mercredi 20 septembre 2023

Ami entends-tu...

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Ceux qui ont vécu l’occupation savent. Je parle des survivants, ceux qui avaient à l’époque qui a précédé et succédé l’occupation nazie une conscience et ont survécu. On les désigne, au choix, les « sans dents » ; les « bouches en biais » ; les « dentiers volants » ; les « inutiles »...
Ceux qui ont fait et subi les turbulences de l’histoire avec quelques mots formant des symboles leur servant de guide dans la vie, comme Liberté, égalité, fraternité.
C’est ainsi que leur avait été transmise la leçon et c’est ainsi qu’ils l’ont mise en pratique. C’est ainsi, qu’ici ou ailleurs, des nations sont nées sous le regard fier de ceux qui ont risqué leur vie ou sont morts pour que cela soit et demeure ainsi.
Pendant ces années terribles, insouciants, certains dansaient, s’amusaient comme si rien ne menaçait. D’autres, poussant le bouchon plus loin, dénonçaient leur voisin à la Gestapo, parce que pensaient-ils, cela était nécessaire pour « protéger la liberté »!
Comme la mer, l’Histoire revient toujours au rivage !
Par le sang et par la sueur, des nations sont nées, ont supporté des agressions, ont elles-mêmes agressées d’autres, au nom de principes douteux et des mensonges criminels. Mais c’est ainsi que ce monde et sa civilisation ont tenu les siècles. L’histoire nous enseigne que tout cycle a une fin. Je crois que le nôtre approche de son terme.
Chaos, confusion, violence et la mémoire collective jetée aux orties en sont les signes majeurs. Le résistant d'hier et celui d’aujourd’hui ont les mêmes ennemis à combattre. Un variant cependant : pour les premiers, l’ennemi vint de l’extérieur ; pour les résistants d’aujourd’hui, l’ennemi pousse dans notre sol !
Les « élus », qui n’en sont pas, puisque désignés, n’ont qu’un dessein, le privilège de la caste, et l’obéissance aveugle du serviteur. Qu’on ne parle pas de « choix démocratique » et autres saloperies du genre, quand on voit comment se dessinent déjà les prochaines présidentielles. La meute est dans les starting-blocks ! Torchons et serviettes unis dans la boue !
Le champ politique est un champ miné où le peuple sera dispersé dans les airs comme un nuage de confettis.
On nous met devant le tableau noir pour nous réapprendre le sens des « vraies valeurs », à savoir qu’un homme n’est plus un homme s’il n’est pas un animal docile, comme un chien ou un chat, castré de préférence, portant un collier anti-aboiement. Il ne sera accepté dans le nouveau monde que s’il devient cette machine programmée pour consentir à l’automutilation.
Des hordes transgenres déferlent sur nos plaines, envahissent l’espace culturel, la haine au bout des lèvres, le mensonge brandi comme un missel.
L’école, ce fleuron de notre culture, est devenue leur repaire, afin de façonner les enfants comme on monte un meuble en kit !
Me vient à la mémoire des bribes d’un chant claironné par nos ancêtres. Je ne sais pas si l’école républicaine garde trace dans ses archives :

Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines.
Ami entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne,
Ohé partisans ouvriers et paysans, c'est l'alarme !
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes...


Sous l’Casque d’Erby


vendredi 15 septembre 2023

Hors ou sous contrôle ?

