dimanche 26 mars 2023

Pan après pan, ça tombe et ça creuse

Erby
On dit souvent – pour justifier l'inqualifiable – que le peuple ne sait pas ce qu'il veut. Que dépourvu de pensée, il lui faut des esprits « supérieurs » pour penser à sa place. En substance, il lui faut des guides, faute de quoi des « mauvaises idées » lui travaillent l'esprit et l'égarent dans l'utopie.
Des professionnels du bonheur sont formés par les écoles d’État pour, en son nom, le tailler comme un boucher découpe un quartier de viande. On appelle cela la classe politique, qu'elle se trouve à la gauche ou à la droite du Roi !
Or quand la cote d'alerte de ce que le peuple peut supporter est atteinte – ce qui est le cas en ce printemps 2023 – il se rue dans la rue pour exiger le rétablissement de ce qu'on lui grignote de justice sociale, de droits et de dignité.
Pour toute réponse, le pouvoir envoie la police. Nourrie de haine et de frustration, celle-ci se défoule sans ménagement et sans aucun discernement sur les manifestants ou les simples passants : femmes, vieux ou enfants, pas de quartier ! La meute est lâchée ! 
Ainsi donc, du vaccin à la guerre ; de la pédophilie à la traite des humains ; du transgenrisme en guise d'éducation, le pouvoir qui nous a été imposé au nom d'une parodie « démocratique », bascule dans le totalitarisme, faisant du peuple son sac de frappe, pour le plaisir sadique de quelques psychopathes tapis dans l'ombre tels les monstres qu'ils sont !
Ces représentants de la « Nation », désignés pour nous représenter et défendre les valeurs qui l'ont fondée – se révèlent tels qu'ils sont en réalité : des parasites opportunistes. Des enflures qui n'ont jamais eu l'intention de défendre autre chose que leurs biens personnels, par les voies les plus obscures et plus si affinité !
Je ne sais pas si cette poussée de fièvre printanière du peuple sur la réforme des retraites, suite à des années d'amputations sociales et de privations de droits, aboutira à une victoire sur le capitalisme cannibale, en termes de justice sociale et de paix civile, mais je sais une chose : sans nous, ce capitalisme n'est rien !
J'ignore encore si la colère populaire qui monte dans le pays est le fruit de la spontanéité et du ras-le-bol du peuple devant le cynisme et la surdité des pouvoirs ou si elle est fomentée par ceux que nous combattons afin de mieux faire plier le mouvement social.
Rompu aux déceptions ; habitué aux coups de Jarnac, je me demande si, après avoir utilisé les sévices du pervers narcissique Emmanuel Macron, le pouvoir profond n'envisage sa chute, nous faisant croire au rétropédalage, comme précédemment avec Sarko et Hollande, pour mieux nous enfoncer la dague dans les reins.
Moralité ubuesque : La police est payée par l’État Français pour bastonner le peuple et l’État est sous les ordres de l’État profond pour détruire la France et ainsi avec le reste de l'Europe.

Sous l'Casque d'Erby

samedi 18 mars 2023

Western version faillite bancaire

Erby
Entre la rivière et la mer un mince et solide filet d'eau. Entre la sueur et l'argent un gros fil à la patte : la banque !
Récemment la tête remplie de misère et de violence ; de projets sépulcraux et de chaos mondial, pour me détendre, j'ai plongé dans un vieux film comme on en produisait jadis pour distraire la foule tout en lui faisant croire qu'on s'occupait d'elle.
Installé dans mon canapé, les arpions en éventail, je regardais un vieux western à la psychologie black and white. Le méchant étant très méchant et le gentil très gentil, limite benêt, on se laisse prendre par ce minimalisme très efficace.
Plongé dans les faillites bancaires, mon entourage fut atterré par ce choix baroque et par le détachement que je montrais devant une actualité sentant le feu et le sang sur fond de 49.3. La dixième fois qu'il nous le fourgue le Manu ! A part ça, si t'es pas content...
J'avais beau expliquer qu'il y avait un rapport, du moins dans mon esprit, rien à faire. « Mais comment peux-tu regarder un truc pareil ! Quelque chose m'échappe ! », me dit un cousin qui n'a toujours pas quitté ses frusques de l'époque où jeune rimait avec couillon !
J'avais beau dire qu'il n'y avait rien de plus limpide que cette histoire pour comprendre la faillite des banques, autrement dit le nettoyage des poches des citoyens par des gangsters en col blanc. On ne me comprenait pas. Circonstance aggravante, un film américain ! Un produit de l'Empire ! Quelle horreur ! « Et en quoi me dit-on un film de pan-pan qui date de Mathusalem aurait un rapport avec le krach bancaire ? »
Le film date des années quarante du siècle dernier, certes, mais le sujet c'est quand même la banque. Un sujet aussi vaste que les océans. La faillite des banques, tout le monde en parle et ça craint pour nos matricules. Tout comme dans mon western pourri, la faillite se résume au nettoyage à sec des poches du clampin dont la naïveté frise la complicité pour crime en bande organisée.
L'histoire de ce film à l'esprit désincarné, propre au genre, raconte l'histoire d'un campement de chercheurs d'or où la boue et la non-vie ont la part belle : hommes, femmes et enfants forment un tout hétéroclite et misérable qui rappelle « La ruée vers l'or du Klondike » du grand Jack London, dont Chaplin avait tiré un long-métrage.
Des « chanceux » ont trouvé des filons du précieux métal, mais, prudents, cachent leur joie. Le malfaiteur rôde en quête d'un sale coup avant le suivant. Motus...
La nouvelle s'étant répandue que des gisements importants... des chariots chargés de marchandises, d'alcool, bois de charpente, prostituées, clous et planches constitueront ce que deviendra très vite – avant l'existence même de chiottes publics – un bâtiment important, à la suite duquel d'autres s'ajouteront.
Ce bâtiment – en fait une cabane en bois assez imposante pour impressionner le passant – arborera une enseigne des plus aguichante avec quatre lettres magiques : BANK. C'est pas Vegas, mais pas loin !
Sa devise, proclamée par un monsieur élégant en costume-cravate jouant le bateleur : « Nous sommes ici pour protéger votre or ! Venez admirer la solidité de notre bâtisse et la résistance de notre coffre-fort ! Aucun voleur ne s'y risquerait sans le payer de sa tête, nos meilleurs pistoleros veillant au grain ! Signez ici, au bas de ce document attestant que vous êtes bien le dépositaire de telle quantité d'or... Une croix suffira ! »
En face de la banque, le saloon, où l’orpailleur épuisé va s'arsouiller jusqu'à plus soif, soulager une queue en souffrance dans le ventre des prostituées, elles aussi à la recherche de fortune pour fuir cet enfer et des joueurs de poker prêts à tout pour alléger vos fonds de poche.
Quand le pauvre chercheur émergera de cette bacchanale, ayant dépensé, jusqu'au dernier, les jolis dollars « offerts » par le banquier, il découvrira que la banque a fermé « ses guichets », fait faillite et qu'il ne lui reste plus qu'à continuer de gratter la roche jusqu'au sang en rêvant au monde merveilleux de Narnia.
La morale des banquiers, c'est de ne pas en avoir ! Nous étions prévenus, Naomi Klein l'a très bien résumé dans « La stratégie du choc », mais ce n'était qu'un vulgaire western !

