mardi 24 décembre 2024

Joyeux Noël

Erby

Noël est là et avec lui, une tradition séculaire affiche croyances et coutumes au-delà de la naissance de Jésus.
Que l’on soit croyant ou pas, nul n’est insensible à la célébration de l’idée d’un monde humanisé et fraternel.
La paix ! Quel mot merveilleux dans un univers qui ne montre pas souvent de nobles intentions !
Quelques insignifiants pisse-vinaigre moulinent de la frustration jusqu’au grotesque, cherchant à l’effacer des tablettes par des subterfuges absurdes. Peine perdue, Noël,  c’est de la lumière !
Qu’on nomme cette fête, Noël chez les chrétiens, célébrant la naissance du Christ ; solstice d’hiver dans d’autres cultures, pour fêter le retour de la lumière, au moment où les jours commencent à rallonger, ou les Saturnales dans la Rome antique, mettant en avant la volonté de paix, d’harmonie et d’amour dans un monde déchiré par la haine et la barbarie, cette date demeure la pierre blanche d’une pensée commune.
2024 a été une année particulièrement épuisante. Des forces obscures mettent les bouchées doubles pour qu’advienne une aube noire.
Contre vents et marées, le Joyeux et immarcescible Noël à tous !
Sous l'Casque d'Erby

lundi 16 décembre 2024

Quarante ans dans la vie d’un fourbe, très long-métrage !

Source
Des amis béarnais sont douloureusement touchés par la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre. La contrition est grande dans les rangs d’une communauté qui a jalousement gardé à travers les âges son sens de l’honneur ! Je les comprends et ne puis pardonner une faute qu’ils n’ont pas commise. Un mouton noir ne faisant pas tout un troupeau, comment pourrions-nous accabler toute une région ?
Et si, in fine, la France remerciait le Béarn pour avoir fourni les munitions qui lui manquaient pour libérer un pays occupé par des malfrats ? Et si, grâce à ce Richard Gere du pauvre, Macron chutait piteusement de son piédestal ?
Mine de rien, le Béarnais affiche une filmographie à faire pâlir plus d'une star du 7ᵉ art ! Une véritable pléthore de personnages, interprétés avec brio, en témoigne. Même si le succès a été long à se dessiner, à cause d’un public capricieux et des agents véreux, il aura mis du cœur à l’ouvrage pour faire du félon sa marque de fabrique !
Qui ne se souvient pas de son rôle dans « Quarante ans dans la vie d’un fourbe », couronnant une carrière dans laquelle le bas aura été la chose la plus haute qu’il a toujours interprétée, n’a qu’une vague idée de ce que signifie l’art !
Son interprétation de franc-maçon, rôle de composition de haute volée, jouant merveilleusement avec une gamme de camaïeux à éclipser les cinquante nuances de Gray, lui valut un succès très appuyé parmi les frères invisibles qui l’applaudirent à tout rompre lors des réunions maçonniques.
Et que dire de ce rôle de spécialiste en pandémie, jouant avec ce naturel désarmant qu’on lui connaît, si crédible, si impliqué, si convaincant, courant de micro en micro pour faire vacciner chiens, chats, poules et poussins ?
C’est cette interprétation, pleine d’une vérité incroyable, qui l’aura définitivement consacré aux yeux de l’élite tombée sous le charme foudroyant de celui qu’on considérait encore il y a quelque temps comme un moins-que-rien.
Pro-européiste ; pro-tout-et-n’ importe-quoi, jouant le faire-valoir, pourvu que cela serve sa carrière, l’homme étant tout à la fois la charrue et les bœufs !
Soixante-treize ans au compteur et toujours partant pour décrocher un titre, même honorifique, aux Césars de la déchéance.
La rumeur dit qu’il aurait exercé du chantage sur le chef des malfrats en personne pour atteindre, selon un principe éprouvé, son objectif ultime : Être premier en quelque chose !
Une question, cependant, brûle les lèvres des personnes honnêtes : le chantage, est-il un délit ? Selon la loi, celui-ci expose son auteur à de lourdes sanctions. Si, comme on le dit, Bayrou a exercé ce type de pression, sa place est devant un tribunal et non à Matignon, présidant à la destinée d'un pays qui s'enfonce dans les sables mouvants !
Hélas, les lois étant faites par ceux qui les violent, inutile d’attendre que justice soit rendue !

