotes. Puisque les russes sont là pourquoi se priver de la présence de ce bon Donald Trump pour épicer un plat déjà fort relevé  ? Surtout quand les protagonistes de ce complot hors-norme appartiennent à l'extrême-droite allemande ! Ceux de Tarnac étaient d'extrême-gauche ! Un juste milieu est nécessaire en toute chose, n'est-ce pas ?
Si quelques égarés de la Guilde droit-de-l’hommiste ont donné dans le panneau, la grande majorité s'en est détournée, jugeant la potion forte en psychotrope.
Cependant, au-delà du fait que le film est nul, le message lui est très clair. Il s'adresse aux éveillés et à ceux qui voudraient voir plus clair sous le ciel plombé du totalitarisme qui s'installe. Ce déploiement policier et cette razzia dans les milieux de l'extrême-droite sont la démonstration que si nous avons l'intention, nous gens du peuple, de changer les choses, nous savons à quoi nous en tenir.
Ce n'est pas d'une extrême-droite de figuration que vient le danger mais du nazisme déjà installé dans les lieux !

Sous l'Casque d'Erby


mercredi 7 décembre 2022

Allégorie légumineuse

Source
Je me sens comme un légume plongé dans de la saumure. Une sorte de haricot vert pressé contre d'autres haricots verts, plongé dans une boite, attendant que des doigts hasardeux tirent l'opercule et me ramènent à la lumière pour un rinçage ad hoc avant un passage brutal sur le feu.
Quand je pense qu'au départ – au tout début de mon existence sur terre – je m'épanouissais en toute insouciance, découvrant la lumière, fixant l'azote de l'air comme on fixe un bien qu'on veut se procurer pour le transformer en azote organique, recevant l'eau de pluie et la chaleur du soleil pour un résultat miraculeux, partageant la joie de vivre avec le chou, le poireau, la betterave... Quelle merveilleuse communauté !
Jusqu'au jour où des mains misérables, jugeant l'heure venue, se mirent à planter leurs doigts sales sur nos corps et à les tirer sauvagement pour nous réduire à de la matière comestible, bonne à être ingurgitée par des hordes barbares, accompagnées d'une pièce de viande faisant schrac-schrac dans des bouches cannibales ! Triste sort que le mien ! Triste destin que le nôtre !
Quand je pense qu'à present, parmi nous, il s'en trouve qui parlent de résistance à l'ennemi. De guerre totale aux profiteurs. Qui tiennent en horreur le monde cruel des humains et qui cherchent comme des fourmis – bien plus nombreuses que les prédateurs, certes – à changer le cours des choses, à nous faire retrouver le bonheur perdu, comme si nous n'étions pas ces misérables cloportes qu'on presse entre la semelle et le bitume en toute saison !
Inconscience !
Je sentis tout au fond de la boite où je fus confiné la rumeur qui montait, puis le crépitement d'une brassée de bois sous laquelle on avait craqué une allumette. Ces frères pyromanes dansaient, dansaient, disant que, perdu pour perdu autant mourir debout.
Folie !
Les plus soumis, créchant dans les paliers supérieurs, se pensant à l'abri, s'agaçaient d'un tel radicalisme, jugeant l'attitude de la minorité décérébrée fort dangereuse pour la communauté. Une attitude qui précipiterait plus rapidement la chute et donc la disparition !
Certains priaient pour que cela n'arrivât point et faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour ralentir l'action de ces fous furieux qui parlaient d'un retour à la terre d'où ils venaient, brandissant des bras fins mais énergiques vers un ennemi inatteignable, comme s'ils adressaient une prière au firmament.
D'autres, ayant un peu trop abusé de l'azote dans leur jeunesse parlaient d'une terre inexplorée où la nature poussait librement, sans ce corset dont les humains l'avaient pourvue, la rendant stérile à jamais !
Gagnée aux idées de la Résistance une partie se mit à rêver, à se tailler en pointe, comme crayon à mine, pour imprimer sur le support intérieur de la boite où nous sommes conditionnés – ah, le joli mot ! – des pensées dont les futures générations tireraient la substance de cette nouvelle Utopie où tous les légumes vivraient enfin heureux et libres.
Les plus audacieux, s'inspirant de Giuseppe Arcimboldo, gravèrent sur le laiton intérieur des boites le portrait de Rodolphe II déguisé en Vertumne comme le symbole d'une lutte à la vie à la mort !
Pour cet acte réfractaire, certains furent défenestrés. Avez-vous déjà vu un haricot se faire jeter dans le vide sans ménagement ? Une horreur !
Dans cette boite infâme, tout en bas, écrasés, piétinés, le soleil n'est plus cet astre vivifiant faisant s'épanouir un jardin potager, mais un magma s'agitant comme des ombres visqueuses que l'esprit a oublié de nourrir. L'en-dedans et l'en-dehors tricotant des  pensées pour débrouiller une histoire au destin cruellement incertain.

Sous l'Casque d'Erby



samedi 3 décembre 2022

Quitter l'arène ici et maintenant ?

