mardi 27 septembre 2022

Ah, les bâtards de la gauche collabo !

Erby
Venir couiner sous nos fenêtres au « péril fasciste ! » en Italie, jouant de la culpabilité avec précision, comme si les peuples en étaient responsables, alors que le 4ème Reich opère en toute impunité, sans que cela leur pique les yeux, tout en marchant sous les couleurs de l’OTAN contre la Russie, soutenant les bataillons nazis en Ukraine et fière de lire cette nouvelle page noire en public, c’est criminel !
Leur attitude pendant le déclenchement du plan pandémique par le gang des Globalistes, avec cocktail coercitif emprunté aux nazis lors de l’occupation, est un modèle de collaboration que bientôt sera enseigné dans les écoles de la « République » comme l’art de bien manipuler les masses !
Faut-il ajouter le scandale des vaccins et de son obligation où le silence fut la règle d’or ? Ne mérite-t-on pour cela une place au banc des accusés lors d’un futur Nuremberg ?
Si au moins ils avaient la décence de fermer leurs gueules ! Mais non ! Le coup semble si bien leur réussir (il y aura toujours des manipulés pour les croire) qu’ils se font dessus, pendant qu’ils montrent patte blanche ! Un comportement propre aux délinquants : quoi qu’ils fassent, il sont innocents ! Des avocats sont devenus ministres pour avoir observé cette ligne de défense. Je précise, pour les esprits torves, qu’il est question ici de « ligne de défense » et pas d’autre chose ! Les prisons ne sont-elles pas remplies de criminels « injustement condamnés » ?
La gauche sociétale a fait plus ou autant de mal au monde que les droites les plus radicales ! Qui se souvient des méthodes de la gauche bourgeoise (PS) pour nettoyer la rue des « périls ouvriers » dans la décade 80/90 ?
Pour commencer, on appâte le PC, on fait l’union, on le dévitalise, on le ruine et, simultanément, on met Jean-Marie Le Pen sur orbite. C’est le second enterrement du programme du Conseil National de la Résistance, que Pompidou et Giscard avaient si bien fait disparaître à peine de Gaulle chassé du pouvoir. Coup de maître politique. Mitterrand, ce « fils de Pétain », qu’on surnommait le florentin pour son art subtil et machiavélique, en fut le grand orchestrateur !
Une fois la sale besogne accomplie, on s’attaqua au démantèlement de l’industrie française. Ces fleurons de l’économie nationale qu’il fallait céder pour l’agonisant « franc symbolique » ! Une fois l’ouvrier dans le noir, qui pour s’en soucier ? Certainement pas le PS, ni les satellites du gauchisme, ni personne d’autre ! C’est au prix de la verroterie qu’on bazardait les industries et on créait du chômage intensif, le chômeur devenant aux yeux des bobos, récemment promus « classe moyenne supérieure », des loques humaines empestant le pastis, la bière et le rouquin, indignes de commisération.
Pour surfer la vague et faire diversion, on mit en place la gauche sociétale : antiracisme, antifascisme, communautarisme homo, la fête de la musique et l’antisémitisme comme bonus obligatoire, furent les pôles sur lesquels l’amateur de tendres petits marocains Jack Lang mis le paquet !
Cette gauche et son auxiliaire gauchiste sont totalement responsables de ce qui arrive maintenant en France, elles y ont largement contribué !
On ne lui demande qu’une chose aujourd’hui : qu’elle la ferme avec le « péril fasciste » en Italie ou ailleurs ! Son Nuremberg à elle viendra aussi !
Et si cette montée de l’extrême droite et des nationalismes, sur fond de krach boursier, faisait partie du plan des Mondialistes pour faire de la diversion et asseoir définitivement le Nouvel Ordre Mondial avec le IVème Reich en ligne de mire ? Je crois que nous allons nous « réveiller » (si tant est !) avec une sacrée migraine !

