mercredi 20 septembre 2023

Ami entends-tu...

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Ceux qui ont vécu l’occupation savent. Je parle des survivants, ceux qui avaient à l’époque qui a précédé et succédé l’occupation nazie une conscience et ont survécu. On les désigne, au choix, les « sans dents » ; les « bouches en biais » ; les « dentiers volants » ; les « inutiles »...
Ceux qui ont fait et subi les turbulences de l’histoire avec quelques mots formant des symboles leur servant de guide dans la vie, comme Liberté, égalité, fraternité.
C’est ainsi que leur avait été transmise la leçon et c’est ainsi qu’ils l’ont mise en pratique. C’est ainsi, qu’ici ou ailleurs, des nations sont nées sous le regard fier de ceux qui ont risqué leur vie ou sont morts pour que cela soit et demeure ainsi.
Pendant ces années terribles, insouciants, certains dansaient, s’amusaient comme si rien ne menaçait. D’autres, poussant le bouchon plus loin, dénonçaient leur voisin à la Gestapo, parce que pensaient-ils, cela était nécessaire pour « protéger la liberté »!
Comme la mer, l’Histoire revient toujours au rivage !
Par le sang et par la sueur, des nations sont nées, ont supporté des agressions, ont elles-mêmes agressées d’autres, au nom de principes douteux et des mensonges criminels. Mais c’est ainsi que ce monde et sa civilisation ont tenu les siècles. L’histoire nous enseigne que tout cycle a une fin. Je crois que le nôtre approche de son terme.
Chaos, confusion, violence et la mémoire collective jetée aux orties en sont les signes majeurs. Le résistant d'hier et celui d’aujourd’hui ont les mêmes ennemis à combattre. Un variant cependant : pour les premiers, l’ennemi vint de l’extérieur ; pour les résistants d’aujourd’hui, l’ennemi pousse dans notre sol !
Les « élus », qui n’en sont pas, puisque désignés, n’ont qu’un dessein, le privilège de la caste, et l’obéissance aveugle du serviteur. Qu’on ne parle pas de « choix démocratique » et autres saloperies du genre, quand on voit comment se dessinent déjà les prochaines présidentielles. La meute est dans les starting-blocks ! Torchons et serviettes unis dans la boue !
Le champ politique est un champ miné où le peuple sera dispersé dans les airs comme un nuage de confettis.
On nous met devant le tableau noir pour nous réapprendre le sens des « vraies valeurs », à savoir qu’un homme n’est plus un homme s’il n’est pas un animal docile, comme un chien ou un chat, castré de préférence, portant un collier anti-aboiement. Il ne sera accepté dans le nouveau monde que s’il devient cette machine programmée pour consentir à l’automutilation.
Des hordes transgenres déferlent sur nos plaines, envahissent l’espace culturel, la haine au bout des lèvres, le mensonge brandi comme un missel.
L’école, ce fleuron de notre culture, est devenue leur repaire, afin de façonner les enfants comme on monte un meuble en kit !
Me vient à la mémoire des bribes d’un chant claironné par nos ancêtres. Je ne sais pas si l’école républicaine garde trace dans ses archives :

Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines.
Ami entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne,
Ohé partisans ouvriers et paysans, c'est l'alarme !
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes...


Sous l’Casque d’Erby


vendredi 15 septembre 2023

Hors ou sous contrôle ?

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Je déteste les dates qui nourrissent le narratif de l’Empire. Elles ont une odeur de défaite insupportable.
Le 11 septembre n’échappe pas à la règle. Cette date, et l’événement qui la marque, a fait basculer le monde dans une autre dimension, celle de l’humain comme élément non essentiel de la vie et l’apparition miraculeuse du « terrorisme islamiste » ! …
C’est très sérieusement que des « têtes bien faites » nous fourguent le rossignol dans les médias dominants à chaque date anniversaire. Le récit officiel appuyant grossièrement sur le mensonge, je ne peux m’empêcher de comparer l’effondrement des tours avec la démolition des barres d’immeubles des cités clapiers des sixties et des seventies, âge d’or des bétaillères de banlieue !
Quand le bâtiment va, tout va !
En une vingtaine de secondes, tout est plié. On nomme ces techniques de démolition le « foudroyage ». Cette méthode permet de contrôler la chute sur un périmètre restreint.
Ceux qui ont fait le rapprochement avec les tours jumelles, disant que les avions n’ont pas pu faire un dégât pareil, sans un supplément de main d’œuvre, des complotistes jouissant encore à l'époque d’un peu d’audience, furent chassés des médias comme on tire le gibier à l’ouverture de la chasse. Ouste !
Plus rien n’a été comme avant à partir de cette date. Ce que nous pensions être une démocratie a jeté le masque pour nous montrer le visage hideux du monde de demain. Au point que, sans étonnement majeur, on a vu la classe intellectuelle rampant aux pieds des maîtres pour servir de passe-plats !
Tout était et continue à être écrit d’avance.
Lors de cette rentrée à la fac de Lyon (médecine ?), ai-je lu sur les réseaux, l’info est diffusée par une élève. Parmi les matières à étudier, on trouve la prochaine pandémie et la date de son apparition à l’automne, ainsi que le port du masque obligatoire envisagé pour le mois de décembre ! Consultez le programme !...
Qui veut le programme ?...
La voyance tutoie les puissances divines très au-delà de nos misérables capacités ! À moins que, le virus, animé par des sentiments suprahumains, ait décidé d’informer les autorités de l’État pour lui faire part de son intention de venir poser un cul lors de ses prochaines vacances en terre Hexagonale, à partir de ce 1ᵉʳ novembre, fête de tous les morts !
Tout comme a été orchestré (ma main au feu) le débarquement massif des « hordes africaines » à Lampedusa, jusqu’à 100 bateaux/jour ! Les médias parlent d’une « véritable apocalypse sans précédent » !
Au point que la France, terre d’accueil par excellence, a fermé la frontière à Vintimille. L'Allemagne a aussi fermement dit Nicht ! Que le quota de main d’œuvre à prix discount était atteint.
« Nous sommes seuls. Il faut maintenant déclarer l'état d'urgence et déployer les navires de guerre, car c'est la guerre ! », déclarent les autorités italiennes saisies de panique.
Et pourtant, on la voyait venir, cette « guerre », quand des lanceurs d’alerte mettaient en garde, se faisant traiter de racistes ou de fachos par des gauchistes décérébrés à la solde des Mondialistes!
Mais qui veut la ruine de l’Europe et de l’ensemble de ses peuples ? … Si nous avons notre petite idée sur la question, nombreux sont les tridosés qui ont les esgourdes bouchées.
À Lampedusa la situation est « complètement hors de contrôle » !
Giorgia Meloni, qu’on a vu au G20, cherchant sa fiche d’état civil, aussi chargée du tarbouif qu’une festivalière de Woodstock, a « fait expulser 190 000 envahisseurs à ce jour » !
Dans la vie, il y a ceux qui donnent les ordres et il y a ceux qui commandent !