Sous l'Casque d'Erby 



samedi 11 mars 2023

Sous-marinier Biden à la barre !

Joe Biden est un numéro. Quand on le regarde – mais surtout quand on l'écoute en l'observant – on a peine à comprendre comment il y a-t-l des gens qui pensent encore qu'il est le Président de la « première puissance » mondiale.
Sa récente sortie sur le sabotage de Nord Stream est un joyau. Il serait, selon lui, l’œuvre de « marins ukrainiens incontrôlés », vraisemblament formés dans le sud du Portugal où les sites de plongée sous-marine sont nombreux, et que par conséquent les américains, tout comme Zelensky, sont aussi propres que que des draps sales passés à la machine avec un super détergeant !
Autant dire, à ce stade, que la responsabilité de la Principauté d'Andorre dans cette attaque qui prive d'énergie les pays européens mérite d'être fermement condamnée. Qui ne connaît pas la puissance de feu de la marine andorrane ne sait pas à quel fléau il a affaire !
Vraie ou fausse, cette déclaration est d'autant plus crédible que Joe accumule les bourdes à un rythme infernal. Et s'il y a quelqu'un qui mérite le titre de Président de la gaffe c'est bien lui.
Coïncidant avec la journée internationale des droits de la femmes (les transgenres y sont ou n'y sont pas?) sort le livre d'Alexandra Henrion Caude, « Les apprentis sorciers ». Une mise à plat des mensonges qui ont conduit au développement d'une politique de la terreur par la menace d'un virus dont la létalité n'a jamais été démontrée. En revanche, en ce qui concerne les saloperies contenues dans le vaccin, y a de quoi frémir !
Dans une courte vidéo, la grande virologue et généticienne mondialement reconnue, explique – ce que nous savons et dénonçons avec elle depuis le tout début de la prise de contrôle des esprits par la pandémie – comment les médias collabos ont mis en place une politique du dénigrement sur sa personne et celles de ceux qui ont fait et font de la vérité un acte de résistance majeur. Ainsi, si vous cherchez la biographie d'Alexandra Henrion Caude sur Wikipédia, vous apprendrez que cette encyclopédie du mensonge et de l'approximation n'a fait que le copier-coller d'un article publié par le journal de « référence » des anciens bobos soixante-huitards, « Le Monde », truffé de mensonges, sans doute dictés par les sponsors du journal – Bill Gates est un bon contributeur – et le gouvernement Macron, cornaqué par le Cabinet conseil McKinsey, qui, comme chacun sait, n'en veut qu'à notre argent. Une affaire qu'on peut qualifier de « délit en bande organisée » !
Quel est le dénominateur commun entre les déclarations de Joe Biden et le livre d'Alexandra Henrion Caude ? La sinistre propagande d’État par le biais de médias à la botte !
Une chaîne de valeurs humaines ayant fait de madame Henrion Caude la personne qu'elle est et que l'on respecte, que les apprentis sorciers, Macron, Buzyn, Salomon, Véran et autres vermines cherchent à déshonorer, comme ils l'on fait avec d'éminents scientifiques pour avoir dénoncé l'innommable, parmi lesquels Luc Montagnier décédé depuis. Peine perdue.

