dimanche 6 juillet 2025

Totalitarie !

M art' IN
C’est toutes voiles dehors et le vent en poupe que le navire terrestre trace un sillage d’écume vers son ultime destination : le naufrage. L’équipage chante à tue-tête des refrains joyeux, des verres de rhum nostalgiques levés à la santé des mondes merveilleux à jamais engloutis par la voracité et l’inconscience de l’homme, seul responsable de sa perte.
La crise qui détruit lentement et inexorablement l'Europe et reconfigure le monde selon un schéma prédéterminé n'est pas un simple accident politique et économique. Elle est le ciment d’une pensée totalitaire tricotant sa toile avec la patience et l’obstination d’une Pénélope implacable pervertie par des idéaux corrompus et des ruminations sordides !
La phase de décérébration globale jouant un rôle crucial dans l'acceptation d'un suicide consenti comme on prend un bon d'achat offert à la caisse par la grande distribution.
Dans sa crédulité, l'espèce humaine travaille, transpire et se cotise pour acheter les outils qui serviront à creuser sa tombe ! En somme, elle travaille à son compte, comme on dit dans le milieu entrepreneurial !
C’est l’esprit dégagé de toute responsabilité que les rescapés se pressent autour du cercueil des disparus pour des cérémonies d’hommage à son héroïsme. 
Les valeurs de respect et de tolérance qui ont fondé et consolidé l'édifice de la pensée démocratique dans son ascension et désormais son déclin n'ont de sens que si elle se saborde de son propre chef. Telle est la terrible réalité.
Dans le chaos et le brouillard présent, nous ne pouvons avoir confiance en personne, l’espoir s’étant fait la malle, l'obscurantisme nous recouvre de son noir manteau dans la nuit glaciale qui vient.
Cette prétendue « crise économique » n'est que la première étape d'un projet de destruction plus vaste, où le fascisme a pris ses aises, rendu attractif auprès d'un peuple traumatisé et inconscient, ne cessant de crier, sans en être pleinement convaincu : « À bas le fascisme ! » 
Chaque pays possédant sa propre réserve de forces coercitives, piochées dans les rayons du bas de la société, un signal envoyé à n’importe quel moment suffira pour que la bestialité répressive s’abatte sur le dos d'une résistance gagnant chaque jour plus de terrain.
Le fascisme a pris ses aises au cœur du pouvoir, le terme de gauche servant de masque. Il est le pouvoir lui-même. Le reste n’est que diversion, inversion et confusion. Rien n’est laissé au hasard. Rien n’est épargné pour le rendre attractif auprès de l’animal lourdement conditionné, persuadé que ses intérêts sont les mêmes que ceux de l’élite qui a planifié sa perte. 
C’est donc bec et ongles qu’il se laboure la chair dans des mémorables séquences d’autoflagellation pour se convaincre qu’il est un homme libre !

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 2 juillet 2025

Le hasard et les sentiments

Mois de juillet. Transhumance. Ne pensez pas que parce qu’il est écrit « trans » dans ce nom féminin qu’il faut aussitôt tourner les regards vers les locataires du 55 !
De grâce, restons dans les clous !
Les vacances sont les vacances ! De la légèreté avant tout ! 80 % de la population ne me démentira pas sur ce point. Les 20 % restants feront comme ils ont toujours fait : les « complotistes » !
Dans l’histoire, il y a des choses bien étranges. Ainsi, le fait historique qui suit, aux conséquences tragiques, pioché dans les livres d’histoire et qui remonte à un lointain mois de novembre de l'année… 1226. 
C’est dire si, depuis, l’horloge a tourné bourrique plus souvent qu’à son tour.
Le roi Louis VIII, que nous ne connaissons que par ouï-dire, se meurt d'une étrange maladie qu'il a chopée en Auvergne alors qu'il revenait vers Paris après avoir guerroyé et occis du Cathare en Albigeois.
La fièvre l'a pris quelques jours auparavant et la déripette lui vide la tirelire. Pour tout dire, il a le fondement en compote !
Il est, lit-on dans un récit digne de foi, victime de dysenterie et de forte fièvre qui frappait ses troupes depuis plusieurs semaines.
Une nuée de morticoles s'affaire autour de la couche royale du côté de Montpensier, tourmentée par le délire grandissant du monarque alité. 
Ne parvenant pas à diagnostiquer la source du mal, la spéculation prenant le pas sur la science, la raison chavira comme navire sous la tempête !
D'un commun accord, après moult cogitations et autant de suées, on s'accorda sur un point : « une trop longue continence sexuelle », voilà l’origine du mal obscur !
La déflation avant la déflagration ?
La chose pouvant certes rendre maboule, mais à ce point, on s’interroge encore des siècles plus tard. Des bizarreries du genre, l’histoire de la médecine en draine à foison. Passons !
Or, foutu pour foutu, les médecins ne voient qu'une issue : « lui glisser une jeune vierge dans son lit » ! Et pourquoi pas une femme expérimentée afin de lui éviter des attentions et des efforts supplémentaires, que son état lui interdisait ?
Ô foudre mystérieuse ! 
L'état de chiffe dans lequel se trouvait le monarque peut laisser dubitatif sur son improbable performance, mais pas les spécialistes de l’époque, très tatillons sur les certitudes de la prescription. 
La chose paraissant osée, et même très douteuse, elle excita ces scientifiques de plateau avant l’heure. N'oublions pas que nous sommes au Moyen Âge, une époque où l'ignorance ne s’embarrassait pas de ridicule. La nôtre pas davantage !
Voici comment la chose est rapportée par un chroniqueur contemporain. : … « Bref, son fidèle compagnon Archambaud de Bourbon, faisant fi de la moralité du Roi, le souverain restant indécrottablement fidèle à Blanche, célèbre pour sa beauté et sa sagesse, choisit une belle jeune fille et la fit entrer dans le lit du roi pendant son sommeil ; à son réveil, le roi lui demanda pourquoi elle se trouvait là ; elle répondit qu'elle venait l'aider à guérir. Le roi la remercia et refusa le remède, pour ne point commettre de péché mortel. »  
Faute d'accepter l’étrange lubie médicale, Louis VIII meurt le 8 novembre 1226, à seulement 39 ans.
Aurait-il survécu si ? 