Sous l’Casque d’Erby


samedi 9 septembre 2023

Concert de mort pour tambours et mitraille

Erby
Si nous pouvions entendre l’écho des consciences chaque fois qu’une parole est émise par des personnages importants, de ceux qui ont pouvoir de vie et de mort sur des millions de personnes, plus jamais nous ne leur accorderions le moindre crédit. Plus jamais, ils n’auraient droit d’exercer la plus petite fonction au sein de la collectivité humaine. Et moins nous déposerions nos destins entre des mains si viles !
Incroyable, ce que parfois un rêve peut sembler réel !
Tout le monde sait, parmi les hauts dignitaires, que la guerre en Ukraine est une guerre des États-Unis contre la Russie. Que l’Europe, ce modèle calqué sur celui de l’Oncle Sam, ne fait qu’obéir aux ordres, peu importe les conséquences pour les peuples. Tout comme ils savent que cette guerre est perdue pour le camp des globalistes, mais qu’ils la poursuivent parce que chaque montagne de morts les rapproche du but ultime, éradiquer un maximum d’humains afin d’atteindre ce chiffre idéal qu’ils se sont fixés, soit une population mondiale ramenée à 500 millions d'habitants.
Ceux qui ont pouvoir de vie et de mort, éprouvent un plaisir sataniste à rêver de postérité par le mal absolu.
Combien de jeunes, n’ayant pour beaucoup pas connu l’amour, sont fauchés par la mitraille, pourrissant sous un ciel indifférent, qui ne verront jamais les blés d’or ? C’est par centaines, par milliers que les soldats de la contre-offensive ukrainienne – cette réussite tant vantée par nos médias – désertent les rangs, parce qu’ils découvrent, horrifiés, que cette guerre n’est pas la leur ? Qu’on leur a vendu un mensonge ignoble avec lequel leur pays devra vivre désormais ?
Les élites qui ont tout planifié ont l’argent et le pouvoir. Avec le flouze, on achète les consciences, autrement dit une nuée de petites mains qui vont décupler d’énergie pour propager du mensonge comme on s’enduit le corps avec de la crème solaire.
Savent-elles qu’elles mentent en échange d’un revenu substantiel, devenant par le fait les « petites mains de la mort ? Bien sûr qu’elles le savent ! À combien se montent de nos jours les 30 deniers palpés par Judas quand il vendit Jésus ? En équivalent, on parlerait de 20 Francs Or, communément appelés des Napoléons ! C’est ça votre prix pour des millions de vies, messieurs les collabos ?
Demandons en passant aux artistes subventionnés ce qu’il en est, ils s’en sont si bien illustrés, usant de leur prestige, pour amener la population à se faire vacciner avec un vaccin génique, dont les effets secondaires ne sont plus à démontrer. Campagne de vaccination qui va redoubler d’intensité dans les semaines qui viennent, avec le même délire : la peur !
Parce que pour sauver des vies... N’oublions pas le très viral texto envoyé par le président à son ministre de la Santé lors de la première campagne : « Tiens bon, nous les aurons ces connards ! ».
Certains de ces artistes allant jusqu’à traiter de fachos ceux qui refusent la vaccination et le statut de futurs zombis ! Terme disqualifiant qui donne à l’artiste l’estampille de collabo. Or, nous savons, messieurs les « engagés » par l’hydre pharmaceutique, ce que signifie être un « collabo », l’avez-vous oublié ?
Dans ce concert de mort pour tambours et mitraille, diffusé par les médias du monde en continu, le public chloroformé se tient devant les écrans avec son plateau-télé, subjugué par la puissance de feu de l’orchestre, admirant religieusement, en famille et entre amis, la redoutable efficacité de la mise en scène. Hurlant, à la fin de chaque mouvement : « Mort à Poutine ! » 
Gare à celui qui aurait l’idée de venir gâcher une soirée si captivante avec des idées « réfractaires » !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

lundi 4 septembre 2023

Ne dormir que d'un oeil

M'Art' IN
Avant mon départ pour l’Angleterre, je me suis rendu à l’hosto pour un « contrôle technique ». Rien de grave, que de la routine, bien qu’avec les apprentis sorciers qui bourgeonnent dans les accueils du monde sanitaire, on ne sait jamais. Nul n’est à l’abri d’un test PCR et autres inventions covidiennes qu’on nous oblige à faire juste pour nous défoncer le tarbouif et fracasser l’immunité qui est en nous.
Nous vivons dans un pays où les hommes qui le gouvernent ont oublié la Charte de Nuremberg, tout en y faisant référence quand cela arrange les gangs qui les contrôlent.
Notez bien que depuis 202O, toute forme de pathologie, de l’entorse à la cheville, aux ligaments croisés du genou – gauche ou droit – vous classe d’office dans la catégorie « cas possible », « cas probable », « cas contact à risque » … Ou pire !
Quand la chose est débitée par un robot humain préprogrammé, il est difficile de contenir la courante. Vous laissez pisser et attendez ce qui est une des multiples logorrhées en vigueur.
« Tout va bien. Nous n’avons rien vu d’anormal. Consultez votre médecin traitant… », m’annonce-t-on au bout du bout. Lequel médecin traitant, dans le doute, après auscultation fouillée, vous réexpédie à l’envoyeur, car il n’est spécialiste de rien, le pauvre. Le ping-pong sanitaire peut durer si vous ne mettez pas fin à la partie.
Sept heures d’attente dans une piaule décorée à la diable, comme si le type qui a eu entre les mains le cercle chromatique avait une dette à honorer avec l’au-delà.
Quelques dessins stylisés représentant des lieux touristiques censés égayer votre séjour n’empêche pas le tic-tac du temps de vous plomber le moral. Vous éprouvez alors l’étrange sensation qu’un couturier de l’outre-monde est déjà en train de prendre vos mensurations pour une tenue mortuaire du dernier chic.
À ce moment précis, il n’était pas question de me faire porter l’abaya pour ce qui pourrait être mon dernier voyage, puisque le buzz n’avait pas encore colonisé l’esprit des amputés de la comprenette.
Cette histoire de tissu est encore une opération de divertissement pour décérébrés. J’ai découvert la nouvelle guérilla depuis l’Angleterre, où les gens s’habillent comme ils le souhaitent, et rien à foutre !
Sept heures à l’hôpital pour une prise de sang, un prélèvement d’urine et une radio du poitrail, de face et de côté. Entre-temps, on observe. On voit un personnel sous tension, tentant de colmater les brèches, de cacher la misère sous la moquette, fatigué de devoir expliquer que « tout va bien » à des patients dubitatifs, alors que le centre hospitalier de la ville est en faillite et le personnel en sursis !
Si un chef d’État vient vous dire que le gouvernement fait plus pour les hôpitaux en France qu’il ne fait pour aider ce drogué de Zelensky, contribuant par le fait à ruiner les nations européennes, cet homme est un menteur doublé d’un criminel.
Tout comme il doit arrêter de nous prendre pour des zombis en annonçant que bientôt la « vie d’avant le Covid » sera de retour, parole de totalitaire !
Le minimum qu’il mérite est un procès à la Nuremberg !