Sous l'Casque d'Erby


 

samedi 14 décembre 2024

La voix et le murmure

On me murmure à l’oreille que je ne suis pas drôle à lire ou à écouter. Que mes « discours » ne quittent pas les rives des « vérités premières », mille fois ressassées. Je tiens à m’excuser pour ce manque d’originalité.
Ma life est une lamentable suite de malentendus ! Je ne puis hélas me résoudre à corriger ce trait de caractère, que j’estime être ma part la plus sincère. Elle m’interdit de rester neutre, sous prétexte que cela déplaît à qui ne veut pas ouvrir les yeux, par peur, par confort ou par conditionnement.
Comprenez, je ne vais pas m’inventer des nuits torrides avec Rachida Dati ou Ségolène Royal, juste pour m’aider à dépasser l’ennui d’une vie plate comme l’eau en bouteille. Ni révéler comment j’ai jarté de ma vie Sardine Trousseau, dont le sex-appeal était éco-incompatible !
En tout état de cause, cela reste strictement confidentiel. Il n’est pas question que je fasse mon goujat pour émoustiller un parterre de libidineux sans imagination ! La rose évanouie gardera pour elle seule le parfum des omissions.
Que puis-je si je ne puis échapper au spectacle déplorable de la politique et de son increvable moyen de transport : le mensonge ? Mon esprit ne peut souffrir de la petitesse et de la crédulité d’un milieu insupportablement naïf, avec lequel on doit, par charité, se composer un visage avenant, en échappant héroïquement à l’hypocrisie qu’un tel sentiment exige de soi.
Dois-je pour cela dire que la guerre que l’on fait est une avancée civilisationnelle et applaudir aux dépenses folles faites pour l’entretenir, alors que des pans entiers de la société tombent en ruine ? Que les charniers du monde sont une avancée dans l’histoire de l’humanité ? Que l’UE et nos milliards jetés aux pieds d’un gang de sniffeurs pour réduire en cendres histoire et culture est un projet sublime ? Car si quelqu’un pense encore que nous avons une chance de battre l’ours russe sur ses terres, le gars est sous assistance respiratoire, ou faisant partie d’un complot globaliste dont il serait l'otage. Son cerveau n’étant plus irrigué, l’ascenseur bloqué entre deux étages, c’est le moment ou jamais de se souvenir : « Allô maman bobo/Maman, comment tu m'as fait ? J'suis pas beau.
Quel est donc l’objectif derrière cette pluie de milliards, balancée en l’air comme des confettis, sinon ruiner définitivement le continent, dont les peuples montrent des signes persistants d’éveil !
L’État profond est à ce point acculé — du moins, il en donne fortement l’impression — qu’il ne quittera pas la scène sans avoir auparavant tout détruit. C’est son baroud de déshonneur : brûler les blés ; assécher les puits ; empoisonner nos vies. Et tuer, tuer, tuer, jusqu’au dernier vivant !
En France, notre chère petite France (on y tient !), la petite frappe de Macron tisse son coup d’État comme on transforme du textile en tissu, avec la complicité d’une classe politique totalement désincarnée. Pas un politicien pour sauver l’honneur : tous soumis, tous contrôlés ! Et si, en apparence, tout semble calme, dans le plus calme des pays à encéphalogramme plat, rien ne dit que des soubresauts importants ne viennent contrecarrer ce joli projet fasciste.
Avec la nomination de Bayrou à Matignon, la prochaine fois, j’aborderai, peut-être, le très délicat volet de la prostitution. Si tant est que cela mérite qu'on s'y attarde, tant le sujet brûle les forêts.