Sous l’Casque d’Erby 



dimanche 25 septembre 2022

L’écho des vents

Mart'IN
Les vents invitent à lever l’ancre vers d’autres horizons. Ni pires ni meilleurs, seulement différents.
Murmurent des choses indécises. Résonnent et déraisonnent dans la caisse de résonnance des futures dimensions.
Vous entrainent d’un point cardinal à son opposé comme une brindille dont le point fixe s’est fixé à la gomme du hasard.
Font danser dans la tête des nouvelles Babylone, cités d’or et de soie, que des fantômes s’amusent à éloigner chaque fois que j’approche un doigt.
Des vagues jumelles suivent et dansent au rythme d’autres vagues jumelles, brillant comme crinières d’écume poussées par les courants.
Faire comme les arbres à l’automne, jeter les vieilles frusques et attendre les nouvelles, bras nus, implorants la clémence des cieux.
Quitter un fractal géographique et sa protubérance nasale pour des criques aux secrets enivrants.
Rêver à des temps neufs, sans haine et sans crainte.
Marcher la tête libre. Lavée de ses blessures. Perdu, éperdu dans un frisson, emporté au-delà des mondes connus. 
Réapparaître à l’orée des temps exclus pour enfin voir cet autre côté tant convoité. 
Emporté vers les pays des silences aux échos nocturnes où les syllabes valent l’or du monde.
Lèvres closes dans l’errance des formes nouvelles et des mélanges souriants, les yeux cherchant dans le noir la lumière de demain.


 

Sous l’Casque d’Erby 



mardi 20 septembre 2022

Callac-sur-Kiev

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Depuis le déclenchement du chaos avec l’opération Covid en 2020 et à l’approche d’une huitième vague aussi peu intimidante que les précédentes, mais suffisante pour le contrôle des populations, je me demande ce qu’il faut nous mettre dans l’fion pour obtenir ne serait-ce qu’un début de quelque chose qui ressemble à de la révolte. Un « ça suffit ! » suffirait presque à envisager l’avenir avec un brin d’optimisme !
Je note que les volets suivants de l’opération « On enferme, on vaccine et on épure », avec en prime la guerre d’Ukraine, la pénurie, la spéculation de l’industrie alimentaire et le déplacement des « réfugiés » vers la partie occidentale de cette Europe-Laboratoire qu’est devenue notre magnifique continent n’a pas laissé aux peuples le temps d’exercer la comprenette à bon escient.
Prenons Callac, la très paisible commune des Côtes d’Armor et le projet Cohen-Horizon-Municipalité, faisant de l’immigration rurale le nouveau Bumidon version Macron. Mais au lieu des « Afro-descendants » des départements d’outre-mer vers la France (dont le sort en métropole ne fut pas celui que les autorités de l’époque avaient vendu), ce sont des familles ukrainiennes qui remplaceront désormais le breton par le visigoth, dans un pousse-toi de là que je l’y mette digne des meilleurs illusionnistes.
On note que la commune de Callac enregistre déjà 18% de chômeurs, ce qui est idéal pour redresser l’économie locale et favoriser la bonne entente entre voisins ! Quelle langue va-t-on enseigner à ces nouveaux venus dans les cours du soir ? Le breton, le français ou l’américain ? Puisque ce sont ces derniers qui ont si bien orchestré ce chaos en Europe !
Inquiète, la population Callacoise est allée dans la rue pour protester et demander des comptes au premier magistrat dont la décision interpelle les habitants qui pouvaient espérer au minimum une consultation des administrés. Macache bono ! 
Aussitôt, le ban et l’arrière-ban du gauchisme, ainsi que tout ce que la mouvance alternative compte de débilitant, est venu cliver les esprits : « halte à l’extrême droite » ! Ce n’est pas ce cri qu’ils avaient éructé en appelant à voter massivement pour Macron aux dernières échéances ?
Ce bon vieux gauchisme, si utile à l’oligarchie, continue d’ouvrir des brèches dans les parties saines de la société pour que l’Empire y enfonce ses canines et vampirise le monde dans une dernière danse. Les archives de la CIA et de toutes les agences de renseignement du monde regorgent de dossiers sur la très « gratifiante » manipulation des mouvements « alternatifs ». Suffit d’appuyer sur le bon bouton pour que ça s’agite !
Evidemment, la presse collabo, celle qui n’hésite pas à se salir l’esprit en désinformant, qui n'hésite pas à lécher la main de ses maîtres, décrit la manifestation comme l’affrontement de deux blocs compacts : « D’un côté l’extrême droite manifestant, de l’autre les habitants locaux se mobilisant contre l’extrême droite. » Un peu plus et il y avait guerre civile dans ce bourg paisible !
Une lecture de la réalité on ne peut plus obscène ! Cette réalité étant qu’il existe une sévère opposition à cette sournoiserie politique cachant mal les véritables intentions du Président Emmanuel Pfizer ! Autrefois, Victor Hugo, faisait chanter à Gavroche sur les barricades un couplet devenu culte : « Je suis tombé par terre, / C'est la faute à Voltaire, / Le nez dans le ruisseau, / C'est la faute à Rousseau… » Remis au goût du jour, ce couplet a évolué. Désormais on l’écrit et on le crie : « Je suis tombé dans la débine, c’est la faute à Poutine, / Le nez dans les latrines, / C’est encore la faute à Poutine… » 
Moins chanceux que Voltaire avec Rousseau, sur ce coup, Poutine est seul à porter le chapeau !
Dernier point. Il m’est très personnel. Je suis d’origine étrangère et j’habite à deux pas de Callac, si señor ! Cela fait 44 ans que je vis en Bretagne. Je n’ai jamais eu de problèmes de racisme dans ce pays extraordinaire ! Quoi qu’on raconte dans la presse-poubelle, le breton n’est pas raciste ! Jamais de la vie ! Mais une chose est immuable chez lui : il ne faut pas le prendre pour un con !
Un paradoxe qu'on remarque, mais qui n'en est pas un :
Tous pour les Ukrainiens mais personne contre la guerre et ceux qui l’ont fomentée ! Etrange, non ?