Sous l’Casque d’Erby 



dimanche 29 juin 2025

Intemporalité

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Avez-vous entendu parler de la perversité temporelle ? Un phénomène fascinant qui attire ceux qui veulent échapper à quelque chose ou réparer ce qui a été mal fait dans un passé antérieur, sorte de rédemption virtuelle pour fuir la déconfiture de l'esprit. Des films ont tourné autour du sujet, mais je n’en sais pas plus.
Le temps va et vient comme feuille morte poussée par des automnes capricieux, venant faire un coucou ironique, entre métaphore et extrapolation. On ressent ce frisson du temps jadis, comme une brise nostalgique excitant, un sentiment de frustration sur ce monde disparu dans lequel tout semblait beau et serein, quand la conscience était à l’insouciance et le cerveau au repos.
Bien installé dans les étages supérieurs de l’inconscient, vous pensez vous trouver sur une terrasse ensoleillée, bordée par une piscine à l’eau cristalline, sous un ciel sans chemtrails, alors qu'il n'en est rien. Mais dans les songes, tout est permis, n’est-ce-pas ? 
Alors qu’en réalité, on patauge dans la boue, dans un milieu hostile, servant de hors-d’œuvre à des meutes affamées. Comme des ours frustrés par l'absence de saumons remontant les cours d’eau, fouillant les poubelles des habitations voisines, se disputant dans un grognement de primate le premier morceau de barbaque venu, tels des ministres voletant comme des mouches excrémentielles devant un festin d’aristocrates !
Hier comme aujourd'hui, la boîte à manivelle se joue du réel avec une joie gouailleuse. 
Dans quelle nouvelle dimension suis-je ? Que dis-je ? Qu'écris-je ? Quelle est cette vilaine perversité qui m’entraîne vers des fonds insondables ? 
Réveille-toi ! Sors de ce corps ! 
Soudain, je songe à cette ambiance de « guerre civile » à l’intérieur du monde réel. Si minuscule, si ridicule, soit-il jugé, cet univers est le mien et je me dois de tout faire pour empêcher sa disparition totale.
On me reproche l'oubli palestinien, le mur israélien, qu’on ne franchit pas impunément ; Gaza et son épuration, les survivants mangeant les cailloux à pleines dents ! Je n’oublie pas. Comment pourrais-je ? C’est même pour cela que je veille à ce que d’autres Gaza ne réduisent en cendre le peu d’humanité qui nous reste.
Je pense et me bats contre l'utilisation terroriste par l'industrie des États pour garder la main sur le troupeau ; des prémices d'une Troisième Guerre Mondiale, et me voilà devenu partisan de Poutine, complice de Trump, souteneur de je ne sais quelles forces souterraines, alors que mon intemporalité, c’est la paix ! Une paix fantasmée. Une paix utopique. Une paix sans répit. Une paix d’humains civilisés ! 
J'oublie d'évoquer tant de vilaines choses ! Tant de crimes !
Mais la Grèce ?... C’est du passé. Mais le Portugal ?... Mais l'Espagne ?... Mais l’Afrique ? Ça finira par passer ! Et le Yémen, on en fait quoi ?... La barbe !
Et les 10 millions de pauvres, sans compter le flux migratoire ? L’aubaine renouvelante, qu’on dit chez les bobos ! A raison d’un million d’accueillis par an dans la passoire européenne, dilués dans la masse, ils sont les futurs gagnants du grand jeu à la mode : « Pousse-toi de là que je m’y mette » !
Les pauvres du monde grouillant parmi d'autres pauvres comme créatures inquiétantes, ou la stratégie d'un capitalisme de la mort : on ruine, on tue, on détruit… Et on recommence !
De rien, puisque c'est dans la perversité intemporelle que l'on sert les meilleures recettes ! 
Ce sera tout, pour ce début d’été. 

Sous l’Casque d’Erby 


mercredi 25 juin 2025

Si l’Iran m’était conté

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La guerre n’est pas une mauvaise affaire pour qui en tire profit.
Dans les années 1950/1960, l'objectif des puissances dominantes était d'empêcher les pays du Moyen-Orient d'acquérir l'arme nucléaire.
Tout, mais pas ça ! Sauf pour Israël !
Il s'agissait alors d'une initiative soviétique visant à prévenir ce qui est arrivé par la suite. Dans le concept soviétique, cette région du monde, riche en matières dites fossiles et par sa position géographique, devait rester (ou devenir, la Seconde Guerre mondiale étant passée par là) une zone commerciale où les différents partenaires échangeraient produits et culture dans la bonne entente. Cela fut le cas pendant un temps.
Sous le règne du Shah d'Iran, par exemple, les relations entre l'ancien empire perse et le tout jeune État d'Israël étaient de bons voisinages. On commerçait et on entretenait des relations cordiales. Le Shah acquis à la cause occidentale n’était pas farouche au point d’aller faire le guérillero dans les monts Zagros !
Les discussions lancées entre Russes et Américains sur le sujet furent rapidement abandonnées sous la pression de l'État d'Israël, qui, sans en avoir l’air, avait d'autres projets en tête.
L'idée d'un « grand Israël » a toujours été l'obsession des dirigeants sionistes, habités par l’arrivée d'un Messie sur terre quand le monde serait à feu et à sang, afin de le sauver de lui-même et d'enfin cimenter le socle du peuple élu à la place qui lui revient, tout en haut de la pyramide humaine !
Cela paraît cinglé, mais chez eux ça ne rit pas avec la tambouille messianique ! Et qui de mieux pour accomplir cette « prophétie » que les théoriciens de cette idée démente ?
Ce que nous n’obtiendrons jamais par la diplomatie, nous l’aurons par le feu !
L'arrivée de la république islamique et de l'islam politique a bouleversé tout, contrariant les maîtres et donnant à Israël le moyen de se débarrasser des règles. D’aller porter le fer où bon lui semble dans son pré carré, avec la bénédiction des États-Unis, toujours prêt à jouer les John Wayne pour le compte des sionistes ! 
Il faut se débarrasser de l'idée que l'Iran était ou demeure un agresseur potentiel et Israël le gentil gendarme « démocratique » nullement guidé par l'ambition, comme la propagande le déclame chez les alliés de la Grande-Bretagne, pour des raisons historiques évidentes ; et en France, colonisée par l'État d'Israël, où bientôt toute critique à son égard pourrait être passible, au mieux, d'une garde à vue !
L'islam politique, héritier de la Perse antique, a redistribué les cartes et a été utilisé comme levier pour pousser Saddam Hussein à faire une guerre par procuration contre ses propres intérêts. Cette guerre de huit ans a coûté 1 200 000 morts et laissé l'Irak exsangue, un fruit mûr, bon à cueillir.
Ces faits expliquent la manipulation actuelle concernant un Iran « belliqueux », muni de l’arme nucléaire (faux), avec un risque grave de troisième guerre mondiale, ce qui arrange Israël, les marchands de canons et l’État profond, celui qu’on ne voit pas, mais qui nous a à l’œil !
La question est : par quel moyen de pression, Donald Trump, opposé à Israël et à l'état profond, a baissé, ou feint de baisser pavillon sur l’Iran, s’interroge à bon escient Candace Owen.
Comme on le pense fortement, le sionisme possède l’argent, les réseaux d’influence, les caméras cachées et l’arme la plus redoutable entre toutes : le chantage. 
Tant que cela durera, aucun président, quelles que soient les promesses et la volonté, ne pourra arrêter la machine infernale. 

Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 22 juin 2025

Il me vient à la mémoire...

Erby
« Ceci est une arme de destruction massive. »
 
On se souvient encore, avec un mélange de colère et de honte, de Colin Powell, alors secrétaire d'État des États-Unis, s'adressant à une opinion publique chauffée à blanc, tenant une fiole d'anthrax entre le pouce et l'index, nous prenant pour des insectes, afin de nous convaincre que l'Irak possédait la deuxième armée la plus puissante au monde, dotée de l'Arme de Destruction Massive.
Depuis cette date sinistre, les armes biologiques (chimiques, nucléaires, etc.) servent de base et de modèle de référence à la manipulation de masse.
Le Covid a été un épisode similaire pour tester grandeur nature le degré de soumission des peuples, véritable cible des faucons et du pouvoir profond, jugulant parallèlement les réseaux de santé et d'information pour imposer la soumission par la peur et la déconstruction systématique des esprits. Et gare aux réfractaires !
La résistance étant poussée vers les réseaux sociaux, sorte de division inférieure de l'information et terreau du « complotisme ». Terme disqualificatif dès qu’énoncé auprès d'une population violentée par le pilonnage d'une propagande intensive.
Des campagnes de dénigrement soigneusement orchestrées, s'ajoutant au côté sous-évalué des plateformes de résistance, elles aussi sous contrôle, à qui il manque souvent des moyens, mais pas de courage, retardent l'explosion d'une vérité dans des cerveaux fortement commotionnés !
Les grandes multinationales de l'information déversent des flots d'argent, alimentant une faune de collaborateurs, tantôt pseudo scientifiques, tantôt pseudo-stratèges, prêts à tout pour jouir des feux de la rampe et des avantages qui en découlent.
Pourquoi parle-t-on encore de Colin Powell des années après ? Parce que les actions d'Israël envers l'Iran et sa prétendue « menace nucléaire » sont un clone visant à nous entraîner vers une Troisième Guerre mondiale, ce qui sauverait Israël d'un naufrage inéluctable.
Allons-nous encore une fois revêtir le costume d’insectes de laboratoire pour cautionner un nouveau génocide, mille fois pire que celui en cours à Gaza ?
Malgré les contre-feux narratifs, le crime de masse est avéré. N'oublions pas que sans les États-Unis, l'État d'Israël disparaîtrait de la carte, ne laissant derrière lui qu'un champ de ruines et l’image d’un régime qu’on pensait avoir enterré avec la défaite du nazisme en 1945 !
Avec l'intensification des frappes iraniennes, qui n'a nullement l'intention de servir de bouc-émissaire, des centaines d'Israéliens fuient par terre et par mer vers l'Égypte ou Chypre, dans une sorte de contre Aliyah, mouvement « historique d'immigration juive vers Israël ».
Le sionisme divise profondément le peuple israélien, réduisant ses libertés fondamentales à des niveaux extrêmement inquiétants. Le pays serait devenu un broyat de graines de ciguë dans les falafels, ce qui n'augure rien de bon pour son avenir, comme l'ont compris les fuyards.

Sous l’Casque d’Erby 



mercredi 18 juin 2025

« Je te préférais quand tu ne réfléchissais pas » !

C’est par cette phrase du titre qu’un ami de longue date s’est esquivé de la soirée de retrouvailles.
La vérité est que nous traversons des temps infâmes où le simple fait de condamner une agression est considéré comme un acte répréhensible.
Être agressé, violé ou tué nous obligerait à accepter notre sort en silence, comme une punition méritée. Comme si nous devions expier des fautes sans savoir lesquelles devant le tribunal de la pensée : « Pardon, je vous demande pardon. Je ne sais pas pour quels crimes, ni pour quels péchés, ni pour quelles futilités expurgées des poubelles de l’esprit, mais, je vous en supplie, pardonnez-moi ! »
L’inversion perverse de la réalité est-elle le résultat d'une tendance passagère, comme une représentation artistique de mauvais goût, que le calendrier biffe de ses pages au hasard des épisodes ? Ou, plus concrètement, la volonté criminelle des élites, jamais en panne d’inspiration dès qu’il s’agit de bastonner le gueux  ?
Le russe contre tous ! Tous contre la Russie ! Par jalousie ! Par prédation ! Par amour du crime ! Et, apothéose, tous contre tous !
D’évidence, cela correspond au projet que la haute nous réserve dans un final d’apocalypse programmé pour 2030 — nous y arrivons ! — Et son maudit calendar !
De nos jours, affirmer des choses aussi banales que le jour est jour et la pluie est pluie, quand cela est, devient un acte d’insoumission aux yeux d'une population aliénée et de plus en plus masochiste.
Ce monde est un asile dans lequel la « guérison » passe par l'expiation de tous les péchés, agrémentée par des séances publiques d’autoflagellations, bientôt diffusées en direct sur Mondovision, la chaîne des enchaînés ! Un show dans lequel chacun bat sa coulpe se fouettant les douze paires de côtes jusqu’au sang !
En dehors du sillon tracé par le dominant, le dominé, est heureux sous le joug de ce qu'il s'est persuadé être son bonheur !
Le point d’accroche s’est solidement scotché dans les esprits, au point qu’en dehors des directives expectorées par des diseurs de brèves insanes aux informations en continu, aucune autre possibilité ne trouvera grâce aux yeux de l’addict. Sans sa dose quotidienne, il est tendu comme un arc !
C’est ainsi que le type ordinaire, qui n’aime pas le chinois, le russe, le juif, l’arabe et très moyennement l’Américain, surtout depuis que Trump est revenu aux affaires, vous traite de raciste parce que vous posez les questions qui dérangent. Et de facho quand vous dénoncez le laxisme de la justice à l’égard des coupables de viols, de coups de couteau ou des violences urbaines causées par des migrants sortis du chapeau de la bien nommée galaxie Soros.
La réaction violente de la population irlandaise devant des décisions de justice sur des tentatives de viols sur des jeunes filles est jugée démesurée par ces mêmes décérébrés, sans chercher à comprendre qu’elles ne font que répondre au laxisme d’une justice aux ordres du pouvoir profond.
Combien d’actes similaires enregistrés dans tous les pays d’Europe passés sous silence ? Si la police fait son travail, qu’en est-il de la justice ? 
Comme de bien entendu, ces irlandais n’ont rien compris au film ! Du moins, c’est ainsi que les médias nous présentent le narratif !
C’est par le même procédé que l’on accepte l’idée d’une Troisième guerre mondiale, parce qu’il faut nous mettre du plomb dans la tête ! C’est du pousse-toi de là que je m’y mette où je n’entends plus bien de mes deux oreilles !
Ce n'est pas la goutte qui remplit la vase, mais c'est elle, si insignifiante qu'elle soit, qui le fait déborder.