Chaud/froid
Nous vivons une époque héroïque à bien des égards. Par certains aspects, elle me fait penser aux états d'âmes de cet écrivain célèbre et claustrophobe qui quitta la France, parce que le froid l'empêchait de créer, filant vers le sud au climat plus clément.
Une fois sur place, garé à l'écart de la foule tapageuse d'Andalousie, le front plissé en quête d'inspiration, perdu en pleine serrania, le pire commença : il faisait trop chaud ! Impossible de produire la moindre phrase par une telle canicule !
Au final, entre deux suées et quelques spasmes léthargiques, il accoucha d'une œuvre que les manchots et bien d'autres ne purent saisir entre leurs mains pour des raisons évidentes.
Cela n'empêcha point les médias - toujours à la pointe de la rigueur morale - de balancer du compliment sur l'ensemble des réseaux comme on tire à la carabine dans les fêtes foraines, colportant du « chef d’œuvre » jusqu'à déboucher l'oreille des sourds pour que les ventes soient à la hauteur du tapage produit !
N'est pas Christian Bobin qui veut ! Pour ne citer qu'un récent disparu au talent exemplaire.
C'est un peu ce qui arrive ici et maintenant. Il y a ceux qui pensent que pour raison de froid ou de chaud, en traversant une frontière les problèmes seront résolus, alors que la question n'est pas d'ordre météorologique, mais dans ce que le crâne a comme combustible pour alimenter la bécane sous n'importe quelle latitude.
Si, comme nous le savons, le mal est d'ordre mondial, cet état perdurera quel que soit le nombre de frontières franchies. Si, comme le prétend tel témoin, le prix du café est moins cher au Portugal à quoi bon se déplacer pour s'en procurer si les rayons sont vides ? A quoi bon quitter les contraintes sanitaires d'un pays pour retrouver les mêmes déboires ailleurs ? A moins que notre conscience soit la dernière chose qui nous interpelle !
Cela me fait penser à certains réfugiés politiques grecs, espagnols, argentins, etc., à une certaine époque, qui trouvaient la matraque des CRS français plus douce que celles utilisées par les policiers des pays qu'ils avaient fui. A l'époque, je m'amusais à faire le comparatif entre les échelles de douleur d'un traumatisme crânien ou d'une côte cassée par un policier français et la même chose prodiguée par des policiers grecs, espagnols ou argentins...
L'exil intérieur est celui qui n'offre aucun refuge satisfaisant nulle part en ce monde.
C'est ici et maintenant qu'il faut défendre son droit à vivre, sa culture et son Histoire. Résister de manière passive ou active, selon les moyens de chacun, pour empêcher l'instauration d'un nazisme qui tait son nom, rampant tel un serpent, avant la morsure létale !
Défendre la vérité si difficile soit-elle à entendre. Tout faire pour chasser, les mettant hors d'état de nuire, escrocs, menteurs, collabos et criminels mondialistes.
Quitter l'arène aujourd'hui c'est abandonner la mémoire des anciens, morts pour notre liberté, c'est ne laisser en héritage à nos enfants et à l'avenir que ruines et lâcheté !

Sous l'Casque d'Erby 



jeudi 1 décembre 2022

Au nord c'était les Corons

Que personne ne bouge ! Le danger est partout et menace de se répandre dans notre organisme de manière hallucinante. Soyons vigilants, car un regain de Covid n'est plus à exclure, selon la bonne Borne. Un œil ici, l'autre au loin, son regard file du local au périphérique à la vitesse du larbinage auquel son supérieur la mande, préconisant le port intensif du masque pour éviter la malemort.
Cette raclure de virus a plus de ressources qu'on ne l'imagine. Son mode de reproduction étant proportionnel à la volonté dirigeante il ne se fixe aucune limite pour propager son arsenal de malfaisance et de peur. Raison pour laquelle le gouvernement veille à sa sécurité, le dorlote, le nourrit, le bride avant de le lâcher dans la lande tel un nouveau et redoutable chien de Baskerville !
Quand les temps sont à la menace sociale, hop !, on le sort, on le dépoussière, on lui fait faire un tour dans le salon, on lui autorise quelques galipettes sous la couette, on le montre au balcon et la télé, toujours présente pour les événements d'importance, le met en vitrine avec boules et lampions !
Les spécialistes plateaux sont nombreux à offrir un concours de mensonges aux confinés de l'esprit, les poussant dans leurs chemins de croix afin de se racheter pour avoir douté, avoir péché ! Un prix sera décerné aux plus crédules. Il leur sera remis lors d'une cérémonie spéciale par les représentants respectifs de l'AFP et de Facts and Furious pour avoir su démêler le VRAI du FAUX !
Car mieux vaut une piqûre avec effets secondaires garantis par Pfizer & C° que des citoyens bien portants se prélassant par temps clairs sur les bords d'un fleuve ou au pied de l'océan, rêvassant à des mondes improbables, ne produisant que troubles de la perception et idées noires comme charbon !
Et à propos de charbon, si le virus ne tue pas, le ridicule est là pour faire sa vacation ! Notre très lumineux gouvernement a la notable idée de nous faire croire qu'il veille a nos intérêts remettant en service la centrale de Saint-Avold pendant la durée de l'hiver qui s'annonce rude.
Le tout charbon s'invite dans nos cuisinières pour du pipi de chat. Le Ruskof n'a qu'à bien se tenir, Macron est au taquet !
Pressons-nous les uns contre les autres près du poêle, les visages éclairés par le rougeoiement des flammes, avec une pensée admirable pour les gueules noires, un tourne disque à manivelle crachotant « Les corons » de feu Pierre Bachelet, Zola signe un retour fracassant !
Noël approche. Si l'année dernière les réunions familiales étaient limitées à six personnes par foyer, cette année, le masque sera de la fête aussi, car le virus grimpe le long des cloisons, s'accroche aux rideaux et colle aux poumons comme sangsue. C'est la Borne qui le dit !
N'oublions pas la bougie. L'économie que nous ferons sur le kilowatt nous l'investirons dans la dinde aux marrons, dont le prix atteindra celui de l'électricité, Nouvel Ordre Mondial oblige. Les fêtes seront joyeuses !
Et, soudain, je sentis la morsure du froid labourant ma chair comme autant d'aiguilles plantées dans mon cœur !