Sous l'Casque d'Erby



jeudi 15 septembre 2022

Du 11 septembre au Coronavirus, la même signature.

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Quand je revois les images de l’effondrement des tours jumelles, diffusées en cette période anniversaire, je ne peux m’empêcher de les comparer avec celles de la démolition des barres d’immeubles à la cité de 4000 à la Courneuve. En une vingtaine de secondes tout est plié. On nomme ces techniques de démolition par explosif le « foudroyage ». Le tombé vertical de l’ouvrage est impressionnant. Méthode de démolition utilisée dans le milieu urbain, ce qui permet de limiter la chute sur un périmètre restreint.
Tous ceux qui ont fait le rapprochement avec les tours jumelles, disant que les avions n’ont pas pu faire un dégât semblable, sans un supplément de main d’œuvre, des sceptiques qui avaient encore droit de cité dans les médias, furent chassés par la caste dominante comme on tire le gibier à l’ouverture de la chasse. Leur lapidation publique sous les hourras de nombreux crétins fut un spectacle des plus déplorables. Je crois que c’est à partir de ce moment que les termes « complotisme » et « complotiste » ont commencé à fleurir dans le marécage de la pensée unique.
On se souvient de la poussière, de la fumée qui montait, montait et qui, en se dissipant, dispersait des milliers d’âmes dans l’espace. Des vies pour rien ? Pas pour tout le monde, assurément.
Ils sont encore nombreux à ne pas vouloir remettre en question la version officielle de ces attentats. Un comportement récurrent qu’on applique aujourd’hui à ceux qui refusent le vaccin contre le Covid, ainsi que les mesures dites d’accompagnement, plus proches d’une dérive totalitaire que d’un souci de santé. Mesures anti-virus prises toutes le même jour, à la même heure et dans tous les pays, sans autre justification que celle de tester le degré de soumission des foules par la force et par la peur. Pour accélérer aussi le processus de l’Agenda 2030 avant que l’idée des globalistes ne soit percée à jour et que la colère des peuples ne chasse les criminels qui la portent. Agenda dont vous trouverez le plan dans ce lien. La guerre en Ukraine faisant bien entendu partie d’un ensemble ficelé pour faire de la peur une arme absolue et du génocide un acte naturel.
Tout au long de ces messes à la « mémoire des victimes innocentes » des tours jumelles, crime dont on accuse Untel, alors que l’orchestre est installé au cœur de la nation américaine, agissant comme une cinquième colonne, tirant les ficelles avec cynisme et barbarie ! Profitant du chaos et de l’émotion générés par les attentats du 11 septembre, les comploteurs (les vrais !) reconfiguraient les périmètres généraux de leur entreprise criminelle, mettant en œuvre des nouvelles stratégies de prédation en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie ; semant la mort et la destruction, là où les innocents se comptent par millions ; contrôlant les opinions avec le concours des médias et la meute de chiens enragés munie d’une carte de presse. Portant la mort là où la douleur n’existe plus, puisque la télé n’en parle pas, puisque les médias ont creusé, enfoui et bétonné jusqu’à la dernière particule de vérité. Et si elle le fait c’est pour nous dire que « c’est bien fait pour leur gueule » !
Pour se purger des mensonges et des manipulations qui pourrissent la vie des sociétés et du monde, afin de redevenir des humains conscients et responsables, je conseille la lecture du très édifiant et passionnant essai de Laurent Guyénot « JFK/11 Septembre – 50 ans de manipulations» 
C'est l’Histoire profonde des États-Unis durant ces cinquante dernières années : De l’assassinat du président Kennedy, le 22 novembre 1963, jusqu’au 11 septembre 2001, Laurent Guyénot donne à cogiter sur la politique et les actions glauques de l’Empire durant ce demi-siècle : la baie des Cochons, la Guerre froide, la guerre du Viêt Nam, Bush père et fils, l’Afghanistan, l’Irak, al-Qaïda… 
Asseyez-vous avec votre provision de popcorn et lisez, c’est un livre qui se lit comme un film. Gore, en l’occurrence.
La suite se déroule en temps réel et se trouve là, devant nous ! La bonne lecture.