Sous l’Casque d’Erby 



mardi 10 décembre 2024

Et si tout ça…

Erby
Et si tout ça… Les morts, les torturés, les dispersés, les emprisonnés, les oubliés… N’était qu’une mise en scène macabre pour reconfigurer les frontières des futurs empires, bâtis sur des monceaux de cadavres, enfouis sous les décombres, noyés dans des océans de sang et de larmes ?
Et si tout ça… nos colères, nos haines, nos manifestations puériles, nos meetings et nos revendications ridicules… N’était qu’un spectacle parmi d’autres pour distraire un public en manque d’amusements ?
Et si tout ça… La Libye, la Palestine, la Syrie, l’Ukraine… N’était qu’une sanglante mascarade. L’enterrement d’anciennes cultures pour la renaissance d’un culte sataniste ressuscité ?
Et si tout ça… les torrents de sang et de boue, l’impitoyable haine du faible… était le véritable projet des puissants de tout bord à l’égard de tout ce qui est faible et malheureux ?
Et si tout ça… Les ennemis qu’on désigne n’étaient que complices se partageant le gâteau, se répartissant les zones d’influence sous le regard admiratif des masses prosternées ?
Et si tout ça… les gentils défenseurs de la “démocratie” luttant contre des vilains méchants, n’était que la gestion astucieuse du monde avec des faux gentils et des vrais méchants, comme cela fut le cas en 1945 lors des “accords” de Yalta, avec fausse guerre froide et vrais millions de victimes ?
Et si tout ça… Les morts, la souffrance, nos croyances n’étaient là que pour nous faire croire à la résurrection des morts pour la célébration joyeuse d’une fausse victoire contre des faux ennemis ?
Et si tout ça… Les affamés, les malades, les vaccinés, les exterminés, les éclopés n’étaient là que pour mieux nous aider à creuser nos tombes ?
Et si tout ça… les dictateurs sanguinaires, les gentils démocrates, la liberté pour tous n’était que l’inversion du réel destinée à nous pousser vers un grand sommeil définitif ?
Et si tout ça… nos exultations, nos joies triomphantes n’étaient que le baiser de la mort que nous exigions d’un tiers, comme on signe un contrat avec des tueurs à gages ?
Et si tout ça… n’était que le terrifiant avenir que les amis de l’élite nous réservent en guise d’ultime repas ?

Sous l'Casque d'Erby


dimanche 8 décembre 2024

Destitution et Frexit

Par ces temps empiriques, un peu de tautologie ne peut nuire. La France va mal. Tout le monde en parle, ici et à l’étranger. Quant à sa diplomatie, on s’esclaffe !
La classe politique est en plein naufrage. Entre corruption et soumission à l’UE, colonie de l’empire USA, elle vogue au hasard des intérêts particuliers. Élection après élection, les Français se rendent aux urnes, écœurés. Les seuls vainqueurs de la plupart des scrutins sont les abstentionnistes, ceux qu’on n’écoute pas.
Le drapeau national, si souvent souillé, brûlé parfois par des décérébrés téléguidés, symbolise les résultats du dernier scrutin, si promptement décidé par un Macron halluciné, navigant à vue dans un océan malodorant. Résultats répartissant à parts quasiment égales le fromage hexagonal qui appellent une réflexion collective sans exclusion. Ceci conduisant naturellement à l’idée d’un gouvernement d’union nationale, eau et vin compris.
Si, comme on le dit, l’électeur est roi, il faudrait commencer par le respecter. Douce utopie. La classe politique étant capable d’unité quand il s’agit de mentir et de trimbaler les citoyens d’escroquerie en souricière, pourquoi ne ferait-elle pas l’effort, pour une fois, de respecter la voix des urnes, qu’elle proclame sacrée devant les médias ?
Mettre de l’eau dans le vin ne veut pas dire frelater le produit, mais faire ce qui est vital pour la nation. Et ce qui est vital – elle le dit assez clairement –, c’est de dépasser la colonisation dont elle fait l’objet de la part de l’UE, de l’OTAN et des USA. Le mélange de ces trois acronymes faisant de nous la ration ménagère pour animaux domestiques qu’on vend dans les magasins spécialisés !
Ce sont ces trois organisations qui décident de nos vies, comme on sacrifie des pions dans un jeu d’échecs !
Derniers exemples en date : les élections en Roumanie, annulées parce que le peuple a eu le mauvais goût de voter pour un candidat antisystème !
La Géorgie qui refuse d’intégrer l’UE, qu’on harcèle, alimentant des mouvements de protestation comme il y a dix ans à Kiev contre le président Ianoukovytch qui ont abouti à l’opération spéciale russe en Ukraine.
Le coup d’État sanitaire avec le Covid et l’obligation vaccinale avec une substance expérimentale dont les effets secondaires font des ravages !
Le procès contre Pfizer et Von der Leyen avec les multiples conflits d’intérêts. Rideau !
Premier mouvement, gouvernement d’union nationale. Cela passe par la destitution de Macron, missionné pour détruire la France et empêcher que le peuple se prenne en main pendant son agonie.
Deuxième mouvement : créer des bases (faut avoir une bonne paire !) pour quitter l’UE dont l’objectif est clair : instaurer sur l’ensemble du continent un régime totalitaire gouvernant à grands coups de directives, au plus près des intérêts de l’État profond ! Si à l’heure actuelle rien n’est encore joué (les accords Mercosur ne sont pas de nature à rassurer) il va falloir veiller au grain plutôt deux fois qu’une !

