dimanche 31 décembre 2023

Bonne année 2024

Erby
Que peut-on souhaiter pour la nouvelle année qui n’ait pas été déjà mille fois formulé, sans éprouver comme un sentiment de redondance et de frustration ? Comme si chaque vœu exprimé mécaniquement accélérait une chute interminable, où le sol sur lequel nous marchons n’était qu’un vide sans fin et nos vies une illusion d'optique.
Consciemment ou non, nous nous souhaitons le « moins mauvais » du pire qui s’intensifie de vie en vie, espérant que le nouveau désastre soit moindre, en comparaison du naufrage auquel les « dieux » et les hommes, se servant les uns des autres, nous ont habitué pour perpétuer pouvoir et privilèges, misère et soumission.
À croire que pour des raisons « ignorées », le paradis, si bien décrit dans les oracles, nous est définitivement refusé, Hadès étant devenu le Maître absolu du jeu.
Ici, j’ai une pensée solidaire pour le peuple de Palestine qu’on extermine clés en main, avec des rhétoriques aussi foireuses que criminelles !
Comme on le voit (ou pas), Hadès a décidé de la jouer en solo, un seul choix en rayon : l’enfer et rien d’autre. Sauf que parfois, son plan diabolique sans cesse actualisé échoue et on le renvoie à la case départ...
Le moins mauvais donc et le plus joyeux en cette année 2024 qui est déjà là.
La Bise aux frangines, la franche accolade aux frangins, courage et persévérance à nous tous !
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

jeudi 21 décembre 2023

Adret, ubac et autres versants

Erby
Des hommes qui tuent des chiens « sans défense », sous prétexte de propriété privé, pour défendre des animaux « sans défense », si cela semble paradoxal, cela est.
Ça se passe près de chez nous et c’est signé par des lascars ayant perdu de la réalité son sens premier, la vie !
Des bêtes féroces, d’un genre dérivant, éradiquent, elles aussi, ce qu’elles désignent comme les « animaux de Gaza », afin de faire de la place à des complexes immobiliers, obligeant le sédentaire à fuir ou à mourir sur sa terre.
Ce monde est malade de sa furieuse folie.
Très bientôt, dit-on, les animaux domestiques, chiens, chats, poules, gerbilles, que sais-je encore, seront taxés par le gouvernement parce que cela met en péril le climat. Le climatosceptique étant un sous-genre de la faune vivante, fera à coup sûr partie des futurs proscrits !
Et à la cadence imprimée par les globalistes à leur Agenda, très prochainement, autant dire tout de suite, nous nous rendrons chez le toubib pour une migraine et il prescrira sans sourciller une décapitation ou le vil garrot. Pour une gastro, il vous fournira le wakizashi, ou sabre court, ainsi que les témoins, pour un seppuku (hara-kiri), ce qui vous ôtera définitivement le mal et la vie !
A ce stade, il est important de noter que le rituel du seppuku est d’origine chinoise et non japonaise comme nous pouvons le penser. Le hara-kiri nous vient bel et bien de Chine et était pratiqué par des femmes – et non des hommes – qu’on avait accusées, à tort, d’adultère.
Maudites mauvaises langues !
Pour dire jusqu’à quel point ces dames étaient tatillonnes avec leur vertu d’épouse et de mère, elles se donnaient la mort pour « prouver leur innocence » !
Prenez ça dans la gueule, bande de malfaisants !
Bref ! Friands de ce genre d’horreurs, les Japonais l’adoptèrent au XIIᵉ siècle, avec le variant masculin. Forcément !
Cependant, cette tradition aujourd'hui proscrite, semble retrouver vie en Occident depuis 2020 et l’apparition miraculeuse du Covid 19 avec le dispositif contraignant mis en place pour nous pousser à nous faire hara-kiri par autosuggestion.
L’idée est simple : Pour laver votre honneur entaché par le complotisme qu'on vous colle comme une étoile jaune, et, afin de prouver votre innocence, vous vous livrerez au rituel du seppuku en présence du personnel soignant qui n’aura pas à vous aider à rester en vie, puisqu’il a été mis à pied et perdu son statut pour avoir refusé un vaccin génique !
Ainsi, nous éviterons au gouvernement le poids de son déshonneur pour tentative de « génocide » et un tas d’autres désagréments, lui prouvant que notre extrême docilité n’est pas un vain mot !

Sous l’Casque d’Erby 



dimanche 17 décembre 2023

Je suis...