Sous l'Casque d'Erby


samedi 26 novembre 2022

Macron, la plénitude du néant

Quel dommage que nous manquions si cruellement d'humoristes. Hormis Dieudonné, proscrit de la « bonne société » pour être ce fou du roi que l'époque pousse à l'exil comme un pestiféré, rien dans le monde couché de l'humour pour nous faire réfléchir en nous faisant rire. Triste époque et lamentable panel de lavettes !
En un peu plus de trois petits quinquennats (Sarko-Hollande-Macron) le pays est passé de cinquième puissance mondiale à petite province de l'Empire, terrain de jeux et d'expérimentations de l'élite mondialiste, sans gel anesthésiant pour atténuer la douleur et sans que nos dirigeants éprouvent le moindre remords.
Eh, oh ! Sommes-nous morts ou juste sonnés !?
En nommant Yseult, demi-starlette de la chansonnette pour un public de 8/9 ans, ambassadrice à la francophonie, Macron ajoute de la béance au gouffre dans le corps diplomatique français. Ce que jadis était un des fleurons de la République est en passe d'être rangé dans l'étagère des métiers disparus.
Si au lieu d'Yseult, Freluquet avait nommé ma dinde Fernande pour cette « mission » l'effet serait aujourd'hui sinon plus probant assurément plus amusant. Pauvre Léo !
Comme pour tout le reste, depuis que le pays l'a reconduit on sait que nous sommes du mauvais côté de l'Histoire ! Au point où vont les choses, la France cessera bientôt d'être un pays pour devenir une petite communauté parmi de nombreuses autres. Telle est la feuille de route de nos dirigeants politiques. Ils le savent, mais une grande majorité du pays ne l'apprendra que trop tard !
Quand nous comprendrons (peut-être !) que Macron n'est que l'émanation toxique d'un corps exogène, une sorte de mannequin mis sur le marché par le très nocif cabinet McKinsey, relief du pouvoir profond, cela fera mal aux fesses plus que de raison. Quand on hurle au viol, il est encore trop tard !
Un proche voisin est venu toquer à ma lourde pour m'annoncer bruyamment (il est cornaqué par LFI) que le parquet national financier (PNF) a ouvert fin octobre deux informations judiciaires contre Manu concernant l'intervention des cabinets de conseil dans les campagnes électorales de 2017 et 2022 !
Et alors ! Même si nous sommes loin d'un rasage gratuit chez le barbier, cela portera assurément un coup contondant à l'insolent, se réjouissait-il. Nous avons les plaisirs qu'on peut. Inutile de chercher à atténuer la portée de son enthousiasme en lui rappelant l'immunité dont jouit Macron de par sa fonction et de l'éclairer sur le récent précédent Sarko pour financement (tiens donc!) illégal de campagne, tiré d'affaire avec un simple bracelet électronique ! Tout juste si pour le fun, il n'a pas passé commande d'une réplique chez un bijoutier de luxe !
Ainsi vont les choses dans notre petite province !

Sous l'Casque d'Erby 



dimanche 20 novembre 2022

On marche sur des œufs, c'est peu de le dire.



