samedi 22 mai 2021

La réalité est un polar, la vérité un cauchemar

M art' IN
Voici quelques citations sur la façon dont fonctionnent les « grands hommes » qui dirigent la planète. Elles sont extraites d’un ouvrage édité par Investig’Action sous la direction de son auteur Michel Collon : « USA, les 100 pires citations » (1).
Si certaines personnalités citées dans l’ouvrage ont aujourd’hui disparu leur malveillance perdure dans l’esprit de celles qui les ont succédées. Le mal ne connaît pas le repos.
Dans un prolongement logique, depuis l’apparition du fameux et très opportun virus du Covid-19 à l’hiver 2019, les personnes ayant cherché soit à suggérer un remède, à contester ou dénoncer l’imposture, ou à exprimer tout autre forme de doute, ont soudain trouvé une mort aussi étrange que suspecte, sans que cela n'alerte massivement une population sous sédatif médiatique. Des personnes ayant travaillé dans l'environnement proche du milieu où le virus s'est déclaré ou ayant à prendre des décisions politiques liées à la chose. Pas n'importe quel néophyte donc...
Ces personnes sont mortes par défénestration, par crise cardiaque ou par simple exécution d’une balle dans la tête. Certains auteurs de ces crimes ayant à leur tour été exécutés par d'autres tueurs, effaçant par le fait toute trace d'accointance avec quiconque, personne civile ou morale !
Un véritable bataillon de la mort et de tueurs à gage œuvrant sur la planète, pour le compte... de qui ?...
Des morts ayant été qualifiées par les services de police comme des suicides liés à un état dépressif ou à des accidents de santé, ou, encore, plus étrange, au « meurtre-suicide par strangulation », comme cela fut le cas avec le couple Barry Sherman, propriétaires du grand laboratoire canadien Apotex, un des principaux fabricants d’hydrochloroquine ! Selon l'enquête réalisée par monsieur Philippe Aimar, auteur de « Covid-19 – Enquête sur un virus » (2).
La réalité est un polar, la vérité un cauchemar !
On ne s’égare pas. Comment le pourrai-je, puisque tout est si machiavéliquement imbriqué !
Quelques citations donc du livre de Michel Collon cité en haut :
De l’Amiral Kurt Tidd, à propos du Venezuela : « Organisons pillages, troubles, insécurité… Le moment d’agir est arrivé (…) intensifier l’insatisfaction populaire, en favorisant plus d’instabilité et de pénurie jusqu’à des niveaux critiques, en intensifiant la dé-capitalisation, la fuite des capitaux étrangers et la dégringolade de la monnaie nationale (…) contribuer à rendre plus critique la situation pour la population (…) appel à des alliés internes afin qu’ils génèrent des manifestations, des troubles et de l’insécurité… » Un humaniste, l’Amiral !
De Michael Short, commandant des Forces alliées US Europe du sud (1944-2017) : « Si vous vous réveillez le matin et que vous n’avez pas d’électricité, ni gaz pour le poêle, et si le pont que vous prenez pour aller travailler est démoli et gît dans le Danube pour les 20 ans à venir, je pense que vous pouvez commencer à demander : « Hé Slobo (Slobodan Milosevic, président de la Yougoslavie), qu’est-ce qui se passe ? On va devoir supporter ça jusqu’à quand ? » Un grand poète, ce Short !
De Thomas Friedman, journaliste US, éditorialiste au New York Times et grand partisan de la guerre contre la Yougoslavie en 1999 : « Pour que la globalisation marche, l’Amérique ne doit pas craindre d’agir comme la superpuissance omnipotente qu’elle est. La main invisible du marché ne fonctionnera jamais sans un point caché. McDonald’s ne peut être prospère sans McDonnell Douglas, le constructeur de l’avion F-15. » Les journalistes, ces grands collabos !
Les 97 citations restantes sont de la même eau ! Et ils appellent ça le « Monde Libre » !

Sous l’Casque d’Erby



jeudi 20 mai 2021

Marée haute, marée basse

Du début à la fin 
Le meilleur et le pire 
Se tiennent par la main
Au cœur des contes de fées, 
Le cauchemar
La tête enfouie dans le sable
Bonheur improbable

Rupture de ton 
Rupture de temps
Soufflent les vents


En quête d'un refuge 
Imposture
Crique où loger
Le rafiot des illusions
Fracassé sur la roche en fusion
Pages gribouillées
L’oracle chante 
Des chimères échevelées

Marée haute, marée basse 
L’onde s'esclaffe
File des baffes

Les vagues se succèdent 
Sans que sous l’algue
L'humus n’apporte 
Le miracle
Caressant l'idée d’un alizé austral
Poussières d'étoiles
Effaçant l’horreur des âmes sales

Rupture de ton 
Rupture de temps 
Soufflent les vents

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 16 mai 2021

Palestine : extermination programmée ?

