samedi 22 février 2025

La Totalitarie n’est pas une crainte vaine.

Je crois que la France a atteint un niveau d’acceptation incroyable. La nomination de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel est une de ces aberrations qu’on enregistre généralement dans des républiques dites bananières, mais pas au pays de la démocratie « exemplaire », comme on se plaît à le répéter. On se demande ce qu’il faut de surdose pour qu’un tel déversement de merde dans l’auge des esprits cesse. 
Deux fois déjà que le RN fait l’épouvantail à l’occasion d’un vote important, pour in fine jouer les abonnés absents, sauvant par le fait les fesses de Kéké Rose, valeureux soldat de la pouillerie républicaine.
Aussitôt le déni accompli, pour sauver la face, les mêmes tirent des salves de boulets rouges sur l’infâme Apprenti sorcier ! À ce stade, le cynisme est dépassé ! 
Quand je pense aux moulinets hystériques d’une gauche diarrhéique, sans programme ni valeurs, brandissant l’étendard du sauvetage national, axant l’arc de campagne sur le barrage au RN, lors des dernières législatives, je me demande ce qu’il faut de plus au clampin pour ouvrir les châsses ! On n’exige pas pourtant l’abandon du foyer, quittant femme et enfants, partant à l’aventure dans le marécage amazonien, au milieu des crocos, des anacondas, des jaguars et autres petites bêtes à la piquouse létale ! De laisser tomber le confort et son programme favori à la téloche, empêchant quiconque de s’enivrer avec des sketchmans aussi nuls qu’un ciel d’hiver plombant les joies de l’été. 
Je nous demande, simplement, de regarder les choses bien en face ! Mais cela semble trop lourd pour certains. Bien plus lourd qu’une batterie de ministres et d’élus dans un concert de casseroles judiciaires ! Du jamais vu dans l’histoire de la Cinquième République !
Le peuple est abandonné par ses élus (ne parlons plus d’opposition), le dire relève désormais de la déficience mentale. J’ai honte de répéter l’axiome, tant l’évidence fait monter le tensiomètre.
Je ne demande pas, quand le débat s’installe avec des proches, d’adhérer à des théories révolutionnaires de type castriste, de saisir une escopette pour aller faire le coup de feu dans la Sierra Maestra. Ni d’instaurer un régime collectiviste avec ouverture de camps de rééducation ! Diable non !
Rien de tout cela. Je ne demande qu’un peu de lucidité ! De mirer objectivement la réalité comme on regarde un ciel menaçant derrière la vitre du salon. Ce n’est quand même pas le bout du monde ! Et pourtant !
Les élites nous roulent dessus et le crétin devient une plante décorative du plus mauvais goût.
Pour donner une petite idée de la toile tissée (même pas de la soie !) par les araignées du pouvoir, je vous laisse découvrir la trame : Macron à l’Élysée ; Bayrou à Matignon ; Ferrand au Conseil constitutionnel ; Moscovici à la Cour des comptes ; Braun-Pivet à l'Assemblée Nationale ; Von der Leyen présidente de la Commission européenne.
Si d’aventure, après vous avoir entendu râler, quelqu’un vous suggère une destination exotique vers la Totalitarie, refusez fermement. Nous y sommes ! 

Sous l’Casque d’Erby 


mercredi 19 février 2025

Nous sommes venus, nous avons vu, nous sommes vaincus !

