lundi 4 avril 2022

Virus, guerre et chaos, un plan sans accro ?

Erby
2019. Cela fait maintenant trois ans que le ban et l’arrière-ban de la Malfaisance Mondiale se réunissait dans un luxueux hôtel de la 5ème Avenue, à New York, pour la répétition générale de ce qui allait devenir l'acte politique de banditisme majeur de ce déjà bien entamé 21ème siècle : la mise en œuvre d’un vieux rêve oligarchique par le biais d'une dictature sanitaire, avec comme arme, la peur et comme moyen, un virus à la létalité très relative.
Il y avait pour cet « Event 201 », comme on nomme la chose, tous les chefs de guerre avec les vassaux et les vassaux des vassaux pour le déclenchement d’une opération d’envergure exceptionnelle, avec pour objectif un « confinement généralisé et le blocage de l’économie mondiale ». A la clé de ce coup de poker magistral un big vaccin expérimental sur triple dose a minima… 
Hormis les instigateurs de cette série noire, peu nombreux étaient ceux qui savaient. Et encore moins nombreux ceux qui osaient dénoncer le crime. Je salue parmi les premiers à avoir eu le courage, après Didier Raoult et le professeur Luc Montagnier, Philippe Aimar avec son livre : « Covid – 19 Enquête sur un VIRUS », ouvrage d’où je tire ces réflexions et dont, évidemment, je conseille vivement la lecture.
Aux premières loges on trouve les directeurs américains et chinois des Centres de Contrôle des maladies, ainsi qu’un très gros légume de Johnson &Johnson, représentant de la « plus grande compagnie pharmaceutique mondiale » d’alors. Et pour que les choses soient conduites de manière aussi efficace que brutale, les conseils d’une ancienne numéro 2 de la CIA, experte en complots, ne seraient pas de trop.
Ajoutons à ce panel bien garni ce qui servira de liant pour une orgie cinématographique ininterrompue la présence des patrons de NBC Universal, groupant l’un des plus gros studios de Hollywood et la nuée de journalistes charognards et de « spécialistes » improvisés en épidémiologie, tous palpant des espèces sonnantes et trébuchantes, lorgnant un poste à l’échelon supérieur dans la hiérarchie, en échange d’une fausse information afin de faire perdre le sens des réalités au bétail humain, acceptant par ce biais comme « naturelles » les bornes d’un Nouvel Ordre Mondial.
Cet ensemble est orchestré par la Fondation Bill et Melinda Gates, qu'on trouve toujours dans les mauvais coups de l'Empire, en présence de la crème des comploteurs planétaires, OMS, Pentagone, Commission européenne et lobbyistes de l’industrie pharmaceutique sous le regard approbateur d’un Klaus Schwab bandant dans son bénard et le souillant d’un foutre glauque, songeant fortement à ce Gouvernement Mondial pour lequel il a tant et tant comploté.
Un Gouvernement dans lequel l’uniformité fait loi et où l’homme ne dépassera pas la hauteur de ses genoux, sous peine de… 
Bien entendu, une manipulation de cette envergure n’aurait pas pu durer ni autant marquer les esprits sans le contrôle absolu des gouvernements et de la classe politique corrompus pour qui nous votons en pensant vivre en démocratie, parce qu’on nous autorise à voter pour un choix qui n’a jamais été le nôtre.
Aujourd’hui, au moment où l’édifice commence à se fissurer, qu’une bonne partie de l’opinion publique ne prend plus très au sérieux les discours alarmistes du début de la « crise », place à la guerre en Ukraine que les artificiers de la fausse pandémie ont fomentée de longue date pour affaiblir une puissance rivale en la menaçant jusque dans ses frontières, la rendant responsable de la destruction dont ils sont les seuls coupables. Manœuvre que l’imbécile avale tout comme il avale tout ce que ces maffieux inventeront au nom du leurre démocratique et de la « sécurité sanitaire ».
En attendant l’arrivée d’un prochain virus plus ravageur que la peste noire, inclinons-nous devant la dépouille de l’état de droit !

Sous l’Casque d’Erby 




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