Je suis cet homme dont le poète a jeté un cri qui s’est perdu dans l’infini.
Cet homme ou cette chose qui gît sur le sol, yeux ouverts, un poignard planté dans le cœur.
Que fixe-t-il avec tant d’intensité ?
M art' in
Le vide sidéral qui s’est si soudainement emparé de lui ?
Cette vie qu’il a tant tardé à maîtriser et si vite fauchée ?
Ou songe-t-il déjà à ce futur promis aux morts dans les livres sacrés ?
Qui peut le savoir ?
Le gisant ne le voit pas, ne le sait pas, ne l’entend plus,
Mais des larmes creusent des rivières dans les rumeurs de la conscience.
Il ne voit pas, il n’entend plus, mais il sait tout des cœurs qu’on enfonce dans la boue,
Cette poussière que les larmes ont volé au vent,
Pour graver dans la roche un message que les dieux ne liront pas.
Il ne sait pas, dans sa raideur, que quelqu’un pleure et déplore son absence, veille à ce qu’on ne l’oublie, avant qu’un poignard ne le transperce à son tour.
Le poète est cet inconnu qui pleure et qui crie dans le silence des sépulcres.
Qui se souviendra des ruines quand elles retrouveront l’apparence des choses neuves ?
Qui pour imprimer dans la mémoire la beauté des choses ?
Qui pour extraire de la fosse commune de l’esprit l’or blanc de la vie ?
Qui pour cesser de nourrir un monstre jamais rassasié ?
Qui sont-ils, ces enfants amputés, à jamais privés de bonheur ?
Qui sont-elles, ces femmes violées, à jamais privées des plaisirs de la vie ?
Qui sont ces fantômes qui font semblant de vivre sous les décombres ?
Quelles sont ces ombres mouvantes qui se projettent sur les ruines de l’esprit pour un deuil sans fin ?
De Guernica à Gaza
Des Indiens d’Amérique en Afrique,
De camps de la mort en camps d’extermination,
C’est encore le même coup de poignard
Qu’on plante dans le cœur des hommes.
La même larme qui sillonne les joues des visages torturés.

Sous l’Casque d’Erby


dimanche 10 décembre 2023

Des « drôles » de lumières au Palais

Source
Comment mettre fin à cette situation ? Comment faire baisser cette fièvre constante, humaniser de nouveau l’atmosphère, purifier l’organisme empoisonné de haine, supprimer cette dépression morale qui pèse sur le monde comme une nuée d’orage ?
 
Stefan Zweig - « Deniers messages » 

Pour célébrer l’Hanoucca, fête juive des lumières, qui rend hommage au miracle lors duquel celle-ci l’a emporté sur les ténèbres, l’Élysée, sous l’impulsion du petit Rothschildien Emmanuel Macron, avec le leurre de la tolérance, a ouvert les portes du palais à une célébration qui fait de Gaza et de la Palestine le trophée tant convoité par un sionisme sanguinaire.
Célébrer la lumière en plein holocauste palestinien, il fallait oser ! Soulignons combien l’élection de Macron et prédécesseurs doit à la communauté « organisée » ! Cela vaut bien une messe !
Ils l’ont fait. Est-ce dire que l’État et les particularités culturelles de la France, telles que nous les pratiquons depuis des siècles, sont en voie de dissipation ? Devons-nous comprendre que le pays fait l’objet d’un coup d’État sioniste à peine déguisé ?
Si nous alignons les symptômes partant des médias, de ses variants financiers et jusqu’au sommet de l’État, la réponse est on ne peut plus frappante.
Pouvons-nous laisser une culture millénaire et notre art de vivre entre les mains d’une minorité, elle-même minoritaire, au sein de la communauté juive du monde, et par ce fait victime de pressions insupportables de la part de ces groupes de pression dont le rapport avec la religion est aux antipodes de celle-ci ?
L’Hanoucca avant la traditionnelle fête de Noël, sous les dorures de la « République ». Comme un signe qui ne trompe que celui qui veut l'être !
Comme si on voulait signer la mort de notre culture et l’expropriation de nos richesses pour faire de la France le Grand Israël tant fantasmé, laissant le reste des pays de l’Europe entre les mains d’un gang organisé pour en faire une organisation criminelle aux vastes ramifications !
Tous les moyens sont bons pour nous convaincre qu’Israël est un État occidental et non une greffe anglo-saxonne en territoire étranger ! À force de propagande, on finirait par le croire ! Or, quand le mensonge prend la lumière, plus rien ne peut escamoter sa noirceur !
Des signes de cette colonisation de nouvelle génération nous sont donnés chaque jour par des représentants de la nation, chaque fois que l’occasion leur est donnée. Ici, dans les mairies, on interdit la crèche de Noël, tradition séculaire, au nom de la « laïcité ». Là, sous des prétextes tout autant fallacieux, on remplace le traditionnel arbre de Noël, symbole des racines chrétiennes du pays, par des structures métalliques horrifiques, avec comme argument le sauvetage de la nature, pendant que plus loin, on nous met en garde contre les dangers du CO², comme si l’oxygène était un poison mortel, le vaccin génique qu’on nous inocule par la force s’avérant trop lent pour nous foutre en l’air une bonne fois, on invente tout et n'importe quoi pour nous rendre fous !
Plus vite nous le deviendrons, plus tôt ils auront partie gagnée !

