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Si certaines personnalités citées dans l’ouvrage ont aujourd’hui disparu leur malveillance perdure dans l’esprit de celles qui les ont succédées. Le mal ne connaît pas le repos.
Dans un prolongement logique, depuis l’apparition du fameux et très opportun virus du Covid-19 à l’hiver 2019, les personnes ayant cherché soit à suggérer un remède, à contester ou dénoncer l’imposture, ou à exprimer tout autre forme de doute, ont soudain trouvé une mort aussi étrange que suspecte, sans que cela n'alerte massivement une population sous sédatif médiatique. Des personnes ayant travaillé dans l'environnement proche du milieu où le virus s'est déclaré ou ayant à prendre des décisions politiques liées à la chose. Pas n'importe quel néophyte donc...
Ces personnes sont mortes par défénestration, par crise cardiaque ou par simple exécution d’une balle dans la tête. Certains auteurs de ces crimes ayant à leur tour été exécutés par d'autres tueurs, effaçant par le fait toute trace d'accointance avec quiconque, personne civile ou morale !
Un véritable bataillon de la mort et de tueurs à gage œuvrant sur la planète, pour le compte... de qui ?...
Des morts ayant été qualifiées par les services de police comme des suicides liés à un état dépressif ou à des accidents de santé, ou, encore, plus étrange, au « meurtre-suicide par strangulation », comme cela fut le cas avec le couple Barry Sherman, propriétaires du grand laboratoire canadien Apotex, un des principaux fabricants d’hydrochloroquine ! Selon l'enquête réalisée par monsieur Philippe Aimar, auteur de « Covid-19 – Enquête sur un virus » (2).
La réalité est un polar, la vérité un cauchemar !
On ne s’égare pas. Comment le pourrai-je, puisque tout est si machiavéliquement imbriqué !
Quelques citations donc du livre de Michel Collon cité en haut :
De l’Amiral Kurt Tidd, à propos du Venezuela : « Organisons pillages, troubles, insécurité… Le moment d’agir est arrivé (…) intensifier l’insatisfaction populaire, en favorisant plus d’instabilité et de pénurie jusqu’à des niveaux critiques, en intensifiant la dé-capitalisation, la fuite des capitaux étrangers et la dégringolade de la monnaie nationale (…) contribuer à rendre plus critique la situation pour la population (…) appel à des alliés internes afin qu’ils génèrent des manifestations, des troubles et de l’insécurité… » Un humaniste, l’Amiral !
De Michael Short, commandant des Forces alliées US Europe du sud (1944-2017) : « Si vous vous réveillez le matin et que vous n’avez pas d’électricité, ni gaz pour le poêle, et si le pont que vous prenez pour aller travailler est démoli et gît dans le Danube pour les 20 ans à venir, je pense que vous pouvez commencer à demander : « Hé Slobo (Slobodan Milosevic, président de la Yougoslavie), qu’est-ce qui se passe ? On va devoir supporter ça jusqu’à quand ? » Un grand poète, ce Short !
De Thomas Friedman, journaliste US, éditorialiste au New York Times et grand partisan de la guerre contre la Yougoslavie en 1999 : « Pour que la globalisation marche, l’Amérique ne doit pas craindre d’agir comme la superpuissance omnipotente qu’elle est. La main invisible du marché ne fonctionnera jamais sans un point caché. McDonald’s ne peut être prospère sans McDonnell Douglas, le constructeur de l’avion F-15. » Les journalistes, ces grands collabos !
Les 97 citations restantes sont de la même eau ! Et ils appellent ça le « Monde Libre » !
(1) USA Les 100 pires citations – Michel Collon - Investig’Action – 12€ - ou commander sur le site investigaction.net
Sous l’Casque d’Erby