Sous l'Caque d'Erby



dimanche 20 août 2023

Mollusques ou hommes libres

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À force de « tolérance » bobowoke stupide, nous préparons la couche à l’horreur, comme on organise un week-end de détente. J’en connais qui auront des réveils difficiles quand les viandes seront cuites à point.
En rang d’oignon, nous bordons le totalitarisme dans son paddock pour l’interminable nuit qu’il nous réserve. Nous le veillerons peut-être comme on prend soin d’un bien précieux, ou d’un être cher, car nous sommes ces robots programmés pour n’être que cela, des robots, insensibles au bien et au mal. Pensant qu’avoir une pensée personnelle est un péché mortel !
Je ne sais pas si la France est le seul pays au monde où un homme corrompu est célébré comme une star du show-biz, mais une chose est sûre : au rythme où vont les choses, l’homme honnête va devenir une denrée hors de prix.
Je le constate avec Sarko, alias Minimus, ou les propres ministres du gouvernement, pointés du doigt pour « conflit d’intérêt » ou escroquerie en bande organisée, reçus sur les antennes nationales comme des modèles irréprochables.
Si l’idée vous vient de parler de cette femme violée avec un manche à balai à Cherbourg, que vous montrez dégoût et haine devant tant de barbarie, que l’on réclame la peine maximale, certains citoyens regrettant l’abolition de la peine de mort pour cet acte barbare, vous voilà rangé dans le rayon raciste, parce que l’auteur est d’origine étrangère et que de ce fait parler de barbarie devient tabou aux yeux de qui tout ce qui est mal pour les uns est forcément bon pour les autres.
Mais qu’avons-nous fait de notre humanité, nom d’un chien !
Que nous soyons contre l’horreur du viol, contre l’incendie des lieux de culte, dont la dalle de béton du silence tient lieu de sépulture, contre les mensonges du COVID-19 ou sur ceux concernant le climat, nous sommes ces moins que rien qu’il faut réduire au silence par n’importe quel moyen et sous n’importe quel prétexte.
En ce qui concerne le climat, puisqu’il en est beaucoup question, ce qui est normal en cette saison de l’année, on sait – du moins pour ceux qui ne suivent pas les infos des télés oligarques – qu’avec les nouvelles technologies développées par l’armée, on peut modifier beaucoup de choses, allant de la température à la pluie, mais aussi déclencher des tsunamis ou provoquer des tremblements de terre…
Je ne m’attarderai pas sur les terribles incendies sur l’île de Maui à Hawaï, mais ça sent vraiment le cramé. Des incendies dont l’étrangeté font penser à des causes non naturelles, ce qui n’aurait rien d’étrange dans le contexte apocalyptique actuel. Selon des avis « autorisés » il s’agirait d’une action par « arme à énergie dirigée », dans le but de faire fuir les habitants de cette île et la transformer en « paradis » pour riches. Si on dérange, il faut le dire !
Encore une « théorie du complot » qui se révèlera vraie plus vite qu’il ne faut du temps pour le dire.
Se taire ou se faire tirer dessus par des inconscients ayant abusé de la soumission jusqu’à quitter l’état d’humain pour devenir des mollusques sans âme ?...

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 9 août 2023

Il suffit que l’Afrique se libère de l’Occident pour...

Si c’est à Napoléon le 1ᵉʳ que Macron faisait référence en demandant au peuple français 100 jours – c'était au mois d’avril – pour apaiser le climat de violence sociale qu’il a tant contribué à installer, ses conseillers n’ont pas mesuré la portée d’une telle idée.
N’est-ce pas au terme de ces 100 jours que Napoléon gagna un billet sans retour pour Sainte-Hélène en jouant à la guerre du côté de Waterloo ? Qu’on ne ressorte pas l’affaire Grouchy, s’il vous plaît ! Ce maréchal de l’Empire, gambadant dans la campagne voisine avec les forces qu’il fallait pour prendre l’ennemi à revers, où se déroulait un drame d’une portée historique inouïe, insouciant et admirant le paysage champêtre, pendant que son Maître se faisait proprement charcuter par la coalition ?
Et dire que si Grouchy avait fait diligence, c'est une tout autre histoire qu’on lirait dans les manuels scolaires !
Il y a des signes du destin qui ne trompent pas ! Encore faut-il leur donner un coup de main. Les étoiles naissent et meurent dans un éclat. En ce qui concerne Manu, ni éclat ni étincelle, mais un misérable néant ! Même pas besoin de souffler dessus pour que ça s’éteigne.
Et pourtant, cela fait deux quinquennats que le peuple supporte le faux frère, le faux président et le vrai traître ! Dans un péplum, il aurait tenu haut la main le rôle du félon, tapi dans l’ombre, attendant son frère de sang pour lui porter le coup de poignard fatal !
Dernière affaire en date, l’Afrique. Pour des raisons liées à l’essence même du colonialisme, nous n’avons jamais fait avec l’Afrique autre chose qu’entretenir une relation de maître à subalterne. Quand un chef d’État se faisait élire, c’était la France qui le désignait, ce qui était aux antipodes de la souveraineté d’un pays libre, comme trop souvent proclamé, étant donné que l’heureux élu n’était que l’otage de la Françafrique. Un pion qu’on déplace ou on supprime sur l’échiquier.
Après l’épisode malien, où l’attitude du président puait l’insolence, se posant en donneur de leçons, voici que le Niger est sur le point d’échapper au « contrôle » français pour se retrouver du côté russe, qui te cajole ça que c’est misère à voir !
Cela serait catastrophique pour l’économie française qui se vantait pourtant d’avoir porté un « coup fatal » à l’ennemi Poutine avec nos ridicules sanctions économiques.
À force de faire le mariole pour plaire à l’Empire anglo-saxon, c'est le peuple tout entier qui se retrouve dans la mouise ! Emmanuel Macron n’est pas un président, c’est un chef de meute au service d’un Maître à qui il lèche la main, lequel l’abandonnera sur le bord de la route quand il le jugera bon.
Même si ce larbin n’est pas seul responsable de ce qui nous arrive, parmi ceux qui l’ont précédé dans la fonction, il est celui qui s’est porté candidat pour enfoncer le clou !
Dernier exemple en date, le Niger. À ce qu’il paraît, ce dingue a chopé une colère homérique, jetant la responsabilité des événements (qu'il n'aurait pas vu venir) sur les services secrets français, qui, à l’instar de la diplomatie, sont quasiment à la rue par sa seule faute. Il faut bien se défouler pour cacher son double jeu, à moins qu’il ne s’agisse ici d’un cas d’extrême nullité !
À l’heure actuelle, j'ignore si russes et chinois changeront quelque chose au destin de l’Afrique, s’ils sont là pour l’aider à s’affranchir définitivement ou à remplacer un colonialisme par un autre. En ce qui concerne Poutine, je crois qu’il est sincère. En revanche, les chinois m’inspirent au minimum une certaine appréhension…
Le fait est que les propos de Poutine concernant l’Europe et l’atlantisme effréné des dirigeants de UE, résonnent comme le glas sous un soleil de plomb. Je cite de mémoire : « Il suffit que l’Afrique se libère de l’Occident pour que l’Europe meure... » 
Ceci n’étant ni la faute de l’Afrique, pas plus qu’elle n’a rien à voir avec Poutine, qui n’a fait que défendre les frontières de son pays depuis que l'Occident a commencé à jeter de l'huile sur le feu.
Tout ceci est le travail cumulé de notre brillant cartel politique !

