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samedi 14 juin 2025

Hier, aujourd'hui, demain, une seule alternative : la guerre !

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Ouvertement déclarée ou non, la guerre nous est proposée comme on offre des produits à la consommation pendant les soldes. Un bras, une jambe, un crâne ou tout un corps à prix discount. Elle est l'entrée, le plat principal et le dessert d'un menu à la carte. 
L'Iran aujourd'hui, l'Ukraine plus tôt et Gaza pour garnir ce gros sandwich bien bourratif pour faire taire les consciences, avec deux fronts rangés en ordre de bataille : le Bien et le Mal. On gave l'opinion publique à qui on demande de donner une note de un à cinq à cette sinistre nourriture. 
De la chair à canon au silence des cimetières, c'est la mort qu'on revêt d'une étrange lumière. Si tant est que « lumière » soit le terme approprié en l'occurrence. Comme s’il n'existait dans un univers déshumanisé qu'une seule voie, celle de notre peur et de notre lâcheté dans une réalité virtualisée. La voie la plus directe et la plus aisée pour atteindre un confort qui nous pousse à penser que pour enrayer la gangrène, l'amputation d'un membre suffit à sauver l'organisme.
Nous sommes dans un jeu vidéo, comme en Irak avant et en Ukraine après, nous disputant le monopole d’une raison séquestrée par les organisateurs de cette sanguinaire odyssée. 
Au jeu de qui a raison et qui refuse d’avoir tort, nous finirons tous six pieds sous terre sans avoir creusé la question.
Quoi de plus évident pour escamoter un arbre que la forêt elle-même ? L’histoire est cette pute qui écume les champs de bataille pour, dans la putréfaction des cadavres, tirer un narratif qui la rendra appétissante au regard des futures victimes !
Quand le réel et le virtuel s’amalgament, il ne reste plus que des promesses qu’on ne peut pas tenir. Des propos sans témoins et des témoins qui disent les avoir entendus dans la bouche des muets.
Quand il ne restera plus que le souvenir flou de ce qui aurait pu être un monde différent, ceux qui auront échappé au carnage iront commémorer le martyre comme on célèbre une page glorieuse dans le grand livre noir de nos consciences.

Sous l’Casque d’Erby 



mercredi 19 mars 2025

Tout recommencer à jamais !

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Une fois. Dix fois. Cent fois. Mille fois. Combien de fois faut-il le rappeler ?
« L'Ukraine n’est pas un champ de bataille pour la démocratie, mais un coffre-fort géologique estimé entre 2.000 et 7.000 milliards de dollars en terres rares. » 
Lindsay Graham (sénateur américain), l’a avoué comme on annonce une banalité entre la poire et le fromage : « Cette guerre est une affaire d’argent. » 
Rien que du très ordinaire dans un milieu dans lequel le synonyme d’argent est la guerre. Pas de liberté, pas de droits humains, pas de tolérance, comme on en badigeonne les esprits à longueur de flash « informatifs ». Juste une compétition sanguinaire pour s’approprier les richesses naturelles pour le compte d’une infime minorité, possédant déjà le tout, faut-il le rappeler ?
Cessons donc de croire que cette guerre a un rapport avec l’humanitaire !
Récemment, je regardais un documentaire dans lequel un énorme reptile d’Amazonie avalait un congénère tout aussi monstrueux dans un combat à mort. Finalement, le vainqueur avait commis l’erreur de saisir son ennemi par la queue et non par la gueule comme le veut la coutume : on tue avant d’avaler. Résultat : outre que le repas était trop grand pour son estomac, il lui fallut le régurgiter dare-dare sous peine de succomber pour avoir surestimé ses capacités digestives. C’est tête la première que la victime retrouvait l’air libre, pendant que son prédateur récupérait péniblement de ses vains efforts avec de fortes convulsions. 
Avec BlackRock pour la reconstruction, mais pas seulement, et des plans américains visant à vider les foyers ukrainiens de sa jeunesse pour l’envoyer de force à la boucherie, la chose est on ne peut plus claire : L’Ukraine n’est pas la victime des Russes comme on le claironne dans les salles de rédactions à l'ouest, mais un pays que les forces « alliées » sacrifient au nom de valeurs trompeuses et de principes inavouables. L’Ukraine appartient à « tout le monde », sauf aux Ukrainiens !
Le véritable enjeu de cette guerre « démocratique » ? S’assurer que ces immenses ressources stratégiques restent dans les mains « innocentes » de Washington, de Wall Street et d'autres consortiums, loin de Moscou.
Le reste n’est que narratif pour un public crétinisé par les fournisseurs d’encre et de salive. Un système corrompu ne pouvant produire que de la corruption !
Alors l’épargne des Français pour l’effort de guerre n’est que la énième escroquerie pratiquée par les cols blancs gavés avec la sueur et le sang des nations, au nom de faux principes.
Ne soyons pas surpris si, à l’instar du reptile amazonien, ce beau monde finit un jour par régurgiter un bien mal acquis.

PS : Le pays se gausse. Il en a grand besoin. La dernière hilarante de Manu Micron, alias Kéké Rose, ne fait pas dans la demi-mesure. En cas d’agression nucléaire de la part de la Russie (il s’en est convaincu tout seul) il va envahir nos boîtes à lettres d’un Kit de survie. Opuscule dans lequel, il veut nous sauver de lui-même. Si la chose très improbable arrivait, fermez portes et fenêtres, sans oublier de bien calfeutrer la chatière, personne n'entre ni ne sort ! Et au cas où des coupures d’électricité surviendraient, munissez-vous d’une torche électrique multifonction. Exemple : vous la placez au cul de votre faitout et vous ferez mijoter un ragoût 2.0 dont vous nous direz des nouvelles. Un plat que le Russe n’aura pas !

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 12 mars 2025

Dans un monde de branle-petit, le plaisir est rude !