Source
De fausse nouvelle en faux débat politique le pays a empoigné la pioche et creuse énergiquement le trou de sa sépulture. Une cavité assez large et assez profonde pour héberger quinze siècles d’histoire et son poids de gloire, de douleur et de joie. Son coffre-fort a été percé par des mains expertes contrôlées par l’Empire, nettoyant le fond avec Bang avant de quitter les lieux sans laisser d'empreintes ! Il ne restera bientôt du pays qu’un souvenir diffus, dont les amateurs de légendes parleront plus tard comme on le fait de l'univers de Narnia ! A moins que, comme le montrent certains signes, l'immeuble globaliste ne commence à se lézarder sous les coups répétés d'une résistance chaque jour plus importante.
En attendant, ne réveillons pas l’idiot qui sommeille en nous, votre vérité signerait votre perte, car elle repose sur des éléments non diffusés à l’antenne et sévèrement punie par la Loi ! La mise sous curatelle d’un pays jadis insouciant et fier de sa noblesse est un désastre inacceptable.
N’interpellez plus votre voisin pour l’alerter sur la disparition de la lettre L comme Liberté ! Les dictionnaires ayant été brûlés sa définition s’est perdue dans les brumes de l’oubli ! Le terme même de dictionnaire semblera suspect aux yeux de n’importe quel interlocuteur basiquement suspicieux.
Ne parlez pas de la prolifération inquiétante des rats dans les villes, car le wokisme vous reprocherait de facto une allégorie à caractère raciste avec déviance fascisante orientée vers l’humain venu de loin goûter aux plaisirs de la prospérité occidentale. Un voile de pudeur épisodiquement déchiré par quelques viols et autant d’agressions au couteau. Vétille !
N’exprimez plus devant quiconque le moindre regret sur ce monde qui se dissipe et les contours de cet autre dont vous ne souhaitez aucunement l’arrivée. Vous seriez cet anti-progressiste que le gauchisme chasse jusque dans les moindres recoins du royaume céleste.
A propos d’arrivage, ne vous avisez pas de montrer un visage étonné et à vous interroger sur l’intrusion de migrants qu’on dépose à quai au terme d'une croisière très organisée et qu’on installe « chez vous » comme à l'hôtel, sous peine de devoir affronter une meute de chiens enragés brandissant pancartes et calicots, contre la morsure de qui il n’existe aucun vaccin !
Pour des raisons évidentes de collaboration avec le pouvoir ou pour des motifs plus complexes tout le monde n'est pas l'ami des peuples !
Cette alerte cohorte nous ne l’avons pas vue ou entendue au plus fort de la pandémie pendant que l’économie se faisait démonter par le gang des mondialistes ! Pas plus qu'elle ne s'est fait remarquée pendant les revendications des GJ. Ou ces temps-ci pour dénoncer le soutien sans condition de l'occident au nazisme en Ukraine !
Itou en ce qui concerne le vaccin et les mesures d’accompagnement très extrêmes suggérées par d’obscurs « Conseils scientifiques » et brutalement appliquées au diapason par les gouvernements de l’Union.
L’idée même de suggérer une relation de cause à effet vous mettrait dans une position semblable à celle de n'importe quel patient occupant un lit en hôpital psychiatrique, comme cela fut le cas en ex-Union soviétique. Bien que cette pratique avait aussi ses agréments à cette époque dans nos « démocraties » exemplaires !
Comme le déclarent ouvertement les autorités Canadiennes on songe à imposer un traitement psychiatrique aux personnes qui refusent les injections d'ARNm ou toute autre forme de vaccination, car « quelque chose ne va pas mentalement chez les gens qui refusent les vaccins » !

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 17 novembre 2022

Condamner la guerre en Ukraine au G20 ?

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Condamner la guerre en Ukraine au G20 ? Il est important de peser les mots.
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La guerre « en Ukraine » signifie que des troupes s’affrontent en Ukraine, le terme ne permettant pas de préciser quelles troupes, de quelles nationalités ou « entités » supranationales. 
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Cette guerre a commencé en 2014, par un coup d’État fomenté par les anglo-saxons. Des fanatiques d’un statut bizarre ont commencé à pilonner et attaquer les habitants de la partie est, qui pour se défendre ont proclamé leur indépendance au nom du droit des peuples à l’autodétermination. Ces gens-là parlent russe, madame, pas ukrainien (langue d’ailleurs mal définie). On voit donc très bien qui a commencé. 
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L’armée « ukrainienne », toujours soutenue par les anglo-saxons et quelques cinglés d’autres nationalités officielles, se préparait à faire encore plus en mars 2022, mais la Russie qui se fait un devoir de protéger les russophones a agi avant le lancement de l’attaque, une quinzaine de jours avant. Depuis les russophones de l’Est de l’Ukraine, déjà déclarés indépendants officiellement, ont demandé à intégrer la Russie, qui a accepté. 
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On passe donc d’une guerre plus ou moins interne (des troupes dites ukrainiennes, aidées par des « conseillers » de l’OTAN mais en majorité des anglo-saxons, contre les milices du Donbass renforcées par des volontaires russes ; à une agression de l’OTAN sur le sol russe, . Il est logique que la Russie se défende.
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Pour que cette guerre s’arrête, il est nécessaire que tout ce qui vient de l’OTAN (dont l’Ukraine ne fait pas partie) se retire : armes, conseillers, fonds. Ce n’est pas l’histrion de Kiev (ou d’ailleurs) qui continuera seul, avec ses fanatiques tentant d’encadrer ce qui reste de « soldats » ukrainiens, enfants ou vieillards. Donc, si macron était conséquent avec lui-même (mais il ne l’est pas), il devrait exiger que l’OTAN se retire. La guerre s’arrêterait en quelques jours.