Sous l’Casque d’Erby

LIEN pour un meilleur éclairage de l'illustration

mardi 1 août 2023

Le silence des Chagos – Shenaz Patel

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« La première panacée pour une nation mal dirigée est l'inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent prospérité temporaire et destruction indélébile. Les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques. »
 
Ernest Hemingway, Notes sur la guerre, 1935


La vie n'est qu'un bateau perdu dans les naufrages de l’histoire.
À Diego García, île principale de l'archipel des Chagos, dans l'océan Indien, les natifs furent mis au vide-ordures, au nom de la raison du plus fort !
« Propriétaire » de ce bouquet de perles minuscules, posé au milieu de l'océan Indien, l’État anglais, qui, comme tous les États de même nature, ont fait du bien d’autrui les fonts baptismaux d'une civilisation criminelle.
Pour des arrangements géostratégiques, l'endroit représentant un intérêt pour l’Empire, les Anglais ont loué Diego García à l'armée américaine pour qu'elle y construise (quoi sinon ?) une base aéronavale.
Située au croisement de voies maritimes, reliant l'Extrême-Orient à l'Europe, l'île de Diego García offre une vue stratégique sur l'Inde, l'Afrique, l'Indonésie, le golfe Persique et permet d'avoir l’œil sur l'ennemi russe dont la présence et le commerce avec les pays riverains importunait grandement l'Oncle Sam.
En échange, le cousin anglais obtiendra « un tarif réduit » sur l'achat de fusées Polaris. Tout ça  pour le bien du « monde libre » !
Pour illustration, ce petit lopin s’étend sur 40 km² avec un immense et profond lagon à l’intérieur, capable d’accueillir porte-avions et sous-marins. Et comme nous sommes en pleine guerre froide… Un prétexte valant bien un autre !
Avant que la peste impérialiste — fléau qu'on justifie, mais qui n'a aucune excuse —, ne fasse irruption en cette partie du monde, les chagossiens vivaient d'une économie de subsistance. À l'opposé de l'idéologie économique occidentale, chaque membre reçoit la même ration de nourriture, entretenant par le fait l'héritage d'une culture dans laquelle l'humain en était le centre. Quel mal faisaient-ils à l’humanité ? 
Puis vint le jour, dans la décade 60-70, où des étrangers débarquèrent, s'installèrent en seigneurs et maîtres et trois petits voyages plus loin, les valeurs qui avaient fondé la communauté se perdirent dans le sabir elliptique des discours dominants.
En effet, trois voyages ont suffi, entre 1971 et 1973, pour vider Diego García de ses occupants, environ deux mille habitants, la plupart descendants d’esclaves.
Trois petites rotations de cargo, pour que ces « ilois, comme on les surnomme avec mépris », soient largués à Maurice, qui vient d'obtenir l’indépendance, ou aux Seychelles.
« Un jour pas comme les autres, des hommes en uniforme sont venus, ont massé les habitants au centre de l'île et ont dit : prenez vos affaires, dare-dare, vous partez. Tout de suite. On vous amène en croisière. Ouste ! ».
Des années durant, des années plus tard, toujours et à jamais, une question obsède les chagossiens sans que la moindre réponse vienne les soulager.
Le pire ennemi n'est-il pas le silence ?… C'est au son du makalapo* et par les voix de Charlesia et de Désiré, à qui Shanez Patel prête sa plume, sous le regard abstrait du gardien du port, que nous découvrirons, non pas l'histoire détaillée des personnages comme dans un récit linéaire, mais la part d'émotion, de violence, de douleur et de non-dits qui est la marque de plaies non cicatrisées. C’est certes moins spectaculaire que celle d'un coup de machette ou des éclats de mitraille dans la chair, mais bien plus brutale, parce qu'elle est sans remède. L'exilé est un naufragé du passé privé d'avenir. L'âme à vif, « au nom toujours écorché, il est une plante dépourvue de racines ».
Dans ce roman, paru en 2005, aux éditions de l'Olivier, Shanez Patel quitte le sentier aride du reportage « coup de poing » pour nous offrir ce que l'écriture a de puissant, de vrai, d'humain et de merveilleusement extraordinaire, la poésie. Elle nous révèle le silence insupportable de l’oubli et le plaisir à emprunter les chemins de traverse d’une mémoire jamais perdue. Un voyage au centre de nous-mêmes.
On dit que l’été est la période idéale pour lire, comprendre et s’enrichir… Pour moi c’était une relecture.

*instrument fabriqué à partir de fûts blancs qu'on enterre en laissant dépasser un bâton souple planté au milieu, courbé à l'aide d'un fil de fer vibrant, de façon que, quand on le pince, il produit un son sourd. À la fin du jour, on le désaccorde, sinon, la nuit, les esprits viennent en jouer et c'est signe de mauvais présage…

