mercredi 30 décembre 2020

Je nous la souhaite bonne, l’année 2021 !

Erby

Quelle année 2020, amis confinés ! Elle restera dans les annales comme modèle de terreur gratuite, souhaitant, pour 2021, qu’on en finisse avec le coup d’État permanent et l’instauration d’une dictature globale pour le compte d’une oligarchie anthropophage.
Cela implique que nos gouvernants, opposition comprise, ne sont pas ce qu’ils déclarent, bonnette au groin, pendant les campagnes électorales : les « serviteurs du peuple ». A ce propos, il se murmure que Macron des Sources prépare un coup de passe-passe pour 2022, avec « scrutin proportionnel à un tour » !
Aussi sentencieux que cela puisse paraître, il ne faut point se lasser de dénoncer la corruption dans les hautes sphères du pouvoir. Les gens disent le savoir, mais si les gens savent, ils savent aussi à quel point nous sommes oublieux : la colère d’un jour n’est pas celle du lendemain ! On oublie vite les humiliations, les dérives et la destruction de ce que les anciens ont bâti dans la douleur au bénéfice d'une infime minorité reptilienne.
On oubliera l’histoire. On oubliera notre colère et nos frustrations. Et nous irons tous danser chez Bisouland, parce que nous l’avons mérité !
Masque, distance physique, couvre-feu, laisser-passer et, prochainement, pas de touche-pipi entre papa/maman/la bonne et moi, pour cause de mutation du virus pouvant entraîner de « maladies sexuellement transmissible » ! C’est la totale totalitaire, garnitures comprises !
Le clou de ce spectacle lamentable étant la vaccination obligatoire et le passeport attestant de la modification génétique irréversible, le tout écrit à l’encre sympathique : pas vu, pas pris ! Ce n’est pas le virus qui est mutant c’est nous qui le devenons !
Hier, pendant que j’attendais devant ce que fut jadis un bistrot (désormais appellation d’origine contrôlée) deux quidams échangeaient à propos du paradis :
L’un avait hâte de s’y trouver, faisant un geste large en direction des nuages, c’était tout ce que l’on voyait du ciel, considérant que « par ici c’est pas tendre avec l’humain… » 
Le second, laconique, ajustant le masque autour du pif, lâcha : « Le paradis c’est ici bas. Il suffit de trouver l’endroit où il se niche. » 
Si tel est le cas, le 1% qui contrôle le tout l'a trouvé et ne veut rien partager. On sait !

Sous l’Casque d’Erby




lundi 28 décembre 2020

Paroles d’un reptilien anonyme - mélodie en sous-sol

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Je suis un type normalement constitué, avec un statut d'oligarque. Je passe mon temps à sauter de jet privé en jet privé, avec des revenus versés sur des comptes offshore dans des pays sans contrôle fiscal, possédant des entreprises à foison, licenciant ici, ce que je retranche plus loin. Et je peux dire que le peuple tel que vous autres l’entendait est un concept obsolète. Cela fait longtemps qu’il fait l’objet d’une gouvernance reptilienne, ce qu’il ignore évidemment. Le lui dire ne changerait rien à sa condition, mais cela pourrait le chagriner et mieux vaut l’éviter.
Par reptilien on entend, mes amis et moi, non pas la forme primitive de l’animal ayant trouvé refuge sous une enveloppe humaine pour mieux cacher ses intentions. Ça c’est pour la galerie. La réalité est qu’une partie de l’espèce humaine – une minorité déviante – ayant adopté comme mode de fonctionnement la structure reptilienne du cerveau domine le monde : contrôle de la fréquence cardiaque, respiration, température, équilibre, férocité et absence totale d’empathie. Si on ajoute à cela un goût prononcé pour la cruauté et un plaisir pathologique à faire le mal, vous avez là un cocktail redoutable !
Nous sommes les intra-terriens et non l’inverse comme on le propage à tort par des canaux souterrains pour ajouter de la confusion au désordre. Nous sommes de tous les complots, mais les complotistes c'est vous ! De temps en temps, pour que ça s’arrête de gigoter dans les bergeries, pensant qu’ils sont libres comme l’air et qu’ils ont le droit de faire ce que l’envie leur dicte, nous nous amusons et inventons des choses pour leur réguler la tension. On imagine des scénarios comme dans les films d’horreur, semblables à ceux que notre industrie en produit tant à longueur d’années et qui génèrent tant de milliards dans nos caisses, sauf que là on leur fait croire que l’ennemi contre qui on doit se battre est tellement minuscule et gigoteur que ça peut se faufiler par le chas d’une aiguille et vous faire prendre, dans le meilleur des cas, le mors aux dents, et, au pire, le trépas. Les funérailles sont  100 % médiatiques, sinon ça n'aurait pas de saveur. Tout cela est si suggestif qu’on ne voit même pas les morts mourir, tant l’ennemi, en l'occurrence le virus, est d’une sournoiserie maléfique !
Imaginez la panique ! Le vaccin, avec nanoparticules et effets secondaires garantis est en vente dans toutes les pharmacies. Obligatoire. C’est le passeport du soumis et du contrôle global ! Le coup est si grossièrement monté (nous avons procédé à la hâte) que seuls les très cons sont en mesure d’avaler le poisson avec l’hameçon ! Notre chance est là : ils sont tellement nombreux que le régime « démocratique » sur lequel repose la supercherie ne peut se passer de leur service.
Les autres, ceux qu’y décèlent avec raison piège et manipulation, les pauvres, vont, eux aussi, gigoter comme des spermatozoïdes lancés dans une course échevelée vers l’ovule ! Bonjour les gamètes ! Hélas pour eux, les cons forment démocratiquement la majorité écrasante !
Savez-vous combien de temps faut-il pour convaincre un cerveau de son erreur ? Imaginez la somme de siècles qu’il faudrait pour des milliards d’humains et vous aurez une idée de la merde dans laquelle vous pataugez…
Un de vos philosophes à la mode en mai 68 – je vous plains. La médiocrité de vos philosophes fait peine à voir – avait écrit « nous sommes condamnés à être libres ». Il aurait pu faire l’économie de quelques syllabes, mais ce n'était pas dans sa nature !
Le monde d’après n’a que faire des esprits éclairés, il a déjà ses légions en ordre de marche...