 Les apprentis sorciers - Alexandra Henrion Caude  


Sous l'Casque d'Erby

samedi 4 mars 2023

La paix des cimetières

L’Histoire est aussi têtue que criminelle. Comme Hitler il y a à peine un souffle, Zelensky fait un pont (de mort) à des jeunes fanatisés et à jamais traumatisés (pour ceux qui échapperont au carnage) en les envoyant au front payer de leur vie pour un business (ça en est un) qui n’a jamais été le leur, pendant que lui et sa femme font la tournée des « popotes » dans les capitales du monde, dépensant sans compter dans des boutiques de luxe un argent gagné avec leur mercenariat et réclamant plus d'armes pour alimenter le délire paranoÏaque du pouvoir profond.
De Napoléon à Hitler et maintenant les héritiers de ce dernier, qu’ont-ils tous à vouloir conquérir, soumettre ou anéantir la Russie qui n’a rien fait sinon exister en tant que pays souverain ? D’où leur vient cette obsession ?
On le dit et on le répète tant et tant qu’au final on se demande si nous ne sommes pas les membres d’une compagnie de théâtre en train de répéter une tragédie sur les planches miteuses de la vie ! On se pince pour se réveiller de ce cauchemar !
On aimerait tant regarder à nouveau le ciel dégagé sans craindre le fracas d'une explosion dispersant nos carcasses vers le néant !
On aimerait tant ne plus voir ces défilés d’idiots arborant sur commande des drapeaux jaune et bleu, arpentant les villes en soutien non pas à un peuple, mais à des criminels tapis dans l’ombre et tirant les ficelles, détruisant les valeurs qui ont fondées la mosaïque continentale depuis quinze siècles et plus.
Ne plus entendre nos entourages scander des âneries, exigeant « plus d'armes pour l'Ukraine », refusant d’écouter vos arguments de paix, vous répondant : « Je ne veux rien entendre ! », préférant la paix des cimetières à la voie de la raison !
Qu’a-t-il promis Zelensky à ces jeunes « gameurs » pour les pousser vers le front ? De l'argent qu'ils ne pourront jamais dépenser ? Des lignes de cokes jusqu’à leur faire oublier leurs bulletins de naissance ? La certitude d'avoir un statut de « héros » post-mortem ?
Pour les convaincre d'aller au casse-pipe, s’est-il inspiré du discours d’Adolf Hitler lors du congrès du parti nazi à Nuremberg en 1935, déclarant : « À nos yeux, le jeune Allemand de demain (ukrainien de nos jours) doit être svelte et élancé, preste comme le lévrier, solide comme le cuir et dur comme l’acier Krupp » ?
Leur a-t-il rappelé, lors d’une réunion préparatoire, entre vodka et ligne de poudre blanche, ces fortes paroles de feu le Führer à la jeunesse allemande, revues à la sauce ukrainienne, qu’ils ne doivent « penser qu’ukrainien et agir en ukrainien, passant de la jeunesse ukrainienne à la jeunesse bandériste pour devenir de vrais nationaux-socialistes » ?
Quand on voit ce que cela cause comme dégâts sur le front chez les militants nazis endurcis, nourris au lait de feu Bandera, dont le quotidien se résume à se torcher la gueule avec des saloperies et recevoir de la mitraille au prix de gros, on doute que ces fadas de la Game Boy et leurs familles aient mesuré les conséquences réelles d’un tel engagement !

Sous l'Casque d'Erby 


lundi 27 février 2023

Un bon voisin peut en cacher un autre

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Faites gaffe quand vous échangez avec votre voisin à l'heure de l'apéro, les temps sont à l’orage. Mon gars est tout ce qu’il y a de plus normal et de plus collabo : bon père, bon mari, bon travailleur, bon citoyen, excellente victime. La proie parfaite, car l’homme, bien que borné, est honnête.
Evitez le sujet sur l’état du monde et le modèle de société qu’on nous impose ; sur la guerre que la haute déclare et que la basse exécute ; sur l’avenir proche et celui, plus lointain, mais pas tant, de nos enfants. Ne dites rien de vos inquiétudes sur le nazisme rampant qui se diffuse comme un brouillard tenace tout autour de nous. De la petite exaltation paranoïaque tout au plus.
On évite les termes abscons ou les théories abstraites du type informé, si sincère soit-il et si vraie soit sa source. Car même avec des mots simples vous êtes loin de l’objectif ! Au mieux – parce qu’il vous apprécie – il dira à part soi : « le voilà barré ! » Et quand il aura à s’exprimer sur vous auprès d’un tiers, il n’hésitera pas à vous faire le photomaton : « Il est perché, le pauvre ! »
Traduisez Great reset par « repartir de zéro, remettre l’économie à plat et les sociétés au pas », avec la traduction adéquate : « Tout pour la minorité riche, que tchi pour le reste ! » 
Même si l’argument semble imparable comme un coup franc dans la lucarne, rien n’est encore joué dans son esprit ! L’incrédulité qui le submerge l’empêche de dégager les nuages accumulés dans son espace mental par l’intensité de la propagande ingérée.
Si malgré tout, il chancelle sur ses bases et vous l’agrippez pour une nouvelle danse, cela ressemble davantage à une fin de bal qu’au beau Danube bleu.
Pour la énième fois vous listez l’arnaque généralisée : de l’état d’urgence sanitaire pour nous faire croire à une pandémie pire que la peste bubonique, à la vraie mission d’un gouvernement mandé par l’Oligarchie afin de nous faire la peau. Que l’opposition reste sous contrôle et joue du pipeau sur commande. Que tout est fin prêt pour faire de nous des cobayes. Que le rationnement des denrées alimentaires, de carburant, des matériaux, de biens et services, le gel des revenus, la réforme des retraites, ou les plus petits rapetisseront un peu plus, font partie d’un plan soigneusement élaboré. Qu’enfin, leurs guerres ne sont pas nos guerres. Que leurs ennemis ne sont pas nos ennemis ! Que si tout cela n’existe que dans l’esprit des complotistes comment expliquer les moyens de coercition utilisés contre le personnel soignant pour avoir refusé un vaccin expérimental, au point de rendre leur exclusion « naturelle » par la banalisation !
Parle-t-on assez de ces personnes déclassées, sans droits, dont certaines se suicident dans l’anonymat le plus cruel ? De manière quasi identique à celle des agriculteurs qu'on célèbre pour la frime une fois par an à l'occasion d'un Salon du même nom !
Ces gangsters n’hésiteront pas à t’enfoncer la dague dans la moelle épinière, c’est ça le projet : prendre des mesures totalitaires, par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel pour un asservissement global. Cela s’appelle le « pouvoir intégral » cher à Schwab et à son psychopathe de bras droit Yuval Noah Harari !
Complètement groggy, mais pas anéanti, mon voisin a du mal à finir son verre et lâche un laconique : « Tu pourris la soirée. T’es pas drôle avec ta politique ! Et en plus tu dis des conneries ! J'y crois pas à ton délire ! Tout ça c’est la faute de ton pote le Poutine. Demande la nationalité russe pendant que tu y es et fous-moi la paix ! » 
A ce stade, j’évite de lui répéter que l’Empire américain est bâti sur le modèle d’une Société Anonyme, avec des capitaux du Vatican et dont le siège se trouve à la City de Londres et que là est le modèle qu’ils ont prévu d’appliquer à notre occident « exemplaire » ! Je ne voulais pas l’accabler au point de le voir s’effondrer dans mon salon. Les pompiers, l’hôpital, le vaccin, les questions qu’on ne manquerait pas de me poser…
Après tout, ne sommes-nous pas tous deux victimes du rouleau compresseur du totalitarisme ? La Corée du Nord, dites-vous ? Nous y sommes !

