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mercredi 25 juin 2025

Si l’Iran m’était conté

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La guerre n’est pas une mauvaise affaire pour qui en tire profit.
Dans les années 1950/1960, l'objectif des puissances dominantes était d'empêcher les pays du Moyen-Orient d'acquérir l'arme nucléaire.
Tout, mais pas ça ! Sauf pour Israël !
Il s'agissait alors d'une initiative soviétique visant à prévenir ce qui est arrivé par la suite. Dans le concept soviétique, cette région du monde, riche en matières dites fossiles et par sa position géographique, devait rester (ou devenir, la Seconde Guerre mondiale étant passée par là) une zone commerciale où les différents partenaires échangeraient produits et culture dans la bonne entente. Cela fut le cas pendant un temps.
Sous le règne du Shah d'Iran, par exemple, les relations entre l'ancien empire perse et le tout jeune État d'Israël étaient de bons voisinages. On commerçait et on entretenait des relations cordiales. Le Shah acquis à la cause occidentale n’était pas farouche au point d’aller faire le guérillero dans les monts Zagros !
Les discussions lancées entre Russes et Américains sur le sujet furent rapidement abandonnées sous la pression de l'État d'Israël, qui, sans en avoir l’air, avait d'autres projets en tête.
L'idée d'un « grand Israël » a toujours été l'obsession des dirigeants sionistes, habités par l’arrivée d'un Messie sur terre quand le monde serait à feu et à sang, afin de le sauver de lui-même et d'enfin cimenter le socle du peuple élu à la place qui lui revient, tout en haut de la pyramide humaine !
Cela paraît cinglé, mais chez eux ça ne rit pas avec la tambouille messianique ! Et qui de mieux pour accomplir cette « prophétie » que les théoriciens de cette idée démente ?
Ce que nous n’obtiendrons jamais par la diplomatie, nous l’aurons par le feu !
L'arrivée de la république islamique et de l'islam politique a bouleversé tout, contrariant les maîtres et donnant à Israël le moyen de se débarrasser des règles. D’aller porter le fer où bon lui semble dans son pré carré, avec la bénédiction des États-Unis, toujours prêt à jouer les John Wayne pour le compte des sionistes ! 
Il faut se débarrasser de l'idée que l'Iran était ou demeure un agresseur potentiel et Israël le gentil gendarme « démocratique » nullement guidé par l'ambition, comme la propagande le déclame chez les alliés de la Grande-Bretagne, pour des raisons historiques évidentes ; et en France, colonisée par l'État d'Israël, où bientôt toute critique à son égard pourrait être passible, au mieux, d'une garde à vue !
L'islam politique, héritier de la Perse antique, a redistribué les cartes et a été utilisé comme levier pour pousser Saddam Hussein à faire une guerre par procuration contre ses propres intérêts. Cette guerre de huit ans a coûté 1 200 000 morts et laissé l'Irak exsangue, un fruit mûr, bon à cueillir.
Ces faits expliquent la manipulation actuelle concernant un Iran « belliqueux », muni de l’arme nucléaire (faux), avec un risque grave de troisième guerre mondiale, ce qui arrange Israël, les marchands de canons et l’État profond, celui qu’on ne voit pas, mais qui nous a à l’œil !
La question est : par quel moyen de pression, Donald Trump, opposé à Israël et à l'état profond, a baissé, ou feint de baisser pavillon sur l’Iran, s’interroge à bon escient Candace Owen.
Comme on le pense fortement, le sionisme possède l’argent, les réseaux d’influence, les caméras cachées et l’arme la plus redoutable entre toutes : le chantage. 
Tant que cela durera, aucun président, quelles que soient les promesses et la volonté, ne pourra arrêter la machine infernale. 

Sous l’Casque d’Erby 


samedi 14 juin 2025

Hier, aujourd'hui, demain, une seule alternative : la guerre !

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Ouvertement déclarée ou non, la guerre nous est proposée comme on offre des produits à la consommation pendant les soldes. Un bras, une jambe, un crâne ou tout un corps à prix discount. Elle est l'entrée, le plat principal et le dessert d'un menu à la carte. 
L'Iran aujourd'hui, l'Ukraine plus tôt et Gaza pour garnir ce gros sandwich bien bourratif pour faire taire les consciences, avec deux fronts rangés en ordre de bataille : le Bien et le Mal. On gave l'opinion publique à qui on demande de donner une note de un à cinq à cette sinistre nourriture. 
De la chair à canon au silence des cimetières, c'est la mort qu'on revêt d'une étrange lumière. Si tant est que « lumière » soit le terme approprié en l'occurrence. Comme s’il n'existait dans un univers déshumanisé qu'une seule voie, celle de notre peur et de notre lâcheté dans une réalité virtualisée. La voie la plus directe et la plus aisée pour atteindre un confort qui nous pousse à penser que pour enrayer la gangrène, l'amputation d'un membre suffit à sauver l'organisme.
Nous sommes dans un jeu vidéo, comme en Irak avant et en Ukraine après, nous disputant le monopole d’une raison séquestrée par les organisateurs de cette sanguinaire odyssée. 
Au jeu de qui a raison et qui refuse d’avoir tort, nous finirons tous six pieds sous terre sans avoir creusé la question.
Quoi de plus évident pour escamoter un arbre que la forêt elle-même ? L’histoire est cette pute qui écume les champs de bataille pour, dans la putréfaction des cadavres, tirer un narratif qui la rendra appétissante au regard des futures victimes !
Quand le réel et le virtuel s’amalgament, il ne reste plus que des promesses qu’on ne peut pas tenir. Des propos sans témoins et des témoins qui disent les avoir entendus dans la bouche des muets.
Quand il ne restera plus que le souvenir flou de ce qui aurait pu être un monde différent, ceux qui auront échappé au carnage iront commémorer le martyre comme on célèbre une page glorieuse dans le grand livre noir de nos consciences.