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Je déteste les dates qui nourrissent le narratif de l’Empire. Elles ont une odeur de défaite insupportable.
Le 11 septembre n’échappe pas à la règle. Cette date, et l’événement qui la marque, a fait basculer le monde dans une autre dimension, celle de l’humain comme élément non essentiel de la vie et l’apparition miraculeuse du « terrorisme islamiste » ! …
C’est très sérieusement que des « têtes bien faites » nous fourguent le rossignol dans les médias dominants à chaque date anniversaire. Le récit officiel appuyant grossièrement sur le mensonge, je ne peux m’empêcher de comparer l’effondrement des tours avec la démolition des barres d’immeubles des cités clapiers des sixties et des seventies, âge d’or des bétaillères de banlieue !
Quand le bâtiment va, tout va !
En une vingtaine de secondes, tout est plié. On nomme ces techniques de démolition le « foudroyage ». Cette méthode permet de contrôler la chute sur un périmètre restreint.
Ceux qui ont fait le rapprochement avec les tours jumelles, disant que les avions n’ont pas pu faire un dégât pareil, sans un supplément de main d’œuvre, des complotistes jouissant encore à l'époque d’un peu d’audience, furent chassés des médias comme on tire le gibier à l’ouverture de la chasse. Ouste !
Plus rien n’a été comme avant à partir de cette date. Ce que nous pensions être une démocratie a jeté le masque pour nous montrer le visage hideux du monde de demain. Au point que, sans étonnement majeur, on a vu la classe intellectuelle rampant aux pieds des maîtres pour servir de passe-plats !
Tout était et continue à être écrit d’avance.
Lors de cette rentrée à la fac de Lyon (médecine ?), ai-je lu sur les réseaux, l’info est diffusée par une élève. Parmi les matières à étudier, on trouve la prochaine pandémie et la date de son apparition à l’automne, ainsi que le port du masque obligatoire envisagé pour le mois de décembre ! Consultez le programme !...
Qui veut le programme ?...
La voyance tutoie les puissances divines très au-delà de nos misérables capacités ! À moins que, le virus, animé par des sentiments suprahumains, ait décidé d’informer les autorités de l’État pour lui faire part de son intention de venir poser un cul lors de ses prochaines vacances en terre Hexagonale, à partir de ce 1ᵉʳ novembre, fête de tous les morts !
Tout comme a été orchestré (ma main au feu) le débarquement massif des « hordes africaines » à Lampedusa, jusqu’à 100 bateaux/jour ! Les médias parlent d’une « véritable apocalypse sans précédent » !
Au point que la France, terre d’accueil par excellence, a fermé la frontière à Vintimille. L'Allemagne a aussi fermement dit Nicht ! Que le quota de main d’œuvre à prix discount était atteint.
« Nous sommes seuls. Il faut maintenant déclarer l'état d'urgence et déployer les navires de guerre, car c'est la guerre ! », déclarent les autorités italiennes saisies de panique.
Et pourtant, on la voyait venir, cette « guerre », quand des lanceurs d’alerte mettaient en garde, se faisant traiter de racistes ou de fachos par des gauchistes décérébrés à la solde des Mondialistes!
Mais qui veut la ruine de l’Europe et de l’ensemble de ses peuples ? … Si nous avons notre petite idée sur la question, nombreux sont les tridosés qui ont les esgourdes bouchées.
À Lampedusa la situation est « complètement hors de contrôle » !
Giorgia Meloni, qu’on a vu au G20, cherchant sa fiche d’état civil, aussi chargée du tarbouif qu’une festivalière de Woodstock, a « fait expulser 190 000 envahisseurs à ce jour » !
Dans la vie, il y a ceux qui donnent les ordres et il y a ceux qui commandent !

Sous l’Casque d’Erby


samedi 9 septembre 2023

Concert de mort pour tambours et mitraille

Erby
Si nous pouvions entendre l’écho des consciences chaque fois qu’une parole est émise par des personnages importants, de ceux qui ont pouvoir de vie et de mort sur des millions de personnes, plus jamais nous ne leur accorderions le moindre crédit. Plus jamais, ils n’auraient droit d’exercer la plus petite fonction au sein de la collectivité humaine. Et moins nous déposerions nos destins entre des mains si viles !
Incroyable, ce que parfois un rêve peut sembler réel !
Tout le monde sait, parmi les hauts dignitaires, que la guerre en Ukraine est une guerre des États-Unis contre la Russie. Que l’Europe, ce modèle calqué sur celui de l’Oncle Sam, ne fait qu’obéir aux ordres, peu importe les conséquences pour les peuples. Tout comme ils savent que cette guerre est perdue pour le camp des globalistes, mais qu’ils la poursuivent parce que chaque montagne de morts les rapproche du but ultime, éradiquer un maximum d’humains afin d’atteindre ce chiffre idéal qu’ils se sont fixés, soit une population mondiale ramenée à 500 millions d'habitants.
Ceux qui ont pouvoir de vie et de mort, éprouvent un plaisir sataniste à rêver de postérité par le mal absolu.
Combien de jeunes, n’ayant pour beaucoup pas connu l’amour, sont fauchés par la mitraille, pourrissant sous un ciel indifférent, qui ne verront jamais les blés d’or ? C’est par centaines, par milliers que les soldats de la contre-offensive ukrainienne – cette réussite tant vantée par nos médias – désertent les rangs, parce qu’ils découvrent, horrifiés, que cette guerre n’est pas la leur ? Qu’on leur a vendu un mensonge ignoble avec lequel leur pays devra vivre désormais ?
Les élites qui ont tout planifié ont l’argent et le pouvoir. Avec le flouze, on achète les consciences, autrement dit une nuée de petites mains qui vont décupler d’énergie pour propager du mensonge comme on s’enduit le corps avec de la crème solaire.
Savent-elles qu’elles mentent en échange d’un revenu substantiel, devenant par le fait les « petites mains de la mort ? Bien sûr qu’elles le savent ! À combien se montent de nos jours les 30 deniers palpés par Judas quand il vendit Jésus ? En équivalent, on parlerait de 20 Francs Or, communément appelés des Napoléons ! C’est ça votre prix pour des millions de vies, messieurs les collabos ?
Demandons en passant aux artistes subventionnés ce qu’il en est, ils s’en sont si bien illustrés, usant de leur prestige, pour amener la population à se faire vacciner avec un vaccin génique, dont les effets secondaires ne sont plus à démontrer. Campagne de vaccination qui va redoubler d’intensité dans les semaines qui viennent, avec le même délire : la peur !
Parce que pour sauver des vies... N’oublions pas le très viral texto envoyé par le président à son ministre de la Santé lors de la première campagne : « Tiens bon, nous les aurons ces connards ! ».
Certains de ces artistes allant jusqu’à traiter de fachos ceux qui refusent la vaccination et le statut de futurs zombis ! Terme disqualifiant qui donne à l’artiste l’estampille de collabo. Or, nous savons, messieurs les « engagés » par l’hydre pharmaceutique, ce que signifie être un « collabo », l’avez-vous oublié ?
Dans ce concert de mort pour tambours et mitraille, diffusé par les médias du monde en continu, le public chloroformé se tient devant les écrans avec son plateau-télé, subjugué par la puissance de feu de l’orchestre, admirant religieusement, en famille et entre amis, la redoutable efficacité de la mise en scène. Hurlant, à la fin de chaque mouvement : « Mort à Poutine ! » 
Gare à celui qui aurait l’idée de venir gâcher une soirée si captivante avec des idées « réfractaires » !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

