Erby |
Où va-t-on si même les policiers se mettent à dénoncer les manipulations de la hiérarchie sur le terrain trouble de la politique !
Rien d’étonnant à cela. Depuis Émile Henri, Ravachol, la Bande à Bonnot et quelques autres éclats historiques, l’immersion et l'interférence policière dans les milieux politiques et de l’extrême gauche en particulier, sont nombreux, spectaculaires et avérés. Même un aveugle voit ça, sauf, bien sûr, le manipulé lui-même qui s'obstine, y compris devant l'évidence, à penser qu'il fait l'objet d'un complot !
En son temps, Bernard Thomas, corédacteur en chef du Canard Enchaîné, y avait consacré tout un livre sous le titre « Les provocations policières » chez Fayard.
Ce qu’il y a d’étonnant est que des esprits naïfs pensent encore que cela n’arrive qu’aux autres, précisant, pour certains, qu'au fond c’est de « bonne guerre » !
Il est admis comme étant naturel que cette guerre est une « règle d’or » dans le milieu de la politique et de la corruption. Son côté piquant, en somme. Sauf que très souvent ça se finit de manière tragique.
Cela a récemment été le cas avec les Gilets Jaunes, dont monsieur Macron et son gang ne voulaient pas entendre les revendications, pourtant légitimes. Comme on le sait, les Gilets Jaunes sont cette partie du peuple dont toute la classe politique parle, mais dont personne n’en veut, ou alors de façon discrète en général et plus voyante en période électorale.
Depuis le début du mouvement, le discrédit par le mensonge et la calomnie ont été les armes du pouvoir contre son peuple, celui qui le porte et le nourrit. Même dans le show-biz, s’en est trouvé des « artistes engagés » pour les dénoncer comme des « antisémites » et des « fachos » !
A force de vivre dans une bulle on perd le sens des réalités !
Aujourd’hui, la policière Linda Kebbab affirme que « les Black blocs sont identifiés à l’entrée des manifestations par les services qui laissent faire », allant jusqu’à leur « faciliter le passage » !
Rien n'est plus clair que l'eau trouble des marigots !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour aux caillouteuses et aux caillouteux. Nous voici arrivés au mois de décembre et le glas sonne très peu au clocher de mon village. La pandémie n'a pas osé s'aventurer jusqu'ici. Est-ce dire que nos vieux vont pouvoir passer Noël en famille ? Un policier devant chaque porte pour l'empêcher ?
RépondreSupprimerEn Belgique ce sera noël au jardin, et pipi derrière les buissons sans doute !
RépondreSupprimer"La règle des quatre reste d’application en cette fin d’année. Mais elle nécessite un accès direct au jardin : "on ne peut pas circuler dans les pièces de vie pour le rejoindre", a déclaré la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V), ce samedi au micro de Radio 1 (De Ochtend)."
Nous en sommes là dans la connerie.