Affichage des articles dont le libellé est gilets jaunes. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est gilets jaunes. Afficher tous les articles

samedi 7 janvier 2023

7 janvier : la rue est à nous !

Source
Il s'en passe du vilain, du pas glop, du sale et de l'ignoble dans la tête de la horde dirigeante. On parle ici de sadisme porté à son paroxysme comme un culte à la haine.
Qu'ont fait les peuples pour mériter le sort qu'elle leur cuisine ? A quels seins a-t-elle été allaitée pour transformer ce qu'à l'origine devait être des êtres innocents en des monstres sans pitié ? Sont-ils nés comme ça ? Le serpent ne vient-t-il pas à la vie pourvu de son arsenal mortel ? Pourquoi pas ces semblables si dissemblables n'appartiendraient-ils pas à une espèce aussi traître que nuisible ?
De la très opportune apparition de la pandémie, à l'obligation d'un vaccin expérimental aux effets secondaires dévastateurs, rien n'est laissé au hasard pour faire de nos vies cet enfer que Dante avait à peine esquissé dans la Divine Comédie.
Dans la vraie vie, la nôtre et celle de nos enfants, il est fort peu probable que la rédemption soit au rendez-vous comme on le raconte dans les contes pour enfants plus ou moins mûrs.
Prenons l'exemple de Brigitte Macron, si tant est que sa féminité soit avérée, intronisée par les lois du détournement de mineurs et du mariage, première Dame de France, qui veut (ou voulait) remplacer la flèche de Notre Dame détruite par l'incendie, oeuvre de feu Eugène Viollet-le-Duc, par un cornet à deux boules dorées, symbole de... Symbole de quoi, au juste ? Un égout entrouvre une gueule obscène dans la beauté du monde et nous avons sous les dorures de nos palais son ambassadrice.
Au moment où la « branche famille » de la Sécurité Sociale balance des millions d'euros dans les poches de Cabinets Conseil pour faire de la SS ce que la horde fait avec les acquis sociaux du pays, les Gilets Jaunes reprennent du service, se mobilisent pour empêcher la ruine d'un pays et la destruction d'un continent à la culture millénaire, sauver leur peau avec l'aide d'autres bras, ou tomber au « champ d'honneur » avec la dignité pour bagage.
J'ignore si le mouvement sera suivi et soutenu comme il le mérite, mais une chose est indiscutable : les revendications ne sont pas de la roupie de sansonnette ! Elles étaient justes avant la pandémie, elles le demeurent après la filante de 49-3 que le gouvernement balance en guise de démocratie.
La « crise » s'est même aggravée avec une guerre d'Ukraine programmée dans ce but ! Posons la question à ceux qui se retrouvent sur le carreau pour ne pas avoir pris au sérieux un mouvement décrié par les mercenaires du pouvoir et par ceux qui, se croyant à l'abri, sont aujourd'hui à la rue ou sur le point de l'être !
Et qu'on ne chante pas, comme des nombreux tapineurs l'ont fait et continuent de le faire, artistes à talonnettes et chanteurs « engagés », que si l'Ukraine ; que si la pandémie ; que si la Chine ; que si la Russie... Que si les antivax...
Comme si le vaccin était ce « miracle » qui sauvera le monde ! A bientôt la cinquième dose, il s'en trouve des décervelés (j'en connais!) qui s'en enquièrent auprès des néo-piquousés comme si on prenait renseignement sur les améliorations mécaniques du dernier modèle de Lamborghini !
Eh, les gars ! On a le feu au cul ! Ne sentez-vous pas l'odeur de chair grillée qui agace les narines ?

Sous l'Casque d'Erby



mercredi 27 juillet 2022

Où trouve-t-on les vrais criminels ?

