vendredi 25 juin 2021

Second tour des régionales : le doigt dans l'cul !

Erby
Costume de scène et loups pour cacher le visage hideux de la décadence, les élections régionales sont là pour perpétuer le viol permanent du peuple.
La gauche, cette pute protéiforme avec laquelle on anime les trottoirs, s’est sabordée par le mensonge et la collaboration.
« Gauche » étant dans mon esprit un terme auquel se rattachait jadis une pensée politique séparant une rive de l’autre, une sorte de frontière entre le « bien » et le « mal » qui n’existe plus que dans le délire compulsif de quelques naïfs. Dans la réalité, cela fait longtemps qu’elle est partie sans laisser d’adresse. Reste les boniments avec lesquels les escrocs tiennent (pour combien de temps encore ?) la bête en laisse.
Faut croire que la gamelle est bonne au palais des attablés !
Depuis un an et demi, vague après vague, je n’ai pas entendu un dirigeant de la « gauche du bien » dénoncer la dérive totalitaire du pouvoir, alors qu’elle ne cesse de donner du clairon pour exhorter la militance à gagner la rue pour crier haro contre le péril d’une extrême droite plus bavarde qu’active sur le terrain politique.
Confinement, couvre-feu, vaccination et passeport pour la mort, ont servi et servent les intérêts des élites, sans que la « gauche » jacassante, complice jusqu’à la nausée, ne renverse la table pour condamner un crime de masse et n’appelle le peuple à la révolte !
En l’occurrence c’est le peuple des gilets jaunes qui se fait casser sans que cela ne soulève la conscience de ces bonnes gens, ou si peu !
Des échéances locales aux échéances nationales la comédie des faux affrontements fratricides de la gauche contre la gauche, de la droite contre la droite, l’une et l’autre, une fois le ménage fait dans leur antre, unies contre le peuple, finit par lasser tout le monde, ce qui, in fine, sert les intérêts des élites dont le règne repose sur le chaos. Et ce n’est pas le sicaire de la finance installé à l’Elysée qui démentira.
Et ce n’est pas, non plus, la giflounette reçue lors d’un de ses déplacements récents, ni la lamentable histoire en compagnie de Mcfly et Carlito sous les lambris de la république pour « séduire » la jeunesse française qui empêchera le naufrage.
Un second tour électoral pour quoi faire ? Pour assister au carnaval des corrompus ?
Voter c’est donner encore et toujours du crédit à des criminels et à des escrocs. Libre à vous.
Mais n’oublions pas ceci : que nous soyons 70 % d’abstentionnistes ou plus, au final les médias proclameront la victoire éclatante des élites !

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 9 juin 2021

A huit heures moins une, je fais le fou !

M art' IN
De la panique pandémique au délire électoral il n’y a qu’un pas. Nous y voilà.
La campagne pour la prochaine présidentielle est lancée, avec les « gentils » – ceux qui bientôt seront sur le banc des accusés pour un Nuremberg 2 ? – et, bien entendu, tous les « vilains », islamophiles, islamophobes, antisémites et fachos, se livrant une guerre sans merci devant une opinion fracassée par le cruel dilemme : la peste ou le choléra ?
Le vote blanc n’étant toujours pas validé par la constitution on peut s’attendre à une abstention historique, si tant est... Quelle sera donc la légitimité « démocratique » de l’heureux gagnant ?
Banques, multinationales et Big Pharma, génératrices de pouvoir profond et vrais ordonnateurs du Nouvel Ordre Mondial, désignant celui que nous pensons être notre choix.
La multiplication de candidats mettant en relief que nous n’avons pas besoin d’appareils sophistiqués pour fausser une élection, comme cela a été le cas aux Etats-Unis, le trucage étant l’élection elle-même.
Des patrouilles de mercenaires écument l’espace médiatique avec frénésie afin de distraire un auditoire indifférent, à force de péroraisons pandémiques sur un virus sans presque pas de morts, hormis ceux que l’on vaccine de force.
Bientôt un an et demi que ça dure, cette tartuferie où le con devient son propre otage et le mort un patient qu’on fait patienter.
Et dans ce jeu de dupes qui de mieux pour fournir la batte en relançant la machine ? J’ai nommé Jean-Luc Mélenchon !
En déclarant qu’un « grave incident », semblable à celui de Mohammed Merah en 2012 pourrait faire basculer le scrutin présidentiel « lors de la dernière semaine de campagne de la présidentielle de 2022 », Méluche à mis le feu aux poudres !
Aussitôt dit, la cohorte de mercenaires est venue à la fenêtre médiatique cracher de l’injure, caillasser à tout va celui qui dit tout haut ce que n’importe quel homme normal pense tout va, y compris parmi ceux qui crachent et caillassent ! N’importe quel livre d’histoire peut nous éclairer au sujet des complots fomentés par le pouvoir pour retourner l’opinion.
Un de ces vitupérateurs, philosophe à la petite semaine, va jusqu’à dire que dans un tel contexte et à son corps défendant  - il se murmure qu'il est de gauche - à « huit heures moins une il irait voter Le Pen plutôt que de laisser la porte ouverte à Hugo Chávez » ! Quel homme !
Hélas, en guise de « grave incident » le président a reçu une gifle de la part d’un quidam lors d’un « bain de foule » à l’occasion d’une visite officielle.
Maigre consolation pour un pays qu’on enfonce, mais suffisant pour faire grimper le baromètre des intentions de vote.
Ce n’est pas de candidats que la France a besoin, mais d’un homme d’Etat pour qu’elle retrouve enfin son honneur !

Sous l’Casque d’Erby