Un an bientôt qu’on bride, on brime et on ligote les peuples du monde, avec des voix sporadiques qui s’élèvent, mais pas assez nombreuses pour que la rue se soulève.
Je n’y crois plus à ce « retour à la normale » tant attendu et tant proclamé.
J’entends par là, l’idée de retrouver les marqueurs que nous avions avant la mise en place de cette maudite dictature « sanitaire ».
Nous avons changé de dimension par le fait d’un mensonge. Des insectologues missionnés pour étudier le comportement chez les différentes colonies de la planète terre l’ont ainsi pensé et décidé. Que sommes-nous d’autre, malgré nos airs, sinon des insectes entre les mains d’entomologistes froids comme des coups de scalpels ?
Le « monde d’avant » appartient désormais à cette mémoire confuse qui agite encore l’intérieur de ceux qui ne perdent pas espoir, mais dont le poids dans la balance n’est qu’anecdotique. Même si mathématiquement la masse a ce poids pour elle, la minorité dominante a quasiment partie gagnée, puisqu’elle neutralise l’esprit par la peur et le mépris.
Par peur et par contrainte, nous porterons un masque qui ne protège pas mais qui est obligatoire !
L’enseignant imposera des règles traumatisantes aux élèves parce que telles sont les consignes.
Les infirmières continueront de sonder les trous de narines et du cul des patients à la recherche d’un trésor enfoui, parce que c’est ainsi qu’on le décide.
Les policiers frapperont au hasard tout « contrevenant », qu’il soit jeune, vieux ou handicapé, parce que c’est pucé dans les gènes et que c’est ainsi qu’on l’ordonne !
Les médecins prescriront en silence ce qu’on leur dit de prescrire, sous peine de se voir radiés du Conseil de l’Ordre, lui-même au service des multinationales de la santé.
Pour les mêmes raisons on vaccinera jusqu'à extinction les vieux dans les Maisons de retraite et on empêchera les familles de les approcher, les condamnant à mourir dans l’indifférence.
On obligera le personnel des entreprises à se faire vacciner sous peine de perdre l’emploi en cas de refus.
Une fois tous bien ligotés, autrement dit vaccinés et revaccinés, munis d’un passeport sanitaire (permettant l’accès aux lieux publics), séquestrés, menant une vie d’animaux en cage, on continuera de porter le masque, d’observer la distance sociale, de respecter le couvre-feu et de s’auto-confiner pour le plaisir des psychopathes qui ont tout imaginé et qui se frottent les mains devant ce spectacle incroyable qu’ils n’imaginaient pas aussi facile à réaliser.
Quant aux formules divertissantes qui fleurissent sur les réseaux sociaux, dans les milieux politiques et médiatiques, alimentant débats et rivalités, telles complotiste, islamogauchiste, antisémite – l’arsenal de istes est inépuisable – sont des bouts d’os qu’on lance à la meute pour lui faire croire qu’elle a des crocs et qu’elle jouit d’une liberté totale. Leurre !
Le monde d’avant ? On l’oublie ! Sauf si… Mais j’en doute.
La question que je me pose : pourquoi continuer d’aboyer « dans le désert » avec un blog sans audience, hormis celle de quelques chiens galeux qui osent encore y croire ?
Peut-être parce qu’au fond de moi brille toujours cette chose qu’on appelle l’honneur. Mais sûrement, j’ai un grain !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonsoir à toutes et à tous. Bien sûr que je suis pessimiste devant tout ça, mais je m'accroche à la petite étincelle qui clignote là-bas. Raison pour laquelle j'ai repris ce blog et continue à faire le peu que je peux.
RépondreSupprimerLaisse-moi te dire que je dois avoir l'autre grain !... Si je reprends mes cours (anciens) de psycho (de mémoire) : " le non dit est plus déstabilisant et dramatique que l'avoué.... (quelquefois sous contraintes) "
RépondreSupprimerooma
RépondreSupprimerBien sûr qu'il te faut continuer...pour ceux qui restent! "Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire." (G.Orwell)"
« Qui ne gueule pas la vérité quand il sait la vérité se fait le complice des menteurs et des faussaires.»(C.Péguy)
Et puis, entretenir la petite étincelle puisque:
« Je crois à la vertu des petits peuples. Je crois à la vertu du petit nombre. Le monde sera sauvé par quelques-uns."(A.Gide)