Sous l'Casque d'Erby



dimanche 13 novembre 2022

11 novembre, l'armistice. Vraiment ?


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Que célébrait-on ce 11 novembre ? La fin de la première guerre mondiale et la victoire de la France, ou la défaite des mouvements ouvriers bien au-delà des frontières du Rhin ?
Ou, plus vraisemblable, la victoire du « Triangle de fer » ? Ces groupes de pression composés de chefs militaires et de diverses agences gouvernementales se faisant des « couilles en or » en éviscérant les peuples lors des guerres et conflits déclenchés par leurs soins.
Le très explosif « conflit » ukrainien, avec le retour en force du nazisme sur le terrain et dans les administrations, ouvertement soutenu par l’occident, prélude une « ère nouvelle », dont l’issue sera inéluctablement plus sanguinaire que ne le furent les deux grandes confrontations mondiales de 14-18 et 39-45. Par le fait inédit qu’il ne se concentre plus sur une catégorie ethnique particulière mais sur l’extermination pure et simple de 80 à 90% de l’humanité. Et ceci n’est pas une fantaisie conspirationniste élaborée par des esprits dérangés, mais la volonté clairement propagée par des nombreux hauts responsables politiques depuis des décennies dans tous les médias, sans que cela ne perturbe ni ne dérange la conscience des Líder máximo, jouant du pipeau comme d'une arme de précision !
Dans cette trame sinistre, ces « artistes » du crime sont poussés à la besogne par des industriels et des parlementaires des différentes commissions de Défense appartenant aux deux camps, sans quoi cela manquerait de « piquant ». Des scélérats qui poussent le cynisme jusqu’à verser une contribution sur les bénéfices engrangés dans l’organisation de commémorations annuelles et défilés de la victoire, « à la mémoire de », partout où il y a des pauvres gens à manipuler et des sales pattes à graisser pour préparer la prochaine conflagration. Le tout, au nom de la Patrie, des droits de l’homme ou de la lutte contre le racisme et les « inégalités » !
Prosternés et médaillés, les miraculés de ces boucheries (il n'en reste plus un), les humbles, ouvriers, paysans, employés, l’œil brillant de fierté, la larme affleurant à la paupière, flattés jusqu'à la nausée, vont sublimer et perpétuer l’orgie criminelle des puissants jusqu'à la fin des temps héroïques ! Ceux-là mêmes qui aujourd’hui gouvernent, nous confinent, nous obligent à porter un masque, signe absolu de soumission, ordonnant le couvre-feu, imposant un vaccin et détruisant l’économie pour transformer les pays en un immense camp de rétention !
Que fête-t-on en vérité dans le milieu du gangstérisme organisé aujourd’hui ? La fin d’une guerre ou le début d’une autre, autrement plus effrayante et meurtrière ? Ou, encore, la désintégration morale d’une opposition parlementaire qui, à l’instar du joueur de pipeau des frères Grimm, n’attrapent pas de rats, mais des humains pris pour des rats !
Il faut se souvenir que deux mois avant le déclenchement de la guerre de 14-18, la gauche parlementaire d’Europe était farouchement opposée à celle-ci, proclamant urbi et orbi que la seule guerre valable était la « guerre contre le capitalisme ». Pauvre Jaurès !
Chauffée à blanc par les médias de l’époque, un mois plus loin, des deux côtés du Rhin, on était soit anti-boche, soit anti-français ! Un seul perdant dans l’histoire : le rat ouvrier !