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 11 septembre 2022

Dans le noir mais pas à genoux. Pas encore !

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Faut-il se lasser d’entendre répéter ce qu’une minorité sait mais que des millions d’autres ignorent ?
Il y a des choses qui font bondir, qui font gémir, qui font vomir. Des choses impartageables, bien que communes.
Aux premières lueurs tout est clair. Le ciel s'ouvre sur une nouvelle toile, tissée dans la meilleure étoffe. Je suis heureux, puisque je suis vivant. Du moins je le pense. Je me tâte, me pince, file torse nu sur le balcon recevoir la morsure du froid. Ça pique, tout va bien. Je respire pour de vrai, qu’importe la saloperie que j’inhale puisque je suis vivant. Je respire et ça suffit ! Enfin, je le pense. On pense à tant de choses qu’au final on ne sait plus ce que c’est que de penser vraiment.
A cette heure, j'ignore toujours de quoi je suis fait, ni quel est mon carburant. Je pense être l'ombre d'un nuage en devenir, mais va savoir ! Je suis peut-être cette virgule dépendante du hasard, assez fière d'être ce qu'elle est au milieu de sa croyance, de son addiction, de son néant. Suffit de le penser avec force, avec passion, avec orgueil.
Le jour se lève et une onde rétive enveloppe le cure-dent que je suis dans une mer mythologique grouillant de bêtes malfaisantes, les ténèbres s’épaississant pour recadrer l'idiot optimiste que je demeure. A l'instant précis où un miroir se brise donnant naissance à des milliers d’éclats, à des milliards d’étoiles. Les particules font ondoyer des reflets dans l'obscur refrain de mes peurs. Je tremble. J'ai froid. Comme si, réveillé par la réalité, la bestialité du monde enfonçait son injection létale dans ma chair. Impitoyable et obscène.
Comme le suggère la photo d'illustration, je ne suis rien, rien que l’ombre d'une minuscule bête apeurée tournant comme une souris prise au piège de la roue. La question qui me vient est : fait-elle cela par volonté propre ou est-elle là attendant sans le savoir la morsure du serpent avant de se faire avaler ?
Le paradoxe est suffisamment effrayant pour qu'il se passe de commentaires… Même à genoux nous refusons de voir que nous vivons prosternés, persuadés que nous avons été amputés, convaincus que la verticalité nous est impossible dans cet état !
Tout va bien, puisque tout est clair comme le jour : l'argent, le pouvoir, le sexe, la drogue et quelques autres denrées du même marais gouvernent le monde ! Au pays du « bien penser » il fait mauvais temps pour qui s’interroge, doute, questionne et dénonce. Au pays de l’utopie dite « libertaire » et de la flamboyance « révolutionnaire » dont on fait commerce depuis 230 ans, on attaque le faible au nom de valeurs que l’Etat bafoue sans scrupule, parce que tel est son bon vouloir.
De temps en temps, entre un œil qu’on crève, une main qu’on arrache et un vieux qu’on bastonne, on procède à la garde à vue très voyante d’un homme ((cette fois c’était le tour d’Éric Verhaeghe) qui s’exprime librement, un lanceur d’alerte, pour « incitation à la haine » (rien que ça !), afin de l’intimider, l’empêcher de propager la flamme que le non éveillé pourrait saisir à son tour. 
Une fois bafoué, l’Etat fera tout pour que l’éveillé soit diffamé, harcelé, marginalisé par les « petites mains » du pouvoir (toutes à la besogne) et par la méfiance qu’aura pour lui l’être non informé, par peur ou par paresse … Manque de bol, ça ne prend pas !
Argent et propagande médiatique sont les armes utilisées pour persécuter d’honnêtes citoyens, ainsi que les vrais opposants politiques. Pas forcément des personnes voulant mettre le pays à feu et à sang, juste des hommes et des femmes honnêtes ayant gardé de la morale une idée très précise.
Avant de penser à bâtir ce qui pourrait être un autre modèle de société sortons-nous du piège de la souris. On ne commence pas la maison par le toit. Résistance et ré-information !