Sous l’Casque d’Erby 



vendredi 7 octobre 2022

Actrices cisaillant leurs cheveux pour leur gueule !

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On me demande pourquoi n’ai-je plus de télé ? Une bizarrerie d’autant plus inexplicable que l’antenne satellite reste accrochée au pignon sud de la maison comme une tache que la modernité inflige. Ma réponse à la question ne varie pas : « parce que je vous ai, vous ! »
Au hasard, je sais ce que chacun et tous ont regardé comme programme la veille ou tout récemment. Ce qu’ils traînent comme fardeau, ce qui plombe la clairvoyance et dont on ne guérira peut-être jamais.
Le monde s’effondre ; le chaos s’installe dans la ouate des quartiers « résidentiels » ; la violence fait loi à la nuit tombée et la peur recouvre de son noir manteau les quartiers de la ville ; les prix flambent, les rayons se vident et ne se remplissent plus du tout, ou très peu. Et si tout ne va pas bien, on fait comme si.
En ce moment, avec l’Ukraine et la pénurie programmée, je sais de source sûre (de TF1 à TFX) que Poutine est le Diable personnifié. Que ses démons sont ceux qui refusent, de ce côté-ci de la rive, d’avaler une pilule d'une telle grosseur. Ceux qui, un peu plus tôt, n’ont pas voulu d’un vaccin frelaté et qu’on marginalise avec l’aide de ce que la machine d’Etat a comme moyens à disposition pour faire plier le réfractaire. Peine perdue : 25% de la population a résisté et résiste encore, en France, et peut-être davantage ailleurs dans le monde.
Mais actuellement, chez les décadents, la tendance est autre, elle a pour cadre l’Iran, les femmes qu’on opprime et qu’il faut libérer des « griffes de Satan » ! Le Wokisme est là pour réussir ce que la puissante CIA n’a pas réussi à faire jadis dans ce pays que tout le monde veut réduire en cendre, à commencer par Israël. Nous avons vu le résultat en Irak !
Des artistes féminines cisaillent des touffes de cheveux devant la caméra en guise de solidarité envers les femmes opprimées en Iran. C’est le nouveau combat de leur vie !
Putains protéiformes du showbiz avec lesquelles tout est conforme ! Portions congrues qu’on met en lumière dans le musée des lettres mortes. Une touffe de cheveux pour les femmes iraniennes ! Une autre pour les Ukrainiennes ! Et rien pour cet ex-magistrat qui proposait sa fille de 12 ans sur le Net à qui voulait bien violer de la chair tendre et à qui le tribunal a donné du sursis ? Un « avertissement sans frais » que ses confrères lui ont offert comme on fait un cadeau d’anniversaire !
Pas de touffes non plus pour les enfants victimes des réseaux pédophiles, dont l’Ukraine est une plaque tournante ! Motus aussi sur le trafic d’organes, dans cette Ukraine si exemplaire et si nazillonne !
Quelqu’un pour nous dire qui se cache derrière le rideau où faudra-t-il attendre 50 ans avant la levée du « secret défense » ?
Pas un poil sur la table pour les Gilets Jaunes réprimés par la police de Macron en mode tonton Macoute pendant leurs revendications pacifiques.
Plus tôt dans le calendrier, au plus fort du matraquage vaccinal, la mixité acteurs-actrices, à travers une campagne grossièrement orchestrée, étaient venus larmoyer dans les médias pour convaincre les rétifs de se faire vacciner pour retrouver dare-dare « la vie d’avant » et le retour du public dans les salles obscures. Rien de moins !
Des nantis carburant à la passe, comme vulgaires péripatéticiennes, capables de jouer une couleuvre de Montpellier après sa mue, une gallinette cendrée ou un marsupial, à qui il ne manque que les écailles, les plumes et les poils pour faire aussi vrai que nature, sont des pauvres gens sans personnalité, cultivant la mégalomanie comme on fait pousser la laitue romaine dans le potager.
Des salauds sans conscience !

Sous l’Casque d’Erby