Sous l’Casque d’Erby 


samedi 14 juin 2025

Hier, aujourd'hui, demain, une seule alternative : la guerre !

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Ouvertement déclarée ou non, la guerre nous est proposée comme on offre des produits à la consommation pendant les soldes. Un bras, une jambe, un crâne ou tout un corps à prix discount. Elle est l'entrée, le plat principal et le dessert d'un menu à la carte. 
L'Iran aujourd'hui, l'Ukraine plus tôt et Gaza pour garnir ce gros sandwich bien bourratif pour faire taire les consciences, avec deux fronts rangés en ordre de bataille : le Bien et le Mal. On gave l'opinion publique à qui on demande de donner une note de un à cinq à cette sinistre nourriture. 
De la chair à canon au silence des cimetières, c'est la mort qu'on revêt d'une étrange lumière. Si tant est que « lumière » soit le terme approprié en l'occurrence. Comme s’il n'existait dans un univers déshumanisé qu'une seule voie, celle de notre peur et de notre lâcheté dans une réalité virtualisée. La voie la plus directe et la plus aisée pour atteindre un confort qui nous pousse à penser que pour enrayer la gangrène, l'amputation d'un membre suffit à sauver l'organisme.
Nous sommes dans un jeu vidéo, comme en Irak avant et en Ukraine après, nous disputant le monopole d’une raison séquestrée par les organisateurs de cette sanguinaire odyssée. 
Au jeu de qui a raison et qui refuse d’avoir tort, nous finirons tous six pieds sous terre sans avoir creusé la question.
Quoi de plus évident pour escamoter un arbre que la forêt elle-même ? L’histoire est cette pute qui écume les champs de bataille pour, dans la putréfaction des cadavres, tirer un narratif qui la rendra appétissante au regard des futures victimes !
Quand le réel et le virtuel s’amalgament, il ne reste plus que des promesses qu’on ne peut pas tenir. Des propos sans témoins et des témoins qui disent les avoir entendus dans la bouche des muets.
Quand il ne restera plus que le souvenir flou de ce qui aurait pu être un monde différent, ceux qui auront échappé au carnage iront commémorer le martyre comme on célèbre une page glorieuse dans le grand livre noir de nos consciences.

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 12 juin 2025

L’euthanasie pour mieux vivre ?

Du droit de « mourir dans la dignité » au droit de vivre, selon des critères décrétés, il n'y a qu'un pas que nos concepteurs en savoir-vivre franchissent le plus naturellement du monde.
En réalité, on nous prépare à accepter l'idée que mourir est une bonne idée dans une planète saturée de gens qui n'ont rien à y faire, selon des critères globalistes !
Réduire la population nous pousse vers ce monde dystopique imaginé par des romanciers omniscients, mais qu'en est-il en vérité de ces « prophéties » ? La littérature d'anticipation n'a jamais fait autre chose que d'exprimer, sous le couvert de distorsion imaginaire, la vérité sur les intentions cachées de la caste dirigeante.
À force de conditionnement, bientôt (et pourquoi pas dès maintenant) les futurs macchabées seront convaincus que ce sont eux qui ont décidé de dire halte, acceptant « librement » le trépas ! On nous a bien convaincu que le Pangolin avait des mauvaises intentions à notre égard. Pauvre bête ! 
Tous les moyens d'information sont au vert pour nous convaincre des bienfaits du « suicide assisté » ! Comme pour la retraite, bientôt, nous aurons un droit de vie à la carte. Une sorte de passeport à points.
Autrement dit, vous travaillerez jusqu'à tel âge, avant de prendre votre retraite – le plus tard possible – et vous mourrez assez rapidement afin d'éviter un déficit budgétaire au gouvernement, à votre famille, à vos amis, à vos semblables, à la nation ! Soyez patriotes, effacez-vous dignement !
On passe une vie à imaginer un monde convenable, débarrassé de ses multiples merdes et quand vous pensez avoir atteint l'âge raisonnable pour profiter d'une retraite que vous avez mille fois méritée, le malin vous prépare à vous faire volontairement sauter le caisson !
Ne soyez pas égoïste, pensez à vos enfants. À vos petits-enfants. À ces gens que vous aimez et que par votre acharnement à vivre, vous plongez égoïstement dans l'embarras ! Acceptez dès maintenant votre passeport pour la mort ! 
L'Assemblée nationale débat sur l'âge raisonnable d'une fin de vie digne, que vous soyez dans un état végétatif ou pas.
Soyez citoyen, acceptez votre destin, le gouvernement y tient. C’est pour votre bien !
Fait extraordinaire, mais à peine, ce discours est tenu par des dirigeants bien âgés qui n'ont aucune intention de se suicider !

Sous l’Casque d’Erby 


mardi 10 juin 2025

Oh, mon bateau ! Tu es le plus beau des bateaux !