Sous l’Casque d’Erby




mercredi 7 septembre 2022

On prend les mêmes et on continue !

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Pas facile de garder la tête froide au milieu du déferlement hystérique qui saisit le continent européen depuis que les anglo-américains et l’élite de l’UE ont décidé de déclencher la guerre en Ukraine. Difficile d’échanger, ne serait-ce qu’un petit doute sur le sujet avec un proche ou des connaissances sans noter de la méfiance et une touche d’hostilité à peine réprimée. Comme si j’avais pour mission, moi frère de galère, de les nuire.
Regardez les effets du cyclone médiatique que Ségolène Royal a déchainé pour avoir mis en doute l’authenticité des « crimes de guerre » attribués aux Russes et pour vouloir qu’on arrête une guerre qui ruine les peuples. Crimes de guerre dont on dit par ailleurs qu’ils ont été mis en scène et filmés par des cinéastes rétribués pour le compte des services de propagande ukrainiens, avec des figurants payés pour faire le job. Figurants que l’on retrouve sur d’autres vidéos, en d’autres lieux après leur « mort » ! Quand on pense que le Christ a mis trois jour à nous revenir !
Et à propos de crimes : depuis combien d’années les ukronazis sévissent dans le Donbass avec les encouragements de Zelensky et le silence des médias et des humanitaires ? Comme l’a très pertinemment souligné Sophia Aram (je crois qu’il s’agit d’elle) : « Ignorer les crimes commis par les Ukrainiens est plus grave que d'avoir des doutes sur des crimes commis par les Russes. Car le doute ne signifie pas que l'on ignore ou que l'on nie. »
Sur sa lancée, la Ségolène (possédant plus de données que nous sur le sujet) profitait pour exprimer des réserves à l’égard Volodymyr Zelensky. Quelle inconsciente ! Aussitôt, une volée de bois vert lui était administrée avec détermination par la meute belliqueuse qui fait la pluie et le beau temps en ce pays. Une obscure officine, Stand with Ukraine (?!), sortie du chapeau d’un magicien, lui-même sollicité par des esprits supérieurs, envisage une plainte pour « franchissement des lignes rouges » ! Du coup, re-convocation de Ségolène sur les plateaux pour des « excuses » adressées aux familles des « victimes ukrainiennes de la guerre », obligée de préciser que son intention n’était pas de blesser les personnes touchées par ces drames. Il reste que ce qui est dit est dit, et bien dit !
Alors, des médias libres ? M’en voudrez-vous si je dis (parce que je le pense) que médias et pouvoir politique c’est du kif-kif ? Que la dérive soit avérée, cela ne fait aucun doute maintenant ? Pas besoin d'avoir la loupe de Sherlock pour recueillir des preuves. N’avons-nous pas appris récemment qu’un grand média subventionné avait dépublié l’article de l’un de ses journalistes relatant le voyage de Macron en Algérie, parce que le contenu avait déplu ? Mieux : dans un communiqué rendu public et abondamment repris sur les réseaux sociaux, le média en question avec la révérence obséquieuse du soumis, adresse des plates excuses à la présidence pour cet impair ! Comme l’affirment certains dresseurs d’animaux : « Soyez durs avec eux et ils finiront par vous manger dans la main ! »