Violence et cynisme sont les ressorts de la gouvernance globale dont Macron est le mercenaire en France. La notion de pays et de frontières est désormais obsolète, l’immigration sauvage en est la preuve, s’il en fallait une. Les gouvernements nationaux ne font que gérer l’ingérable à l’improvisation. Outre la violence et le racisme que le flux migratoire génère et qui déstabilise la société dans ses fondations, elle fournit au capital de la main-d'œuvre dans l’esprit négrier d’avant l’abolition de l’esclavage.
Cela ne semble déranger personne, aussi bien à gauche qu’à droite, sauf pour assurer une présence médiatique nécessaire au commerce.
C’est ainsi que le pouvoir profond l’a décidé. Otages du Mondialisme et à la merci d’un « caprice » viral, nous faisons assurément partie des futurs disparus ! Pour cause de vaccination ou pour cause de refus !Quel que soit le camp dans lequel on évolue le sort qui nous est réservé ne fait pas de doute.
La « rivalité » gauche-droite avec laquelle on nous berne depuis 233 ans a vu le jour en 1789, lors de l’Assemblée Constituante à Versailles. Un peu d’histoire ne peut nuire.
Le décor était une grande salle rectangulaire où le Roi occupe la place centrale. Cette image je l’ai gardée depuis que, jeune, j'ai maté un film d’Abel Gance sur la révolution française.
A la droite du monarque, piaillaient les « modérés » ou « monarchistes constitutionnels », conservateurs à l’anglaise, avec l’intention de grignoter des parts du pouvoir à la royauté, parce que le pouvoir ça vous donne des moyens et de l’importance. A la gauche du Roi, on trouve jacobins et girondins, les plus hostiles au Roi et aux catholiques. Eux, c’est plus haineux. On les dits révolutionnaires (et ils le sont, mais pas à la manière que l’entendrait un gars du peuple comme moi). En réalité, ils appartiennent aux « Lumières », roulent pour les banques, et sont, dans la grande majorité, issus du protestantisme, dont ils ont hérité la rigidité idéologique. Luther et Calvin en sont les modèles. Autant dire que les chances de voir du sang sur les trottoirs et des têtes se détachant brutalement des troncs sont d’une probabilité absolue !
Le protestant est un monolithe qui s’inspire de l’ancien testament, se considère « choisi par Dieu » et engendre du puritanisme à la bétonnière. Ça vous maçonne de la conscience comme on creuse des fosses communes à la pelleteuse ! C’est une partie de cette famille qui s’en est allée coloniser l’Amérique (voyez le résultat !) et dont les restes traînent encore dans la vieille Europe, la France ayant gardé dans son panel politique des échantillons très parlants.
Comme on l’a vu dans cet épisode de l’histoire, le peuple c’est de la roupie de sansonnet. Il est de la pâte à modeler, pour applaudir aux exécutions publiques, pour claironner de la haine sur commande, servir de chair à canon et déglutir de la misère jusqu’à n’avoir plus dans le ventre que du dégoût à vomir ! Gauche et droite ne sont que l’illustration de ce que l’école n’enseigne pas.
Pour faire vite, les gilets jaunes en sont l’exemple le plus récent. Qu’avons-nous vu pendant l’occupation des ronds-points des va-nu-pieds avant un confinement sanitaire très opportun ? Rien que du très grossier : la gauche, la droite, les gauchistes, les bobos, les wokistes et autres collabos, dans une sorte d’Union sacrée, tapant du gilet jaune, hurlant à l’unissons contre l’horrible « facho », « l’antisémite irrécupérable », dans son habit le plus simple, celui qui inspire la peur aux nantis, priant pour qu’il ne quitte pas son sillon : le peuple !
Et que demandait et demande ce peuple des « fachos », provoqué, discrédité, bastonné par des hordes de provocateurs aux ordres de la préfecture, matraqué sans pitié par une police déchaînée tout au long des concentrations hebdomadaires ? Pour rappel :
- SMIC à 1300 euros net. - Favoriser les petits commences des villages et centres-villes. (Cesser la construction des grosses zones commerciales autour des grandes villes qui tuent le petit commerce.). + de parkings gratuits dans les centres-villes. - Que les GROS (Macdo, google, Amazon, Carrefour...) payent GROS et que les petits (artisans, TPE PME) payent petit. - Même système de sécurité sociale pour tous (y compris artisans et autoentrepreneurs). Fin du RSI. - Le système de retraite doit demeurer solidaire et donc socialisé. (Pas de retraite à point). - Fin de la hausse des taxes sur le carburant. - Pas de retraite en dessous de 1200 euros.
Quelle révolution ! Mais quel désastre économique ! 
Lisons ce que Laurent Cappelletti, professeur à la CNAM, a à nous dire sur l’opération destruction de l’économie par la gestion sanitaire : 600 milliards ! Explication.
Des « fachos », les Gilets Jaunes ? Des « antisémites » ? Où trouve-t-on les vrais criminels ? Regardons vers le haut de l'échelle sociale, chez les donneurs de leçons !