Sous l’Casque d’Erby


jeudi 5 décembre 2024

En attendant, il ne s'en va pas !

Nous sommes de plain-pied dans le délirant scénario du « je l'avais dit » ; « je ne me trompais pas », et autres « t'aurais dû t'en douter » ! Les savants sont d'une grossièreté !
Nous voici , tâtonnant dans le noir, de quoi décrypter l'avenir. Le marc de café devenant ringard, bien que riche en azote – l'odeur insupportable du café froid ! – cherchons dans la poussière des oracles la réponse aux déboires du présent. Il y a tant et tant de siècles que l'homme cache vainement sa misère qu'au final ses frusques le dévoilent plus qu'elles ne le dissimulent. N'importe qui peut s'improviser voyant, pour peu que le bouton de l'ignorance soit on !
« Je l'avais dit !» ; « Je ne me trompais pas ! » ; « T'aurais dû t'en douter ! » ; « Pauvre cloche ! » ; « Je le savais ! ».
De l'insulte à l'excommunication, un pas suffit, celui de la peur et de l'ignorance. En attendant, vous avalerez de l'anaconda à tous les repas. Pas de couleuvre, de l'anaconda !
Quand le riche fait la guerre, il n'a qu'une cible : le pauvre. On ne bombarde pas les palais, on n'éradique pas le nanti de l'autre camp, on passe au phosphore blanc ou au lance-flammes les camps de réfugiés, comme Israël fait avec le peuple palestinien !
On bazarde ceux qu'on ne veut pas sauver parce qu'ils représentent un « manque à gagner » !
L'incertitude, c'est la peur, et la peur, c'est le danger, la glissade vers l'inconnu. Le frisson ! Pas le frisson voluptueux de l'amour et du plaisir, mais celui, plus poisseux, de l'animalité, de la colère irraisonnée et des actes irréparables. Celui qui vous pousse vers les terres inconnues des choses impalpables. Celle qui nous pousse à inventer d'autres horizons, hors ceux des enclos où l'on nous tient confinés.
Vote de censure contre Barnier et redoublement de tambours, l'idiot est élevé au rang d'intellectuel de premier plan. Tout ce que le pays a d'indigents, de prétentieux, de débiles, d'atrophiés de la réalité, poussés par la mécanique ronflante des médias, se lève, pas pour ouvrir les quinquets, mais pour prolonger l'illusion : avant c'était pareil que maintenant sans les feuilles arrachées du calendrier. Bravo !
Vogue jolie galère. Rame, ô beau galérien ! Au bout de l'océan, c'est toujours l'océan, sauf qu'un élément remplace un autre. N'aie crainte, la mer revient toujours à la maison.
Ce soir, Freluquet, plus seul que jamais, va venir causer dans le poste. On pixelise. Va-t-il brandir l'article 16 ? Que va-t-il faire de son statut de paria ? Démissionner, contre toute attente ou se torcher avec ?
Quelle quantité de poudre autour et dans les narines avant de se présenter devant le pays ?
« Je l'avais dit !» ; « Je ne me trompais pas ! » ; « T'aurais dû t'en douter ! » ; « Pauvre cloche ! » ; « Je le savais ! ».
Demain, nous saurons ou nous ne saurons rien, tout en ayant tout compris du manège.
Une chose est sûre : le pays n'a rien à foutre d'un président hors-sol, ni des amours homosexuelles d'un ministre, ni de sa nouvelle vie de parvenu avec son petit copain. Ce que veut le pays, c'est d'un gouvernement qui s'occupe sérieusement de la destinée du pays et non d'une bande de loubards qui le met à sac !
Tous dehors, à commencer par le chef de meute !