Sous l’Casque d’Erby




vendredi 25 décembre 2020

Lettre ouverte aux journalistes de France et d'ailleurs

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Il y a encore dans ce pays des personnes dignes, préférant la position verticale à celle de la bête rampante. C'est le cas de nos amis de France Soir dont la lettre ouverte aux journalistes de France et d'ailleurs est un modèle de dignité et une invitation à la révolte des esprits. Extrait et lien vers ce que je considère comme le plus grand des cadeaux de Noël. Auteur(s) Frédéric Vidal pour France Soir :

"Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.
Vous êtes aujourd’hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l’on appelle aujourd’hui les « forces de l’ordre » et qu’on appelait il n’y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l’information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.
Cette année 2020, la pente s’est accrue et tout s’est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d’alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s’il en reste. Vous voilà aujourd’hui acteurs d’un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l’inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.
Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l’INSEE) montrent qu’il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.
Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l’élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n’est qu’un mauvais perdant. C’est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j’écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?
Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c’est la base religieuse de l’organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.
La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d’essentiel parce que vous n’avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l’occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l’inique et ce n’est pas davantage excusable."

Sous l'Casque d'Erby




jeudi 24 décembre 2020

Joyeux Noël

Le bonjour à toutes et à tous. D'aussi loin que je me souvienne, ce Noël-ci est sans aucun doute le plus étrange de tous. La faute à pas de chance ? Je ne le crois pas. Mais trêve de pessimisme, nous ne sommes pas là pour plomber le peu d'espoir qui reste. Un peu de poésie pour ne pas oublier que sans elle ce monde serait encore pire qu'il ne l'est.

Les bonnes fêtes !



Sous l'Casque d'Erby

Le plus triste depuis ma naissance !...


mardi 22 décembre 2020

Joyeux Noël, vraiment ?

Erby

Dire qu’on finit l’année sur les rotules est un euphémisme. Et celle qui se pointe ne s’annonce guère sous un jour meilleur.
Les choses sont simples : ou nous acceptons la dictature (arrêtons de dire « sanitaire », il n’y a rien de salubre là-dedans) que le gang de malfaiteurs qui gouverne étale au grand jour, ou tout ça finira dans le sang !
La France a déjà connu par le passé des périodes sanglantes dont elle doit tirer les leçons. Car si de tels drames devaient arriver à nouveau, outre l’horreur et la violence, c’est la France tout entière qui serait punie.
Je ne vois guère pour l’heure des signes très positifs à l'horizon, malgré une implication citoyenne très marquée.
« Vous ne voulez pas de la 5G ? Vous aurez la 6G ! », ricanent-ils au nez et à la barbe du pays.
L’opposition parlementaire, en qui beaucoup de personnes placent encore (on ne sait pourquoi) un certain espoir, ne bougera pas le moindre petit doigt. Elle est sous narcotique et forcément complice par omission. Pourtant, placée où elle est placée, elle sait fort bien ce qui se trame ! Rien ne sort de sa bouche, rien qui dénonce ouvertement le coup d’État en route depuis le printemps dernier, ni aucun geste marquant pour chasser ce gouvernement d’imposteurs, sinon un hochement de tête synonyme d’impuissance voire de complicité.
Cette Assemblée nationale qui abandonne le peuple au moment où il a besoin d’elle me fait étrangement penser à celle qui est partie en vacances au tout début de l’occupation allemande, laissant ce pauvre Maréchal Pétain (héros de la Première guerre mondiale) se salir les mains pour « sauver les meubles », si tant est… et retrouver l’hémicycle à la Libération pour fusiller, tondre et persécuter du collabo jusqu’au plus profond de l’imagination !
Ceci n’est pas une théorie sortie d’un esprit fertile et malsain, c’est un constat aussi navrant qu’inquiétant que n’importe quel historien objectif peut sans mal mettre bien en évidence sur la table. L’année qui s’ouvre à nous dans quelques jours va être terrible.
Profitons malgré tout de ce Noël restreint. Pas plus de « six à table, exit les viocs », ordonnent-ils. Parce que à partir de six le virus vire vinaigre et entame une sorte de danse de Saint-Guy funeste pour le peuple ! Jusqu'au jour où le peuple dansera la Carmagnole ! 
Le Moins Pire à tous !