Une nouvelle fois, la Palestine, pays hôte du jadis SDF Israël, se fait canarder par les invités et les civils tombent, tombent, tombent. Comme souvent, femmes, enfants et vieillards sont les principales victimes.
Assistons-nous à une nouvelle « solution finale » imaginée par des cerveaux criminels ? A force, même les esprits les plus modérés finissent par le penser. Y compris au sein de la propre communauté juive !
En 1947, les forces alliées, anglais en tête, trouvent une terre d’accueil à la diaspora juive, après la rouste nazie de la seconde guerre mondiale. La Palestine est choisie et sa terre arbitrairement « partagée ». Tel le coucou, les israéliens pondent leurs œufs dans le nid des autres. 
Israël est né et très vite les palestiniens commencent à avoir la chtouille, non sans raison, puisque en une petite vingtaine d’années seulement le peuple invité a jeté ses tentacules sur 75 % du territoire palestinien. Colonisation express ! En avant, marche ! Le tout agrémenté d’exactions ad hoc avec la bénédiction d’un occident subjugué par une telle hardiesse !
Et si quelqu’un proteste, crie à l’expropriation, au vol et au crime, on l’écarte avec des arguments dignes de l’autofiction. Dieu en personne n’avait-il pas désigné Israël comme le « peuple élu », un soir où il avait visiblement abusé de la bouteille ? Si tant est que Dieu existe et qu’un quidam ait été témoin du propos ! Ne dit-on pas que l’abus d’absinthe rend fou ? Personne cependant pour authentifier la chose, puisqu’à l’époque Dieu, s’escrimant à rompre sa solitude, occupait son temps à créer tout et n’importe quoi !
Mais qui est le menteur dans cette histoire sans témoin ? Qui est le fou criminel ?...
L’agression systématique des palestiniens n’est pas la conséquence d’une énième réponse à l'attaque d’un peuple moribond, mais un projet préexistant pour imposer une loi et un discours manipulateurs afin de finir le travail. La censure et la contre-information des médias dominants servant de relais pour faire passer un crime pour un geste défensif.
A Berlin, Londres, Madrid, en Irlande…, dans toutes les capitales du monde, la mobilisation pour condamner cet acte criminel a été exemplaire.
A Paris, les manifestations de soutien ont été interdites par le gouvernement sous prétexte – on ne rit pas – d’empêcher la propagation de la « haine et l’antisémitisme » !
Aujourd’hui en France, c’est très tendance, celui ou ceux qui trouvent à y redire sont de fait disqualifiés avec des accusations calomnieuses comme « antisémite », « facho », « identitaire », « brun », et j’en passe. Or quand des millions de personnes, toutes opinions confondues, assistent à un crime et se mobilisent sans violence pour le dénoncer doit-on en déduire que l’humanité a sombré dans l’horreur ? 
Un crime reste un crime et les droits de l’homme ne sont pas faits uniquement, comme l’affirmait froidement Henry Kissinger, salaud parmi les salauds, pour « contrer les communistes ».

Sous l’Casque d’Erby



lundi 3 mai 2021

Fascisme sauce pandémique

Erby
Qu’est-ce qu’on s’amuse en ce début de 21ème siècle !
Il a suffit que quelques militaires, retraités ou pas, inquiets du vent mauvais qui secoue la France, viennent tirer la sonnette d’alarme auprès des fossoyeurs de la république, pour que des malins et la cohorte habituelle de mongoloïdes crient au « coup d’état », au « fascisme », à l’éclosion d’un « totalitarisme sanguinaire », attachés qu’ils restent à l’ancien logiciel, représentant le militaire la poitrine bardée de médailles devant sa garde prétorienne, prête à exécuter à la chaîne des citoyens par milliers après une prise de pouvoir sanglante.
Ces esprits perturbés oublient qu’un coup d’état ne s’annonce pas sur BFMTV ou un autre média à l’heure de l’apéro, il s’exécute. Subsidiairement, ces abîmés de la comprenette n’ont pas intégré que l’habit ne faisant pas le moine, le fascisme n’a plus besoin de l’équipement des ancêtres pour réussir à se saisir du pouvoir et à conduire le surplus du troupeau à l’abattoir.
Pour cela, nos dirigeants ont développé la torture sous une forme plus raffinée, cette fois via une peur de masse propagée par des pangolins déchaînés et dont la guérison ne peut passer que par un vaccin obligatoire, contenant on ne sait quelle saloperie, et l’instauration d’un nouvel ordre mondial « protecteur » que certains allumés confondent avec la jadis utopique « solidarité internationale » !
Notre opposition nationale n’a pas été dernière à danser sur l’air des « militaires séditieux », préoccupée qu’elle est par les futures élections, plus que par la bonne santé mentale et le bonheur des français, celui-ci passant d’abord par le leur. Tellement dévorée par l’ambition que rien de ce qui pourrait lui faire perdre une voix, comme la dénonciation du port du masque, le couvre-feu, le confinement, le passeport vaccinal, la destruction de l’économie et la misère subséquente ne les branche pas autant que ces militaires retraités atterrés par tout cela et par la disparition propre et nette du pays dont ils ont leur vie durant défendu les valeurs.
Entre ceux qui savent et ceux qui s’en doutent, nous sommes assez nombreux à penser que sous couvert de démocratie et du « droit de vote » gauche et droite servent d’abord les intérêts des banquiers dans un système « d’auto-alternance » aux rouages bien huilés, le parti de Marine Le Pen jouant à fond son rôle d’épouvantail. Tellement efficace !
Depuis plus de cinquante ans la classe politique brandit la menace de l’extrême droite pour se maintenir à flot. Or en cinquante ans l’extrême droite n’a jamais gouverné le pays et pourtant c’est sous un régime préfasciste que nous vivons ! Étonnant, non ?

Sous l'Casque d'Erby