Sous l’Casque d’Erby


vendredi 28 juillet 2023

On ingère et on vomit

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Un citoyen normal, qu'est-ce que c'est ? C'est vous. C'est moi. C'est nous tous. C'est un ensemble cherchant à vivre de la manière la plus paisible, dans ce « monde idéal » qu'on nous apprend à bichonner depuis la naissance. Du moins, c'était ainsi, malgré des écarts frappants, jusqu'à ce que la politique vende définitivement son âme au diable.
Nous sommes des crédules conditionnés à croire en des choses insignifiantes, sauf en la vérité, quand celle-ci vient à nous frotter le nez. Tout, mais pas ça ! Apprendre, en effet, que le ciment de notre édifice mental n'est que mirage est proprement insupportable pour toute personne « normale » !
Un citoyen – vous, moi, nous tous – c’est quelqu'un qui ne veut pas de la guerre, même si parfois il s'en réjouit quand on la fait chez le voisin pour des motifs grossièrement mis en scène par ceux qui l’ont fomentée. Parfois, parce qu'on la dit juste, elle procure ce frisson de plaisir qu'on éprouve entendant l'orage s'abattre pendant qu'on est à l'abri sous les couvertures.
Le citoyen a horreur de l’injustice, mais trouvera toujours des explications « logiques » au crime perpétré, pour peu que l’État, jamais avare de mensonges, lui fournisse les éléments de langage qui le rassureront. Il rêve de mondes merveilleux, le sien en particulier, chaque fois qu'il allume la télé ou déplie les pages de son journal « préféré », pour consulter la météo, les faits divers ou la rubrique nécrologique.
Ce journal, soumis aux ordres, qui ne vit que grâce aux subsides ponctionnés sur nos impôts et à la manne publicitaire de ceux qui veulent nous faire vacciner de force, manger des insectes à tous les repas et nous faire charcuter les parties génitales, parce que la nature a commis une erreur biologique en faisant de nous des hommes et des femmes.
Il croit vivre en liberté parce qu'il a remis son destin entre les mains d'un gang qui ne veut pas de ce dont il rêve, aime la guerre et fait tout pour la déclencher, accélérant simultanément le processus d'avènement du modèle URSS 2.0 dans sa version nazie.
Faire confiance aux élites, c'est s'adonner au plaisir masochiste à se faire hara-kiri, au point d'être convaincu d'avoir atteint honneur et plénitude. Un concept que l'on vend dans les fictions, accentuant par le fait la domination par la servitude.
Accepter la vérité telle qu'elle est, telle qu'on la dérobe à notre connaissance, c'est admettre que nous avons tout faux depuis notre naissance. Nous affranchir a un prix, si nous ne voulons pas devenir des choses entre les mains des esprits maléfiques qui dirigent et manipulent nos vies.
Ils font – ou veulent en généraliser la pratique – avec l'humain ce que celui-ci pratique avec les élevages de poulets : on prélève, selon la demande, un cœur, un pilon, un rein, les abats… Bref, on fait de la fricassée d'humains à tous les menus !
Et pour leurs loisirs, on arrachera les enfants aux parents, sous n'importe quel prétexte, on les éduquera selon un enseignement dit « neutre » pour en faire des objets sexuels de consommation courante et les offrit aux réseaux pédocriminels. Ceci n'est pas de la dystopie, c'est la terrible réalité.
La guerre n'est jamais faite pour défendre tel ou tel droit, son origine est toujours la même : rapine et pouvoir. Les bonnes intentions dont la propagande entoure cela, c'est le mensonge dont notre crédulité est le moteur.
Ainsi de la guerre que les Américains ont poussé la Russie à faire en Ukraine, prenant le continent européen pour le sac de frappe des boxeurs.
En réalité, l'objectif américain dans ce désastre, qui préfigure la destruction de l'Europe, n'est pas la Russie. Cette guerre est faite pour lui causer les plus grands dommages.
L'objectif américain de cette énorme manipulation stratégique c'est la Chine. Or, pour attaquer l'Empire du milieu, il faut empêcher la Russie de venir prêter main forte à la cible du jour en l'affaiblissant militairement.
Les experts n'étant pas dupes sur les véritables intentions des faucons américains dans le merdier ukrainien. Ils savent que l'objectif, c'est la Chine, et donc, le clou du spectacle !
Mais cela, les « grands spécialistes de plateau » ne le diront jamais !
Le monde d'avant ? J'aurais volontiers questionné ma grand-mère, mais elle n'est plus de ce monde.

Sous l'Casque d'Erby


samedi 22 juillet 2023

Carte postale du Finistère

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Un tout petit oued du Finistère (1km² de superficie à tout casser), très arboré, d'un charme incroyable, sinuant le long d'un bras de mer poussé par la Manche jusqu'à Morlaix : Locquénolé.
Longeant la route que nous y conduit, on éprouve la sensation qu'une partie de la forêt est venue piquer une tête dans ses eaux, qu'elle s'est figée sur ses flancs, tel le cormoran séchant ses ailes après une bonne partie de pêche.
Un bourg légèrement bosselé, où trône une église superbement rénovée. Un « arbre de la Liberté » à l'entrée tend des bras protecteurs, comme pour signifier que si le monde bascule dans la folie, ici rien ne bouge et c'est très bien ainsi.
Dans l'un des passages opéré dans le muret d'enceinte, une plaque de granit d'une trentaine de centimètres de haut barre l'accès. Elle a été fixée pour empêcher l'Ankou de le franchir afin de voler l'âme des morts.
Maître de l'au-delà, l'Ankou fait partie du patrimoine imaginaire des Bretons.
Se véhiculant de diverses manières, selon que l'on est de l'intérieur des terres ou du bord de la mer, aucune ne contestant son statut, l'Ankou est du genre noctambule. Si d'autres travaillent le jour, lui, c'est pendant la nuit qu'il rend son quart.
Qu'il fasse un temps de chien ou un temps d'amourette, le grincement des essieux de son chariot fait trembler les grenouillères dans les lits clos ! Entendre le bruit ou distinguer dans le noir la silhouette de l'attelage annonce la mort inéluctable d'un proche.
Le père Alfred (Hitchcock) n'a rien inventé en matière de « sueurs froides ».
Le silence des églises – des églises comme celle-ci – est traversé par le feutre des conversations millénaires dont l'écho vous saisit sans que vous sachiez si elles sont réelles ou le fruit de l'imagination. Des murmures me parviennent depuis le seuil. Je me lève et quitte le lieu en contournant les intrus.
À l'extérieur, la lumière est d'un bleu intense. Le bruit du réel contraste à peine, tant la quiétude de ce bourg est apaisante.
Je dis au revoir à l'Arbre de la Liberté, posant instinctivement la main sur l'écorce, comme si mon empreinte pouvait empêcher l'Ankou de lui prendre son âme.
Je me dirige vers la salle dans laquelle a lieu le vernissage d'une exposition d'artistes où je suis convié. Ambiance convenue, mais agréable. Les pigistes de la presse locale, tout en décontraction, attifés « café de la plage », font du mieux pour briser la routine qui les accable.
Soudain, sans que l'on sache pourquoi, un des « guide-ânes » — c'est ainsi que Baudelaire désignait les faiseurs de comptes-rendus artistiques –, pigiste de la page locale du journal régional, dit de manière assez sonore : «  La France est la plus grande démocratie au monde ! » Il s'adressait à un exposant qui d'évidence a exprimé des doutes sur la question. Un blanc sans conséquence dans une journée en tous points remarquable.
Ce soir-là, j'ai dormi la fenêtre ouverte, bercé par le cri de la hulotte dans les bois proches.

