Erby |
Hier, ce fut l’Ancien régime qui s’inclinait devant la bourgeoisie (et donc le système bancaire) omnipotente, imposant sa place au banquet des puissants. L’aristocratie changeait de nom.
Ôtons-nous de l’idée que la Révolution française fut la révolution du peuple. En la circonstance, le peuple servit de main d’œuvre à la nouvelle classe pour consacrer son pouvoir.
Tout récemment ce furent les nazis qui plièrent bagage, non sans auparavant avoir mis le monde dans un sale état, laissant derrière eux de l’héritage aux futurs apprentis sorciers. Ceux qui aujourd’hui, sous une autre casquette et des méthodes dites « lénifiantes », cherchent à atteindre les mêmes objectifs.
Le Covid (peu importe le nom du fléau mis en vitrine) servant de prétexte pour donner aux héritiers les moyens de leur pouvoir : l’esclavage de masse. La destruction des particularités locales et l’uniformité massive pour faire du monde tel que nous le connaissons et l’avons bâti, un immense enclos. Cela s’appelle le Grand Reset. Soit l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial, porté par le forum économique de Davos dont le grand prêtre est Klaus Schwab. Un criminel qui en a toujours rêvé. On n’est pas fils de Rothschild (côté maternel) pour rien !
La minorité qui aujourd’hui grandit pour, à nouveau, tuer la « bête immonde » a du pain sur la planche.
Aujourd’hui comme hier, l’adversaire le plus redoutable demeure notre voisin le naufragé. Celui à qui nous tendons la main pour sauver nos peaux. Victime comme tous de la manipulation de masse, il ne parvient pas à croire que la bête soit si immonde et, dans un réflexe de peur atavique, s’en prend à son allié, à son frère, à sa famille, s’il le faut !
En 1933, Adolf Hitler introduisit le « Der Ahnenpass », connu sous le nom de « passeport généalogique ». Ce pass confirmait que le détenteur était bel et bien d'origine arienne (les vaccinés aujourd’hui) et lui donnait accès aux musées, bâtiments publics, théâtres, écoles et emplois…
Si des esprits mal avisés voient en ce propos un lien de parenté entre les décisions du Père Adolf et celles prises par les gouvernements du monde depuis l’apparition si opportune du virus du Covid, je les conforte, c’est volontaire de ma part !
Si l’obligation vaccinale n’existe pas dans le texte (pas encore), le pauvre diable apeuré s’en sert comme argument quand il doit argumenter en faveur d'une démocratie de façade, oubliant que lui-même fait l’objet de chantage pour conserver son job ou tout autre activité, faute de quoi « adieu veau, vache, cochon, couvée » !
De la science-fiction ? Cela reste plus crédible que l’idée selon laquelle l’homme a marché sur la lune ! Quand le cinéma est capable de représenter des martiens, quoi de plus facile que de montrer trois gus en scaphandrier marchant dans le désert de l’Arizona feignant se trouver là où ils n’ont jamais mis les pieds !
Ce qui n’est pas du cinéma c’est le nombre de personnes vaccinées victimes d’effets secondaires graves et qui doivent interrompre leurs activités. C’est le cas dans le monde du showbiz où certaines stars font des malaises sur scène suite à la deuxième injection de saloperie vaccinale. Itou chez les sportifs où les problèmes cardiaques se multiplient…
Nouveauté : les médias dominants, ayant milité pour la vaccination à outrance, commencent à ouvrir les vannes et à aborder le sujet publiquement… Même si ces médias sont en grande majorité la propriété des héritiers du père Adolf la marmite commence à chauffer du cul !
Et si la minorité de complotistes grandissait, grandissait, grandissait et foutait en l'air toute la pourriture qui pourrit la vie sur terre ? Il faut y croire !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour. Durera le temps que ça durera. Mais sachez-le je ne suis pas une autruche !
RépondreSupprimer"la Révolution française fut la révolution du peuple. En la circonstance, le peuple servit de main d’œuvre à la nouvelle classe pour consacrer son pouvoir".
SupprimerEh oui, à refaire les livres d'histoire!
Excellent article... Important tous ces rappels... Eh oui, çà se réveille alentour, pas assez vite pourtant, mais bon, gardons l'espoir....
oma