Sous l’Casque d’Erby


mercredi 9 novembre 2022

Un Rothschild en cache toujours un autre

M art' IN
L'Empire (États-Unis, Angleterre et satellites) perd de son influence et donc de sa puissance. Du moins, c'est ainsi que je le perçois par l’œilleton de mon microscope. Et même si cela n'est pas le cas tout à fait, c'est ainsi que j'ai envie de le positiver.
Je ne peux que me réjouir de voir cette puissance du mal réduire son champ d'influence en tirant une gueule à lécher la merdouille des caniveaux.
Chaque goutte de sueur exsudée par l'humanité est la sœur jumelle d'un torrent de sang irrigant les cultures d'où nous tirons la nourriture, depuis que cette puissance, par le biais de quelques banquiers, a décidé de faire de l'enfer non pas un futur séjour pour pécheurs mais un quotidien infâme.
Cette puissance, touchée par des coups répétés, qu'on dit au bord du knock-down, est encore capable de faire un mal infini à l'humanité avant de quitter la scène en redevenant une nation parmi tant d'autres, commerçant et respectant ses pairs.
En tant que témoin impuissant, s'agitant de manière pathétique, comme des milliards d'autres petits animaux pris au piège (certes supérieurs en nombre), je ne peux arborer qu'un état de frustration, de colère et de peur pour que le pire n'arrive avec la défaite tant souhaitée des « Maîtres du Monde ». Cette misérable minorité avec un pouvoir de nuisance inouï !
L'horreur que vit l'humanité est l'histoire d'un homme et de ses cinq fils : les Rothschild ! Un membre ou l'héritier du Club des Cinq ( on s'y perdrait dans les branches de cet arbre) vient de quitter le navire pour toujours.
Ces fils à papa furent envoyés en des pays stratégiquement clés pour, avec l'argent comme moteur de toute chose, décider de la vie et de la mort de millions de gens à travers les cinq continents !
Mettre ou ôter du pouvoir une marionnette de leur choix, dans un spectacle de Guignol qui amuse tant les élites et subjugue encore les sans dents, n'est qu'une pure formalité.
Plus qu'une famille, nous avons affaire à un clan sans foi ni loi, ne se mêlant aux nations que par le commerce de l'argent et le pouvoir infini qu'il confère à ceux qui en ont le contrôle. Fortune amassée avant, pendant et après des guerres au service de tous les camps, sans scrupule ni morale. Seul compte la puissance et le contrôle de la plèbe dont il faut par tous les moyens ventiler le surnombre.
C'est Stefan Zweig qui raconte dans « Les heures étoilés de l’humanité » l'épisode d'un ancêtre du clan Rothschild enflant sa fortune en récupérant les cadavres des batailles d'Austerlitz et Waterloo, remplissant les bateaux affrétés à cette fin avec des cargaisons d’ossements humains recueillis, les rapatriant en Angleterre pour fertiliser la culture anglaise, après les avoir dument broyés. Parce que pour pousser de manière optimale, les plantes doivent pousser dans un sol riche en azote, en potassium et phosphore. Et les macchabées, disait-on, en regorgeaient, selon ceux qui en firent le commerce ! « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » 
Avant, pendant et après, l'humain reste une marchandise rentable ! C'est ce clan et les produits dérivés (Schwab et bien d'autres) qui sont les vraies plaies d’Égypte, dont il faut débarrasser la planète.

Sous l'Casque d'Erby

samedi 5 novembre 2022

Contre la mémoire courte : éradiquons la vermine !

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Aujourd’hui, le terme à la mode est « déradicalisation ». Mais pas n’importe quel désendoctrinement. Ne cherchez pas ici le djihadiste banlieusard de retour de Syrie à évangéliser, vous auriez du mal à démêler le bien du mal. Ici et maintenant, nous avons affaire à une forme de « déradicalisation » qui n'en est pas une, tout en l'étant. Il s’agit de désenvoûter les millions de citoyens sur qui le pouvoir a exercé une autorité abusive et qui, découvrant ce qui était et demeure un acte criminel majeur perpétré en toute conscience, se battent contre l’oubli en demandant justice.
Quand on dit « exercice abusif de l’autorité », on se réfère à la terrible épreuve de la pandémie et à son « remède vaccinal » imposé par la force. Torture psychologique intensive serait le terme approprié pour désigner ce plan criminel.
On n’oublie pas, lors des premières campagnes de vaccination, les propos d’Emmanuel Macron, lâchant avec une vulgarité incompatible avec la fonction : « Nous les aurons, ces connards ! », parce que la population trainait des pieds, sentant que l’Etat lui servait un milliardième mensonge !
Aujourd’hui, avec le merdier ukrainien (sur le même modèle de manipulation) et la pénurie qui l’accompagne, on oublierait la violence dont la population a fait l’objet de la part de l’Etat et de ses élus, tous complices, sauf rares exceptions, une nouvelle campagne se fait jour.
Cette campagne consiste à faire accepter l’idée de « pardon » contre ceux qui depuis 2020 exercent sur les peuples une pression ignoble afin de les obliger à se faire vacciner autant de fois que les laboratoires le jugent nécessaire ! Par ricochet, la ruine des économies dans le cadre d’un projet globaliste rigoureusement mis au point, poussant inexorablement l’humain vers son état primitif, ne peut être ni pardonné, ni amnistié. Il y va de notre vie !
On sait jusqu’où l’Etat et ses séides sont allés en matière de chantage : licenciements secs ; mises à pied à la chaîne ; chantage ; campagnes de peur et de culpabilisation des parents pour les obliger à faire vacciner leurs enfants, ce qui, au tout début, on disait exclu !
Des millions de personnes vaccinées par la contrainte, subissant des effets secondaires néfastes, des morts en quantité importante ; des perturbations graves du cycle menstruel chez les femmes… Des vieux à qui on interdisait la visite des proches… Des morts assaisonnés au Rivotril dont on empêchait les familles de voir les corps et de les enterrer dignement… Des enfants qu’on empêchait d’être des enfants à l’école, avec des contraintes dignes d’un monde dystopique qu’on pense ne découvrir qu’au cinéma !
On s’y perdrait tant cela paraît incroyable, voire impossible à faire dans un pays qui tire fierté d’un passé révolutionnaire exemplaire : Etat d’urgence « sanitaire », confinement, attestation de déplacement dérogatoire, amendes, citoyens molestés par la police aux terrasses des cafés ou dans la rue, avant et après le couvre-feu, le tout copié sur le modèle de l’occupation nazie, avec un discours infantilisant pour « combattre » un virus dont la létalité n’a pas fait exploser le chiffre d’affaires des funérariums !
De quoi être méchamment en colère ! Et voilà qu’aujourd’hui on nous suggère le Grand Pardon, une sorte d’on efface tout et on recommence. Une méga production nationale avec une distribution internationale digne du « jour le plus long »
Comble du cynisme, on fait appel à la « déradicalisation » des victimes, remontées comme un coucou suisse, exigeant des comptes légitimes aux auteurs d’une politique sinistre !
A quand des messes solennelles avec feu de joie pour célébrer la grande réconciliation nationale ?!
Mes chères sœurs. Mes chers frères. Ouvrons grand les portes de nos cœurs aux enflures qui, après avoir bazardé le pays et tenté de nous tuer, nous invitent au festin des rapaces !
Ouvrons donc des perspectives pour éclairer les lanternes. Pourquoi ne pas envisager dans cet ordre d’idées, la fermeture des prisons et la libération immédiate de tous les embastillés ? Après tout, le criminel n’a pas voulu tuer ; le voleur n’a pas voulu voler ; le violeur n’a pas davantage voulu violer ! … Pas plus que le pédocriminel n’a pas souhaité abimer l’existence des petites créatures qu’il a pris pour des jouets et ruinées à jamais !
Allez, écoutons la voix de la raison et déradicalisons en éradiquant la vermine qui nous gouverne !