Je ne sais pas si, à force d’abus, ça va finir par péter, comme on le proclame un peu partout, sur les réseaux et dans le quotidien. Il y a souvent un abîme entre souhait et réalité.
J'ignore quand les Français vont finir par se « réveiller », la grasse matinée ayant assez duré ! Quand allons-nous mettre les cojones sur la table, pour faire de cet infâme présent table rase !
Mon scepticisme grandit au contact des gens que je côtoie et à la lumière des propos que j’entends. Qu’il s’agisse de la guerre en Ukraine, de l’élection de Trump, de la descente aux enfers du pays, du démontage de son économie et de la trahison immonde des chefs qui la dirigent, la fatalité semble avoir remplacé la fameuse pilule bleue de Matrix dans l’inconscient collectif.
Le pays est entre les mains d'une mafia semblable à celle qui contrôlait Chicago dans les années 20/30, avec une logistique bien plus sophistiquée. Les forces de l’ordre n’ont plus besoin d’être soudoyées, ni de se cacher donc, puisque ceux qui les commandent sont ceux qui gouvernent. Avec ça, aucun incorruptible à l’horizon pour mettre le holà !
Même si je note une prise de conscience grandissante, cela reste anecdotique. Mais, sait-on jamais, parfois un minuscule grain de sable…
Et puis, ça rime à quoi cet appel chronique au danger de l'extrême droite ? Cet épouvantail qu’on agite à tout-va pour faire de la peur un fonds de commerce politico-philosophique. Que je sache, la France, comme l'Europe, est en voie de soviétisation et cela n'est pas la faute d'une extrême droite plus fantasmée que réelle. Dites-moi, quand cette ligne politique a dirigé le pays ? Pourtant, le sol se dérobe sous nos pieds ! Et cependant, ironie et foutage de gueule, c'est elle, cette extrême droite tant décriée, qui sauve les fesses de Macron et donc du « modèle démocratique » que tout le monde nous envie !
L’effet de la propagande est si dévastateur ! Y compris chez les plus farouches opposants de l’UE et de ses vautours. Son poids est si grand !
Récemment, je lisais des commentaires dans lesquels l’on mettait en balance le nombre de morts causés par l’un des camps dans des guerres de conquête antérieures à celle de l’Ukraine. Pour conclure, on nous disait, le plus calmement du monde, que les Russes comptaient davantage de victimes dans leurs campagnes de conquêtes que nos braves Européens dans toutes leurs annexions ! Comme si un tel argument pouvait ressusciter les morts et nous conférer de la noblesse !
Sans tomber dans un piège si ridicule, devons-nous tenir compte, dans ces calculs macabres, des 40 millions d’Indiens d’Amérique, dont l’annexion n’est aucunement de la responsabilité de l’ex-URSS, ni de la Russie actuelle, faut-il le souligner ? Parle-t-on de l’Afrique, du nord au sud, du Moyen-Orient, de l’Inde, de la Corée, du Vietnam ? Du petit nettoyage ethnique dans la bande de Gaza, qui dure et perdure ? De la Syrie ? Et que dire des 80 millions de morts causés par la Seconde Guerre mondiale ? Des projets globalistes sur la dépopulation mondiale ? Des victimes des Russes aussi ? Non, mais je rêve ! 
Tient-on compte dans ce calcul des morts dans le Donbass avant l’opération spéciale de 2022 ! Car, je le rappelle encore une fois, entre 2014 et 2022, ce sont quand même quinze mille morts, vingt-cinq mille blessés et 1,5 million de déplacés par Zelensky, parce que russophones !
Sommes-nous à ce point perdus qu’il nous faut chercher des excuses là où il n’y a que des morts ? Comptez ! Comptez ! Mais ne comptez pas sur moi pour cautionner des telles absurdités !

PS : Pendant ce temps, tandis que notre Champion, Kéké Rose, mouline du vent et que l’UE, l'Hyène en tête, rêve de notre dissuasion nucléaire, Américains, Russes et Ukrainiens parlent de PAIX. 

Sous l’Casque d’Erby 



samedi 2 décembre 2023

Sous la houle, le naufrage !

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L’extrême-droite n’a jamais gouverné la France. Pourtant, d’alternance en retour à l’envoyeur, nous voici arrivés au point où, au jeu des ressemblances, l’on se demande avec insistance si nous n’avons pas été menés en bateau pour une croisière de l’horreur.
N’importe qui (sauf...) pourvu d’un brin de bon sens comprend qu’au 19ᵉ 49-3 utilisé par la Macronie, sans la moindre motion de censure de la part des « opposants », quelque chose dysfonctionne gravement au pays de la République des « Lumières » !
Les petits soldats de l’Empire et autres manipulés, idiots utiles, colporteurs de pensée unique et du cirage de pompe, sont là pour faire diversion, criant au loup, passant sous silence qu’à l’instar du chien des Baskerville, la « créature » n’est qu’un leurre, puisque sous la luminescence de la défroque se cache une pauvre bête dressée et volontairement affamée. Qu’importe l’imposture, car le piège fonctionne chaque fois.
Pendant que l’arabe et le noir se farcissent du « sale » blanc et le sioniste éradique du gazaoui, le « militant-justicier », nourri à la bêtise la plus crasse, brandit le péril brun, sans pousser plus loin son degré d’évolution. Sans chercher à comprendre pourquoi cette Europe tant vantée comme le symbole de la paix et de l’harmonie entre les peuples ne génère que la guerre, le chaos et la violence entre citoyens, d’où émerge déjà le monolithe de l’État totalitaire annoncé de longue date, effaçant d’un trait brutal l’idée d’État-nation et d’un monde multipolaire.
Qu’un noir ou un Arabe viennent à être molestés pour une infraction commise ou un meurtre « déguisé » et c’est tout un pan de la société qui se lève comme un seul homme pour brûler le drapeau national dans les rues, crier aux violences policières et cracher une haine irraisonnée sur le pays qui accueille et nourrit. À aucun moment, on ne lève le regard vers les véritables responsables de ce chaos qui conduit vers une guerre civile et à la fin des temps civilisés.
À ce stade, aucun 49-3 de la part du gouvernement pour éloigner le danger et remettre un tant soit peu les pendules à l’heure ! Ce n’est pas parce que quelques exaltés rêvant de croix gammées et de pas de l’oie s’exhibent avec des airs de matamores, en réponse à des agressions répétées, que cela doit nous faire oublier que Zelensky et les nazis des bataillons Azov en Ukraine, ont été soutenus et armés par Washington et l’Union européenne.
En des temps pas si lointains, le grand écrivain et humaniste Stefan Zweig rêvait d’une Europe débarrassée de ses démons. Une Europe tournée vers la culture et la grandeur de son humanisme. Un continent qui « montrerait, non le mal qu’un peuple a fait à un autre, mais ce qu’il lui doit ». Une histoire de « transferts culturels » où chacun met sur la table sa partie saine.
Déçu et atterré par la victoire des nazis et l’horreur de la Seconde guerre mondiale, épuisé et ayant perdu espoir en un monde meilleur, il se donna la mort au Brésil, en 1942, en compagnie de sa compagne qui refusa de lui survivre.
S’il revenait aujourd’hui, quelle ne serait son horreur de voir les héritiers de ces nazis qu’il a tant combattus, portant un faux costume « démocratique », entraînant le monde vers le destin que leurs ancêtres avaient tracé avant eux.
Lui, le juif autrichien, qu’aurait-il pensé de ses frères d’Israël, martyrisant et tuant massivement les Palestiniens en leur volant la terre ? À tous les coups, nous assisterions à son second suicide !
Voilà notre réalité : Un monde qui nous échappe par la faute d’escrocs, de lâches, de criminels et par notre propre irresponsabilité !

