dimanche 26 mars 2023

Pan après pan, ça tombe et ça creuse

Erby
On dit souvent – pour justifier l'inqualifiable – que le peuple ne sait pas ce qu'il veut. Que dépourvu de pensée, il lui faut des esprits « supérieurs » pour penser à sa place. En substance, il lui faut des guides, faute de quoi des « mauvaises idées » lui travaillent l'esprit et l'égarent dans l'utopie.
Des professionnels du bonheur sont formés par les écoles d’État pour, en son nom, le tailler comme un boucher découpe un quartier de viande. On appelle cela la classe politique, qu'elle se trouve à la gauche ou à la droite du Roi !
Or quand la cote d'alerte de ce que le peuple peut supporter est atteinte – ce qui est le cas en ce printemps 2023 – il se rue dans la rue pour exiger le rétablissement de ce qu'on lui grignote de justice sociale, de droits et de dignité.
Pour toute réponse, le pouvoir envoie la police. Nourrie de haine et de frustration, celle-ci se défoule sans ménagement et sans aucun discernement sur les manifestants ou les simples passants : femmes, vieux ou enfants, pas de quartier ! La meute est lâchée ! 
Ainsi donc, du vaccin à la guerre ; de la pédophilie à la traite des humains ; du transgenrisme en guise d'éducation, le pouvoir qui nous a été imposé au nom d'une parodie « démocratique », bascule dans le totalitarisme, faisant du peuple son sac de frappe, pour le plaisir sadique de quelques psychopathes tapis dans l'ombre tels les monstres qu'ils sont !
Ces représentants de la « Nation », désignés pour nous représenter et défendre les valeurs qui l'ont fondée – se révèlent tels qu'ils sont en réalité : des parasites opportunistes. Des enflures qui n'ont jamais eu l'intention de défendre autre chose que leurs biens personnels, par les voies les plus obscures et plus si affinité !
Je ne sais pas si cette poussée de fièvre printanière du peuple sur la réforme des retraites, suite à des années d'amputations sociales et de privations de droits, aboutira à une victoire sur le capitalisme cannibale, en termes de justice sociale et de paix civile, mais je sais une chose : sans nous, ce capitalisme n'est rien !
J'ignore encore si la colère populaire qui monte dans le pays est le fruit de la spontanéité et du ras-le-bol du peuple devant le cynisme et la surdité des pouvoirs ou si elle est fomentée par ceux que nous combattons afin de mieux faire plier le mouvement social.
Rompu aux déceptions ; habitué aux coups de Jarnac, je me demande si, après avoir utilisé les sévices du pervers narcissique Emmanuel Macron, le pouvoir profond n'envisage sa chute, nous faisant croire au rétropédalage, comme précédemment avec Sarko et Hollande, pour mieux nous enfoncer la dague dans les reins.
Moralité ubuesque : La police est payée par l’État Français pour bastonner le peuple et l’État est sous les ordres de l’État profond pour détruire la France et ainsi avec le reste de l'Europe.