Sous l’Casque d’Erby 



dimanche 20 décembre 2020

La démocratie ouvrait demain, mais c’était jour férié

Si tantôt on voyait dans l’école une institution au service de L’État, que l’État, par le biais de petits mais puissants soldats du corps enseignant, mettait énergie et savoir au service de la grande finance, développant concepts et illusions, fabricant de l’histoire comme on écrit des fables, mais militant pour une gouvernance globale et la disparition de la pauvreté par l’éradication du surplus de pauvres, aujourd’hui on voit ce vieux rêve totalitaire prendre corps.
Il aura fallu l’apparition « miraculeuse » (le miracle étant un leurre comme ceux qu’on utilise pour la chasse ou la pêche) d’un virus pour voir enfin l'oligarchie jouer carte sur table : désormais, on ne prend plus de gants pour nous faire croire que nous sommes une démocratie, on nous bastonne, on nous triture l’esprit par la peur, nous persuadant à grands coups de propagande médiatique que nous sommes les nuisibles dont il faut faire table rase pour qu’enfin advienne le modèle de société clairsemé qu’ils ont patiemment élaboré !
Il est temps que vous sachiez que les enfants que vous avez conçus ne sont que des commandes dont vous n’êtes que les réceptionnistes, c’est aussi clinique que ça. Ils vous sont livrés emmaillotés, avec muselière intégrée et nanoparticules injectées, incluant un programme scolaire et un mode de vie prédéfinis par Microsoft, sanctionnés non point par des diplômes, comme jadis, mais par des bon à servir !
Finis les cartables. Fini le système éducatif tel que nous l’avons connu et souvent dénoncé comme étant le prélude de ce qui arrive maintenant. Leur vie, leur éducation et leur destinée sont la propriété des multinationales que nous avons si généreusement nourries au cours des années. Nous sommes leurs copyrights. Place aux transhumains !
Et si vous pensez que je suis nourri par des idées « complotistes » que les réseaux sociaux m’auraient instillé, libre à vous. Mais je reste persuadé que cette « pandémie » ressemble étrangement à ce que Slobodan Despot appelle le paradoxe des guerres : « le soldat en première ligne ne voit que ses cent mètres de front. Il ne sait pas s’il s’agit d’une bataille dantesque ou d’une escarmouche, sinon par les nouvelles que lui transmet sa hiérarchie. Laquelle ne lui transmet que ce qu’elle a besoin qu’il sache ».
 

Sous l’Casque d’Erby



vendredi 18 décembre 2020

Perrone au pilori. Qui au prochain tour ?!


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L’argent-roi se jouant des minorités sexuelles et ethniques afin que plus aucune force, venue de la droite morale ou de la gauche sociale, ne vienne désormais s’opposer au rouleau compresseur mondialiste... » 
« Comprendre l’Empire, demain la gouvernance globale ou la révolte des Nations ? » 
Alain Soral 




Nommé par décret sous François Hollande directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris, je vous passe l’acronyme, Martin Hirsch s’est montré en toute circonstance à la hauteur du métier de laquais. Obscur militant de l’opportunisme, passé par Emaüs France, il est devenu, à la seule force de sa langue, expert en lèche. De Sarko à Hollande, alternativement, et à Emmanuel Macron pour finir sa triangulaire, il est allé du bon cul à lécher au bon cul qu’on lèche, jusqu’à s’ulcérer la commissure des lèvres, pour atteindre le niveau d’incompétence selon le désormais classique principe de Peter.
Au service de Macron depuis que celui-ci est en haut, monsieur Hirsch montre jusqu’où il est capable de baisser son futal pour faire plaisir à qui le commande.
Au plus fort de ce que les médias ont annoncé comme une pandémie extrêmement létale, ce que les vrais chiffres démentent sans pitié, et alors que monsieur Raoult et d'autres préconisent sans relâche la prescription de la chloroquine comme le remède le plus adapté, monsieur Hirsch déclare sans ciller que « la chloroquine marche très bien dans une éprouvette mais n'a jamais fonctionné sur un être vivant » !
Voilà le genre d’individus dont la 5ème République croupissante se sert pour détruire ce qui reste des valeurs d’un pays jadis envié.
Aujourd’hui, L’AP-HP, dont monsieur Hirsch est le manitou, a dégagé de ses fonctions de chef de service l’infectiologue Christian Perronne, comme chien galeux ! Que reproche-t-on à cet homme sage, ayant pour vocation la santé d’autrui ? Le pire des crimes qu’on puisse commettre dans un système où la religion est le  « conflit d’intérêt » : avoir osé dire que les malades du Covid « représentaient une aubaine financière pour les médecins » !
Où est le mensonge ? Quand on voit la bousculade de « spécialistes » sur les plateaux télé - spécialistes qui n’ont jamais soigné personne -, exhortant la population à une vaccination massive et qu’on consulte la liste des noms à qui des millions d’euros ont été versés par les laboratoires pour y faire campagne, en dépit des effets secondaires, a-t-on le droit de se taire ?
Hier Fourtillan, aujourd’hui Perrone... Qui au prochain tour ?… 
Jusqu’à quand allons-nous supporter ces casseurs ?!