Sous l'Casque d'Erby 



vendredi 5 mai 2023

Agenda 2030 ou la chasse au pigeon

De l’euphorie à la torpeur ; de l’inconscience au déni, l’Agenda 2030 et son projet de puissance mégalomane tourne sans pitié les pages d’un enfer programmé !
Ce qui est apparu en 2020 sous l’appellation contrôlée de Covid-19 est la remise en marche décomplexée du nazisme dans sa version soft. Comble du cynisme – les nazis en ont toujours été pourvus – la Cour Pénale Internationale, s’agissant d’un bureau d’enquête sans pouvoir, ne lance rien de moins qu’un mandat d’arrêt international contre Poutine pour « génocide et crime contre l’humanité » !
Le système de propagande occidental tourne au délire ! Qu’importe, puisque l’important se trouve dans l’effet généré dans l’esprit du bétail à l’heure où il prend sa dose de propagande intensive devant son écran télé. La télé, c'est comme si nous faisions asseoir un oligarque dans chaque foyer pour nous expliquer en quoi consiste notre bonheur.
Plus de 3 000 milliards de dettes en notre douce France, une dette qui ressemble à celle de la Grèce comme une sœur jumelle ressemble à une sœur jumelle, n’a eu comme réponse de la part du ministre de l’Économie que la publication d’un livre pornographique ! Ce n’est plus un gouvernement, mais une équipe de management stratégique travaillant à la perte du pays.
Soudain, je pense à la montée du nazisme en Allemagne dans les années 30 du siècle dernier. La défaite allemande lors de la Première Guerre mondiale ayant entraîné le chaos économique (il fallait une brouette pleine de biffetons pour s’offrir un café dans un bistrot) et la débandade politique que l’on sait, le pays ne connut son miracle et sa remontée que par l’industrie de guerre et le vampirisme d’un capitalisme qui voulait en finir avec la montée des mouvements révolutionnaires en Europe, en préparant la Seconde !
Si la première fut une réussite d’un point de vue stratégique, que penser de la Seconde ! Anesthésié, le peuple allemand, après avoir boulotté son pain noir, suivit aveuglément la ligne tracée par des dirigeants « messianiques » et les puissants lobbies militaro-industriels. Les mêmes qui, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, sous des appellations différentes, tous bords confondus, au nom de la « démocratie », portent le feu et le sang partout où il y a des profits à faire.
Les Allemands qui à cette époque avaient dénoncé la « démence totalitaire » s’étaient retrouvés, soit dans des camps, soit exilés dans des pays où il ne faisait pas bon être allemand ! Serait-ce ce sort qu’on réserve aujourd’hui aux complotistes ? Si vous voyez un lien de parenté entre ce qui s’est passé jadis en Allemagne et ce que nous vivons et allons vivre prochainement, ne voyez là rien de fortuit !
Quant à l’Agenda 2030, dont un petit nombre ose en parler, elle n’a qu’un objectif planifié de longue date : l’unipolarité et le nettoyage par le vide des surplus humains ! Une définition lapidaire des objectifs ? Ne servant plus à rien, l’humanité ayant « démesurément amélioré sa technologie, elle s’est rendue largement superflue ! » Autrement dit, que foutons-nous encore sur terre, cherchant à perturber les petites affaires de la minorité profonde?!
Quelle importance que tout cela, puisque l’événement médiatique du moment est l’arrivée sur le marché de la montre intelligente. La tocante qui vous alerte contre des possibles malaises biologiques pouvant vous sauver de vous-même ! Et peu importe si, parvenu au seuil de l’hôpital, pour vous sauver, vous trouvez porte close par volonté de l’État !
 
Sous l’Casque d’Erby
 
 

samedi 4 mars 2023

La paix des cimetières

L’Histoire est aussi têtue que criminelle. Comme Hitler il y a à peine un souffle, Zelensky fait un pont (de mort) à des jeunes fanatisés et à jamais traumatisés (pour ceux qui échapperont au carnage) en les envoyant au front payer de leur vie pour un business (ça en est un) qui n’a jamais été le leur, pendant que lui et sa femme font la tournée des « popotes » dans les capitales du monde, dépensant sans compter dans des boutiques de luxe un argent gagné avec leur mercenariat et réclamant plus d'armes pour alimenter le délire paranoÏaque du pouvoir profond.
De Napoléon à Hitler et maintenant les héritiers de ce dernier, qu’ont-ils tous à vouloir conquérir, soumettre ou anéantir la Russie qui n’a rien fait sinon exister en tant que pays souverain ? D’où leur vient cette obsession ?
On le dit et on le répète tant et tant qu’au final on se demande si nous ne sommes pas les membres d’une compagnie de théâtre en train de répéter une tragédie sur les planches miteuses de la vie ! On se pince pour se réveiller de ce cauchemar !
On aimerait tant regarder à nouveau le ciel dégagé sans craindre le fracas d'une explosion dispersant nos carcasses vers le néant !
On aimerait tant ne plus voir ces défilés d’idiots arborant sur commande des drapeaux jaune et bleu, arpentant les villes en soutien non pas à un peuple, mais à des criminels tapis dans l’ombre et tirant les ficelles, détruisant les valeurs qui ont fondées la mosaïque continentale depuis quinze siècles et plus.
Ne plus entendre nos entourages scander des âneries, exigeant « plus d'armes pour l'Ukraine », refusant d’écouter vos arguments de paix, vous répondant : « Je ne veux rien entendre ! », préférant la paix des cimetières à la voie de la raison !
Qu’a-t-il promis Zelensky à ces jeunes « gameurs » pour les pousser vers le front ? De l'argent qu'ils ne pourront jamais dépenser ? Des lignes de cokes jusqu’à leur faire oublier leurs bulletins de naissance ? La certitude d'avoir un statut de « héros » post-mortem ?
Pour les convaincre d'aller au casse-pipe, s’est-il inspiré du discours d’Adolf Hitler lors du congrès du parti nazi à Nuremberg en 1935, déclarant : « À nos yeux, le jeune Allemand de demain (ukrainien de nos jours) doit être svelte et élancé, preste comme le lévrier, solide comme le cuir et dur comme l’acier Krupp » ?
Leur a-t-il rappelé, lors d’une réunion préparatoire, entre vodka et ligne de poudre blanche, ces fortes paroles de feu le Führer à la jeunesse allemande, revues à la sauce ukrainienne, qu’ils ne doivent « penser qu’ukrainien et agir en ukrainien, passant de la jeunesse ukrainienne à la jeunesse bandériste pour devenir de vrais nationaux-socialistes » ?
Quand on voit ce que cela cause comme dégâts sur le front chez les militants nazis endurcis, nourris au lait de feu Bandera, dont le quotidien se résume à se torcher la gueule avec des saloperies et recevoir de la mitraille au prix de gros, on doute que ces fadas de la Game Boy et leurs familles aient mesuré les conséquences réelles d’un tel engagement !