Sous l'Casque d'Erby


lundi 17 juillet 2023

Vu d'en-haut, tout est plus net

Il arrive que les ailes du hasard fassent voleter dans l'esprit un possible bonheur. Cette chose immatérielle qui s'amuse de vos nerfs tout au long de la vie.
Immatériel, autant que vide, fut ce dernier défilé du 14 juillet dans une Macronie dont l'imagination s'arrête là où commence l'incompétence. Ce fut une sorte de cérémonie du « peuple », sans le peuple ! Matérialisation d'une gauche bourgeoise tentée – comme souvent dans son histoire – par l'aventure totalitaire, réussissant l'exploit de se rendre invisible dans un numéro à la Harry Houdini !
Chaque événement est un voyage. Un pan d'histoire qui naît ou s'écroule, comme si un être maléfique s'amusait à jeter des sorts dans le labyrinthe des émotions. On pense être libre dans une sorte de paradis terrestre, bâti avec la sueur et le sang des ancêtres, alors qu'aussi bien eux que nous avons fabriqué un à un les barreaux d'une prison modèle que semble-t-il le monde nous envie.
Un monde aussi net que les villes « 15 minutes » de notre futur proche, vendues comme un modèle extra-top, d'où il est « fortement déconseillé » de quitter le périmètre. Un monde de passes et trépasse qui fait bander les cinglés du globalisme !
Qu'on le veuille ou non, la France fut. Plus vite nous l'aurons assimilé, plus grand sera le soulagement et plus grande la torture pour qui pense encore le contraire. Ce qui était un pays n'est plus qu'un circuit touristique où se déversent par millions les zombis de la transhumance ! Le village perdu d'une province perdue dans le tracé des cartes. Une ombre sous les décombres de l'Empire.
Qu'on se le dise une bonne fois : la guerre, le chaos et la destruction des pays européens, ce sont les Américains qui en sont la cause !
Par ces temps d'horreur planétaire, mon esprit cultive le paradoxe par le sommeil. Comme si le cauchemar allait disparaître au réveil. Celui-ci s’avérant bien pire que le cauchemar qu'on quitte. Quand l’homme se sent impuissant, il lui arrive de se trouver des raisons d’être lâche ! 
À la lumière des événements quotidiens, de la misère et de la guerre, devant la haine, l’égoïsme, la cupidité, le mensonge, la barbarie et la bêtise extrême, à quoi cela peut bien servir de s'interroger sur soi et ses semblables ?
L'histoire est pleine de volumes écrits et non lus sur le sujet au cours des siècles qui ont précédé la misérable ponctuation de notre éphémère présence ici-bas. Pourtant, si minuscule soit notre influence, nous ne devons pas perdre de vue que l'addition de tous ces riens finit par faire un sacré volume. Détournons-nous de ce nazisme déguisé qui fait du catastrophisme l'aliment d'un nouvel holocauste.
Qu'il s'agisse de climat ou de dictature sanitaire, l'objectif n'est pas notre confort, mais notre disparition.
Puisque nous sommes désorientés, pressés comme des citrons, végétant à l'état de morts-vivants, que rien ne nous offre d'issue convenable, je suggère de cesser de s'inventer des excuses pour ne pas ouvrir enfin les yeux. Tout n'est pas encore perdu. Pas encore. Arrêtons de chanter le psaume des élites, nous poussant au suicide collectif, comme s'il s'agissait du cantique des cantiques. Quittons les souterrains ténébreux de la basse politique, où grouille une faune malfaisante, qui du haut de son insolence, parce qu'elle pense avoir partie gagnée, nous invite au suicide. 
Vivons pleinement notre liberté !
 
Sous l'Casque d'Erby
 

À Dieppe, où les gisquettes se baladent sur les plages en string et les seins plus ou moins nus, la municipalité — qui le soutenait financièrement — a contraint Jim de modifier son affiche pour le Festival BD estival 2023.... Dont acte ! 

Que voulez-vous, il faut bien vivre et aux BDistes qui ne se plient pas aux exigences des peignes culs bégueules qui menacent de vous couper les subsides : Tintin les picaillons !

Qu'on se le dise !... Pour qui vote-t-on cet été !!!!!

vendredi 14 juillet 2023

Bande passante

Source

Un homme biologique devient Miss Pays-Bas. Un travelo devient champion féminin de lancer du javelot – j'extrapole à peine –, ou « championne » du monde de boxe féminine.
Que cela choque ou non, n'a pas d'importance, puisque la décérébration fait partie du programme. Le monde se retrouve tête-bêche, applaudissant des oreilles, léchant les pieds de qui lui botte le cul.
La sortie du film Sound Of Freedom est l'occasion chez nos ennemis de la presse-collabo de s'en donner à cœur-joie.
Tiré d'une histoire vraie, de Tim Ballard, ex de la CIA, ce film au budget modeste cartonne au box-office. Au point de talonner le dernier opus d'Indiana Jones, lit-on.
Le film aborde le sujet mille fois occulté de la traite des enfants, du trafic sexuel, de la pédophilie et de l'adrénochrome, ces « crimes rituels » pratiqués chez les gens de l'élite. L'horreur d'une vie sans la vie, où les élites mondiales sont mouillées jusqu'au cou !
Le Parisien, média subventionné, lance les contre-mesures, annonçant que le film sera interdit en France, car le contenu fait partie des théories du complot, chère à la « complosphère », jetant de la boue au visage de qui dénonce ces crimes.
Le journal « populaire » n'explique pas qui ou quoi motive le sabotage d'une œuvre militant contre une telle horreur. Un jour viendra où certains salauds devront rendre des comptes devant les tribunaux !
Peut-être quand ceux-ci seront débarrassés des complices.
Revenons à nos moutons. Les émeutes récentes ont servi à casser et à piller. Mais pas que. Le traumatisme est grand.
A ce jour, je n'ai pas entendu de témoignages sur des librairies prises d'assaut et dévalisées par un public cherchant à élargir son champ de connaissance. La lecture serait-elle tombée en désuétude ?
Il se murmure sous le manteau (c'est une grande taille) que certains casseurs ont été cornaqués (et payés ?) pour que, pendant que l'homme ordinaire cultive la trouille devant son écran-télé, l’État vote des lois « liberticides » afin de souquer les derniers écrous d'un régime qui pue la dictature, malgré la pulvérisation intensive de produits neutralisants !
Tout va si vite ! Jugez-en : on nous annonce d'ores et déjà un « duel Édouard-Philippe/Marine Le Pen » aux présidentielles de 2027. Les blaireaux vont être à la fête ! Aurons-nous droit au redondant « j'ai voté contre Le Pen, j'ai sauvé la France » ?
Parions que Poutine sera de la partie pour « intrusion dans la politique intérieure de la France » !
« 64, c'est non » ! C'est écrit sur les murs, à propos de l’âge de départ à la retraite. Un drôle a fait de l'humour, ajoutant : « 64, c'est le département de la Morgue. Non, merci ! » 
On me souffle – Oh, rumeur, que j'aime ta rumeur ! – qu'à partir de tout bientôt, les réseaux sociaux, couic ! C'est le fantasme de la bande à Macron et des non élus de l'UE. Celui de Jacques Attali aussi. Grand artificier de tous les sales coups depuis 1981, sous toutes les présidences, n'a-t-il pas annoncé l’inéluctabilité d'une « censure des réseaux sociaux » comme un acquis politique ? D'une « mise au pas » de la bétaillère  ! Depuis le temps que ça le démange d'éradiquer du complotiste comme on tire une taffe sur un clope !
On verra. Ce que l'observation de la vie nous apprend, peut présenter des variations notables. Un exemple récurrent de rouage grippé : si, pour empêcher le vol, le banquier met à jour inlassablement de nouveaux modèles de coffres-forts dits « inviolables », c'est parce qu'il sait que le voleur, n'ayant autre chose à faire, a déjà en mains les outils pour craquer le nouveau système !
Pour bien nous l'enfoncer, dans le crâne, restons polis, Gabriel Attal, la voix de son Maître et bidule chargé des comptes publics, l'annonce : « un effort global sera demandé aux français en 2024 pour réduire la dette ».
Comme les très riches sont logés dans des paradis fiscaux, qui restera pour raquer, d'après vous ?
Nous sommes le 14 juillet, jour de la Fête nationale. Macron a décidé de fermer son clapet et ne pas s'adresser au pays comme le veut la tradition.
S'il pouvait profiter de l'occasion pour se barrer du pays, la nation lui serait reconnaissante ! Le bon week-end !