Sous l’Casque d’Erby

mardi 1 novembre 2022

Unipolaire, Multipolaire ou carrément bipolaire ?



Erby
…Sans-domicile autour d’un feu. Retraités faisant les poubelles. Les clowns en costume hypnotisent les foules, monopolisent les ondes pour tenir les ombres captives. Chacun vogue d’espoir en désillusion tandis que le collectif somnambule vaque à son autodestruction 

L’Ukraine américanisée saigne les peuples d’Europe aidée par des « gentils » nazis qu’on maltraite et qu’il faut sauver ! …
Et la Shoa dans tout ça ? Attendons la commémoration du débarquement de Normandie pour célébrer la mémoire des morts et des femmes violées par les « libérateurs » !
Au Brésil, le vilain Bolsonaro est battu sous les applaudissements d’une presse sous contrôle qui fait le boulot comme le ferait n’importe quel mercenaire là où il y a de l’argent à se faire et son avenir à assurer. Rien n’est plus efficace pour manœuvrer l’opinion que quelques « spécialistes de plateau » grassement payés et des petites légions militantes pour faire caisse de résonance !
Le nouveau « gentil » Lula, leader du Parti des travailleurs fait son retour après avoir humé l’air insalubre du purgatoire pour des accusations de corruption active colportées jusqu’à la vomissure par la presse-poubelle, jamais avare de saletés à nous faire renifler.
Sans état d’âme, cette même presse s’emploie aujourd’hui, avec la même farouche détermination, à installer le chef des travailleurs brésilien à la droite de Dieu ! Que ça va vite, mon Dieu ! Cela n’est plus du journalisme mais du miracle !
Qui pour donner crédit aux médias ? Ceux qui ont un intérêt matériel (prostitués en tout genre) et ceux qui n’ont que ce moyen pour s’acheter une opinion toxique. Chacun se nourrissant selon ses moyens !
L’avez-vous remarqué ? On ne parle plus du monde d’avant. Silence radio. Mort et enterré. Ce monde qui s’en est allé brutalement, jeté aux orties sous prétexte de pandémie et de santé publique. Pandémie qui, malgré une forte résistance de la part des citoyens éveillés et de scientifiques révoltés, a ouvert les vannes à l’Empire pour enclencher la seconde, puis la troisième en restant prudent, faisant ce qu’il fallait pour pousser la Fédération de Russie à intervenir en Ukraine, et aux gouvernements européens de se présenter devant l’opinion comme victimes d’une agression !
Chaque chose à sa place dans l’histoire du temps. Viendra le temps où chaque traître aura droit à sa geôle !
Désormais nous avons le choix entre « unipolaire » sauce IVème Reich, ou, « multipolaire » dans le cadre d’une reconfiguration (et non réinitialisation !) prenant en compte la souveraineté des pays (qu’il soit grand ou petit) et le respect des échanges, sans pillage ni colonialisme.
De toute évidence, l’occident, malgré ses moulinets et ses livraisons démentielles d’armes à cet addict  de Zelensky, est en train de perdre la partie en emportant dans sa chute les peuples dont il a la gouvernance. L’Empire s’écroule et il ne lui reste plus que la menace nucléaire pour limiter la casse sans trop perdre la face en ajoutant de la terreur à la crainte.
Espérons fortement qu’un Folamour quelconque ne déraille pour de bon ! Avec les malades qui tirent les ficelles, on peut s’attendre à tout !
Mais dans le ciel, si noir qu’il soit, il y a toujours une trouée pour l’espoir. Comme l’écrit avec pertinence Régis Chamagne, je cite : 
« Nous assistons peut-être à la fin d’un cycle de quatre siècles. Dans son ouvrage « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » Carroll Quigley, s’appuyant sur d’importantes archives et grâce à un travail de bénédictin, explique comment les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Elle a émergé dans un monde déjà préparé par un système financier et bancaire qui s’était développé depuis la fin du XIVe siècle afin, au départ, de financer les expéditions vers les Amériques. Ce long processus est très bien expliqué par Paul Grignon dans un film d’animation de 52 minutes « L’argent dette ». C’est ce monde-là qui est en train de disparaître, et avec lui la toute-puissance du dollar et la fin de la domination anglo-américaine sur le monde, en particulier dans le domaine monétaire. La mission des porte-avions américains était d’imposer le dollar au reste du monde. C’est fini ! On peut même se poser des questions sur l’avenir de la monarchie britannique. » 