La pression, le chantage et le poids de la propagande sont tels qu’il nous ramène (j’allais écrire à Orwell !) à 2020 et au délire du Covid 19. Délire dont on nous annonce le retour imminent par « recrudescence » du virus, avec les mesures que nous connaissons : port du masque, distanciation sociale, confinement, couvre-feu, passe et j’en passe. Avec une variable supplémentaire, mais dans la logique de destruction que l’on sait : le « pass énergétique », qui n'est rien d'autre que de la « répression énergétique » ! Vivre dans le noir ou mourir pour un rai de lumière !
On se souvient des médias annonçant des morts à la pelle, sans que le quidam remarque de la suractivité chez les fossoyeurs ou dans les crématoriums ; empêchant les familles de rendre visite à nos vieux dans les maisons de retraite ; interdisant aux proches des familles d’aller rendre un dernier hommage aux morts au cimetère ; le gouvernement déclarant comme dangereux des remèdes préventifs, tels l’Ivermectine ou l’hydroxychloroquine, accablant et outrageant des scientifiques, mondialement reconnus, pour avoir relativisé l’effet létal du virus et devenant de fait complices de la machine « complotiste ». Ce qu’une majorité de gogos a gobé comme l’anaconda avale un bœuf ! Cela afin d’imposer un vaccin sans garantie pour la santé publique et dont les effets secondaires, cachés sous la moquette, ont causé la mort ou atrophié l’organisme de nombreux vaccinés, les doses se succédant à un rythme effréné sans qu’aucune volonté politique ne cherche à arrêter le carnage !
On retient de cette torture à grande échelle que ces mesures font partie du programme de l’Agenda 2030, cher à Klaus Schwab et aux Globalistes pour museler les peuples et « aider l’humanité » en retranchant ce qui est inutile, marginal, accessoire, pour ne conserver que l'essentiel : l’élite et les larbins !
En France, ce programme a permis à Macron de contrer la montée des revendications sociales des Gilets Jaunes, avec des campagnes de dénigrement indignes d’un pouvoir prétendument démocratique et d’une « gauche » collabo ne gardant de ses idéaux que quelques brochures poussiéreuses qu’on ne trouve plus nulle part.
Sinistrose et nivellement par le bas sont les mamelles de l’horreur ukrainienne, avec son lot de « sanctions économiques » pour « punir » la Russie de s’être défendue ! Résultat de la punition : la Russie s’enrichit chaque jour un peu plus, pendant que les peuples européens s’appauvrissent proportionnellement.
La question qu’on doit se poser devant ce chaos est la suivante : avons-nous des dirigeants compétents pour diriger les pays d’Europe, ou tout ce qui arrive fait partie d’un projet sophistiqué mis en place pour nous exterminer ?
J’ose penser qu’ils vont finir par tomber, avec leur Great Reset, leur Agenda, et leur folie sanguinaire. Comme l’Histoire nous l’enseigne, un simple grain de sable suffit parfois à enrayer les plus « belles mécaniques » !

Sous l’Casque d’Erby



samedi 3 septembre 2022

Politicien, le sale job !