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L'équipage du Madleen, composé de militants de diverses nationalités, a mené une opération médiatique pour briser le blocus de Gaza. Cette action, visant à attirer l'attention d’une foule de gogos, préalablement chauffée, s'est transformée en vacances médiatiques aux frais de la princesse.
L'événement a été médiatisé comme si nous assistions à la renaissance des guérilleros de la Sierra Madre, Rima Hassan dans le rôle de guévariste et Greta Thunberg en gardienne de l’orthodoxie castriste, ou quand l’histoire pisse le vinaigre !
L'humanitaire n'étant ici qu'un prétexte à une mascarade macabre, dont les protagonistes tireront des souvenirs en conserve et des avantages subséquents. Lorsque l'homme atteint ce niveau de cynisme et de stupidité, on touche du doigt la fin d'une civilisation en totale décomposition.
On fait la guerre comme on prend des selfies à la BHL. Non seulement nous touchons le fond, mais pire, nous continuons de creuser à la recherche du diamant du Nil !
Cette version médiocre d'une nouvelle Chasse au Trésor serait risible s'il ne s'agissait pas d'un business, identique à celui du mouvement migratoire, sur la souffrance et la mort des peuples. Ce qu'il y a de cruel, c'est l'idée que l'élite et sa représentation politique se font des habitants de la planète. 
Arraisonné par l'armée israélienne (quelle surprise !), après un séjour dans les prisons sionistes, on a libéré le pack de malins et de cinglés sous les hourras d'une militance en état de coma dépassé !
Stimulée par le frisson héroïque d'une telle aventure, l'escouade dira avoir vécu l'enfer dans des cachots dignes de celui d'Edmond Dantès dans le Conte de Monte-Cristo. Pas moins.
L'opération suivante est prévisible comme le jour succède à la nuit. Réglée comme du papier à musique : Des micros déployés dans les salles de rédaction. Des interventions virulentes à l'antenne, soulignant ou pas le bon ou le mauvais comportement des autorités israéliennes, décrivant avec force et émotion cette odyssée du pauvre !
Annonçant d'ores et déjà, pourquoi pas, la diffusion de témoignages choc à venir dans des plateformes vidéos de diffusion en flux.
Un temps de parole que les médias n’accorde jamais aux vrais résistants !
Pendant ce temps, les Gazaouis continuent d'être décimés au lance-flammes !

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 9 juin 2025

Mon éolienne ne vaut pas un clou et me coûte une blinde !

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Quelqu’un parle-t-il l'éolien parmi nous ? Un volontaire dans le public pour traduire la bête en justice ? Ce n’est pas une blague écologique 2.0, c’est un acte de terrorisme majeur que nous devons juger sans délai !
La bête est gourmande. Il ne faut pas faire semblant de la nourrir, elle en redemande !
Rien que le générateur vous pompe trois tonnes de terres rares, importées de Chine. Ne me dites pas que les Chinois sont des vilains canards qu'il faut éradiquer, alors qu'ils sont si gentils avec nos industriels !
Les affaires sont les affaires ! 
Sans parler de la soif. Un véritable pilier de comptoir : 400 litres d’huile à la fournée ! D'accord, de temps en temps, l'organisme sature et régurgite le tout sur le paletot, laissant des grosses taches sur le blanc jabot ! 
Pas d’inquiétude, la terre est une éponge !
Tous les ans, chaque pale chie dans nos campagnes dans les 180 kg de son poids en poussières fines, faites de fibres de verre, de carbone et de résines époxy. Tout ça est projeté dans l’air, ce qui reste invisible à l’œil nu. Ni vu ni connu. 
Bonjour les ZFE pour zones à faible émission !
Quand ça clamse, les ailes de ces oiseaux stylisés, si classieux, bien sûr non recyclables, sont enterrées sous nos pieds. Ce qu’on ne voit pas, n’existe pas, n’est-ce pas ? 
Aucune plaque n’y est apposée pour célébrer sa mémoire  : ci-gît une escroquerie à échelle planétaire !
Quant au socle, voici de quoi alimenter le détail : 60 camions de 25 tonnes de béton chacun. Total : 1500 tonnes ! De quoi fabriquer de la pierre tombale low cost pour plomber la mémoire ! Quant à la ferraille, il y a là de quoi vous alimenter plusieurs générations. Ça vous comble votre déficit en fer, que c’est miracle : fatigue, essoufflement, ongles cassants, on oublie. Une véritable usine de rénovation !
Si des écologistes (je parle de vrais écolos) avalent l'anaconda, ce ne sont que des pauvres gens au cerveau en fin de course ! 
Toute cette merde ne sert que des industriels. Autrement dit, des escrocs !
Conseil pratique : Si quelqu’un vient louer vos terres pour y installer ces bestioles, moyennant une somme séduisante 30 000€ l’an pendant 20 ans (durée de vie de la chose), refusez, c’est un piège ! Le démontage du bidule est à votre charge, puisque vous êtes propriétaire du terrain. Coût minimum : 450 000€ l’unité ! Comme on vous en installe une paire, faites le calcul !
Malins, les mafieux !

Sous l’Casque d’Erby
 


samedi 7 juin 2025

L’Ukraine refuse de récupérer les corps de ses soldats morts au combat pour faire des économies



 
Aujourd’hui 6 juin 2025, devait avoir lieu la première partie de « l’échange » à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine de corps de soldats morts (en réalité, il s’agit d’un transfert quasi unilatéral de la part de la Russie, car l’Ukraine n’a pas un grand nombre de soldats russes morts en sa possession). Mais au dernier moment, l’Ukraine a refusé de récupérer les corps de ses soldats, pour des raisons particulièrement cyniques.
La première étape de « l’échange » de corps à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine devait avoir lieu aujourd’hui. Kiev devait recevoir les corps de 503 soldats tués (sur les 6 000 corps qui sont en possession de la Russie), et Moscou devait en recevoir 42. Cependant, le transfert n’a pas eu lieu.
Environ 150 camions réfrigérés transportant les corps de soldats ukrainiens sont arrivés à la frontière entre la Biélorussie et l’Ukraine, mais la partie ukrainienne a refusé de les prendre, sans donner de motif.
Ce refus peut sembler des plus étranges. En effet, quel gouvernement ne voudrait pas permettre aux familles des soldats morts au combat de les enterrer dignement au lieu de les laisser moisir dans les morgues ennemies ? La suite, c'est par ici

vendredi 6 juin 2025

Marre d’être heureux, pas vous ?