Sous l'Casque d'Erby

samedi 18 mars 2023

Western version faillite bancaire

Erby
Entre la rivière et la mer un mince et solide filet d'eau. Entre la sueur et l'argent un gros fil à la patte : la banque !
Récemment la tête remplie de misère et de violence ; de projets sépulcraux et de chaos mondial, pour me détendre, j'ai plongé dans un vieux film comme on en produisait jadis pour distraire la foule tout en lui faisant croire qu'on s'occupait d'elle.
Installé dans mon canapé, les arpions en éventail, je regardais un vieux western à la psychologie black and white. Le méchant étant très méchant et le gentil très gentil, limite benêt, on se laisse prendre par ce minimalisme très efficace.
Plongé dans les faillites bancaires, mon entourage fut atterré par ce choix baroque et par le détachement que je montrais devant une actualité sentant le feu et le sang sur fond de 49.3. La dixième fois qu'il nous le fourgue le Manu ! A part ça, si t'es pas content...
J'avais beau expliquer qu'il y avait un rapport, du moins dans mon esprit, rien à faire. « Mais comment peux-tu regarder un truc pareil ! Quelque chose m'échappe ! », me dit un cousin qui n'a toujours pas quitté ses frusques de l'époque où jeune rimait avec couillon !
J'avais beau dire qu'il n'y avait rien de plus limpide que cette histoire pour comprendre la faillite des banques, autrement dit le nettoyage des poches des citoyens par des gangsters en col blanc. On ne me comprenait pas. Circonstance aggravante, un film américain ! Un produit de l'Empire ! Quelle horreur ! « Et en quoi me dit-on un film de pan-pan qui date de Mathusalem aurait un rapport avec le krach bancaire ? »
Le film date des années quarante du siècle dernier, certes, mais le sujet c'est quand même la banque. Un sujet aussi vaste que les océans. La faillite des banques, tout le monde en parle et ça craint pour nos matricules. Tout comme dans mon western pourri, la faillite se résume au nettoyage à sec des poches du clampin dont la naïveté frise la complicité pour crime en bande organisée.
L'histoire de ce film à l'esprit désincarné, propre au genre, raconte l'histoire d'un campement de chercheurs d'or où la boue et la non-vie ont la part belle : hommes, femmes et enfants forment un tout hétéroclite et misérable qui rappelle « La ruée vers l'or du Klondike » du grand Jack London, dont Chaplin avait tiré un long-métrage.
Des « chanceux » ont trouvé des filons du précieux métal, mais, prudents, cachent leur joie. Le malfaiteur rôde en quête d'un sale coup avant le suivant. Motus...
La nouvelle s'étant répandue que des gisements importants... des chariots chargés de marchandises, d'alcool, bois de charpente, prostituées, clous et planches constitueront ce que deviendra très vite – avant l'existence même de chiottes publics – un bâtiment important, à la suite duquel d'autres s'ajouteront.
Ce bâtiment – en fait une cabane en bois assez imposante pour impressionner le passant – arborera une enseigne des plus aguichante avec quatre lettres magiques : BANK. C'est pas Vegas, mais pas loin !
Sa devise, proclamée par un monsieur élégant en costume-cravate jouant le bateleur : « Nous sommes ici pour protéger votre or ! Venez admirer la solidité de notre bâtisse et la résistance de notre coffre-fort ! Aucun voleur ne s'y risquerait sans le payer de sa tête, nos meilleurs pistoleros veillant au grain ! Signez ici, au bas de ce document attestant que vous êtes bien le dépositaire de telle quantité d'or... Une croix suffira ! »
En face de la banque, le saloon, où l’orpailleur épuisé va s'arsouiller jusqu'à plus soif, soulager une queue en souffrance dans le ventre des prostituées, elles aussi à la recherche de fortune pour fuir cet enfer et des joueurs de poker prêts à tout pour alléger vos fonds de poche.
Quand le pauvre chercheur émergera de cette bacchanale, ayant dépensé, jusqu'au dernier, les jolis dollars « offerts » par le banquier, il découvrira que la banque a fermé « ses guichets », fait faillite et qu'il ne lui reste plus qu'à continuer de gratter la roche jusqu'au sang en rêvant au monde merveilleux de Narnia.
La morale des banquiers, c'est de ne pas en avoir ! Nous étions prévenus, Naomi Klein l'a très bien résumé dans « La stratégie du choc », mais ce n'était qu'un vulgaire western !

Sous l'Casque d'Erby 



samedi 11 mars 2023

Sous-marinier Biden à la barre !

Joe Biden est un numéro. Quand on le regarde – mais surtout quand on l'écoute en l'observant – on a peine à comprendre comment il y a-t-l des gens qui pensent encore qu'il est le Président de la « première puissance » mondiale.
Sa récente sortie sur le sabotage de Nord Stream est un joyau. Il serait, selon lui, l’œuvre de « marins ukrainiens incontrôlés », vraisemblablement formés dans le sud du Portugal où les sites de plongée sous-marine sont nombreux, et que par conséquent les américains, tout comme Zelensky, sont aussi propres que que des draps sales passés à la machine avec un super détergeant !
Autant dire, à ce stade, que la responsabilité de la Principauté d'Andorre dans cette attaque qui prive d'énergie les pays européens mérite d'être fermement condamnée. Qui ne connaît pas la puissance de feu de la marine andorrane ne sait pas à quel fléau il a affaire !
Vraie ou fausse, cette déclaration est d'autant plus crédible que Joe accumule les bourdes à un rythme infernal. Et s'il y a quelqu'un qui mérite le titre de Président de la gaffe c'est bien lui.
Coïncidant avec la journée internationale des droits de la femmes (les transgenres y sont ou n'y sont pas?) sort le livre d'Alexandra Henrion Caude, « Les apprentis sorciers ». Une mise à plat des mensonges qui ont conduit au développement d'une politique de la terreur par la menace d'un virus dont la létalité n'a jamais été démontrée. En revanche, en ce qui concerne les saloperies contenues dans le vaccin, y a de quoi frémir !
Dans une courte vidéo, la grande virologue et généticienne mondialement reconnue, explique – ce que nous savons et dénonçons avec elle depuis le tout début de la prise de contrôle des esprits par la pandémie – comment les médias collabos ont mis en place une politique du dénigrement sur sa personne et celles de ceux qui ont fait et font de la vérité un acte de résistance majeur. Ainsi, si vous cherchez la biographie d'Alexandra Henrion Caude sur Wikipédia, vous apprendrez que cette encyclopédie du mensonge et de l'approximation n'a fait que le copier-coller d'un article publié par le journal de « référence » des anciens bobos soixante-huitards, « Le Monde », truffé de mensonges, sans doute dictés par les sponsors du journal – Bill Gates est un bon contributeur – et le gouvernement Macron, cornaqué par le Cabinet conseil McKinsey, qui, comme chacun sait, n'en veut qu'à notre argent. Une affaire qu'on peut qualifier de « délit en bande organisée » !
Quel est le dénominateur commun entre les déclarations de Joe Biden et le livre d'Alexandra Henrion Caude ? La sinistre propagande d’État par le biais de médias à la botte !
Une chaîne de valeurs humaines ayant fait de madame Henrion Caude la personne qu'elle est et que l'on respecte, que les apprentis sorciers, Macron, Buzyn, Salomon, Véran et autres vermines cherchent à déshonorer, comme ils l'on fait avec d'éminents scientifiques pour avoir dénoncé l'innommable, parmi lesquels Luc Montagnier décédé depuis. Peine perdue.