Sous l’Casque d’Erby 



mercredi 16 décembre 2020

Un coup de Cyborg et ça repart !


C’est fou les efforts que l’homme peut fournir pour faire la guerre à son prochain ! La guerre partout où il y a des choses à gratter : faire du vivant de la matière fossile et de la matière fossile de l’énergie rentable. Se remplir les poches par égoïsme et pour le contrôle absolu de l’homme et de la matière.
Même si les temps ne sont pas - pas encore – à la culture intensive du cyborg, on y arrive. Il est en permaculture, si je puis dire.
Il y a une trentaine d’années c’était de la science-fiction. On payait une place au cinéma pour voir la tête qu'ils avaient et la puissance de feu qu'ils pouvaient développer contre des hordes hyper méchantes. Aujourd’hui c'est de la réalité, sauf que les méchants c'est pas nous, mais ceci est une autre histoire...
La grande muette, cette vieille et chère usine à tuer, se prépare à affronter le nouveau millénaire sur des bases plus solides que celles vues sur la ligne Maginot pendant la Seconde guerre mondiale. Elle élabore avec soin le guerrier de demain, le désormais incontournable et très attendu « soldat augmenté »
Compromis technique entre la chair et le métal, attendant sa plénitude dans le dosage de l’une et de l’autre, le processus s’affinant par l’expérience sur le terrain, il fait saliver dans le noir les psychopathes qui dirigent le monde.
Pour commencer, ce soldat augmenté, moitié homme, moitié métal, verra aussi clair le jour que la nuit, une opération des yeux le rendra nyctalope et finie pour les réfractaires les parties de cache-cache que les générations précédentes trouvaient si drôles la nuit venue.
Cependant, l’armée française, un modèle de vertu, ce qui n’est pas le cas partout, se fixe des « lignes rouges » ! Le soldat augmenté est là... pour augmenter notre confort, nous aider à améliorer notre perception naturelle de l’ordre et de la sécurité selon des règles « éthiques » qu’il est seul à qualifier, puisqu’il possède le bon logiciel ! C'est beau, l'éthique !
Amis Gilets Jaunes, ce projet a de quoi flanquer les chocottes aux plus endurcis d’entre nous. Va te taper une manif sur les Champs, repaire de nantis, où, en lieu et place des black-blocs, pilotés par la préfecture, tu vas te faire asticoter par des lascars que quand ils te flanquent une mornifle, on retrouve tes restes éparpillés dans la constellation du Scorpion ! Ça pique un peu les méninges, au moins autant et plus que le vaccin nanoparticulé anti-Covid. 
Un univers où humains et libertés individuelles sont définitivement... diminués !
Sourions, le monde d’après nous tire le portrait !


Sous l’Casque d’Erby



lundi 14 décembre 2020

Folie d’État contre Fourtillan ?

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Y a des jours, je me demande pourquoi passons-nous le plus clair de notre temps à dénigrer l’action politique telle que pratiquée par nos gouvernants depuis des décennies, ceux-là mêmes qu’on nous a « librement » aidés à choisir pour nous tondre le poil d’année civile en année civile, jusqu’à ce que ça sente fort le sapin dans le salon. Et pas précisément le Sapin de Noël !
Prenons le professeur Fourtillan, retiré de la circulation et mis sous séquestre dans un pavillon de fous, à la manière de Vol au-dessus d’un nid de coucou, pour avoir donné un avis scientifique et politique, avec beaucoup d’autres intervenants, dans le film Hold-up, documentaire dénonçant les mensonges dans la gestion de la pandémie du coronavirus et les dérives politico-financières subséquentes…
Retiré de la circulation, pour raison d’État ? Quelle raison d’État ? 
Mis à l’abri au Centre hospitalier Le Mas Careiron, à Uzès, sur ordre d'un juge, personne n’a le droit de lui rendre visite, hormis sa famille, dit-on à l'accueil ou au standard téléphonique, saturé par les appels solidaires.
Mais quid de sa femme ?...Selon un très proche, madame Fourtillan reste « injoignable », ce qui, selon lui, est très étrange… On nage en plein roman d'espionnage, au moment où John le Carré a rendu l'âme !
Une centaine de personnes a manifesté devant l’établissement où monsieur Fourtillan est emprisonné. Peu ou aucune réponse à son sujet de la part de la Direction sinon qu'il aurait « un traitement » si besoin. Sous-entendons par là que si le gars pique une crise de nerfs rapport à ce qu’il considère être injuste, le corps « soignant » s'autorise à lui administrer une dose de cheval pour le calmer ! 
Son emprisonnement peut se prolonger pendant quinze jours, ajoute-t-on de source officielle. Circulez, c’est la déraison d’État !
Si nous mettons en perspective ce qui se passe en France depuis l’élection de Macron et ce que l’histoire nous enseigne et regardons en direction de l’Argentine et de sa junte militaire (disparitions, exécutions sommaires, emprisonnements), ou vers le Chili de Pinochet, sous la houlette de la CIA (torture, disparition, exécutions et incarcérations) on y trouve comme les prémices d'une odeur exécrable !
En France, même si la brutalité policière s’est surtout exercée sur le Gilets Jaunes avec le basculement des médias en auxiliaires de propagande, discrédit et calomnie à la clé, la pandémie tombant bien à propos, nous avons des raisons d'être sérieusement tourmentés : la peur psychologique se répandant comme un mauvais virus, le monde d'avant fait ses valoches vers des paradis oubliés !
En somme nous assistons à une forme de torture collective, un peu comme on le voit dans le film l’Aveu. Ce noir qui enrobe le lieu et les êtres, et cette eau glaciale tombant sur la tête du prisonnier jusqu’à lui ramollir ce qui reste de raison… 
Mais, on se rassure, des choses pareilles ne peuvent pas arriver chez nous. Nous sommes la France et monsieur Macron a pour mission de la détruire !