Sous l'Casque d'Erby 


lundi 27 février 2023

Un bon voisin peut en cacher un autre

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Faites gaffe quand vous échangez avec votre voisin à l'heure de l'apéro, les temps sont à l’orage. Mon gars est tout ce qu’il y a de plus normal et de plus collabo : bon père, bon mari, bon travailleur, bon citoyen, excellente victime. La proie parfaite, car l’homme, bien que borné, est honnête.
Evitez le sujet sur l’état du monde et le modèle de société qu’on nous impose ; sur la guerre que la haute déclare et que la basse exécute ; sur l’avenir proche et celui, plus lointain, mais pas tant, de nos enfants. Ne dites rien de vos inquiétudes sur le nazisme rampant qui se diffuse comme un brouillard tenace tout autour de nous. De la petite exaltation paranoïaque tout au plus.
On évite les termes abscons ou les théories abstraites du type informé, si sincère soit-il et si vraie soit sa source. Car même avec des mots simples vous êtes loin de l’objectif ! Au mieux – parce qu’il vous apprécie – il dira à part soi : « le voilà barré ! » Et quand il aura à s’exprimer sur vous auprès d’un tiers, il n’hésitera pas à vous faire le photomaton : « Il est perché, le pauvre ! »
Traduisez Great reset par « repartir de zéro, remettre l’économie à plat et les sociétés au pas », avec la traduction adéquate : « Tout pour la minorité riche, que tchi pour le reste ! » 
Même si l’argument semble imparable comme un coup franc dans la lucarne, rien n’est encore joué dans son esprit ! L’incrédulité qui le submerge l’empêche de dégager les nuages accumulés dans son espace mental par l’intensité de la propagande ingérée.
Si malgré tout, il chancelle sur ses bases et vous l’agrippez pour une nouvelle danse, cela ressemble davantage à une fin de bal qu’au beau Danube bleu.
Pour la énième fois vous listez l’arnaque généralisée : de l’état d’urgence sanitaire pour nous faire croire à une pandémie pire que la peste bubonique, à la vraie mission d’un gouvernement mandé par l’Oligarchie afin de nous faire la peau. Que l’opposition reste sous contrôle et joue du pipeau sur commande. Que tout est fin prêt pour faire de nous des cobayes. Que le rationnement des denrées alimentaires, de carburant, des matériaux, de biens et services, le gel des revenus, la réforme des retraites, ou les plus petits rapetisseront un peu plus, font partie d’un plan soigneusement élaboré. Qu’enfin, leurs guerres ne sont pas nos guerres. Que leurs ennemis ne sont pas nos ennemis ! Que si tout cela n’existe que dans l’esprit des complotistes comment expliquer les moyens de coercition utilisés contre le personnel soignant pour avoir refusé un vaccin expérimental, au point de rendre leur exclusion « naturelle » par la banalisation !
Parle-t-on assez de ces personnes déclassées, sans droits, dont certaines se suicident dans l’anonymat le plus cruel ? De manière quasi identique à celle des agriculteurs qu'on célèbre pour la frime une fois par an à l'occasion d'un Salon du même nom !
Ces gangsters n’hésiteront pas à t’enfoncer la dague dans la moelle épinière, c’est ça le projet : prendre des mesures totalitaires, par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel pour un asservissement global. Cela s’appelle le « pouvoir intégral » cher à Schwab et à son psychopathe de bras droit Yuval Noah Harari !
Complètement groggy, mais pas anéanti, mon voisin a du mal à finir son verre et lâche un laconique : « Tu pourris la soirée. T’es pas drôle avec ta politique ! Et en plus tu dis des conneries ! J'y crois pas à ton délire ! Tout ça c’est la faute de ton pote le Poutine. Demande la nationalité russe pendant que tu y es et fous-moi la paix ! » 
A ce stade, j’évite de lui répéter que l’Empire américain est bâti sur le modèle d’une Société Anonyme, avec des capitaux du Vatican et dont le siège se trouve à la City de Londres et que là est le modèle qu’ils ont prévu d’appliquer à notre occident « exemplaire » ! Je ne voulais pas l’accabler au point de le voir s’effondrer dans mon salon. Les pompiers, l’hôpital, le vaccin, les questions qu’on ne manquerait pas de me poser…
Après tout, ne sommes-nous pas tous deux victimes du rouleau compresseur du totalitarisme ? La Corée du Nord, dites-vous ? Nous y sommes !

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 29 janvier 2023

La vie d'avant, la vie d'après et la guerre en dessert

M art' IN
La guerre est une tumeur maligne dont l'humain ne guérira qu'en quittant cette vie et les suivantes. La guerre ne disparaîtra-t-elle qu'avec la disparition de l'espèce ? Quand je découvre les morts causées par ses soins c'est comme si des villes entières disparaissaient de la surface de la terre. Comme si le clignotant qui les signalait sur la carte soudain s'éteignait pour toujours.
La guerre, cette chose hideuse qui nourrit la vermine gouvernante !
« Dis, c'était quoi la vie d'avant ? » La même que maintenant sans le Covid et sans la guerre.
« Et celle d'avant le Covid ? » Tu parles de la plus récente ou de celle des « Trente glorieuses » et ses poussières ? 
La même sans le Covid, mais avec le SIDA et le trou dans la couche d'ozone, miraculeusement rebouché par des maçons experts en fissures et étanchéité !
« Et la vie de demain ? » Tout pareil que celles d'avant, en pire peut-être... Quand on ne sait pas on spécule, n'est-ce pas ?
La vie d'avant, dis-tu. Pour avoir une idée, inutile d'appeler madame Irma. Un peu d'introspection suffira amplement. C'est comme quand tu regardes des photos souvenir de cet autre qui n'est plus toi. Et qui pourtant a l'air d'en avoir l'air.
Tu ne seras jamais plus le petit bébé adorable devant lequel l'entourage de tes parents s'extasiait. Regarde-toi ! Ni ce petit garçon espiègle dont le noir et blanc de l'image t'attendrit. Ni le beau jeune homme servant à illustrer les couvertures des magazines pour midinettes ; ou cette belle jeune femme pour qui risquer sa vie est la plus belle des missions romantiques !
La vie de demain ? On ouvre les yeux un peu ? Ou on les ferme pour mieux visualiser le film. Elle est cette utopie qui bouge et bougera l'espoir jusqu'à ton dernier souffle. La vie de demain, c'est de garder assez de vie dans ton esprit pour penser que l'image que le miroir renvoie est aussi belle, aussi différente et aussi vraie que toutes celles que tu fais défiler dans le livre de ta mémoire. Qu'il suffira de montrer la richesse accumulée par l'expérience et fera de ta sagesse l'aliment dont se nourriront ou ne se nourriront pas les futures générations.
La vie de demain, c'est cette guerre – encore elle ! – toujours recommencée de l'intelligence contre la bestialité !
La vie de demain, c'est ce souffle qui réveille le printemps, quand les vents tièdes des saisons chauffent la terre et font éclore les graines. Celles qui nourrissent l'espoir d'un monde enfin libéré de la terreur !
La vie de demain, c'est courir dans le noir, tout pressentir, ne jamais s'appesantir, sans jamais regretter les pas qu'on faits, car ils sont inéluctables, pour le passé, pour le présent, pour l'avenir.
C'est notre leçon de vie. Notre raison de vivre. Pour que tout ne meure pas avec la guerre !