Sous l'Casque d'Erby

dimanche 1 décembre 2024

Allez votre chemin, loin du mien !

Nous vivons dans un monde de crapules. Cette élection américaine va laisser des traces indélébiles dans l'inconscient collectif et traumatiser durablement des personnes qui n'ont besoin de grand-chose pour crier au loup. L'arrivée du « monstre » Trump, sorte d'ogre jaunâtre, plus dangereux que Satan lui-même, a mis certaines stars du show-biz dans un état de délire proche de « Vol au-dessus d'un nid de coucou », la poésie et l'insolence du héros du film en moins, bien entendu.
Ces nantis tirant à la balle dum-dum sur l'Américain moyen qu'ils méprisent, à qui ils reprochent de n'être qu'un tas d'analphabètes sans culture ni savoir-vivre, et à qui ils doivent cependant la part de gloire qui les maintient au firmament de la notoriété, n'ont ni l'élégance ni l'humanité que leur statut permet de supposer.
Pas d'honneur, pas d'humanité chez eux. Prouvent-ils par là qu'ils sont les dignes descendants de ces pionniers ayant donné grandeur à l'empire qu'ils s'apprêtent à fuir : putes, escrocs, assassins et autres gibiers de potence ? Tous ceux à qui la vieille Europe n'a laissé d'autre choix que d'aller conquérir le nouveau monde en effaçant les traces des peuples indigènes, revenant avec l'estampille « Retour à l'envoyeur » !
Comme si la bordée sortante de faucons était l'incarnation du tout blanc/tout propre ! À voir l'entrain qu'ils montrent à mettre la planète à feu et à sang, avant l'investiture officielle du président élu, je doute fort que cette équipe ait quelque chose à voir avec l'univers des Câlinours !
Une gloire mise à mal par un vote qui plonge le marais et ses créatures - dont Lovecraft semble à peine avoir exploré les méandres -, dans un état de fébrilité révélateur quant à la nature profonde de leur engagement. Des personnalités du septième art au talent indiscutable, dont la gloire doit beaucoup à la part obscure d'un pouvoir qui plonge ses griffes dans la partie abjecte de l'âme humaine ! Ce sombre et glacial univers qui leur sert de demeure et qu'ils disent vouloir quitter pour en bâtir de nouveaux, ailleurs, comme on colonise des planètes primitives dans un monde à l'agonie. A moins qu'ils ne cherchent à poursuivre leurs « aventures » de ce côté-ci de l'océan !
Au final, ces personnes se révèlent des sinistres hypocrites ! En fuyant leur pays, elles prouvent,  si besoin, qu'elles ont cautionné tout ce qui détruit l'humanité de manière inexorable : fausse pandémie, vaccin à ARN messager, port du masque, confinement, guerre en Ukraine, génocide à Gaza, réseaux pédophiles, prostitution, détournement des valeurs éthiques de l'éducation, satanisme et destruction de l'économie pour le compte d'une élite qui tient le monde par les testicules !
Notre petite Hexagonie faisant partie des pays touchés par les retombées toxiques, nos élites étant liées à la branche majeure de l'Etat profond, par la trahison et, aussi, par conviction, attendons-nous à des secousses de haute intensité.
Nos dirigeants faisant preuve d'une obstination sans borne dans leur course vers le chaos, ils est souhaitable de les démettre au plus vite pour tenter de redresser ce qui est tout de même bien tordu. 

Sous l'Casque d'Erby