Sous l’Casque d’Erby



dimanche 13 décembre 2020

Ailleurs mais si près…



La militante anti-vaccin qui a fondé Learn the Risk a été retrouvée morte par son fils de neuf ans. La nouvelle de la mort de Brandy Vaughan a commencé à circuler mardi, mais la date n’a pas été confirmée. Brandy Vaughan est morte de causes inconnues...
La mort de Brandy Vaughan me fait penser à celle de Claire Séverac, autre activiste qui dérangeait l’establishment. Tous ceux qui ont trouvé cette mort « suspecte » ont été à l’époque renvoyés dans les cordes d’un mot disqualifiant : complotistes !
Et pourtant…
Toujours dans le domaine qui nous préoccupe, le Covid-19, qui intéresse de manière très suspecte les requins de Big Pharma et les régulateurs de la politique, voici un nouvel avatar : le professeur Eric Caumes, patron de l’infectiologie à l’hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris, dont on connaît le franc-parler, est atterré par le « nombre important d’effets secondaires des injections Pfizer contre le Covid-19 ».
Qu’il se méfie, parce que les vautours ont des collabos à tous les étages. C’est le cas de l’Agence régionale de santé qui vient de sanctionner le pneumologue de Sainte-Foy-lès-Lyon, le docteur Bellier, qui « refuse de porter un masque et d’examiner les patients portant un masque. » 
Il peut s’estimer heureux, parce que la pression aidant, et au train où vont les choses, il aurait pu écoper d’un séjour au bagne !
Le bagne et peut-être pire !
En revanche, les intouchables restent des intouchables, à l’instar de Jérôme Salomon, contre qui plainte a été déposée au Sénat par l’association Bonsens pour qu’on lui donne les moyens de poursuivre en justice les responsables de la catastrophique gestion humaine et sanitaire. 
Faut pas rêver !
Le Sénat ? L’Assemblée Nationale ? L’opposition ? Mais quelle opposition ? Quelle représentation du peuple ?
Ailleurs on parle aussi de Nuremberg 2 à propos de ce désastre politique et criminel.
D’accord pour un remake, mais pour quelles sanctions ?…