lundi 4 septembre 2023

Ne dormir que d'un oeil

M'Art' IN
Avant mon départ pour l’Angleterre, je me suis rendu à l’hosto pour un « contrôle technique ». Rien de grave, que de la routine, bien qu’avec les apprentis sorciers qui bourgeonnent dans les accueils du monde sanitaire, on ne sait jamais. Nul n’est à l’abri d’un test PCR et autres inventions covidiennes qu’on nous oblige à faire juste pour nous défoncer le tarbouif et fracasser l’immunité qui est en nous.
Nous vivons dans un pays où les hommes qui le gouvernent ont oublié la Charte de Nuremberg, tout en y faisant référence quand cela arrange les gangs qui les contrôlent.
Notez bien que depuis 202O, toute forme de pathologie, de l’entorse à la cheville, aux ligaments croisés du genou – gauche ou droit – vous classe d’office dans la catégorie « cas possible », « cas probable », « cas contact à risque » … Ou pire !
Quand la chose est débitée par un robot humain préprogrammé, il est difficile de contenir la courante. Vous laissez pisser et attendez ce qui est une des multiples logorrhées en vigueur.
« Tout va bien. Nous n’avons rien vu d’anormal. Consultez votre médecin traitant… », m’annonce-t-on au bout du bout. Lequel médecin traitant, dans le doute, après auscultation fouillée, vous réexpédie à l’envoyeur, car il n’est spécialiste de rien, le pauvre. Le ping-pong sanitaire peut durer si vous ne mettez pas fin à la partie.
Sept heures d’attente dans une piaule décorée à la diable, comme si le type qui a eu entre les mains le cercle chromatique avait une dette à honorer avec l’au-delà.
Quelques dessins stylisés représentant des lieux touristiques censés égayer votre séjour n’empêche pas le tic-tac du temps de vous plomber le moral. Vous éprouvez alors l’étrange sensation qu’un couturier de l’outre-monde est déjà en train de prendre vos mensurations pour une tenue mortuaire du dernier chic.
À ce moment précis, il n’était pas question de me faire porter l’abaya pour ce qui pourrait être mon dernier voyage, puisque le buzz n’avait pas encore colonisé l’esprit des amputés de la comprenette.
Cette histoire de tissu est encore une opération de divertissement pour décérébrés. J’ai découvert la nouvelle guérilla depuis l’Angleterre, où les gens s’habillent comme ils le souhaitent, et rien à foutre !
Sept heures à l’hôpital pour une prise de sang, un prélèvement d’urine et une radio du poitrail, de face et de côté. Entre-temps, on observe. On voit un personnel sous tension, tentant de colmater les brèches, de cacher la misère sous la moquette, fatigué de devoir expliquer que « tout va bien » à des patients dubitatifs, alors que le centre hospitalier de la ville est en faillite et le personnel en sursis !
Si un chef d’État vient vous dire que le gouvernement fait plus pour les hôpitaux en France qu’il ne fait pour aider ce drogué de Zelensky, contribuant par le fait à ruiner les nations européennes, cet homme est un menteur doublé d’un criminel.
Tout comme il doit arrêter de nous prendre pour des zombis en annonçant que bientôt la « vie d’avant le Covid » sera de retour, parole de totalitaire !
Le minimum qu’il mérite est un procès à la Nuremberg !

Sous l'Caque d'Erby