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Le politicien est menteur et, par nature, escroc. Je le sais/Vous le savez/Il le sait. La répétition des mensonges, plus grossiers à chaque intervention, en est la preuve.
Je me trouve dans l’état de celui qui étant parvenu au degré d’impuissance maximal serait prêt à rendre le tablier, tant la poubelle du monde me donne la nausée. Le nombre de réflexions sur la guerre, sur le changement de paradigme, sur la soviétisation d’un modèle politique visant la mondialisation par la destruction des valeurs morales, est si abondamment partagé, rabâché avec raison, que cela m’ôte presque l’envie d’écrire.
La vie du politicard est une course de relais dans laquelle chaque membre du cercle court pour garantir la pérennité de l’institution pour laquelle il pilote la masse, comme Ben-Hur faisait avec son attelage dans le film éponyme. Le profit et le plaisir que le pouvoir lui procure mérite autant de reniements que des rigoles de sang dans les champs de bataille. Rien n’est au-dessus de son obscure ambition !
Pour se différencier des « concurrents », devant un public massé dans l’enceinte, grâce à qui il peut briller, il arbore, selon le camp choisi à la fin de son cursus (et en fonction des places disponibles sur l’échiquier), la tunique qu’on lui donne de manière indifférente : droite pour les « valeurs archaïques » et une certaine idée de l’autorité, du moins dans sa dialectique ; gauche, pour la débine, la culture woke et autres produits dégénératifs, avec au moins autant de détermination que son « adversaire »  pour le coup de trique. Là est la petite différence entre « opposants » dans un duel falsifié, mis en scène selon l’esprit de Coubertin, ce qui n’exclut pas le coup bas, afin d’épater la galerie. Celui-ci (le coup bas) est même conseillé pour entretenir la flamme, les partisans applaudissant des oreilles comme des manchots, allant parfois jusqu’à se bastonner entre eux pour défendre la « bonne cause » ! Le différend entre dirigeants et autres responsables n’ayant aucune importance, puisque le clan doit rester soudé pour aider à pousser le char de l’exploitation et de la répression des masses dans la même direction.
En privé, l’homme politique n’a pas d’adversaire (ou si peu), il n’a que des partenaires et de temps en temps un rival qui veut lui chourer le siège. Sinon, il trinque à la santé du couillon, grâce à qui le clan se la coule douce ; il échange des impressions sur la stratégie à suivre ; il élabore avec l’accord de son interlocuteur du jour une batterie de questions-réponses pour la bonne tenue du prochain débat télévisé. Pour que l’abruti qui les écoute ait son content. Pour être politicien (peu importe votre place dans la hiérarchie), la première règle que vous devez observer est le mensonge ; le premier geste, avoir la main sur le cœur, signe d’une qualité qui lui fait défaut, la sincérité. Acte par lequel la proie lui sera totalement soumise. Rien n’est plus crédule que la « bête humaine » !
La politique est ce théâtre qui permet de tenir le rôle qui fera vivre confortablement l’élu et son entourage. C’est un métier dépourvu de conscience, où la seule qualité requise est l’absence de conscience. De prendre des décisions criminelles sans même songer à la douleur et aux morts que celles-ci peuvent provoquer, puisqu’à la fin, une fois le rideau tiré, vos morts ne sont que « morts sur le papier » !
Vous pouvez jouer n'importe quel personnage du répertoire guidé par le scénario, sans pour autant y avoir le moindre point commun avec lui ou avec l’histoire qu’il raconte. Vous pouvez devenir par illusion un monsieur gentil alors que vous êtes une parfaite ordure. Vous pouvez interpréter le rôle d’un criminel multirécidiviste avec la haine et le détachement d’un Hannibal Lecter, alors que vous êtes le plus misérable des moustiques, préférant dans la réalité vous payer les services d’un tueur à gage !
On ne peut pas non plus ignorer que le politicien est une marionnette, un rouage au service d'un pouvoir occulte bien plus puissant que celui grâce auquel il a gagné ses privilèges. C'est ce pouvoir qui lui permet de se développer comme un « homme de pouvoir » ne pouvant rien, ni pour lui ni pour les autres !
En somme, le politicien est cet activiste de la cinquième colonne ouvrant un boulevard au Nouvel Ordre Mondial et… son IVe Reich ! 
Débarrassons-nous-en au plus vite !

Sous l’Casque d’Erby