Sous l’Casque d’Erby



jeudi 23 février 2023

Le Thalassempire empire


La guerre a non commencé, mais repris sa vitesse de croisière, en 2014. Repris sa vitesse de croisière, puisque de fait la guerre existe entre l’Empire de la Mer, et la Russie, gestionnaire tant bien que mal d’immenses étendues souvent quasi désertiques que le Thalassempire qualifie de concurrent à abattre. Dans les faits, la Guerre a commencé dans un lieu au nom hélas prédestiné, l’île Jekyll, en novembre 1910. Le reste n’est que considérations et arguties.
Absolutiste, le Thalassempire ne supporte pas de ne pas CONTRÔLER le monde entier. Pour parvenir à ses fins, il lui suffit d’émietter l’opposition en une multitude de satrapies où officient des proconsuls à sa solde. Il suffit de voir comment cela se passe actuellement en Europe. Possibilités : l’Allemagne redevient ce qu’elle était avant 1870, alors que son unité n’a jamais été complètement évidente malgré une langue commune ; la France artistement démembrée en grandes régions dont on aura exacerbé les particularités, même si souvent ces régions sont des monstres incohérents comme Auvergne-Rhône-Alpes ou Bourgogne-Franche-Comté, meurt de cet écartèlement. L’Espagne a depuis toujours connu des mouvements centrifuges, l’Italie souffre d’une séparation de fait entre la moitié nord et ce qu’on a appelé le Mezzogiorno….
Pourquoi cette volonté à travers les siècles ? Répétons-le, il ne s’agit que de CONTRÔLE, où les pseudo États (jamais) unis d’Amérique du nord ne sont qu’une parcelle tout aussi dispersée que le reste. D’où, d’ailleurs à Washington, cette lutte permanente entre des nationalistes-patriotes, et les mondialistes, dont le siège de fait est dans la City de Londres (État indépendant de fait) depuis Cromwell. Il a d’ailleurs plus ou moins été admis qu’un second siège, plus psychologique pendant que le premier est davantage financier, existe de fait en sous-main dans la Cité du Vatican, autre micro-État. Le troisième siège, subordonné aux deux autres, serait de fait résident au Département d’État de Washington, et serait l’aiguillon militaire.
Voilà donc où se situent les antagonismes : trois têtes d’épingles à l’échelon de la planète, font la GUERRE au reste du monde pour l’orienter comme la bride le ferait d’un cheval. Ce qui s’est passé le 24 février 2022 n’est qu’une petite péripétie, et ce n’est certainement pas la dernière. A moins que, de dépit de ne pas réussir son entreprise millénaire, le triangle n’allume son œil, et ne détruise tout avec lui.