Sous l'Casque d'Erby



samedi 21 janvier 2023

Pas si tranquille le fleuve de la Vie

« Les boîtes de conserve vides font toujours plus de bruit que les boîtes pleines. Il en va de même pour les cerveaux »
, écrivait Truman Capote.
Par cette réflexion l'auteur suggère – du moins c'est ainsi que j'ai envie de l'entendre – que le souci du capitalisme consiste à empêcher les gens modestes (l'immense majorité) d’avoir le temps de remplir leurs boîtes. Par un travail abrutissant et même inutile, l’école prenant le relais, parce qu'elle est au service du plus fort, afin de faire illusion, donnant à l’esclave des allures d’homme d’affaires cultivé, avec sa tenue Men in Black, son auto, ses congés payés, ses crédits, son bonheur « d’homme libre » avec des propos convenables sur la vie en général et la sienne en particulier. N'ayant de l'esclavage que des notions très vagues et lointaines, considérant que son bien-être n'est pas en relation avec la souffrance d'un tiers.
Libre de répéter de mémoire des dates historiques, sans connexion avec le présent, son souci consistant à briller sans éclat, mais assez pour faire de sa position sociale et de manière inconsciente le tremplin de sa perdition.
Certes, ce n'est pas ainsi que nous naissons, mais c'est ainsi qu'on nous fait grandir. C'est le destin de la classe moyenne. Cette classe qui sert (pour combien de temps encore) de liant entre la minorité richissime et la majorité maintenue dans la pauvreté et l'ignorance, relative ou extrême.
L'heure est donc venue de faire descendre la classe moyenne de son carrosse. Désormais, les élites ont décidé (et c'est peut-être une erreur grave de leur part) de les envoyer par le fond rejoindre les bataillons de miséreux qui écument le trottoir en quête de trimestres à mendier pour la retraite et autres « broutilles » sur fond de guerre et de chaos en Ukraine. Une guerre de routine ayant pour objectif le vol des richesses appartenant à des tiers, la Russie dans ce cas précis. En aucun cas pour notre félicité comme les médias nous en vendent le pack. Une guerre qui peut leur coûter très cher !
Une campagne de décérébration si bien orchestrée que la dénoncer nous vaut, au mieux, mépris ou condescendance, tout pareil que quand nous dénoncions la planification de la pandémie, s'apparentant à un coup d’État mondial, le vaccin comme moyen d'éradication, dans des pays on l'on fabrique le mensonge de la même façon qu'on passe la tondeuse dans les jardins.
Une liberté clés en mains dont le maître-mot est liberté sans liberté ! Une dématérialisation de l'humain qui finit par étonner le capitalisme lui-même, l’efficacité du modèle n’ayant plus besoin de son intervention directe tant l’exécutant montre de l'ardeur à la tâche.

Sous l'Casque d'Erby


mardi 1 novembre 2022

Unipolaire, Multipolaire ou carrément bipolaire ?



Erby
…Sans-domicile autour d’un feu. Retraités faisant les poubelles. Les clowns en costume hypnotisent les foules, monopolisent les ondes pour tenir les ombres captives. Chacun vogue d’espoir en désillusion tandis que le collectif somnambule vaque à son autodestruction 

L’Ukraine américanisée saigne les peuples d’Europe aidée par des « gentils » nazis qu’on maltraite et qu’il faut sauver ! …
Et la Shoa dans tout ça ? Attendons la commémoration du débarquement de Normandie pour célébrer la mémoire des morts et des femmes violées par les « libérateurs » !
Au Brésil, le vilain Bolsonaro est battu sous les applaudissements d’une presse sous contrôle qui fait le boulot comme le ferait n’importe quel mercenaire là où il y a de l’argent à se faire et son avenir à assurer. Rien n’est plus efficace pour manœuvrer l’opinion que quelques « spécialistes de plateau » grassement payés et des petites légions militantes pour faire caisse de résonance !
Le nouveau « gentil » Lula, leader du Parti des travailleurs fait son retour après avoir humé l’air insalubre du purgatoire pour des accusations de corruption active colportées jusqu’à la vomissure par la presse-poubelle, jamais avare de saletés à nous faire renifler.
Sans état d’âme, cette même presse s’emploie aujourd’hui, avec la même farouche détermination, à installer le chef des travailleurs brésilien à la droite de Dieu ! Que ça va vite, mon Dieu ! Cela n’est plus du journalisme mais du miracle !
Qui pour donner crédit aux médias ? Ceux qui ont un intérêt matériel (prostitués en tout genre) et ceux qui n’ont que ce moyen pour s’acheter une opinion toxique. Chacun se nourrissant selon ses moyens !
L’avez-vous remarqué ? On ne parle plus du monde d’avant. Silence radio. Mort et enterré. Ce monde qui s’en est allé brutalement, jeté aux orties sous prétexte de pandémie et de santé publique. Pandémie qui, malgré une forte résistance de la part des citoyens éveillés et de scientifiques révoltés, a ouvert les vannes à l’Empire pour enclencher la seconde, puis la troisième en restant prudent, faisant ce qu’il fallait pour pousser la Fédération de Russie à intervenir en Ukraine, et aux gouvernements européens de se présenter devant l’opinion comme victimes d’une agression !
Chaque chose à sa place dans l’histoire du temps. Viendra le temps où chaque traître aura droit à sa geôle !
Désormais nous avons le choix entre « unipolaire » sauce IVème Reich, ou, « multipolaire » dans le cadre d’une reconfiguration (et non réinitialisation !) prenant en compte la souveraineté des pays (qu’il soit grand ou petit) et le respect des échanges, sans pillage ni colonialisme.
De toute évidence, l’occident, malgré ses moulinets et ses livraisons démentielles d’armes à cet addict  de Zelensky, est en train de perdre la partie en emportant dans sa chute les peuples dont il a la gouvernance. L’Empire s’écroule et il ne lui reste plus que la menace nucléaire pour limiter la casse sans trop perdre la face en ajoutant de la terreur à la crainte.
Espérons fortement qu’un Folamour quelconque ne déraille pour de bon ! Avec les malades qui tirent les ficelles, on peut s’attendre à tout !
Mais dans le ciel, si noir qu’il soit, il y a toujours une trouée pour l’espoir. Comme l’écrit avec pertinence Régis Chamagne, je cite : 
« Nous assistons peut-être à la fin d’un cycle de quatre siècles. Dans son ouvrage « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » Carroll Quigley, s’appuyant sur d’importantes archives et grâce à un travail de bénédictin, explique comment les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Elle a émergé dans un monde déjà préparé par un système financier et bancaire qui s’était développé depuis la fin du XIVe siècle afin, au départ, de financer les expéditions vers les Amériques. Ce long processus est très bien expliqué par Paul Grignon dans un film d’animation de 52 minutes « L’argent dette ». C’est ce monde-là qui est en train de disparaître, et avec lui la toute-puissance du dollar et la fin de la domination anglo-américaine sur le monde, en particulier dans le domaine monétaire. La mission des porte-avions américains était d’imposer le dollar au reste du monde. C’est fini ! On peut même se poser des questions sur l’avenir de la monarchie britannique. » 

Sous l’Casque d’Erby



mardi 25 octobre 2022

On se tait et on creuse !