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 10 décembre 2020

Silvano Trotta, homme de bien

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La guerre de l’Empire contre les peuples est entrée dans une phase très violente. A croire que c’est « maintenant ou jamais » que se joue le sort de milliards d’êtres humains, dans une partie où la vie d’autrui n’a pas plus d’importance que les pelures de légumes qu’on balance à la poubelle.
Les brigades de la mort, autrement dit, les censeurs, jouent les Anastasie sur les réseaux sociaux et dans les médias, munies de gros ciseaux, coupant et découpant jusqu’à faire du confettis de la pensée non conforme au « standard » imposé par les Maîtres.
Comprenons par « standard », toute pensée n’allant pas dans le sens de l’Empire, ou contestant la parole sacrée de cette créature hideuse se mouvant dans les profondeurs du mal absolu.
Ces tyranneaux, larbins et sans doute futures victimes, installés devant un écran-clavier, les doigts fourmillant d'une envie morbide, ont pouvoir de « vie ou de mort » sur l’individu-utilisateur. On appuie sur un bouton et hop ! A la lourde, le sale complotiste ! Quelle joie intense que celle de sentir la toute puissance du pouvoir lui fouettant le sang jusqu'à la suprême ivresse !
A la longue liste des bannis des réseaux sociaux, dont les têtes de gondoles en France sont Dieudonné et Alain Soral, sur qui les crachats tombent comme la mousson, s’ajoute Donald Trump aux États-Unis, pourtant président de la première puissance mondiale ! Qu'ont-ils à faire de la parole libre ces satanistes ? De quoi ont-ils peur en fait ? De la vérité ?... 
Toute personne jouant la carte de l’illusion démocratique, telle qu’on nous l’enseigne depuis la maternelle, ce dont on nous demande d’être fiers, qui s'élève contre le discours officiel, mettant en doute la parole sacrée, est court-circuitée sans ménagement, faisant l’objet de calomnies abjectes, sur-diffusées dans le moindre recoin du pays. Si tu cherchais un peu de renommée te voici avec une réputation à gérer !
Aujourd’hui, c’est au tour de Silvano Trotta de prendre place dans la charrette pour un petit voyage vers l’échafaud !
Quel est le crime de monsieur Trotta ? Celui d’être un humain tout ce qu’il y a de plus humain, attentif au bon fonctionnement de la société, dont il est partie prenante, soucieux de son avenir et de celui de ses descendants. Un crime ? Pour certains, ça l'est !
Depuis le début de la « crise sanitaire » monsieur Trotta suit attentivement et avec minutie l’évolution d’un virus qui a plus les allures d’un coup d’état policier que d’une pandémie. Il dénonce sans relâche, du masque au confinement, la mascarade gouvernementale et, plus précisément, le complot dont les peuples sont victimes sous couvert de « prévention sanitaire » et  « sécurité citoyenne » !
Le Monde.fr, support numérique du journal subventionné (plus de 16 millions d’euros par an) vient de le classer par la plume d’un obscur domestique dans le dictionnaire, de plus en plus nourri, de « théoricien du complot » ! Diantre ! Lien vers l’article. 
Si cela devait prouver quelque chose, c’est fait : Monsieur Silvano Trotta est un homme de bien.

Sous l’Casque d’Erby



mardi 8 décembre 2020

Ces têtes qui ne tombent pas !

Erby
On me dit souvent, avec une touche d’ironie : « Alors, Lediazec, comme ça, on épargne Macron dans ses chroniques ? On ne te voit pas souvent pointer la lorgnette en sa direction ! »
On me dit ça, comme si Chatoune était la dernière copine de virée avec qui j’aurais franchi les barrages policiers, en compagnie de cette folle de Bilal Hassani !
On ajoute bien d’autres remarques, comme le fait de ne pas cacher des sympathies pour Donald Trump ou pour Vladimir Poutine...
Si cela est vrai pour Poutine, en ce qui concerne Trump la chose s’avère plus complexe. Mais dans mon esprit, tout est net : quitte à subir, je préfère la politique de Donald Trump à celle des satanistes et pédocriminels comme Clinton, Obama, Biden et le très obscur gang qui les pilote, pour qui la guerre est un festin…
Quand je pense à Macron, je songe aussitôt à la guillotine. Pas parce qu’il serait entièrement responsable de ce qui se met en place, mais pour son côté... larbin du système ultralibéral ! S'il n’est point à l’origine de ce qui arrive à la France, il n’a fait, depuis qu'il a le pouvoir en main, qu'aggraver une situation qu'il aurait dû traiter autrement que par le mépris et la violence. Il est l'instrument servile d’un pouvoir plus profond devant lequel il se prosterne, à qui il lèche le cul comme un chien lèche le cul d'un congénère.
Tête au panier ! 
Tout pareil pour ses prédécesseurs. Depuis feu Georges Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing, Mitterrand, Chirac, Sarko et Hollande, qui, dans ce sextette, pour sauver sa coiffe ?
Pompidou, Giscard, Chirac et Sarko n’ayant jamais caché leur attachement à l’oligarchie, auraient une excuse, excuse qui s’écroule par le fait que leur politique a ruiné la France et fait des valeurs qui l’ont fondée une sorte de foire à la brocante où chacun y trouve son compte, sauf la France ! Chacun, à sa manière, a manqué son rendez-vous avec l’Histoire.
Un autre qui n’a pas davantage d’excuse, François Mitterrand. Des générations d’idiots bêlant une nostalgie de gauche devant son effigie me fait rire sinon pleurer sur la bêtise humaine.  Mitterrand est venu à la gauche par défaut. Il s’est présenté à gauche parce que, à droite, il y avait surabondance de candidats et qu’il n’avait aucune chance d'atteindre l'Elysée.. Mitterrand de gauche ? Faut pas nous prendre pour des blaireaux ! 
Tête au panier !
Reste Hollande, le fossoyeur ! Que voulez-vous qu’on fasse de lui dans ce film où le rôle de traître lui va si bien ? L’aider à rejoindre le reste de la bande coule de source ! Si les autres défendaient l’oligarchie, car telle était leur catéchisme, Hollande est le traître par excellence. Celui sur qui les sans dents se feraient les dents avec appétit !
Au panier !