Sous l’Casque d’Erby 


samedi 2 décembre 2023

Sous la houle, le naufrage !

Source
L’extrême-droite n’a jamais gouverné la France. Pourtant, d’alternance en retour à l’envoyeur, nous voici arrivés au point où, au jeu des ressemblances, l’on se demande avec insistance si nous n’avons pas été menés en bateau pour une croisière de l’horreur.
N’importe qui (sauf...) pourvu d’un brin de bon sens comprend qu’au 19ᵉ 49-3 utilisé par la Macronie, sans la moindre motion de censure de la part des « opposants », quelque chose dysfonctionne gravement au pays de la République des « Lumières » !
Les petits soldats de l’Empire et autres manipulés, idiots utiles, colporteurs de pensée unique et du cirage de pompe, sont là pour faire diversion, criant au loup, passant sous silence qu’à l’instar du chien des Baskerville, la « créature » n’est qu’un leurre, puisque sous la luminescence de la défroque se cache une pauvre bête dressée et volontairement affamée. Qu’importe l’imposture, car le piège fonctionne chaque fois.
Pendant que l’arabe et le noir se farcissent du « sale » blanc et le sioniste éradique du gazaoui, le « militant-justicier », nourri à la bêtise la plus crasse, brandit le péril brun, sans pousser plus loin son degré d’évolution. Sans chercher à comprendre pourquoi cette Europe tant vantée comme le symbole de la paix et de l’harmonie entre les peuples ne génère que la guerre, le chaos et la violence entre citoyens, d’où émerge déjà le monolithe de l’État totalitaire annoncé de longue date, effaçant d’un trait brutal l’idée d’État-nation et d’un monde multipolaire.
Qu’un noir ou un Arabe viennent à être molestés pour une infraction commise ou un meurtre « déguisé » et c’est tout un pan de la société qui se lève comme un seul homme pour brûler le drapeau national dans les rues, crier aux violences policières et cracher une haine irraisonnée sur le pays qui accueille et nourrit. À aucun moment, on ne lève le regard vers les véritables responsables de ce chaos qui conduit vers une guerre civile et à la fin des temps civilisés.
À ce stade, aucun 49-3 de la part du gouvernement pour éloigner le danger et remettre un tant soit peu les pendules à l’heure ! Ce n’est pas parce que quelques exaltés rêvant de croix gammées et de pas de l’oie s’exhibent avec des airs de matamores, en réponse à des agressions répétées, que cela doit nous faire oublier que Zelensky et les nazis des bataillons Azov en Ukraine, ont été soutenus et armés par Washington et l’Union européenne.
En des temps pas si lointains, le grand écrivain et humaniste Stefan Zweig rêvait d’une Europe débarrassée de ses démons. Une Europe tournée vers la culture et la grandeur de son humanisme. Un continent qui « montrerait, non le mal qu’un peuple a fait à un autre, mais ce qu’il lui doit ». Une histoire de « transferts culturels » où chacun met sur la table sa partie saine.
Déçu et atterré par la victoire des nazis et l’horreur de la Seconde guerre mondiale, épuisé et ayant perdu espoir en un monde meilleur, il se donna la mort au Brésil, en 1942, en compagnie de sa compagne qui refusa de lui survivre.
S’il revenait aujourd’hui, quelle ne serait son horreur de voir les héritiers de ces nazis qu’il a tant combattus, portant un faux costume « démocratique », entraînant le monde vers le destin que leurs ancêtres avaient tracé avant eux.
Lui, le juif autrichien, qu’aurait-il pensé de ses frères d’Israël, martyrisant et tuant massivement les Palestiniens en leur volant la terre ? À tous les coups, nous assisterions à son second suicide !
Voilà notre réalité : Un monde qui nous échappe par la faute d’escrocs, de lâches, de criminels et par notre propre irresponsabilité !

Sous l'Casque d'Erby