ERBY
Ce début de vingt et unième siècle que nous imaginions éblouissant dans ses promesses s’avère être celui des larmes, du feu et de l’extermination de masse.
Alors que tout annonçait la fin des guerres comme celles qui ont précédé les trente dites glorieuses, le temps, dans un virage sanglant, inversant le mouvement des aiguilles, fait voler en éclats l’espoir insensée d’un monde évolué.
Roulant son ruban d’acier, le froid des glaciers pénètre les âmes comme une « bombe sale » conçue par des esprits criminels pour faire de la terre un vaste enfer !
Tels des condamnés à mort attendant le jour et l’heure de l’exécution, nos vies ne sont plus que le bruit de ce tic-tac obsédant qui martèle nos cerveaux comme un marteau-pilon atteignant ce point final que la vie a mis entre parenthèses.
La nostalgie de ce qui fut n’est plus que temps blanc, ce brouillard épais qui en colonisant l’esprit dématérialise la structure que nous pensions être.
La folie gagne les étages de la nouvelle Babel, cité conceptuelle dont le ciel devient la route vers un futur hideux.
Plongés dans un chaos mental voulu par un dieu maléfique que les humains dérangent dans sa folie mégalomane, la langue n’est plus l’outil régulateur d’harmonie, mais son ange exterminateur, opérant dans une langue étrangère, sans personne pour la comprendre.
Dans ce désordre total, des voix nous exhortent avec des signes anciens : « Retirez votre argent de la banque, vous allez tout perdre ; c’est décidé en haut lieu ! ... C’est pareil qu’en 2008, lors des subprimes, mais en pire ! »
Quel argent ? Dans quel monde vivons-nous ? Pour retirer, il faut en avoir ! … Or… Or… Dites-moi ? … Comment approvisionner mon vide bancaire afin de valider mon retrait ?... Un braquage de banque ?... Mais si, comme vous l’affirmez, les banques ont retiré les liquidités ? … On fait quoi ? … On aide la police à remplir les prisons en échange d’un repas chaud ? ...
Les mêmes voix, un ton plus loin, saisies de panique, vous mettent dans le bain pour une douche froide, au cas où vous doutiez du bienfondé de l’alerte : « Faites des provisions, les temps futurs s’annoncent sinistres ! Remplissez vos placards, verrouillez vos portes ! Mettez des barreaux aux fenêtres… Armez-vous contre l’intrus ! … Tirez d’abord, renseignez-vous après … Ne sortez de chez vous que si vous en êtes sûrs. Absolument sûrs ! Et à la condition stricte que vous soyez en possession du codex imprimé à l’arrière de votre crâne, comme dans Hitman ! Chaque vivant est potentiellement l’ennemi de son semblable ! Tracez votre route, un point c’est tout ! »
Comment faire si les banques n’ont plus de liquidités ? Les prendre d’assaut, ce que les communards n’ont pas su ou voulu faire en 1871 ? S’approprier l’or et le distribuer aux nécessiteux dans les ronds-points, aidés à la tâche par les Gilets Jaunes, les Bonnets Rouges et les bénévoles des Restos du Cœur ? ... Ça va faire beaucoup trop de riches, ne trouvez-vous pas ?
Et la nourriture, comment faire pour faire du stock ? La voler ?... Et la moutarde, pouvez-vous expliquer l’énigme de sa disparition ? Est-ce pour la fabrication à grande échelle du gaz moutarde ? ... Ca avait fait des sacrés dégâts ! ... Vraiment flippant, ce scénario ! 
En résumé, on se tait et on creuse, c’est ça ? ... Tombe ou charnier ? Charnier, je pense...

Sous l’Casque d’Erby 

mardi 11 octobre 2022

La moutarde ne vous monte pas au nez ?


Il y aura toujours
Un laisse tomber
Laissé pour compte
Un compte qu’on décompte
Un ciel qui trompe
Un homme qu’on estompe 

Par ces temps incroyables et au rythme où vont les choses nous finirons par prendre le champignon atomique pour un champignon comestible !
La guerre est le dernier jeu à la mode qu’on regarde bien au chaud dans son salon (à 19° maximum !), après une bonne journée de chômage, les victimes se relevant comme un seul homme à la fin des prises de vues, comme nous l’avons vu en Ukraine lors de tournages simulant un massacre russe, que le gogo gobe comme le bébé gloutonne la tétée !
Niveau confusion, bien que nous ayons vu des requalifications étranges, comme femme de ménage promue « technicienne de surface » et la bonne vieille plaquette de savon rebaptisée « gel lavant solide », nous ne sommes pas au bout de l'édulcoration !
A force de prendre tout pour n’importe quoi on finit par brûler le cerveau alors qu’on pensait y faire sa toilette.
Si nous sommes cette minorité qui pense et dénonce l’instauration d’un univers de science-fiction pour remplacer le « monde d’avant », il y a une grande majorité qui a cessé de penser, le jour où le pouvoir, par le biais de l’éducation « obligatoire » et de la « permissivité » soi-disant libertaire, leur a mis le grapin dessus pour nettoyer les cerveaux des cellules actives.
C’est ainsi qu’on finit par croire que nous vivons en démocratie et que vers là-bas (parce que on le dit à la télé) c’est le pays des horreurs. Bien pire que la pire des productions d’horreur que l’on propose au cinéma. Ce « pire » se trouvant en réalité chez nous : le nombre de triple vaccinés chopant la « forme grave » du Covid et son cortège d'effets secondaires, ne se posant toujours pas la bonne question, tant la forme grave de la démence les a saisi : « pourquoi étant vacciné, attrape-je encore le Covid ? A quel moment, ça a merdé dans ma vie ?» Ni pourquoi tant d’idiots, souvent les mêmes, continuent de porter le masque, alors qu’Olivier Véran, dans un livre larmoyant qu’il vient de faire publier, avoue que l’obligation de porter le masque « fut une erreur du gouvernement » !
Ce qui n’est pas une erreur c’est la méthode employée pour faire croire que les mercenaires qui gouvernent se préoccupent de notre santé. Cette méthode a si bien réussi lors du début de la dictature sanitaire en 2020 qu’on la reprend à la lettre pour la crise énergétique qui va définitivement nous plonger dans l’apocalypse voulue par l’Internationale nazi qui depuis Davos et le siège de l’U.E. ramifient et gangrènent tout le continent européen. Et aucun signe à l’horizon, malgré la grève des raffineries, n’indique que la moutarde monte au nez des peuples de manière importante, voire définitive !
Notons, pour élargir un brin un horizon méchamment bouché, que les papas du duo Klaus Schwab-Von der Leyen étaient des dignitaires nazis ! Les racines finissent toujours par repousser !
Et l’homme commun qui continue de penser que tout ce qui arrive est la faute de Poutine, alors qu’il représente peut-être notre planche de salut ! A condition de quitter la planche pourrie américano-atlantiste, comme l’avait fait de Gaulle (trahi par ses successeurs) et retrouver notre indépendance politique. Ne confondons plus dans notre dépendance permanente mondialisation et mondialisme, deux termes antinomiques que nous avons tendance à mettre dans le même sac :
« La mondialisation – processus d’échanges matériels et immatériels dus au progrès technique – pourrait tout aussi bien se satisfaire d’un monde multipolaire fait de nations pratiquant un protectionnisme réciproque et raisonné.
Le mondialisme en revanche est un projet idéologique – sorte de religion laïque – qui travaille à la mise en place d’un gouvernement mondial et à la dissolution de toutes les nations du globe en une seule humanité. » (1)

(1) « Comprendre l’Empire » - Alain Soral – Editions Blanche.

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 24 août 2022

Au commencement, c'était déjà le bordel !

