Source |
Après avoir fait des mamours citoyens à des poulardins, ce qui avait interloqué plus d’un fan, le voici qui récidive, cette fois avec François Fillon, lui déclarant une flamme puissante, lâchant que le favori de la primaire de droite est un « parfait honnête homme » ! Oh, mazette !
Aussitôt, la « gauche » déchaînée
– elle s’emballe pour un oui pour un non
– lui a envoyé, via les réseaux sociaux, une soufflante aussi néfaste qu’un
Mistral perdant !
Mais qu’a-t-il dit notre hexagonal « chanteur engagé » pour
mériter une telle baston, outre le fait d’affirmer que Fillon est un « mec bien » et qu'il le voyait gagner la primaire de droite ? Il a tout
simplement dit qu’il le préférait à Juppé et Sarko, ce qui est en réalité une
vaste connerie, ne voyant pour ma part aucune différence entre les trois,
hormis le fait qu’ils se livrent une guerre fratricide pour mieux nous entuber.
Mais allons plus loin en ouvrant le menu électoral concocté, comme toujours,
par l’oligarchie, car, au fond, de quoi est-il question dans ces mascarades
ponctuelles sinon de préparer le cheptel à choisir le champion qu’elle désigne ?
En réalité, le Renaud d’Hexagone, devenu
entre-temps un gars d’un autre temps, s’insurge contre le procès qu’on lui fait.
Car, précise-t-il, il ne parlait de son penchant pour Fillon que dans la
configuration particulière d’un second tour entre un candidat de droite et le
FN, comme cela fut le cas en 2002 entre le très maquignon Jacques Chirac et le Durafour Crématoire de Le Pen.
Combien parmi ceux qui aujourd’hui s’en
prennent à notre monument historique de la chanson ont fait en 2002 (14 ans
déjà !) le déplacement pour permettre à Chichi d’afficher un score
bananier à l’issu du scrutin ?
Mais pourquoi diable, ce diable de CharlieMen,
envisage-t-il le pire et non le meilleur pour sa famille de la gauche – allez,
je vais dire un gros mot – non conformiste, imaginant un second tour de la
présidentielle de 2017 entre Fillon et le FN et pas Jean-Luc Mélenchon par exemple ?...
Si la vieillesse est un état naturel la sénilité n'attend pas pour être pile au rendez-vous.
Oublie pas, poto, c'était dans une autre vie :
Si la vieillesse est un état naturel la sénilité n'attend pas pour être pile au rendez-vous.
Oublie pas, poto, c'était dans une autre vie :
Sous l'casque d'Erby