Sous l'Casque d'Erby



mardi 14 février 2023

Le ventre est encore fécond, d'où a surgi la bête immonde

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Cette citation en guise de titre ne s'adresse pas à ces extrémistes inoffensifs que le pouvoir désigne comme tels pour faire diversion, quand cela arrange leurs stratégies criminelles, mais au pouvoir lui-même, bien plus proche de l'idéologie nazie que le commun ne peut ou n'ose l'imaginer.
On s'agite tels de petits animaux pris au piège mortel de l'ignorance et de la spéculation, aussi bons à croquer par des prédateurs occultes que les futurs insectes qui nous serviront prochainement d'aliment.
La guerre pour l'instauration d'un monde unipolaire fait exploser la planète partout où la minorité génocidaire le peut et le veut. Tous les moyens sont bons, du mensonge au crime crapuleux, pour atteindre le but qu'ils se sont fixé. Rien n'est laissé au hasard, le hasard n'ayant pas de place dans ce chaos où la vie ne vaut plus le prix du miracle qui l'a fait naître.
Une vie dont on pense être le maître et qui ne dépend que d'un bouton qu'on active à distance. Des milliers de morts en Turquie et en Syrie, suite à un séisme d'une rare intensité. Si rare, que des personnalités de haut rang s’interrogent ouvertement sur l'origine « naturelle » d'un phénomène pas naturel, puisqu'il s'agirait d'une « frappe sismique » corrélée au programme de recherche américain Haarp, lequel est couvert par l'incontournable « secret-défense ».
Sitôt évoquée, cette thèse est rangée par la ligne officielle dans le rayon « complotiste » ! Le ban et l'arrière-ban des mercenaires de l'infox sont à la fenêtre, brandissant les contre-mesures ! Les anciennes théories du complot depuis le déclenchement de l'opération Covid avec les contraignantes mesures d'accompagnement s'étant avérées toutes aussi vraies les unes que les autres, il en faut des « nouvelles » pour renouveler le stock'n'roll et faire babiller les collabos de la propagande d’État, prenant la masse pour ce qu'ils pensent qu'elle est : un troupeau de bestiaux !
Un concert de Haarp aura suffit à réunir en un cortège plus 30 000 morts ! Entrez, mesdames et messieurs, au royaume des enfers, la place est offerte ! Par ces temps d'inflation galopante les bonnes affaires sont si rares !
Autre théorie du complot qui se révèle aussi exacte que les aiguilles d'une montre suisse, la destruction du gazoduc Nord Stream 1 et 2 ordonnée et conduite par les États-Unis. Mais qu'ont-ils à secouer du « désastre écologique » en relâchant dans l’atmosphère des millions de tonnes de méthanes, ni même de la vie de millions de personnes sur le continent européen dont la dislocation fait partie du programme ?
Le but de ces opérations étant d'augmenter les cadences : tuer, par la famine, par la guerre, par les épidémies et par des vaccins empoisonnés la moyenne de trois cent mille « sujets » par jour, comme prévu dans l'agenda du gang des nostalgiques cornaqué par Schwab.
Je ne suis qu'un type ordinaire, spécialiste en rien, mais un type qui n'a pas envie de crever parce que des ordures vivant en circuit fermé l'ont ainsi décidé, transmettant à nos enfants un monde sans foi ni loi !
A mon humble niveau, je n'ai aucune recette miracle à leur opposer, sinon mon refus de continuer à nourrir par ma force et par ma soumission la bête immonde !

Sous l'Casque d'Erby



mercredi 8 février 2023

André Bercoff fait-il une quenelle ou il pense ce qu’il dit ?

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« En ce temps de trouble et de misère, frère, ne jugez pas vos frères », écrivait Mikhaïl Cholokhov dans « Le Don paisible ». Et pourtant !
Dans une courte vidéo circulant sur les réseaux sociaux, André Bercoff saute le masque.
On me souffle que la vidéo date un peu, que depuis... Il n'empêche que la mémoire doit rester en éveil au milieu des manipulations ambiantes.
Militant pour l’instauration d’une « autorité mondiale », selon un concept très en vogue, il y mettait une passion si débordante à nous affranchir qu’il est difficile de ne pas comprendre où il veut en venir.
A ce qu’il semble, il aurait depuis changé son fusil d’épaule et retourné la lunette en direction de ses ex-« alliés ». Est-ce pour se venger de cela qu'on remet la vidéo dans le circuit ?
Le propos filmé est tellement grossier, qu’on se demande s’il ne nous fait pas une quenelle à l’envers, tant ça paraît énorme ! Eh bien, non, il avait l’air sérieux, monsieur Bercoff !
Son idée de gouvernement mondial est d’une simplicité ahurissante. Hanouna n'aurait pas été moins inspiré : empêcher la mobilité de l’individu en le maintenant fortement fixé à son milieu, le prenant pour une plante d’intérieur. Ces plantes en plastoche qu’on remarque en arrière-plan dans les décors de certains films et pièces de théâtre. La meilleure façon de lui éviter d’aller voir si le prix choses qu’il veut se procurer est moins cher de l’autre côté du talus, dit-il sans ciller. Par talus on entend le pays voisin. Cette immobilité sociale à laquelle on veut le scotcher permettra aux élites de vaquer tranquillement à leurs sales complots et aux pauvres de rester sagement dans l'enclos !
N’est-ce pas sur ce paradigme que l’OTAN harcèle et fait la guerre à la Russie en Ukraine depuis 2014 ? Car qui pour croire que cette guerre date de l'année dernière ?
Comment empêcher le citoyen moyen d’aller se procurer ailleurs ce qu’il trouve inabordable par ici ? Fastoche pour monsieur Bercoff : on fixe un tarif unique aux produits partout sur la partie de la planète sous contrôle globaliste et un salaire tout aussi fixe que riquiqui qui bloque la transhumance autrement que pour se rendre au turbin et produire selon les directives imposées par l’Empire. La horde gouvernante régulant par la force ce dont la horde oligarchique a besoin. 
Ce Nouvel Ordre ne trouvant son assise qu’en gloutonnant sa part du gâteau et celle d’autrui prétextant nous sauver de l’obésité ! Le tout agrémenté de campagnes de peur et de terreur, obligeant les peuples à se soumettre ou à mourir. Avec ou sans vaccin !
Bercoff raisonne ou raisonnait comme celui qui pense qu’au paradis, la femme redevient vierge après chaque rapport sexuel ! A cette altitude, le miracle n'est plus que pure banalité !
Quand j’étais jeune, je pensais que le savoir permettait au philosophe, au journaliste, au sociologue, au scientifique et à l’enseignant, d’aider l’ignorant à se hisser à la hauteur de ses rêves. Or je constate que ces gens ont quitté le statut qui les désigne et abandonné leur mission pour s'adonner au mercenariat.



