Erby |
Des professionnels du bonheur sont formés par les écoles d’État pour, en son nom, le tailler comme un boucher découpe un quartier de viande. On appelle cela la classe politique, qu'elle se trouve à la gauche ou à la droite du Roi !
Or quand la cote d'alerte de ce que le peuple peut supporter est atteinte – ce qui est le cas en ce printemps 2023 – il se rue dans la rue pour exiger le rétablissement de ce qu'on lui grignote de justice sociale, de droits et de dignité.
Pour toute réponse, le pouvoir envoie la police. Nourrie de haine et de frustration, celle-ci se défoule sans ménagement et sans aucun discernement sur les manifestants ou les simples passants : femmes, vieux ou enfants, pas de quartier ! La meute est lâchée !
Ainsi donc, du vaccin à la guerre ; de la pédophilie à la traite des humains ; du transgenrisme en guise d'éducation, le pouvoir qui nous a été imposé au nom d'une parodie « démocratique », bascule dans le totalitarisme, faisant du peuple son sac de frappe, pour le plaisir sadique de quelques psychopathes tapis dans l'ombre tels les monstres qu'ils sont !
Ces représentants de la « Nation », désignés pour nous représenter et défendre les valeurs qui l'ont fondée – se révèlent tels qu'ils sont en réalité : des parasites opportunistes. Des enflures qui n'ont jamais eu l'intention de défendre autre chose que leurs biens personnels, par les voies les plus obscures et plus si affinité !
Je ne sais pas si cette poussée de fièvre printanière du peuple sur la réforme des retraites, suite à des années d'amputations sociales et de privations de droits, aboutira à une victoire sur le capitalisme cannibale, en termes de justice sociale et de paix civile, mais je sais une chose : sans nous, ce capitalisme n'est rien !
J'ignore encore si la colère populaire qui monte dans le pays est le fruit de la spontanéité et du ras-le-bol du peuple devant le cynisme et la surdité des pouvoirs ou si elle est fomentée par ceux que nous combattons afin de mieux faire plier le mouvement social.
Rompu aux déceptions ; habitué aux coups de Jarnac, je me demande si, après avoir utilisé les sévices du pervers narcissique Emmanuel Macron, le pouvoir profond n'envisage sa chute, nous faisant croire au rétropédalage, comme précédemment avec Sarko et Hollande, pour mieux nous enfoncer la dague dans les reins.
Moralité ubuesque : La police est payée par l’État Français pour bastonner le peuple et l’État est sous les ordres de l’État profond pour détruire la France et ainsi avec le reste de l'Europe.
Sous l'Casque d'Erby