Sous l'Casque d'Erby


mardi 11 juillet 2023

Interlude poétique

M art'IN
Je me disais :
« Et si l'été aidant... Et si les vents portants... Et si la poésie ?»
Ce si avec lequel on rend le ciel aussi bleu que le jour bleu de sa naissance ?
On ratiboise les forêts, on assèche les cours d’eau, on étrangle l'illusion, on affame la terre, on s'agenouille devant les bourreaux...
On rêve à demain comme on quitte le cauchemar d'un mauvais film, après un long séjour dans le noir.
J'écris dans ma tête des choses comme on n'ose pas en faire écho. Des choses que l'on dira à voix basse, ou que, honteusement, on enfouira sous la dalle des renoncements.
Envie d'effacer ce gribouillis de vie qu'on porte comme un fardeau. Cette blessure sans empreinte qui souille l'espace irraisonné.
Défaire... Refaire… Rêver à l'envers, la tête hors de l'eau. Ne pas se noyer.
Dire au ciel du fond du chaos ce silence qui n'ose pas être un embryon de pensée. 
Dire ce qu'on ne sait pas, qu'on ne sait que trop bien,
Que lorsque vient le gris, je mets du bleu dans les pinceaux,
Quand vient le noir, aucune couleur ne pouvant le consoler, je soulage le poids admirant la suavité d'un halo flottant au-dessus des herbes sauvages.
Oubliant la fraction soustraite, les caresses segmentées, l'élan paralysé,
Dieu, les prophètes, les exégètes…
Je m'offre ce que je peux, de reflets, de lumière délaissée,
Je rêve à des crépuscules inconnus, des aubes sophistiquées.
Je berce l'histoire, dansant sur la mienne, qui déjà se perd dans les orages de la mémoire.
Qui peut être s'en reviennent, pour ceci, pour cela.
Quand le ciel est bleu-foire, qu’il raconte des histoires d'étoiles,
Je lustre le vert des feuilles, l'éclat des fleurs et le bouton qui attend son heure pour éclore.
Quand tout dort, je vire de bord, trace une ligne imaginaire dans le sommeil du cosmos,
Songe à voix haute, si haute qu’elle me devient étrangère.
Les toits résonnent de voix qui tonnent.
Quand le ciel est au bleu
Quand le ciel est au noir
Que rien ne semble briller au-dedans,
Je garde dans la pulpe des doigts une caresse pour demain.

Sous l'Casque d'Erby


vendredi 7 juillet 2023

Qui parle de paix en ce monde pourri ?


Source
Le président des élites, Emmanuel Macron, en rêve : il voudrait faire voter une loi de programmation militaire. Selon des rumeurs concordantes, il chercherait à imiter son pote Zelenski et expédier des contingents de jeunes au casse-pipe contre le vilain Poutine. On murmure même, la loi l’y autorisant, que cela le démange de mettre le plan à exécution « par décret ». Ce n’est pas dans les villes qu’il y a le feu, c’est la tête de ce malade qui est cramée !
N’est-il pas désigné pour exécuter un plan préconçu : détruire la France ?
N’oublions pas – pour ceux qui entretiennent encore la mémoire – que la période estivale est la saison idéale choisie par tout gouvernement pour ordonner le pire contre les peuples.
Pendant que le citoyen recharge les accus, après une année éreintante, oligarques et séides concoctent le menu d’une rentrée aux petits oignons !
Même si la chose n’est pas nouvelle, sa récurrence devrait alerter plus d’un distrait. Hélas, la vie n’est qu’un palimpseste : une page dont on a gratté la première écriture, pour imprimer un nouveau récit. Rappelons-nous que les guerres 14-18 et 39-45 – pour ne faire référence qu’aux plus récentes – furent déclarées pendant l’été.
La première au premier août, la seconde, le 3 septembre 1939. Celle, plus ancienne, de 1870, un 19 juillet...
Je n’ai nullement l’intention de pourrir le repos de mes frères opprimés, mais les faits sont les faits et nul ne peut s’y soustraire. Si flippants soient-ils ! Or avec les psychopathes de la politique et de la haute finance dont les peuples sont otages, tout devient possible ! La « fake news » s'avérant, plus souvent qu’à son tour, plus vraie que nature, je ne sais plus ce qu’il faut pour dessiller les mirettes !
Pendant que l'on se détend et que l'on ergote, accaparés que nous sommes par la guerre contre la Russie, parce que riche. Ne possède-t-elle pas de la matière première que l'on veut s’approprier par le mensonge et le crime ? Cette guerre n’ayant pas d’autre but. Chassons de notre esprit des mots obscènes comme liberté, justice, démocratie, etc. L’Ukraine c’est corruption, trafic d’enfants, blanchiment d’argent et culte du nazisme. Ce nazisme contre lequel nos parents et grands-parents ont sacrifié leur vie et qui n’a jamais quitté les hautes sphères du pouvoir depuis sa supposée défaite.
Pendant ce temps, ailleurs, sur la partie non éclairée de notre merveilleuse planète, il s’en passe des choses ! En fait, la valse du crime continue.
Passons sur le Yémen, où le mutisme est de mise. On meurt et l'on naît au rythme d’un silence de plomb !
Plus proche et plus « familière », la Palestine ne semble pas vouloir tirer de sa léthargie grand monde non plus. Cela fait longtemps qu’elle n’inspire plus personne, ou si peu ! À Jénine, par exemple. Israël bombarde un camp de réfugiés palestiniens, causant des morts, en veux-tu, en voilà, comme si l'on se livrait à l’abattage de volaille ou à l’égorgement du mouton pendant la période religieuse de l’Aïd El-Kébir.
Bien sûr, saisie par d’autres soucis, la communauté internationale a gardé le silence sur ces crimes, comme sur les précédents. On ne froisse pas un allié si précieux !