samedi 4 février 2023

Sandrine, Jean-Luc, Fabien et les autres

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Quand on entend Sandrine Rousseau déclarer qu'elle votera la réforme des retraites de Macron, en opposition à Marine Le Pen, un frisson fissure mon corps. Mais quelle est cette chose qui pollue l'espace public avec l'argent du contribuable et à qui on tend la bonnette avec complaisance ? Et que penser de la petite cour qui l'accompagne, applaudissant, comme des Manchots empereur, chacune de ses déclarations ! Sandrine Rousseau est au peuple ce que le ver luisant serait à l'éclairage public de l'Avenue des Champs-Élysées.
Qu'elle soit écolo ou non, l'opposition n'est que l'auxiliaire de l'Empire. Son régulateur le plus fidèle. Je la désigne ainsi pour la comprenette, pas parce qu'elle représenterait un danger pour l'oligarchie ou un baume pour les opprimés. Elle fait comme font les figurants dans les tournages des méga-productions hollywoodiennes : du trompe-l’œil.
Pendant la mandature de Sarko, je me suis cogné la rue en compagnie de millions d'autres personnes sur la réforme des retraites, constatant que tout le monde ne marchait pas dans la même direction, question intérêts et privilèges. Ça avait fait du barouf, au point qu'on entendait claironner, parmi les très naïfs, que sous la pression Sarko allait démissionner incessamment sous peu ! Que cela n'était plus qu'une question d'heures pour certains !
Celui qui voulait karchériser la « racaille » et qui, à peine élu, s'était prosterné devant ce déficient de George Debeliou Bush, voulait aussi se farcir l'honnête homme dont il ne supportait pas l'existence, démontant le service public avec un fanatisme méthodique, vendant le pays au plus offrant, comme des réseaux proxénètes le font avec leurs putes.
In fine, sous la pression des manifestants, sans pour autant abandonner le projet, il avait reculé, se vengeant sur Mouammar Kadhafi et le peuple libyen ! Hollande, son successeur, et Macron leur bouture, lui ont emboîté le pas, aidés par les Sociétés de conseil, Big Pharma, le pouvoir profond cornaquant l'ensemble avec maestria !
L'apparition soudaine du Covid aurait pu être pour l'opposition l'occasion de se refaire la cerise en dénonçant une mascarade doublée d'une tentative de génocide par l'obligation vaccinale. N'ont-il pas, de Schwab à Bill Gates, passant par Attali, déclaré avec cynisme qu'il fallait un « moyen soft » de débarrasser la planète de son trop plein ? Là encore, notre « noble » opposition a préféré le sommeil des marmottes aux cris des mouettes ! C'est à peine si elle a émis quelques timides gazouillis en demandant « avec énergie » la gratuité du vaccin !
Venez, mourrez, c'est gratuit ! Remerciez l'opposition !
Encore une fois, je vais faire nombre avec mes compagnons les déclassés de classe, à la marge, qu'ils soient de gauche ou de droite, la misère ne s'encombrant pas de badge politique quand il s'agit de remplir la gamelle et élever ses enfants décemment, mais sans grand espoir de réussite.
Quand je vois de quoi est faite l'opposition et les privilèges dont elle jouit, je me dis que tricher est un métier. Un vrai et sale métier, n'est-ce pas, Sandrine Rousseau !
A force de se faire avoir on finit par avoir « l'âme dure comme un biceps », selon le mot de Louis-Ferdinand Céline.

Sous l'Casque d'Erby


dimanche 29 janvier 2023

La vie d'avant, la vie d'après et la guerre en dessert

M art' IN
La guerre est une tumeur maligne dont l'humain ne guérira qu'en quittant cette vie et les suivantes. La guerre ne disparaîtra-t-elle qu'avec la disparition de l'espèce ? Quand je découvre les morts causées par ses soins c'est comme si des villes entières disparaissaient de la surface de la terre. Comme si le clignotant qui les signalait sur la carte soudain s'éteignait pour toujours.
La guerre, cette chose hideuse qui nourrit la vermine gouvernante !
« Dis, c'était quoi la vie d'avant ? » La même que maintenant sans le Covid et sans la guerre.
« Et celle d'avant le Covid ? » Tu parles de la plus récente ou de celle des « Trente glorieuses » et ses poussières ? 
La même sans le Covid, mais avec le SIDA et le trou dans la couche d'ozone, miraculeusement rebouché par des maçons experts en fissures et étanchéité !
« Et la vie de demain ? » Tout pareil que celles d'avant, en pire peut-être... Quand on ne sait pas on spécule, n'est-ce pas ?
La vie d'avant, dis-tu. Pour avoir une idée, inutile d'appeler madame Irma. Un peu d'introspection suffira amplement. C'est comme quand tu regardes des photos souvenir de cet autre qui n'est plus toi. Et qui pourtant a l'air d'en avoir l'air.
Tu ne seras jamais plus le petit bébé adorable devant lequel l'entourage de tes parents s'extasiait. Regarde-toi ! Ni ce petit garçon espiègle dont le noir et blanc de l'image t'attendrit. Ni le beau jeune homme servant à illustrer les couvertures des magazines pour midinettes ; ou cette belle jeune femme pour qui risquer sa vie est la plus belle des missions romantiques !
La vie de demain ? On ouvre les yeux un peu ? Ou on les ferme pour mieux visualiser le film. Elle est cette utopie qui bouge et bougera l'espoir jusqu'à ton dernier souffle. La vie de demain, c'est de garder assez de vie dans ton esprit pour penser que l'image que le miroir renvoie est aussi belle, aussi différente et aussi vraie que toutes celles que tu fais défiler dans le livre de ta mémoire. Qu'il suffira de montrer la richesse accumulée par l'expérience et fera de ta sagesse l'aliment dont se nourriront ou ne se nourriront pas les futures générations.
La vie de demain, c'est cette guerre – encore elle ! – toujours recommencée de l'intelligence contre la bestialité !
La vie de demain, c'est ce souffle qui réveille le printemps, quand les vents tièdes des saisons chauffent la terre et font éclore les graines. Celles qui nourrissent l'espoir d'un monde enfin libéré de la terreur !
La vie de demain, c'est courir dans le noir, tout pressentir, ne jamais s'appesantir, sans jamais regretter les pas qu'on faits, car ils sont inéluctables, pour le passé, pour le présent, pour l'avenir.
C'est notre leçon de vie. Notre raison de vivre. Pour que tout ne meure pas avec la guerre !