Sous l’Casque d’Erby 



dimanche 13 janvier 2019

Moix, le petit homme triste

Source
Yann Moix. Petit animateur de télé, petit écrivain, petit homme, avec une tête de juge provincial en quête de reconnaissance, Yann Moix a moussé son petit soi médiatique en déclarant : « A 50 ans, je suis incapable d’aimer une femme de 50 ans. Je trouve ça trop vieux ».
Poussé dans les cordes par une opinion très remontée, dont l’âge va de 7 à 77 ans, voire plus, droit dans ses bottes, le petit homme du vase clos médiatique persiste et signe, quand on lui demande, a posteriori, s’il n’a pas de regrets à exprimer : « non, je ne m’excuserai pas ! » qu’il a lâché.
En d’autres circonstances, on pourrait parler de courage, voire de témérité. Pour ma part, je ne vois dans son attitude que le signe d’une très grande pathologie.
Pauvre petit gars !
Source
Poulaga sauce piquante. Grâce  aux Gilets Jaunes, les poulagas explosent les statistiques. En plus de l’impunité pour avoir tué, blessé, arraché des mains, crevé des yeux, arrêté, incarcéré, bingué, jeunes, vieux, femmes et bientôt des enfants, si on ne les retient pas, ils ont vu leur salaire augmenter de 300 euros/mois, heures supplémentaires non comprises. Si la France a un jour été une république, aujourd'hui elle ne l'est plus.
Pour info, cette revalorisation salariale coûtera dans les 70 millions d’euros par an, disent les experts du gouvernement.
L’aubaine pour la police, qui aurait pu se fendre d’un communiqué pour remercier les Gilets Jaunes sans qui cette augmentation n’aurait jamais eu lieu.








Sous l’Casque d’Erby


mercredi 5 décembre 2018

Le vrai casseur c'est l'Etat !