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 6 décembre 2020

La lexicologie est un alcool fort

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On me souffle à l’oreillette, que j’ai sensible, qu’il ne faut plus dire journaliste mais agent de propagande.
De même, on ne dit plus « liberté de mouvement » mais sécurité globale. Pas plus qu’on ne dit virus, mais vaccin obligatoire. 
Aujourd’hui, en notre bel Occident, brillant d’un lustre flamboyant, toute personne se réclamant du métier de journaliste, cherchant à l’exercer selon des règles morales strictes, est vouée à la précarité et au chômage. Et si elle ne prend pas garde, finira sa vie sous les ponts de la Seine, un litron de picrate dans la poche d’un manteau crasseux et un second à la main, qu’elle goulotte pour oublier le froid nocturne, si, toutefois, les passants se sont montrés généreux au cours de la journée.
Il me souvient de ces temps glorieux où, de ce côté-ci du rideau de fer, nous faisions des gorges chaudes, désignant nos confrères de l’ex-empire soviétique comme agents de propagande, avec un rictus de dégoût sur le visage !
Bridés comme des forçats par un pouvoir sans pitié, ils faisaient pitié ! Aucun esprit subversif, les pauvres ! C’était l’agenouillement ou le Goulag !
Ce pouvoir inique que nous combattions de toutes nos forces à grands coups de « libéralisme ». Libéralisme désignant la société libre idéale, où chacun pouvait penser, acheter, vendre, faire, dire et publier ce que bon lui semblait sans craindre pour sa liberté ! C'était, pensions-nous, l'Age d'or de notre civilisation. Nous étions le « monde libre » !
Nous étions des putes dans un enclos, certes, mais nous avions un certificat de la préfecture pour vendre notre cul au plus offrant ! Putes quand-même, insistez-vous, oui, mais putes officielles !
Fallait nous voir évoluer dans les quartiers chics dans notre tenue de travail, clope au bec et verre de whisky à la main !
Pas comme ces trimardes qu’on croise dans les bas-fonds, sans aucune allure, se faisant chevaucher par des hordes avinées en criant Vive la Commune !
Ah, temps héroïques, quand vous reverrai-je !
Bien évidemment, tout cela était faux ! Nous pensions exprimer ce que nous croyions être notre opinion, alors qu’en réalité nous ne faisions que traduire, avec une mince couche de vernis, les directives du chef de rédaction, lequel les recevait d’un plus haut placé que lui et ainsi de suite jusqu’au sommet de la pyramide, qui était bien plus haute que celle de Khéops qui ne mesure que 280 coudées, soit un peu plus de 146 m de hauteur.
Bagatelle pour le pouvoir occulte ! 
Hier, comme aujourd'hui, la muselière était de mise. Comme on le dit très clairement chez les subversifs de tous les temps : « Il a toujours existé, dans toutes les sociétés, sur cette Terre, des gens atteints de déviances psychologiques. Leur style de vie inclut une forme de prédation sur la créativité économique de la société, parce que leur propre créativité est en général en dessous de la moyenne. Quiconque se branche sur ce système de parasitisme organisé perd graduellement toute capacité de travail légal. » 

Sous l’Casque d’Erby 



vendredi 4 décembre 2020

Covid-Sida, même panier de crabes ?

C'est lui !
Depuis combien d’années trimbale-t-on le quidam sur des questions politiques liées à la santé et aux affaires juteuses qu’elle génère en faveur de la minorité dominante ? Des lustres ? Des siècles ? Est-ce dire que l’évolution intellectuelle de l’humain est plus lente que ne l’est la voracité capitaliste ?
Quand allons-nous enfin ouvrir les yeux en nombre suffisant sur l’état du monde et notre état en particulier pour enfin nous débarrasser de cette engeance ?
A l’époque du Sida, campagne fut faite pour convaincre le blaireau que le pédé avait été à l’origine de sa propagation, via un petit singe vert d’Afrique.
Ce petit animal craintif vivant à l’écart du tumulte humain dont la fréquentation ne lui inspire rien de bon, va se trouver au milieu d’un drame dont aucun ancêtre n’aurait imaginé le scénario dans le pire de ses cauchemars.
Voilà son histoire telle que colportée par la nation médicale, avec le soutien indéfectible du pouvoir politique , qui, en échange sucre les libertés et consolide les bases des futurs totalitarismes.
Ce primate sympathique, surmontant une peur atavique, pris d’une colère soudaine, lui qui ne quitte jamais son habitat naturel, décide de faire une descente punitive dans les villages africains, mord avec rage tout ce qui bouge et s’accouple généreusement avec la femme africaine, qui ne demandait pas mieux que faire ngolo-ngolo dans la case avec ce chlorocebus déchaîné pour pimenter une vie sexuelle ennuyeuse, chopant par le fait le syndrome d’immunodéficience acquise, plus communément le SIDA.
La suite ? Atroce ! La femme africaine, dont le « métabolisme a activé le virus », transmet la saloperie à son cornu de mari, lequel, ni une, ni deux, la fourgue à des pédés new-yorkais en goguette du côté de Haïti, plaque tournante de la « prostitution homosexuelle entre les États-Unis et l’Afrique ».
Le reste est tout aussi stupéfiant, puisque en quelques semaines seulement la maladie s’est propagée sur la planète comme traînée de poudre avec la rentabilité qu’on sait, et les répercussions néfastes sur la vie sexuelle des personnes.
Aussi simple et tortueux que pour le Covid aujourd'hui : une grosse campagne médiatique. Une gigantesque peur collective, des journalistes aboyeurs et de l’argent par milliards dans les poches de ceux qui ont tout déclenché. 
Le pouvoir total pour une orgie totalitaire ! 
Un complot ? Allons ! Nos ennemis font ça très bien. Ils ont même des écoles pour en enseigner l’art aux futurs salauds !

