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Je dis la paix vaille que vaille
Précaire fragile et sans voix
Mais c’est l’abeille qui travaille
Sans qu’on la voie
Louis Aragon – Chanson de la Paix - Les Yeux et la Mémoire, 1954
Évitons de nous répéter, se répète-t-on sans cesse, et, pourtant, on ne fait que ça !
Les scènes de barbarie se multiplient dans une sorte d’orgie macabre. Devant l’écran, on a la certitude que les médias ont été créés pour nous abîmer. C’est tellement révulsant qu’on se demande si les puissances divines, définitivement écœurées, n’ont pas quitté le métier.
« Marre de cette bande de nazes ! », auraient-elles lâché à l’un des proches en se faisant la malle, avec un plein disque dur contenant les crasses humaines à absoudre.
Nous sommes des millions à nous agiter contre l’implication criminelle occidentale dans le chaudron israélien, espérant obtenir ne serait-ce qu’un misérable « cessez-le-feu », sans toujours réaliser que les mauvaises intentions font partie de l’équation. Un cessez-le-feu – il est utile de le rappeler –, que le Japon, l’Angleterre, les États-Unis et la France ont conjointement refusé !
La machine sioniste, gonflée à bloc par la défaillance (opportune ?) de l’infranchissable Dôme de fer, ayant déchaîné par sa « panne » le feu de l’enfer, pourrait se fracasser contre la barrière de sécurité par manque de clairvoyance de la part des chauffards à qui le pays a confié les clés de la bécane.
Les choses sont telles qu'à terme, elles pourraient mettre en danger l’existence même de l’État d'Israël, si les Israéliens de l’intérieur et la communauté juive du monde, ne mettent pas le turbo pour zapper du paysage le monstre sanguinaire de Netanyahou et son équipe d’assassins professionnels. Et même comme ça, je ne sais pas si les kamikazes du pouvoir profond arrêterons la manœuvre !
On aimerait retrouver un peu de raison, qu’on arrête avec la rengaine religieuse avec laquelle la propagande cherche à détourner notre attention. Il n’y a rien de religieux à défendre le droit et la justice ! Ce n’est pas parce qu’on s’insurge contre un crime – ici, c'est de tentative de génocide dont il s’agit – que l’on est le fanatique de telle ou telle confession religieuse. Un crime reste un crime, au-delà de la foi de chacun.
Ce qui se passe en Israël est affaire d’humanité. Avons-nous à ce point perdu la raison ? Quand les nazis tuaient des juifs par milliers, on ne parlait pas de religion, mais de barbarie ! Pourquoi pas aujourd’hui en ce qui concerne la Palestine ?
Et puisqu'on nous oblige à évoquer les nazis et l’inévitable Shoah – commerce bien juteux –, souvenons-nous qu’avant la tentative d’extermination des juifs, les nazis s’étaient fait la main avec le peuple tzigane : un million de morts ! Silence sur les ondes ! Est-ce parce que les tziganes étaient considérés comme des « animaux » qu’ils ne méritent pas une place dans les livres d’histoire, ou alors un petit chapitre marginal ? Des animaux semblables aux deux millions de Palestiniens qu’on veut réduire en poussière ou jeter hors de leur terre ?
Le sionisme est la tumeur maligne des juifs ! Que la communauté prenne garde à ne pas en faire les frais, malgré elle. Ce n’est pas la première fois qu’elle est prise en otage par ses propres frères.
Ici, je pense aux sionistes de France dont l’insolence frise l’indécence à un niveau très élevé, tant ils prennent le pays pour leur chasse gardée ! On rappelle que la France est un pays libre et tolérant, pas la colonie d’une quelconque communauté religieuse rêvant de s’approprier un bien qui ne lui appartient pas, créant et développant un climat de quasi-guerre civile.
En matière de complots, le hasard n’existe pas. Une stratégie est affaire de calcul et nos comploteurs, de Washington à Londres, Berlin et Paris, sont spécialistes en affaires criminelles.
Et là, il n’est plus question de dystopie, cela fait longtemps que la réalité a rejoint et dépassé la fiction !
Sous l’Casque d’Erby
Bonjour à toutes et à tous. Coup d'insomnie. Du coup, j'ai turbiné de la coiffe pour me mettre à jour. La bonne Toussaint à tous. C'est le jour où l'on fête tous ceux dont le nom ne figure pas dans le calendrier. La bonne fête !