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« Ce monde n'est qu'une immense entreprise à se foutre du monde. »
 
Louis-Ferdinand Céline 

L’U.E. se désintègre et nous avec. Ce qui devait être le Continent des utopies devient un champ de ruines. Bâtie sur du vent par des tiers qui ne voulaient pas la voir s’épanouir, elle n’a pas résisté à la guerre programmée en Ukraine. Choc échafaudé par des forces souterraines pendant que les peuples pensaient vivre en Bisouland.
On se souvient qu’on nous avait vendu ce projet multinational pour que « jamais plus l’Europe ne revive les atrocités du passé » ! Nous avions pourtant voté contre, parce que nous sentions l’enfumage, mais la loi du plus fort…
Les hommes de paille parachutés à la tête des pays, désignés comme on tire les boules du loto, pour des missions de destruction massive, nous détestent autant qu’ils haïssent les pays qu’ils dirigent. Le remords ne fait pas partie du bagage empathique que tout humain porte en lui en venant au monde. Ils sont le matériau avec lequel on bâtit les geôles, on brûle les innocents, on incinère des valeurs millénaires, on mitraille le « bétail » et on achève les survivants !
Enième exemple du délitement de cette U.E. préfabriquée vient de se produire avec Zelenski. Aussi étrange que cela paraisse, l’amuseur de Kiev se pose comme le chef naturel de l’U.E. (ses désirs sont des ordres), alors que l’Ukraine n’en fait pas partie, distillant des directives sur la marche à suivre face à la Russie, ainsi que sur l’attitude à observer sur les ressortissants Russes faisant du tourisme dans les pays européens. Il faut les punir, les renvoyer d’où ils viennent. Les humilier ! Et pourquoi ne pas ouvrir des camps de concentration avec des chambres à gaz pour s’en débarrasser !
Pour commencer, l’Allemagne, grande puissance continentale s’il en est, voyant l’hiver se pointer à grands coups de raquettes à neige, a dit Nicht aux exhortations du comique ukrainien ! L’Espagne et le Portugal, malgré une météo moins austère, unissant la mélancolie du Fado à celle du Cante jondo, ont exprimé une fin de non-recevoir tout aussi ferme jetant un coup de givre à l’édifice babélien d’une institution déboussolée, jouant du silence comme d’une arme de précision, sur des faits aussi criants que la torture pratiquée dans le Donbass depuis de nombreuses années, aussi bien par les bataillons de représailles ukrainiens que par « la frange néonazie et bandériste », ainsi que par le Service de sécurité d’Ukraine, le SBU, police politique, dont les actes de torture n’ont d’égal que le mutisme des médias et la discrétion des « humanitaires » qui guident nos consciences par tous les temps !
Et la France dans tout ça ? Comme souvent depuis la disparition de son dernier grand homme d’Etat, Charles de Gaulle, on la trouve en rase campagne, le pouce en l’air, les pieds dans la fange, attendant l’aide d’un hypothétique « bon samaritain », recevant une fiente de pigeon sur le haut du crâne et ne trouvant pas de gendarmerie pour y déposer plainte ! Les deux arpions bien enfoncés dans le même sabot, notre « Chef de guerre », Emmanuel Macron, qui n’a pas fait son service militaire, engoncé dans un treillis cousu à la diable par un Jean-Paul Gaultier sous psychotrope, a la volonté d’envoyer le peuple au casse-pipe !
Pérorant, auprès de qui ne l’écoute pas, sur le rayonnement guerrier de la France du temps des guerres napoléoniennes, rêvant en bon Gamelin, à ce mot définitif que l’histoire nous ramène : « De victoire en victoire jusqu’à la défaite finale ! », dans sa version LGBTQIA+. Répétant dans ce coin de campagne isolé, le pouce toujours levé, des bribes de son prochain discours sur le rôle culturel de la France dans le monde moderne (tous à genoux !), sur le siècle d’or des Lumières qui en furent, et sur cette Grandeur que nous avons cédé pour une bouchée de pain à des usuriers à qui nous avons tendu la main quand ils en avaient besoin et qui aujourd’hui nous enfoncent la dague dans le cœur.
Désormais, on ne peut plus le taire, guerre, pénurie et vaccin sont clairement les armes avec lesquelles le totalitarisme prend ses aises dans cette partie du monde.
Soyez les bienvenus aux pays de la guerre qui ne sont pas en guerre !

Sous l’Casque d’Erby




vendredi 27 mai 2022

Grand Reset, l’Ukraine et les pigeons

« Il n’y a pas de paix. L’attendre de la part des Maîtres c’est comme attendre un baiser de la bouche d’un canon. » – Rodolfo Gonzalez Pacheco 

Une guerre, puis une suivante et encore une autre. Une croyance, puis une suivante et des tas d’autres. Une peur s’ajoutant à la longue liste des peurs. Comme un mémorial qui ne finit jamais de graver des noms sur la pierre du temps. Bientôt le mien. Bientôt le tien. Toujours le nôtre. Et puis viendront tous les suivants qui, s’ajoutant, deviendront le futur commerce à la mémoire des « morts qu’il ne faut pas oublier » !
On appelle ce groupe de pression un complexe politico-militaro-industriel. Des milliers d’esclaves travaillant dans des usines de la mort pour sauver des vies en évitant le chômage. Disent-ils ! Quoi de mieux pour tester des engins de mort qui dorment dans des hangars silencieux comme la mort que de faire le test « grandeur nature » ? Déclencher une éviscération massive : « Tripes et boyaux, prendras-tu encore une part ? C’est en promo, profites-en. »
En Corée. Au Vietnam. En Iran. En Yougoslavie, Au Liban. En Lybie. En Syrie. Au Yémen… Avant et après Jésus Christ. Affluents et confluents d’un fleuve de sang ininterrompu. Avec ou sans prétexte, la guerre a été et demeure un crime organisé dont la vérité gîte sous le mensonge.
Le monde d’avant est une fosse commune au fond de laquelle on a jeté la dépouille. Sur sa sépulture pousse une herbe triste, même pas bonne à composer un bouquet. Quant au monde d’après, celui qui préfigure le chaos ambiant ne sera qu’un monde cruel, dominé par la violence, la peur et la hantise. Un univers rationné, privé de nourriture et de liberté, un code barre servant de GPS à la police de la pensée. La préoccupation majeure de l’individu étant de se défendre contre quelqu’un qu’il ne connaît pas et qui, comme lui, n’a d’autre choix que l’agression pour survivre. Un monde sans valeurs où l’être désincarné aura oublié le nom et la couleur des choses.
Aujourd’hui l’Occident entraîne le monde contre le méchant russe sur fond de Grande Réinitialisation en Ukraine. Si pour les promoteurs, à savoir américains et dirigeants européens, cornaqués par une oligarchie héritière du nazisme, cette bataille semble « perdue » sur le terrain, cela ne les perturbe pas, dans la mesure où d’autres projets sont déjà en attente. Il suffira d’appuyer sur le bon ressort au bon moment, guerre ou pandémie, c'est au choix. Qu’ils la gagnent ou qu’ils la perdent, l’intérêt de la guerre, c’est de vendre la guerre !
En ce qui concerne l’approvisionnement en armes de l’armée ukrainienne, dont le moral des troupes est au plus bas, l’Occident s’occupe de la dette de l’Ukraine pour les prochaines décennies ! Qu’importe si ces armes et ces munitions tombent en quantités importantes entre des sales mains, on ne demande jamais au tribunal le nom du fournisseur de l’arme qui sert à tuer. Mais pour info, elles sont déjà « disponibles au marché noir dans les Balkans, particulièrement au Kosovo et en Albanie devenus les principales places du trafic en la matière ».
Les sanctions occidentales, vous y croyez, vous ? Elles serviront surtout à causer la famine, non pas en Russie, mais « dans le reste du monde et particulièrement en Afrique ».
Il ne reste qu’une option pour soulager nos conscience et limiter les dégâts : la Résistance !

Sous l’Casque d’Erby 



mercredi 4 mai 2022

Ukraine : les Américains refusent « d’être impliqués ».