Pixabay
Les campagnes contre l'homophobie se multiplient, comme si la société était engagée dans une guerre de cent ans sur une pratique sexuelle ancestrale désormais banalisée.
On vous demande de porter des signes distinctifs, symbole de soumission aux nouvelles règles du ministère de la Vérité ! Un concept politique qu’on impose dans tous les milieux sociaux et lors des manifestations sportives où le public est nombreux, afin de généraliser la pensée unique. À l'instar de l'ex-Union soviétique et de la Chine maoïste, que les gauchistes fanatisés de la décennie 1970/80 cachaient pudiquement sous les écharpes rouges lors des campagnes de prosélytisme décomplexé.
Un moule pour chacun et tous dans le même moule, c'est la grande reconfiguration des cerveaux !
Le refus de porter un signe distinctif n'implique pas nécessairement l'homophobie, l'antisémitisme ou le racisme. Par exemple, je refuse de porter des t-shirts imprimés, parce que je ne suis pas un homme-sandwich. Mais je n’oblige personne à suivre mon exemple !
Hommes, femmes et enfants ne suffisent plus à appréhender un monde qui sombre dans la folie au nom d’une déchéance programmée ! Il faut quelque chose de nouveau, de créatif, de bien dégénéré pour se sentir quelqu’un d’important. C'est le prix à payer pour être dans l'air des nouveaux temps barbares ! 
Les regrets viendront plus tard, quand nous aurons oublié jusqu'à la notion d'espoir ! Quand nous aurons subi toutes les infamies  et accepté la dépopulation comme une forme de vaccination contre la démographie !
Le problème migratoire, orchestré par la galaxie Soros et politiquement appuyé par l'UE, sans autre règle que celle de mettre en place une politique du naufrage ! S’y interroger sur les dérives et les conséquences générées par ce flux continu, n’implique pas de l’hostilité, comme on cherche à le faire croire en crachant sur les gens du pays qu’un certain personnage du showbiz traite avec haine de « fin de race » ! Les excuses qui ont suivi ne servant qu’à souligner l'immense mépris qu'il éprouve pour le pays qui le nourrit !
Plus on désarçonne l'individu, plus on le dépouille et l’enfonce dans la boue, plus on l'entraîne vers l'indifférence, et plus docilement il intégrera la nécessité de se saborder en tant que personne. 
Rien ne fait tant frissonner l'être nourri à l’aliment consumériste que l'idée d'une agression imaginaire, comme celles que l’on regarde sur les plateformes de streaming vidéo, où Russe et Arabe, toujours vaincu à la fin, endossent le rôle de mafieux ou de terroristes, parfois les deux !
« Qu'est-ce que je n'aimerais pas être à la place d'un Palestinien ! Ou d’un Ukrainien ! Ou d'un catholique. Brrr ! » 
Du coup, l'être optimiste reste à la place qu'on lui assigne devant la télé, la tête enfoncée dans le sable et le cul fouetté par les vents mauvais !
En réalité, l'optimiste n'a qu'une idée et des couleurs basiques en tête : le rose pour les femmes ; le bleu pour les hommes, binairement parlant !
Et moi, dans ce concert ? J’en ai marre d’être heureux ! 

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 2 juin 2025

Réflexions et ressentiments à la volée

Les « je vous l'avais dit » sont un genre très répandu, un peu comme les « indispensables », ça remplit les carnets de rendez-vous des psys avant d'échouer sous une pierre tombale, au terme d'un parcours épuisant ! Comme n'importe quel anonyme !
On trouvera toujours aux carrefours de nos erreurs un « savant » prêt à déposer sa bile dans notre foie pour le plaisir de le voir exploser. Un pur produit toxique qui promène son spleen de forum en réseaux sociaux pour polluer des débats qui, au fond, ne l'intéressent pas. Lui, sa dope, c'est clamer haut et fort qu'il est le plus fort !
C'est l'air triomphant qu'il hisse le drapeau de son ego sur l'éperon de sa bêtise : « je vous l'avais dit ! » En toutes circonstances, il arborera l'étendard de son savoir comme on exhibe la Légion d'honneur au revers de son veston. Sachant, qu'on n'obtient pas ce genre de breloque sans se déshonorer !
Au diable les scrupules ! Tout au fond de lui, ce « savant » de nouvelle génération sait ! Et si un jour, il a éprouvé quelque soupçon de contrition, il s'en est vite remis !
Je sais. Tu sais. Nous savions. Ils savent tout ça, tout en haut de la pyramide ! Chez les fabricants de clones et de sosies ! Ces fantômes qui arpentent la scène publique pour nourrir l'illusion des foules manipulées.
Pareil en ce qui concerne Donald Trump – je parle de Trump, mais cela pourrait être n'importe qui d'autre –, dont on dit qu'il a trahi ses promesses électorales dans « sa lutte contre le pouvoir profond » et le redressement d'une Amérique exsangue. 
Allié des globalistes jouant l'opposant avec brio ou une victime de plus ? L'ennemi est-il plus fort qu'il ne l'a imaginé ? Je pencherai pour ce dernier cas de figure.
Qui s'est trompé dans ce mélo ? Trump, en ne mesurant pas la puissance réelle de ce pouvoir dont l'Agenda 2030 déroule ses plans comme on tient un livre de comptes ? Le malheureux électeur est encore pour ses frais !
Peut-on lui en vouloir d'avoir rêvé à des « lendemains qui chantent » ? D'avoir osé espérer qu'un monde débarrassé de la vermine mondialiste, sans adrénochrome, sans pédophilie, sans biolabs, sans euthanasie, sans guerre, sans trafic d'êtres humains ni d'organes, si imparfait qu'il soit, est toujours possible ?
Voter contre l’État profond ne veut pas dire que le candidat pour lequel on « roule » est le candidat idéal. En matière d'idéal, l'urne n'a jamais tiré la panacée ! Elle n'est que la fête foraine par laquelle les élites donnent l'illusion démocratique. Ce placebo à effet psychologique immédiat !
Combien de fois, amis électeurs, avons-nous glissé un bulletin par défaut dans l'urne ? Si j'avais autant de millions que le poids des candidats, femmes comprises, pour qui j'ai voté par défaut, je serais en train de me la couler douce dans une île paradisiaque nettoyée de ces créatures inférieures qui dégoûtent tant les extra-terrestres qui gouvernent nos destinées !
Je fais face à des « savants » insupportables. Mais comme dans la vie, on ne peut pas séparer le bon du mauvais - et c'est tant mieux ! -, nous jouons les gentils couillons avec des gardiens de l'orthodoxie qui ne se soucient pas d'orthodoxie. 

Sous l'Casque d'Erby 


samedi 31 mai 2025

Les moutons ont la rage !