RépondreSupprimerSalut Rodo. De Toussaint, je ne connais que Louverture, qui bien entendu dut la fermer au fond d'une prison jurassienne. Les luttes sont toujours au bout du compte entre "les Grands" et "les Petits", entre "les Sachants" qui la plupart du temps n'en savent pas beaucoup, et "les savants", ceux dont le travail souvent très complexe (faire pousser de quoi se nourrir demande beaucoup de savoir, et de savoir-faire ; bâtir un édifice, aussi) permet aux premiers d'exister. A ce propos, j'ai l'impression que la loi Le Chapelier fit beaucoup de mal, car les Corporations s'opposaient à la mainmise des Bourgeois sur les Manuels. D'ailleurs, je me souviens que les livres d'Histoire, là-dessus, se faisaient un peu vagues comme s'ils avaient du mal à faire passer une forfaiture.
RépondreSupprimerTout cela pour dire que, depuis toujours, les évènements ne sont qu'une succession de tentatives de gens de peu s'ingéniant, sans y mettre les mains, à écraser le reste du monde. Bien peu, étant en tête, se sont penchés sur ceux qui comptent, pas de l'argent, mais pour le bien de tous. Je pense au Grand Cyrus il y a quelque 2600 ans ; à Henri IV aussi, flanqué de son indispensable Sully...
Bonne journée précédant celle des Morts, à la foule qui nous lit ici !
Bonjour Jean-Claude. La loi Le Chapelier ! J’avais oublié celle-là qui ne date pas de la semaine dernière. Belle entaille dans le lard ! A l'époque, on disait le libéralisme « débridé ». Qu'importe le terme puisque c'est toujours de capitalisme cannibale dont il s'agit ! Et toujours, rôdant autour, une gauche collabo qui n’a jamais cessé de trahir ( j’allais dire sa classe, erreur !) ceux qu’elle disait défendre pour s’installer sur les plus hautes marches du pouvoir, sa seule vocation.
SupprimerQuant aux grands hommes, on en manque cruellement. De nos jours, ce qui est grand, c’est le crime organisé.
Bonne fête à tous ... Fructueuse insomnie cher Rod...Je découvre et j'apprécie votre mise à jour, ami... ;-) "Un plein disque dur contenant les crasses humaines à absoudre"...Un seul ne pourrait bien sûr suffire.
RépondreSupprimerJe me souviens combien j'avais été ébranlée par la guerre et l'horreur prodiguée au Rwanda...plus branchée à ce moment-là... Mais je viens de revoir et de frémir au rappel des 7 conflits alimentés par ce cher occident bienfaiteur...Ils seront dépassés pour sûr par le massacre démoniaque dont Israël s'amuse avec ses potes occidentaux rigolards et fourbes... Comme tu dis, où sont les grands hommes...
Oma
A tous: vents particulièrement violents prévus demain matin en Bretagne et dans le N-O de la France
RépondreSupprimerBonjour honorable anonyme ! J'espère que Rodo, vu sa situation géographique, n'a pas trop morflé ! Ici ça a soufflé, mais nous étions sur le bord. Je pense que les nappes phréatiques vont remonter, ou c'est à désespérer, d'autant que pour samedi on remet ça. Normalement, en moins fort. Mais on ne sait jamais : je me souviens trop de Lothar, qui avait été suivi deux jours seulement plus tard par un Martin très en forme. A cette occasion-là le village de mes parents avait été privé de lumière pendant une bonne quinzaine. Du coup, tout le monde s'est réuni à la salle communale, à la lumière des bougies, pour fêter un Nouvel An inoubliable.
SupprimerRodo, si ça va chez toi, fais un signe.... quand on sait que même à l'intérieur des terres par endroits on était à pas loin de 200 Km/h....
RépondreSupprimerLe bonjour à tous. Niveau santé, ça va. J'écris depuis mon téléphone, l'internet est HS. La maison presque rien. Pour le reste, un carnage : tous les arbres (noyer, abricotier, magnolia, albizia, cedre, sapin... Par terre. Un désert. On se retrousse les manches. La vie continue. À quand je pourrai. Merci.
RépondreSupprimerSalut Rodo, bonjour à tous ! Bon, Domingos est passé, et sauf découvertes quand il fera jour, ça n'a pas été grave, malgré une pointe à 126 Km/h ce qui n'est pas si mal. En revanche que de pluies ! Et pour aller à Poitiers dans la matinée d'hier, par moments mon fils devait serrer un peu plus le volant. Continuons !
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