Sous l'Casque d'Erby



samedi 21 janvier 2023

Pas si tranquille le fleuve de la Vie

« Les boîtes de conserve vides font toujours plus de bruit que les boîtes pleines. Il en va de même pour les cerveaux »
, écrivait Truman Capote.
Par cette réflexion l'auteur suggère – du moins c'est ainsi que j'ai envie de l'entendre – que le souci du capitalisme consiste à empêcher les gens modestes (l'immense majorité) d’avoir le temps de remplir leurs boîtes. Par un travail abrutissant et même inutile, l’école prenant le relais, parce qu'elle est au service du plus fort, afin de faire illusion, donnant à l’esclave des allures d’homme d’affaires cultivé, avec sa tenue Men in Black, son auto, ses congés payés, ses crédits, son bonheur « d’homme libre » avec des propos convenables sur la vie en général et la sienne en particulier. N'ayant de l'esclavage que des notions très vagues et lointaines, considérant que son bien-être n'est pas en relation avec la souffrance d'un tiers.
Libre de répéter de mémoire des dates historiques, sans connexion avec le présent, son souci consistant à briller sans éclat, mais assez pour faire de sa position sociale et de manière inconsciente le tremplin de sa perdition.
Certes, ce n'est pas ainsi que nous naissons, mais c'est ainsi qu'on nous fait grandir. C'est le destin de la classe moyenne. Cette classe qui sert (pour combien de temps encore) de liant entre la minorité richissime et la majorité maintenue dans la pauvreté et l'ignorance, relative ou extrême.
L'heure est donc venue de faire descendre la classe moyenne de son carrosse. Désormais, les élites ont décidé (et c'est peut-être une erreur grave de leur part) de les envoyer par le fond rejoindre les bataillons de miséreux qui écument le trottoir en quête de trimestres à mendier pour la retraite et autres « broutilles » sur fond de guerre et de chaos en Ukraine. Une guerre de routine ayant pour objectif le vol des richesses appartenant à des tiers, la Russie dans ce cas précis. En aucun cas pour notre félicité comme les médias nous en vendent le pack. Une guerre qui peut leur coûter très cher !
Une campagne de décérébration si bien orchestrée que la dénoncer nous vaut, au mieux, mépris ou condescendance, tout pareil que quand nous dénoncions la planification de la pandémie, s'apparentant à un coup d’État mondial, le vaccin comme moyen d'éradication, dans des pays on l'on fabrique le mensonge de la même façon qu'on passe la tondeuse dans les jardins.
Une liberté clés en mains dont le maître-mot est liberté sans liberté ! Une dématérialisation de l'humain qui finit par étonner le capitalisme lui-même, l’efficacité du modèle n’ayant plus besoin de son intervention directe tant l’exécutant montre de l'ardeur à la tâche.

Sous l'Casque d'Erby


lundi 16 janvier 2023

Noël Le Graët, pas seul à être sale !