Les Moutons enragés ont fermé boutique. Une voix parmi les plus importantes d'un site alternatif quitte la scène. Une belle aventure, ayant fait du « complotisme » une œuvre de vérité que l'avenir ne démentira pas, se dissipe dans les profondeurs de la toile. 
J'élargis ici le commentaire que j'y ai déposé en ce week-end de l'Ascension où l'évaporation citoyenne a rempli les campagnes en vidant les villes ! Les uns montent au ciel, d'autres descendent voir la mer !
Le travail et l'usure, comme toute œuvre désintéressée, donc humaine, ont eu raison de la volonté d'une équipe motivée et soucieuse de fournir une véritable information piochée dans le cambouis.
L'équipe aura tout fait pour prolonger une aventure qui, à l'origine, n'était pas tout à fait la sienne. Mais, quand on a plein les sabots et que le nerf de la guerre (l'argent) fait défaut, ainsi que les bras pour aider, à commencer par ceux de votre serviteur, qui aurait peut-être pu faire mieux, il devient difficile d'insister.
Après tout, nous ne sommes que des humains. Sensibles et vulnérables, fibrés par des idées dont on ne capte pas l'importance ni la valeur. Il est plus difficile de défendre des idées qu'un compte en banque. 
Il va falloir s'habituer à passer devant les volets clos de cette maison respectable à l'heure où le coq sonne la charge. À moins que… 
La vie est faite de cycles et celui-ci aura été de ceux dont on se souviendra longtemps avec émotion. 
Je n'ai jamais été un amateur des aventures collectives, ni un féru de débats où chacun exprime sa passion ou son dégoût, prenant pour vérité ce qui n'est qu'une opinion personnelle. Ce Graal, contenant plus de frustration que des certitudes absolues, est rempli de nos misères et de la bestialité d'un pouvoir politique impitoyable nous conduisant vers l'abîme.
J'admets cependant que ces échanges sont enrichissants, y compris pour les esprits rétifs comme le mien. Je suis un solitaire à la recherche de j'ignore quel but précisément. Comme beaucoup parmi nous.
Cependant, il y a une chose que je sais : je ne rends personne responsable de ce trait personnel, ni n'accuse autrui pour des faits qui dépassent nos minuscules personnes.
J'ajouterai que j'aime mon semblable et que je souffre de sa misère et des injustices qui pleuvent sur nos têtes, autant que le plus engagé d'entre nous. Cette distance que je préserve n'est pas de la froideur. Elle est là pour me prémunir des « souffrances » qu'on pourrait m'infliger. Un moyen d'éviter ce que je supporte très mal : la déception. 
Voilà la raison qui peut me faire apparaître distant, égocentrique ou indifférent pour qui ignore ce trait de ma personnalité.
S'il y a du bien et du bon dans les aventures collectives – j'en ai vécu quelques-unes –, il y a aussi du mauvais, de l'approximation, de l'égoïsme et du boursouflé de l'ego. Dans ce cas, on ne sépare pas le bon grain de l'ivraie, on prend le pack !
Ceci n'étant la faute de personne, c'est dans la nature des sociétés, travaillées par des systèmes d'éducation séculaires liés à des paradigmes politiques dont il est difficile de s'y soustraire. Encore plus difficile d'y échapper !
On a évoqué aussi (murmuré, dirais-je) l'idée d'une reprise des Moutons enragés par des « candidats » du cru. D'un relais... Je reste dubitatif sur ce point. Ce qui a été fait par autrui, ne peut être reproduit par des tiers dont l'implication n'est pas prouvée !
Je pense à l'esprit et à la lettre. Je me souviens que aventure semblable s'était produite jadis chez Dazibaoueb, dont Jean-Claude fut membre hyperactif de la première version, et dont la reprise à sa cessation ne fut qu'illusion ! Le vrai Dazibaoueb avait bel et bien... rejoint les limbes du digital!
Restera de cette magnifique et riche expérience, la passerelle entre le virtuel et le réel qu'emprunteront celles et ceux qui chercheront à y prolonger les débats, échangeant numéro de téléphone et adresses pour aller de la sympathie à amitié dans la vraie vie !
Le bon vent à tous !

Sous l'Casque d'Erby


jeudi 29 mai 2025

Non au traité constitutionnel européen de 2005



Par Jean-Claude

Eh voilà ! Nous y sommes, à cette commémoration si importante ! Le 29 mai 2005, le Peuple Français debout a décidé de refuser d'entrer dans l'Union européenne.
Dès le lendemain sans doute, cette engeance qui enserre de ses doigts glacés NOTRE MONDE a décidé de sortir de cet anonymat bien commode, d'où elle tirait les fils "politiques" afin de mener NOTRE MONDE vers SON MONDE, qui en est un détestable (le mot est TRÈS FAIBLE) reflet.
Il fallut donc casser LA DÉCISION du Peuple, donc se mettre soudain en pleine lumière (mauvais pour le teint, ça) afin de bousculer la Constitution. Rien moins que de faire décider par UNE FRACTION du Peuple un destin contraire à ce qu'en toute majesté le Peuple avait en son âme est conscience résolu. Il s'agit tout de même de l'Article TROIS, l'un des plus importants.
Oui, soudain, l'hydre tentaculaire, d'un vert blafard, malsain, se retrouvait face aux feux de la rampe pour imposer ses propres "PROJETS".
De magouille en magouille, cette hydre a tant fait que le premier décembre 2009, contre un DROIT définitivement bâillonné, le Nouveau Traité de Lisbonne a été mis en application en France. Cela implique que, ce jour-là, bien que fort peu de citoyens l'aient vu ainsi, la France est passée aux oubliettes, remplacée par une satrapie commandée par une camarilla basée à Bruxelles, camarilla soigneusement non élue hormis par les Banquiers. Oh, par routine, il y eut encore des élections factices, où les vainqueurs l'étaient déjà à l'avance dans des sondages ressemblant plus à des prescriptions. C'est dire la légitimité du système.
Mais le Peuple est toujours là, désemparé, malmené, en proie à un système juridique complètement inversé pour l'interloquer encore plus ; mais c'est aussi un Peuple qui, cahin-caha, tente de comprendre et de réagir. Après tout, le 13 juillet 1789, qui eût prédit ce qui se passerait le lendemain ? « Debout, les damnés de la Terre..... »