Qu’importe l’appellation que l’on donne à un mouvement de contestation, elle a toujours la même origine : la colère du peuple devant le mépris de la classe dirigeante à son égard. Ce peuple qu'elle ronge jusqu'à l'os pour perpétuer ses privilèges. Mépris unanimement partagé par quasiment tout l’échiquier politique. De la gauche à la droite, partis politiques et organisations syndicales comprises, marchent main dans la main dans une sorte d’union sacrée pour considérer le peuple comme chose dépourvue de pensée et d’esprit, bon à porter le bagage.
Tournant le dos aux plateformes politiques, les gilets jaunes, ne veulent pas entrer dans le rang, tant ils sont habitués à se faire rouler dans la farine par ces escrocs. Alors quand monsieur Philippe parle de moratoire, ils savent (tout de même !) ce que le nom commun signifie : Moratorium, suspension momentanée des paiements, autorisée par un décret ou une loi dans certaines circonstances. Délai qu’on se donne a priori avant d’appliquer, de modifier, une décision.
Hors brouillage cela veut dire : augmentation différée. Pour le gazole, le gaz, l’électricité, et plus si affinité. Pour la peine, on continue d’enfiler le gilet allant se peler les miches sous la pluie jusqu’à faire entrer dans la gorge de ces sagouins que le peuple tient encore un peu à sa dignité !
Calmons-nous d’abord, semble dire monsieur Philippe. Après, nous ferons comme nous avons l’habitude de faire. Comme notre classe a toujours fait. C’est à une partie de bonneteau que nous invite le normand Édouard Philippe, ce jeu de trois cartes pratiqué par des filous en raflant le peu d’argent que les pauvres ont dans les poches.
Itou pour l’augmentation du SMIC dont on claironne une hausse de 3% ! En fait, il n’augmentera que de 1,8%. Augmentation correspondant à une « revalorisation automatique du salaire minimum, réalisée chaque année en fonction notamment de l'évolution de l'inflation pour les 20% de ménages aux revenus les plus faibles. » Dixit Le Figaro. Je ne me permettrai jamais de traiter monsieur Philippe de menteur. Il fait cela très bien tout seul !
Un mot sur les casseurs dont les médias ne cessent pas de nous bassiner. Il ne faut pas être grand stratège pour comprendre cela : si casseurs il y a, il faut les chercher ailleurs que chez les gilets jaunes ! L’histoire en est truffée d’exemples. L’État, sous toutes ses formes, s’est toujours bien illustré dans le domaine de la provocation et de la guerre sous fausse bannière…
Un gilet jaune est un pauvre qui exprime pacifiquement son ras-le-bol. Tout le contraire d’un casseur muni d’une carte de parti ou d’un insigne ministériel...
Mais, chut ! sinon je vais passer pour un complotiste et ce serait totalement faux !
A samedi prochain, les gilets !

Dernière minute : L’Élysée a annoncé à France info et BFMTV ce mercredi 5 décembre que la hausse des taxes sur les carburants n'est pas "suspendue, ni différée", mais bien "annulée" pour l'année 2019. L’Élysée a expliqué qu'il avait été décidé mardi soir que cette hausse ne figurerait pas au Projet de loi de finances 2019. Vigilance quand même.

 


Sous l'Casque d'Erby

     

samedi 1 décembre 2018

Foulards rouges, idées jaunes

Source image
C’est dans le très socialement sinistré département du Vaucluse qu’est né le groupe Foulards rouges - à ne pas confondre avec les mouchoirs rouges de Cholet, de sinistre mémoire -, en réponse au mouvement des Gilets jaunes. Ces citoyens en guenilles, bandana rouge noué au biceps, militent pour la « libre circulation » des conducteurs et pour le « droit de ne pas adhérer aux idées des Gilets jaunes » (?!).
Agissant de la sorte, ces hommes et ces femmes, anonymes ostracisés, au bord du précipice social, veulent par leur action, libérer la parole, danser la carmagnole en réduisant, tant que faire se peut, le niveau de douleur, d’anxiété, de stress ou de colère d’une société sous l’influence de charmeurs de serpents. Métier certes honorable mais ô combien aléatoire. Ils militent en outre pour la saisie des pungis, clarinette des charmeurs, dont le son dicte au serpent le comportement à observer devant la foule éblouie.
Créé sur Facebook, groupe fermé, les Foulards rouges dénoncent dans un élan inéquivoque « les actions des Gilets jaunes et l’inaction des pouvoirs publics » et se proposent de fluidifier la circulation dans le département du Vaucluse en appliquant ce que l’on suppose être une émanation du qi gong, discipline traditionnelle chinoise fondée sur la « libération de l'énergie vitale, associant mouvements fluides, exercices respiratoires et concentration de l'esprit » avant la prise d’un apéro bien mérité, au pied du Mont Ventoux, à un souffle d'Avignon, hameau d'origine de  notre très hugolienne Cosette.
Cette jacquerie est-elle le prélude à un mouvement de plus vaste amplitude ou, comme lors des épisodes précédents, va-t-elle donner lieu aux habituelles complications où, schisme, déviations, apostasie l’emporteront sur les valeurs d’origine ?
Comme ne se lasse pas de le répéter mon voisin sinologue : pour un homme avec un marteau tout ressemble à un clou.


Sous l'Casque d'Erby