Erby
Tout le monde le savait ; tout le monde (plus ou moins) le disait ; cela se murmurait, mais cela finissait dans l'étouffoir : Noël Le Graët (que des trémas dans son patronyme!) a des casseroles dans la braguette. A tout le moins, dit-on, il a la main et la libido au diapason. Il a fallu qu'il prononce des propos audacieux sur Zizou, notre icône, pour que il soit mis à l'index et que sonne l'halali !
Abus sexuels et pédophilie dans le milieu du foot ? Promotion à la victime et on tire les volets ! On change de palier l'auteur via un « transfert » et l'affaire est oubliée ! Ce qui se passe derrière les volets d'une maison respectable reste derrière les volets de la maison respectable ! Voir vidéo du jour de et avec Romain Molina.
Tout se tient dans le foot français : par le sexe, par la corruption et donc par l'argent ! Ce que jadis était un sport populaire sur lequel le riche crachait son mépris est devenu une affaire financière servant des opérations extrêmement louches où le pauvre sert de caution et d'alibi ! Normal, c'est lui qui remplit les stades !
Aujourd'hui, à 80 ans révolus, Noël Le Graët, alias « la Main baladeuse », amateur de triolisme et autres exercices physiques super excitants, selon des mauvaises langues, est sur la sellette pour, son entrain, sa polyvalence et son coup de rein de taureau andalou. Du très haut niveau ! Hélas, on ne peut tenir ce rythme éternellement, pilules bleus ou pas, les sportifs en savent quelque chose !
Sur la corde raide, la meute réclame aujourd'hui sa tête. Il a assez servi comme ça ! Place à plus jeune, plus vigoureux, plus entraîné, afin de poursuivre l'aventure, aidé par une classe politique dont le long silence en dit long sur les affaires de sexe, d'argent et de corruption, puisqu'au sein même des gouvernements on ne compte plus les affaires douteuses qui dorment dans les tiroirs des juges, par paresse, par pression ou par chantage !
Chauffé à blanc, le peuple éructe et réclame de la tête dans le panier, aidé par des médias soudain intègres !
Qu'est-elle d'autre la vie d'un homme sinon de poser sa tête sur le billot quand son heure est venue et que son milieu le désigne pour être le suivant d'une longue liste ayant servi les desseins de ceux qui lui ont permis de jouir sans entrave jusqu'à extension des feux !
Noël Le Graët aujourd'hui, Claude Simonet avant, qui se fit remarquer pour avoir dissimulé un trou de 14 millions d'euros en 2003 dans les comptes de la FFF et pour s'être offert une bouteille de Romanée-Conti 1998 d'une valeur de 4800 euros, comme s'il s'agissait de la « Réserve du patron » qu'on sert dans les restos ouvriers !
Si on ajoute à cette liste non-exhaustive (oh, que non!) les affaires Platini-Blatter, affaire de bakchich passée à la lessiveuse, et combien de combiennes d'autres sales combines poussées sous les tapis avec la poussière, dans un milieu qui clame et déclame de la Morale jusqu'à dans l'attribution du Mondial de foot au Qatar et son titre, on ne dira pas offert à l'Argentine, parce que, dit-on, l'Emir a des faiblesses de supporter, le dégueulis viendrait à manquer !
Vive le sport !
Sous l'Casque d'Erby 



samedi 7 janvier 2023

7 janvier : la rue est à nous !

Source
Il s'en passe du vilain, du pas glop, du sale et de l'ignoble dans la tête de la horde dirigeante. On parle ici de sadisme porté à son paroxysme comme un culte à la haine.
Qu'ont fait les peuples pour mériter le sort qu'elle leur cuisine ? A quels seins a-t-elle été allaitée pour transformer ce qu'à l'origine devait être des êtres innocents en des monstres sans pitié ? Sont-ils nés comme ça ? Le serpent ne vient-t-il pas à la vie pourvu de son arsenal mortel ? Pourquoi pas ces semblables si dissemblables n'appartiendraient-ils pas à une espèce aussi traître que nuisible ?
De la très opportune apparition de la pandémie, à l'obligation d'un vaccin expérimental aux effets secondaires dévastateurs, rien n'est laissé au hasard pour faire de nos vies cet enfer que Dante avait à peine esquissé dans la Divine Comédie.
Dans la vraie vie, la nôtre et celle de nos enfants, il est fort peu probable que la rédemption soit au rendez-vous comme on le raconte dans les contes pour enfants plus ou moins mûrs.
Prenons l'exemple de Brigitte Macron, si tant est que sa féminité soit avérée, intronisée par les lois du détournement de mineurs et du mariage, première Dame de France, qui veut (ou voulait) remplacer la flèche de Notre Dame détruite par l'incendie, oeuvre de feu Eugène Viollet-le-Duc, par un cornet à deux boules dorées, symbole de... Symbole de quoi, au juste ? Un égout entrouvre une gueule obscène dans la beauté du monde et nous avons sous les dorures de nos palais son ambassadrice.
Au moment où la « branche famille » de la Sécurité Sociale balance des millions d'euros dans les poches de Cabinets Conseil pour faire de la SS ce que la horde fait avec les acquis sociaux du pays, les Gilets Jaunes reprennent du service, se mobilisent pour empêcher la ruine d'un pays et la destruction d'un continent à la culture millénaire, sauver leur peau avec l'aide d'autres bras, ou tomber au « champ d'honneur » avec la dignité pour bagage.
J'ignore si le mouvement sera suivi et soutenu comme il le mérite, mais une chose est indiscutable : les revendications ne sont pas de la roupie de sansonnette ! Elles étaient justes avant la pandémie, elles le demeurent après la filante de 49-3 que le gouvernement balance en guise de démocratie.
La « crise » s'est même aggravée avec une guerre d'Ukraine programmée dans ce but ! Posons la question à ceux qui se retrouvent sur le carreau pour ne pas avoir pris au sérieux un mouvement décrié par les mercenaires du pouvoir et par ceux qui, se croyant à l'abri, sont aujourd'hui à la rue ou sur le point de l'être !
Et qu'on ne chante pas, comme des nombreux tapineurs l'ont fait et continuent de le faire, artistes à talonnettes et chanteurs « engagés », que si l'Ukraine ; que si la pandémie ; que si la Chine ; que si la Russie... Que si les antivax...
Comme si le vaccin était ce « miracle » qui sauvera le monde ! A bientôt la cinquième dose, il s'en trouve des décervelés (j'en connais!) qui s'en enquièrent auprès des néo-piquousés comme si on prenait renseignement sur les améliorations mécaniques du dernier modèle de Lamborghini !
Eh, les gars ! On a le feu au cul ! Ne sentez-vous pas l'odeur de chair grillée qui agace les narines ?

Sous l'Casque d'Erby