Sous l'Casque d'Erby



mardi 27 mai 2025

Obama deep


Obama a les fesses sur le grill. Ne pensez pas à mal, ceci est une image. Ils sont nombreux dans l'univers sombre du pouvoir à connaître ce genre d'inconfort et à bien s'y habituer. Une petite ligne par-ci, par là et ça vous change la perspective.
Selon des sources « autorisées » — il faut toujours se méfier des sources, surtout quand elles sont « autorisées » — il serait, ou aurait été — lors de ses deux mandatures une des pièces principales de la CIA et le bras armé du pouvoir invisible dans le jeu de manipulation par lequel les États-Unis ont plongé dans l'une des séries les plus noires de sa jeune histoire. Pourtant, elles remplissent déjà nombre d'encyclopédies !
Barack Obama, pour qui la guerre aura été un jeu vidéo pour post-adolescent cruel, serait le dernier marionnettiste de la Maison Blanche. Celui qui dictait, après avoir été briefé, au personnel de ce pauvre Joe Biden, son ancien vice-président, où et quand on devait l'aider à nouer la cravate ou à lacer les chaussures. À lire un texte devant la presse, dont il oubliait le contenu quand il ne perdait pas les fiches rédigées par les conseillers. Que savons-nous des mystères diamantifères qui jalonnent l'univers et ses complexes ?
Un procès arrive, c'est imminent, affirment des « sources bien informées » ! Quand les sources sont « bien informées » on peut d'ores et déjà penser que le futur prévenu est entouré d'une nuée d'experts spécialisés en farces et attrapes. Une mise en scène par laquelle tout paraît vrai, mais tout est faux, du bras coupé aux faux serpents ; du coussin péteur au chewing-gum électrique. Une affaire qui télescope celle du procès de P. Diddy dans lequel il est « indirectement » impliqué, son nom ayant été cité au cours du « témoignage déroutant de l'ancien assistant du rappeur ». 
Et dire que je fus ému jusqu'aux tréfonds lorsque pour la première fois de son histoire l'Amérique se choisit un président noir ! Quel naïf ! 
Dans tout cela, il reste le spectacle. Que les Pangloss n'exultent pas trop vite. Ceci ne sera qu'un nouveau feu de paille ! Une énième diversion.
L'idée naïve que nous avons d'une justice immanente, bouc émissaire compris, n'est pas encore à l'ordre du jour. Cela est perturbant pour l'équilibre psychique, je l'admets, car de contrariété en contrariété, nous nous retrouvons dans un pays sous curatelle ! Adieu, veau, vache, cochonne et couvée ! 
Hélas, l'être déconstruit, reste coriace dans son tout petit costume, rien ne l'en débarrassera. Quand une créature du pouvoir est « terrassée », une autre est déjà dans les starting-blocks pour prendre le relais. On croit atteindre le Diable, nous n'avons affaire qu'à l'un de ses démons !
Handicapé, parce que formaté par l'éducation de l’État et un milieu ambiant métastasé par la frivolité et la course à la breloque, le petit homme pensera ce qu'on lui suggère de penser, en toute liberté. Dira ce qu'on lui dicte, crachera sans hésiter au visage de son voisin d'enclos, qui cherche à couper les barbelés, afin de respirer l'air vivifiant de la liberté et, pourquoi pas, du bonheur !

Sous l'Casque d'Erby 


vendredi 23 mai 2025

Pessimiste, moi ? A peine !

L’anesthésiant est puissant et son soulagement si doux, que l’amnésie s’installe dans les consciences comme si de rien n’était : un corps politique au pire de sa forme, une vie qui perd le fil de sa dignité dans l’odeur des vallées profondes et des lacs sombres du Walhalla, agissant sur les organismes comme une fatalité inéluctable.
Ce n’est pas le début. Ce n’est pas la fin, mais un aller simple vers cette dimension duveteuse où, dit-on, débarrassé des contraintes matérielles, l’esprit est enfin à son aise.
Rien à gauche. Rien à droite. Droit dans le mur ! 
La manipulation politique est à son pic le plus élevé dans notre 5ᵉ mourante : faire passer une exécution pour un accident malheureux ; une défenestration pour un suicide par dépit amoureux ; un tremblement de terre pour une catastrophe naturelle ; un empoisonnement alimentaire pour de la gloutonnerie incontrôlée ! Ni nouveau ni surprenant : l'histoire humaine est remplie de ces atrocités. Les Borgia n'ont rien inventé, car avant eux, c'était déjà comme ça...
Depuis longtemps, le cinéma n’invente plus rien, il puise son pis-aller dans le réel ! Toute ressemblance, blablabla, n’est pas fortuite !
La foule doit y croire. Elle y croit ! Pas toujours par conviction intime, mais par confort. Quand le crime est à son apogée, le blaireau fait ce qu’il fait de mieux : l’autruche !
Jouer avec le chaos en tripotant le flûtiau comme dans les contes anciens. Sortir de la bacchanale électorale un parasite pas trop médiatisé, qu’on présentera comme du nouveau, de l’antisystème, du révolutionnaire pour instiller un nouvel enthousiasme et rafler une nouvelle fois la mise, c’est ainsi que les choses fonctionnent et ce n'est pas près de s'arrêter. Alors, changer le monde ? 
N’avons-nous pas eu notre soûl de mensonges, toujours les mêmes sous déguisements divers ? D’évidence, entre la première gorgée et l’addiction, la graine a poussé comme plante fourragère, ce qui a pour effet de fixer l’azote dans le sol au profit de l’exploitant !
Applaudissant à tout rompre, la masse se trémousse, affiche des tronches réjouies, lance des hourras jusqu’à l’aphonie ! Criera des On a gagné jusqu'à se déchirer le gosier !
Fera des dons, comme si elle n’était pas assez dépouillée, parce que la toute nouvelle campagne a besoin de fonds, d’un soutien indéfectible, si on veut que « ça change vraiment » !
Par ailleurs, plus nous sommes distraits, moins nous avons de fonds, et plus aucune autonomie pour finir le mois. Par ici les agios !
C’est cela le « confort » d’une paralysie volontaire. Le peu d’argent que la banque autorise en découvert, on l’investit dans l’achat de papier hygiénique, à cause d'une menace de pénurie !
Pauvres, mais les fesses propres !

PS Le blog Lezarceleur a été supprimé par Google sans aucune explication. La démocratie a ses caprices. Pas moyen de discuter, d'expliquer que la plateforme se nourrit majoritairement de traductions et de partage. Cela emmerde le Prince et ça suffit ! Circulez, il n'y a rien à voir !

Sous l'Casque d'Erby