Lire le remarquable dossier De l'arnaque du Sida à l'escroquerie du Covid-19 dans Égalité &Réconciliation 

Sous l’Casque d’Erby 



mercredi 2 décembre 2020

Plainte pénale pour génocide

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Que fait-on d’un criminel ? La règle veut que la société s’en prémunisse ou le punisse si elle ne parvient pas à l’empêcher de commettre son forfait à temps.
C’est le cas de figure qui nous occupe avec la pandémie dite du Covid 19.
Nos élus, non seulement n’ont pas été à la hauteur mais ont failli à la mission pour laquelle le peuple les a élus.
Mieux : ils ont «  profité », volontairement ou par incompétence, de la peur suscitée par elle et entretenue par leurs soins pour, avec l’aide de médias collaborationnistes, se livrer au démontage de l’économie dans un but inavouable, dont le mal et les causes sont à chercher dans les profondeurs obscures d’une oligarchie cannibale. Ils n'ont aucune excuse.
Une diminution de la population mondiale et son nivellement par le bas n'est plus un vœu pieux mais une réalité élaborée de manière sophistiquée. Et pour cela quoi de mieux  qu’une casse rapide et continue des économies, la planification de migrations sauvages et la suppression des droits sociaux, livrant les individus à une guerre permanente et sans pitié, sans autre règle morale que celle de la survie par la violence. Ce n'est plus de la science fiction mais la réalité du terrain dont les policiers en sont les parfaits auxiliaires.
Alors la question est la suivante : Macron doit-il être démis de ses fonctions et ses ministres, anciens et nouveaux, doivent être poursuivis pour « génocide du peuple français » ?
Une plainte au pénal a été « déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration auprès du Procureur général près la Cour de cassation », publiée par France Soir, journal non subventionné.
Pour ma part, cette plainte est justifiée. Copie de celle-ci doit-être adressée « aux parlementaires, à son député et son sénateur ». A nos claviers !
Par ailleurs, pour que cette plainte soit effective, il faut tout simplement qu’un « dixième de parlementaires de l’une ou l’autre chambre déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour ».
A vos couilles, messieurs les élus ! Nous allons pouvoir compter les vrais serviteurs de la Nation !

Le texte intégral est dans France Soir !

Sous l’Casque d’Erby

mardi 1 décembre 2020

Provocations policières et État corrompu vont de pair

Erby

Où va-t-on si même les policiers se mettent à dénoncer les manipulations de la hiérarchie sur le terrain trouble de la politique !
Rien d’étonnant à cela. Depuis Émile Henri, Ravachol, la Bande à Bonnot et quelques autres éclats historiques, l’immersion et l'interférence policière dans les milieux politiques et de l’extrême gauche en particulier, sont nombreux, spectaculaires et avérés. Même un aveugle voit ça, sauf, bien sûr, le manipulé lui-même qui s'obstine, y compris devant l'évidence, à penser qu'il fait l'objet d'un complot !
En son temps, Bernard Thomas, corédacteur en chef du Canard Enchaîné, y avait consacré tout un livre sous le titre « Les provocations policières » chez Fayard.
Ce qu’il y a d’étonnant est que des esprits naïfs pensent encore que cela n’arrive qu’aux autres, précisant, pour certains, qu'au fond c’est de « bonne guerre » !
Il est admis comme étant naturel que cette guerre est une « règle d’or » dans le milieu de la politique et de la corruption. Son côté piquant, en somme. Sauf que très souvent ça se finit de manière tragique.
Cela a récemment été le cas avec les Gilets Jaunes, dont monsieur Macron et son gang ne voulaient pas entendre les revendications, pourtant légitimes. Comme on le sait, les Gilets Jaunes sont cette partie du peuple dont toute la classe politique parle, mais dont personne n’en veut, ou alors de façon discrète en général et plus voyante en période électorale.
Depuis le début du mouvement, le discrédit par le mensonge et la calomnie ont été les armes du pouvoir contre son peuple, celui qui le porte et le nourrit. Même dans le show-biz, s’en est trouvé des « artistes engagés » pour les dénoncer comme des « antisémites » et des « fachos » !
A force de vivre dans une bulle on perd le sens des réalités !
Aujourd’hui, la policière Linda Kebbab affirme que « les Black blocs sont identifiés à l’entrée des manifestations par les services qui laissent faire », allant jusqu’à leur « faciliter le passage » !
Rien n'est plus clair que l'eau trouble des marigots !

Sous l’Casque d’Erby