Sous l’Casque d’Erby



samedi 29 octobre 2022

Tu meurs d’art - Pierre Soulages

ERBY
Pierre Soulages est mort à 102 piges. Paix à ses cendres. Qu’on les protège des bourrasques et de la foudre ! Tout mort a droit à la vérité. 
Il y a longtemps, dans la ville de Lannion, j’exposais ma poésie, la partageant avec artistes peintres et photographes. Jouxtant le lieu, dans un local d’Etat, j’ai eu l’occasion de zieuter la sauce au noir et la flopée de nuances de Soulages dont on itinérait les œuvres de centre culturel en centre culturel à travers l’Hexagone, sur ordre du ministère de la Culture. Mitterrand aimait Soulages. Un reportage télé que j'ai visionné plus tard montrait le président lui rendant visite dans son sanctuaire, à l'écart du monde, loin de la foule, scellant par le fait son intronisation au panthéon des célébrités dont le nom s’insère dans le catalogue de l’Histoire de l’art, à tort ou à raison.
Même si le public ne comprend goutte à la chose, ni n’aime ce qu’il pense être une couillonnade, la machine à enduire de l'éloge submergeait l'esprit critique de tout son poids.
J’ai quitté le lieu où les institutions l’avaient imposé, l’esprit brouillé par le malaise et, aussi, par la colère. Qu’on puisse à ce point nous prendre pour des péquenots m’insupportait !
J’avais éprouvé le même sentiment avec le cinéma et ce que l’on appelait la « Nouvelle vague », à laquelle je n’ai jamais pu adhérer malgré des efforts de politesse très louables. Des faiseurs qui jouaient à faire croire qu’ils pensaient, alors que leur babillage sonnait aussi creux que cela pourrait se faire dans le crâne d’un australopithèque récemment découvert. Oh, l’infiniment lointain murmure du néant dans l’oreille des sourds et muets !
Mes potes de l’époque, biberonnés aux « choses fondamentales » de l’engagement culturel avec un grand C, trouvaient là de quoi se prendre pour des grands penseurs, méprisant les gens de faible condition, qui cependant les nourrissaient, crachant sur le prolo une bile dédaigneuse, rêvant à des mondes éthérés, du haut du vide sidérant qui les empêchait de voir autre chose que leur beau miroir !
Dire cela (et bien d’autres choses encore) de Pierre Soulages dans les années 80/90 était sacrilège ! Jack Lang distribuait ses sucreries à la sortie des collèges et il fallait se prosterner devant le dieu « culture » et son armée ! Les soldats de la Junte de l’art vous sautaient sur le râble vous réduisant à l’état de chiffe, si jamais vous osiez ne serait-ce qu’un début de doute devant la grande œuvre imposée au public ! Juste si on n’ouvrait pas dans nos « démocraties » décadentes des camps de rééducation pour un nettoyage express du disque dur.
Ce sont les mêmes petits soldats, ou leur alter ego (ça se reproduit si vite !), qui aujourd’hui militent pour la culture Woke, la transidentité, la Grande Réinitialisation et le Nouvel Ordre Mondial, si cher à Klaus Schwab et aux vampires du VIème Reich, qu’on désigne du côté de Davos d’une pudique « IVème Révolution Industrielle » !
Ces mêmes domestiques, cornaqués et téléguidés, dont l’activité principale consiste à militer pour des causes funestes. L’important étant de déclencher de la rivalité et de la haine, ce tous contre tous si cher aux mondialistes : le noir contre le blanc ; l’arabe contre le noir et contre le blanc ; la femme contre l’homme ; les enfants contre leurs parents…, les vrais ennemis vivant dans l’ombre (de moins en moins ces temps-ci), ourdissant des nouveaux complots, au cas où ceux-là n’atteindraient pas l’objectif programmé.
Voilà que je m’égare ! Tant que ça ?... 
De tout ce que j’ai lu sur Pierre Soulages depuis sa disparition, la page que lui consacre Egalité & Réconciliation est de mon point de vue celle qui résume le mieux l’artiste et la dérive de l’art en ce monde. Comme tout le reste !

Sous l’Casque d’Erby