 Les apprentis sorciers - Alexandra Henrion Caude  


Sous l'Casque d'Erby

samedi 4 mars 2023

La paix des cimetières

L’Histoire est aussi têtue que criminelle. Comme Hitler il y a à peine un souffle, Zelensky fait un pont (de mort) à des jeunes fanatisés et à jamais traumatisés (pour ceux qui échapperont au carnage) en les envoyant au front payer de leur vie pour un business (ça en est un) qui n’a jamais été le leur, pendant que lui et sa femme font la tournée des « popotes » dans les capitales du monde, dépensant sans compter dans des boutiques de luxe un argent gagné avec leur mercenariat et réclamant plus d'armes pour alimenter le délire paranoÏaque du pouvoir profond.
De Napoléon à Hitler et maintenant les héritiers de ce dernier, qu’ont-ils tous à vouloir conquérir, soumettre ou anéantir la Russie qui n’a rien fait sinon exister en tant que pays souverain ? D’où leur vient cette obsession ?
On le dit et on le répète tant et tant qu’au final on se demande si nous ne sommes pas les membres d’une compagnie de théâtre en train de répéter une tragédie sur les planches miteuses de la vie ! On se pince pour se réveiller de ce cauchemar !
On aimerait tant regarder à nouveau le ciel dégagé sans craindre le fracas d'une explosion dispersant nos carcasses vers le néant !
On aimerait tant ne plus voir ces défilés d’idiots arborant sur commande des drapeaux jaune et bleu, arpentant les villes en soutien non pas à un peuple, mais à des criminels tapis dans l’ombre et tirant les ficelles, détruisant les valeurs qui ont fondées la mosaïque continentale depuis quinze siècles et plus.
Ne plus entendre nos entourages scander des âneries, exigeant « plus d'armes pour l'Ukraine », refusant d’écouter vos arguments de paix, vous répondant : « Je ne veux rien entendre ! », préférant la paix des cimetières à la voie de la raison !
Qu’a-t-il promis Zelensky à ces jeunes « gameurs » pour les pousser vers le front ? De l'argent qu'ils ne pourront jamais dépenser ? Des lignes de cokes jusqu’à leur faire oublier leurs bulletins de naissance ? La certitude d'avoir un statut de « héros » post-mortem ?
Pour les convaincre d'aller au casse-pipe, s’est-il inspiré du discours d’Adolf Hitler lors du congrès du parti nazi à Nuremberg en 1935, déclarant : « À nos yeux, le jeune Allemand de demain (ukrainien de nos jours) doit être svelte et élancé, preste comme le lévrier, solide comme le cuir et dur comme l’acier Krupp » ?
Leur a-t-il rappelé, lors d’une réunion préparatoire, entre vodka et ligne de poudre blanche, ces fortes paroles de feu le Führer à la jeunesse allemande, revues à la sauce ukrainienne, qu’ils ne doivent « penser qu’ukrainien et agir en ukrainien, passant de la jeunesse ukrainienne à la jeunesse bandériste pour devenir de vrais nationaux-socialistes » ?
Quand on voit ce que cela cause comme dégâts sur le front chez les militants nazis endurcis, nourris au lait de feu Bandera, dont le quotidien se résume à se torcher la gueule avec des saloperies et recevoir de la mitraille au prix de gros, on doute que ces fadas de la Game Boy et leurs familles aient mesuré les conséquences réelles d’un tel engagement !

Sous l'Casque d'Erby