Sous l'Casque d'Erby


dimanche 2 juillet 2023

Banlieues : de la violence pour un coup d’Etat ?

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Ne sentez-vous pas comme des odeurs de pourri dans la gorge et le nez avec la « montée » de violence dans les banlieues ?
Quand on voit la gueule de certains crétins s’affichant en larmes devant les caméras, après la mort du jeune Nahel, à la suite d’un contrôle policier de la route, on sent à des kilomètres le coup tordu ! C’est comme si, soudain, les narines longtemps obstruées retrouvaient toutes leurs sensations !
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la rue prend feu : marche blanche, voitures incendiées, magasins pillés, ti-shorts floqués à la vitesse d’un tsunami, imprimés et vendus comme des petits pains !
Les images que l'on découvre sur les vidéos jetées sur les réseaux sociaux et servies par les « journaux télévisés » sont troublantes. S’agit-il de la vérité vraie ou d’une émission de téléréalité montée à la hâte pour créer un état de psychose dont la société anonyme de l’État profond serait le premier bénéficiaire ? 
La maman de la victime – un jeune homme pas franc du collier pour tout dire – s’en donne à cœur joie. Juchée sur des plateformes improvisées, fortement entourée, la dame harangue la foule, arbore un sourire jusqu’aux oreilles, fait des signes de la main en direction d’une connaissance qui passe par-là, heureuse comme une première communiante.
Hallucinée par tout ce qui lui arrive, elle semble vivre ça comme une offrande. Comme une récompense que le ciel lui adresse au nom de ce fils parti vers un « monde meilleur ».
Rarement mère aura montré telle joie devant la mort d’un fils !
En observant ce détachement, on se demande s’il s’agit de la mère ou d’une comédienne choisie sur le pouce pour jouer le rôle de sa vie.
Dans d’autres quartiers, dans d’autres villes, des voitures brûlent. Une ambiance d’apocalypse s’installe. C’est le moment pour l’État macronien de montrer ses récentes acquisitions pour contrer les débordements de la rue : des chars flambant neufs slaloment parmi les véhicules en feu dans une sorte de démonstration de force. On se croirait dans Demolition Man, avec Stallone ! L’État en a fait l’acquisition pour réprimer les Gilets Jaunes. On fait comprendre par-là que l’heure est venue d’enterrer définitivement l’État de droit, devant une Marianne criant, jambes écartées : « vas-y, défonce-moi » !
La « horde » crache sa bile sur le pays, sa culture, attaque les fondations, non pas pour construire quelque chose de nouveau, de solide, de durable, mais pour offrir aux forces de l'ombre l’urne contenant ses cendres !
A propos de horde, n’oublions jamais que « ces monstres » sont l’œuvre de notre classe politique tout entière, sans distinction d’idées et de programme ! Admirez, c’est votre travail, messieurs-dames !
Ces crises politiques, économiques et morales, sur fond de panique sanitaire et de guerre en Ukraine, ne cachent-elles pas le coup d’État planifié ? Inutile de faire appel au spécialiste pour des problèmes d’odorat, ça pue !
L'accroissement du brigandage et des menaces extrémistes n’est-il point là pour offrir à Macron les moyens d’une révision de la Constitution afin de s’arroger les pleins pouvoirs ?

Sous l’Casque d’Erby


jeudi 29 juin 2023

Si Wagner m’était chanté

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Si mauvaise soit-elle, un mercenaire a toujours une « bonne cause » à défendre.

La révolte du « Groupe Wagner » en Ukraine a mis en transe ce que l'appareil médiatique de l’Occident a de plus visible : sa grossièreté !
De l’épiphénomène au coup d’Etat il n’y a qu’un pas. Un pas que le délire névrotique des médias a fait vaillamment ! Ça a été et c’est toujours l’orgie !
Cette micro-révolte des mercenaires de Wagner, lamentable pastiche du film « Les 12 salopards », panache en moins, a été l’occasion de montrer jusqu’à quel point frustration et jalousie sont grandes par chez nous. Combien la grandeur de la Russie et le sens du patriotisme de son peuple met en relief la petitesse de nos dirigeants et l’apathie des peuples de l’UE.
Qualité du peuple russe que nous avons perdu en tant que tel de ce côté-ci de l’Europe, trahis par une caste politique à qui nous avons trop facilement confié les clés du carrosse.
Pendant que des gens meurent à un jet de pierre de chez nous, la clique arc-en-ciel LGBT livre son spectacle décadent dans les rues des capitales européennes devant des enfants et des parents « consentants » comme on voudrait le faire accroire !
Et si l’intrusion de la culture LGBT dans le quotidien n’était-elle pas orchestrée par les réseaux pour banaliser la pédophilie, rendant plus insensibles encore des esprits à la dérive ?
Le comportement de la classe politique s’inscrit de longue date dans ce projet, visant à faire d’un « continent qui compte » l’antichambre d’un Empire agonisant : « Puisque je disparais, tu m’accompagneras dans la chute !», semble émettre dans un râle ultime la Bête moribonde !
En gros et pour résumer, il était prévu que le groupe Wagner cesse d’être un groupe paramilitaire se dissolvant et intégrant les rangs de l’armée régulière russe au terme de leur mission « spéciale ». Mission pour laquelle le groupe avait des avantages de mercenaires : bien payé et autres bonus. L’heure étant venue pour ces forces d’incorporer l’armée régulière, certains membres, le chef en tête, ayant changé d’avis, ont tenté le coup de « force » (ont-ils été payés par des tiers pour cet extra ?), alimentant par le fait le délire propagandiste de l’OTAN, de l’UE et du chef d'orchestre Américain.
Le but de ces sales éclaboussures étant d’entretenir l’illusion d’une victoire auprès d’une opinion sous l’effet de son addiction, comme si nous revisitions l’épopée du légendaire « Cheval de Troie ». Rien que ça !
La réalité est que nous ne savons rien de ce qui se trame en coulisse – aussi bien pour cette affaire Wagner que pour tout le reste. Mais, ne voulant l’avouer, les médias font comme s’ils venaient de quitter la table des Grands de ce monde le calepin rempli d’informations de première main ! Comme si, les marionnettistes, à l’instar des magiciens, révélaient au premier domestique venu le secret qui les fait « briller » !
C’est avec cette ignorance qu’on bâtit des mensonges durables. Des mensonges qui prennent le visage de la vérité, l’Assassin, fortune faite, devenant l’homme à plaindre et la défaite la Victoire tant annoncée !

Sous l’Casque d’Erby