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Au tour de la Pologne de réclamer sa part de gâteau. Etant donné que tout le monde est en Ukraine pour se servir, pourquoi pas elle, puisque l’histoire la place au cœur d’une relation conflictuelle avec l’Ukraine depuis plusieurs siècles. C’est un peu comme si deux puissances tiraient chacune le bras d’une poupée de chiffon pour se l’approprier. Finalement, il ne restera qu’un ensemble disloqué.
Il se murmure – le murmure porte loin, surtout lorsqu’il est muni d’un micro – que poussée par la fringale, la Pologne se verrait bien récupérer la partie Ouest de l’Ukraine dans le cadre d’une « réunification historique ». L’Histoire ayant ceci de commun avec un plat cuisiné : elle s’accommode à n’importe quelle sauce, y compris à la sauce nazi quand l’intérêt de l’Empire l’exige.
Pour l’heure, aucune puissance ne veut de la guerre en Ukraine, mais toutes fournissent abondamment de l’armement dernier cri à qui veut l'utiliser contre les Russes. Aucun souci pour le maniement, les spécialistes « maison » (tous volontaires, bien sûr) venus des quatre coins de l’Empire se feront un devoir de former le personnel ukrainien à l’utilisation express de ces jouets mortifères.
Pour parler clair le langage diplomatique, l’Amérique accepte l’idée de l’annexion de la partie ouest de l’Ukraine par la Pologne, mais, comme jadis Pilate, s’en lave les mains. Les Américains refusant d’y être « impliqués ouvertement ». Cela pourrait faire jaser, n’est-ce pas ?
Ce qui est important c’est de convaincre l’opinion, toujours aussi corvéable, que l’Occident reste du côté du Bien. Que tout ce que l’Occident fait de Mal, c’est pour notre Bien commun ! Le bon vieux lubrifiant anesthésiant faisant toujours le bon effet.
Une obsession américaine : la Russie. Avec ou sans les soviets. Autre tourment : la Chine. Avec ou sans Mao ! Et pour écarter un concurrent, quoi de mieux que la guerre ? Comme le déclarait en son temps Harry Truman (1884 – 1972) : « Si l’Allemagne l’emporte (dans la Seconde Guerre mondiale), nous devons aider la Russie et si la Russie l’emporte nous devons aider l’Allemagne. Ainsi, il y aura des deux côtés le plus possible de victimes. »(1)
Empire de malades, les Américains ne voient pas les autres peuples comme des partenaires politiques ou des amis, mais comme des concurrents qu’il faut soumettre ou éliminer, y compris en déclenchant une guerre nucléaire, puisque par le biais d’un virus comme le Covid la chose s’avère de plus en plus longue et « compliquée ». La façon la plus radicale d’éradiquer restant la Guerre, allons-y gaiment !
Le cynisme de ces Cosmocrates est tel qu’ils ne se donnent pas la peine de le couvrir d’un voile de pudeur. Pourquoi faire ? 

(1) Harry Truman. Vice-président de Franklin Roosevelt durant la Seconde Guerre mondiale. Lui succède à son décès le 12 avril 1945. Président jusque 1953. Bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Guerre de Corée. Création de la CIA. Citation extraite du livre de Michel Collon : USA - Les 100 pires citations.

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 4 avril 2022

Virus, guerre et chaos, un plan sans accro ?

Erby
2019. Cela fait maintenant trois ans que le ban et l’arrière-ban de la Malfaisance Mondiale se réunissait dans un luxueux hôtel de la 5ème Avenue, à New York, pour la répétition générale de ce qui allait devenir l'acte politique de banditisme majeur de ce déjà bien entamé 21ème siècle : la mise en œuvre d’un vieux rêve oligarchique par le biais d'une dictature sanitaire, avec comme arme, la peur et comme moyen, un virus à la létalité très relative.
Il y avait pour cet « Event 201 », comme on nomme la chose, tous les chefs de guerre avec les vassaux et les vassaux des vassaux pour le déclenchement d’une opération d’envergure exceptionnelle, avec pour objectif un « confinement généralisé et le blocage de l’économie mondiale ». A la clé de ce coup de poker magistral un big vaccin expérimental sur triple dose a minima… 
Hormis les instigateurs de cette série noire, peu nombreux étaient ceux qui savaient. Et encore moins nombreux ceux qui osaient dénoncer le crime. Je salue parmi les premiers à avoir eu le courage, après Didier Raoult et le professeur Luc Montagnier, Philippe Aimar avec son livre : « Covid – 19 Enquête sur un VIRUS », ouvrage d’où je tire ces réflexions et dont, évidemment, je conseille vivement la lecture.
Aux premières loges on trouve les directeurs américains et chinois des Centres de Contrôle des maladies, ainsi qu’un très gros légume de Johnson &Johnson, représentant de la « plus grande compagnie pharmaceutique mondiale » d’alors. Et pour que les choses soient conduites de manière aussi efficace que brutale, les conseils d’une ancienne numéro 2 de la CIA, experte en complots, ne seraient pas de trop.
Ajoutons à ce panel bien garni ce qui servira de liant pour une orgie cinématographique ininterrompue la présence des patrons de NBC Universal, groupant l’un des plus gros studios de Hollywood et la nuée de journalistes charognards et de « spécialistes » improvisés en épidémiologie, tous palpant des espèces sonnantes et trébuchantes, lorgnant un poste à l’échelon supérieur dans la hiérarchie, en échange d’une fausse information afin de faire perdre le sens des réalités au bétail humain, acceptant par ce biais comme « naturelles » les bornes d’un Nouvel Ordre Mondial.
Cet ensemble est orchestré par la Fondation Bill et Melinda Gates, qu'on trouve toujours dans les mauvais coups de l'Empire, en présence de la crème des comploteurs planétaires, OMS, Pentagone, Commission européenne et lobbyistes de l’industrie pharmaceutique sous le regard approbateur d’un Klaus Schwab bandant dans son bénard et le souillant d’un foutre glauque, songeant fortement à ce Gouvernement Mondial pour lequel il a tant et tant comploté.
Un Gouvernement dans lequel l’uniformité fait loi et où l’homme ne dépassera pas la hauteur de ses genoux, sous peine de… 
Bien entendu, une manipulation de cette envergure n’aurait pas pu durer ni autant marquer les esprits sans le contrôle absolu des gouvernements et de la classe politique corrompus pour qui nous votons en pensant vivre en démocratie, parce qu’on nous autorise à voter pour un choix qui n’a jamais été le nôtre.
Aujourd’hui, au moment où l’édifice commence à se fissurer, qu’une bonne partie de l’opinion publique ne prend plus très au sérieux les discours alarmistes du début de la « crise », place à la guerre en Ukraine que les artificiers de la fausse pandémie ont fomentée de longue date pour affaiblir une puissance rivale en la menaçant jusque dans ses frontières, la rendant responsable de la destruction dont ils sont les seuls coupables. Manœuvre que l’imbécile avale tout comme il avale tout ce que ces maffieux inventeront au nom du leurre démocratique et de la « sécurité sanitaire ».
En attendant l’arrivée d’un prochain virus plus ravageur que la peste noire, inclinons-nous devant la dépouille de l’état de droit !

Sous l’Casque d’Erby