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Je ne suis pas un géostratège. Je ne cherche pas, misérable portion de chair pensante, à changer le monde, mais à trouver ma place au milieu du chaos.
Le bien nommé Manu a convoqué une partouze à l’Élysée en compagnie de quelques résidus européistes, aussi divisés que possible. À défaut de participer à des vraies réunions diplomatiques avec les grands de ce monde, ils ont pu profiter de la déco toute moche du palais et larmoyer sur le malheur des branquignols ! Cela ressemblait plus à un dîner d’adieu qu’à un conseil de guerre avec casques et treillis !
Ce qui n’a pas empêché la pustule Ursula d’expectorer du haut de son petit corps une sorte de requiem : « La paix par la force ! » Alléluia ! 
La chose est avérée : l'UE a la getouille que la guerre cesse et avec elle les bonnes affaires générées par une politique totalitaire. Pour des raisons pratiques, les Zelensky, Manu-la-freluche et Scholz voient d’un bon œil la poursuite de la bonne petite guerre, afin de continuer leurs forfaitures à la tête des pays respectifs, évitant des élections et le ras-le-bol des électeurs, c'est déjà le cas pour Zelensky, envoyant au casse-pipe des millions de jeunes gens, par pur plaisir mégalo-sadique. Ce qui, a priori, ne leur pose pas des problèmes de conscience, puisque la diminution de la population et le grand remplacement subséquent font partie du package prôné par les Mondialistes !
Car une fois terminée cette guerre si lucrative pour les uns et si appauvrissante pour les peuples, sa classe politique, vendue au plus offrant, va devoir rendre des comptes et ça, ça fout une peur bleue à des dirigeants corrompus jusqu’à l’os.
D’où les moulinets ridicules des gnomes européistes contre le sommet US/Russie pour que cesse la guerre en Ukraine et revienne une période apaisée ! Une seule politique pour eux, celle de la terre brûlée ! La seule façon de sauver le Nuremberg 2 qui leur pend au nez, dont on parle avec insistance dans la rue.
Parallèlement au raout parisien, en Arabie saoudite, les vraies décisions sont prises entre Russes et Américains. Tandis qu'ici, on met en place un symbolique sabotage de la Russie en interdisant l’expédition de PlayStation et d'autres jeux vidéo d’importance ridicule, chez les grands, on rétablit les ambassades, on nomme ambassadeurs et personnels diplomatiques, on biffe les sanctions économiques et on parle de paix en Ukraine ! Que c’est douloureux !
L’Union européenne a reçu l’ordre de participer aux futures discussions pour « lever les sanctions antirusses » ! La chose n'empêchant pas l'UE de faire gnangnan en bombant le torse, comme si l’info ne circulait pas dans tous les cercles de la société – sauf chez les crétins à chaîne unique. 
Sans souci particulier quant à la présence de l'UE là-bas, les tenants rient et bâtissent une « paix durable » en se remplissant les poches !
Si le coup est rude pour cette UE criminelle, la bête immonde n’est pas pour autant terrassée. Elle a toujours assez de force pour nous nuire, nous citoyens d'Europe ! Si le verrou a été fragilisé, le pouvoir profond qui le contrôle a les moyens de se défendre de toute la force de sa puissance destructrice. 
À chacun de nous qui avons plus qu’assez d’une politique de la terre brûlée de donner une dernière poussée pour faire tomber cette forteresse de malheur !

Sous l’Casque d’Erby 



dimanche 16 février 2025

Pleurera bien qui pleurera le dernier !

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Les médias pleurent et fustigent. Les ONG pleurent et déplorent. L’OMS ne sait plus où donner de l’ordonnance. Soros frise l'apoplexie et va devoir mettre la main à la poche s’il veut continuer à déverser impunément ses cargaisons de migrants sur les rives du continent.
Le petit monde parasite de la subvention redouble d’énergie pour porter des coups fatals au nouvel antéchrist personnifié par l’affreux blond de Washington ! Dans une sorte de production où « tous les coups sont permis », ça frappe et re-frappe pour poursuivre impunément le commerce des sales affaires.
Certains journaux n’ont plus de quoi acheter du papier pour faire imprimer les discours dictés dans les ministères et les chancelleries pour nous expliquer en quoi la guerre est « bonne » comme une choucroute maison. Leur devise : tout faire pour faire taire la voix montant des profondeurs, pour mettre en lumière la vérité en allumant de contre-feux.
Les larbins médiatiques (certains ont déjà commencé à retourner leur veste) manquent de flouze pour employer des freluquets (grosse tête, petit corps) sans culture pour débiter du mensonge à la pelleteuse, fabriquant du narratif comme on distribue des calmants dans les asiles !
Les insultes tous azimuts ne suffisent plus. Comment faire pour arrêter l’hémorragie ? Il ne reste à l’engeance de l’UE, métastasée par le chantage, la haine et la corruption, sous l’emprise du pouvoir profond, que le terrorisme d'État et la guerre totale pour se sauver du naufrage. Attitude d’autant plus folle que si avant elle désignait Poutine comme seul ennemi, désormais, elle en compte deux avec Donald Trump. Une autre paire de manches ! Car ces deux-là n’envisagent nullement la participation au banquet des dignitaires européens afin de prendre les décisions qu'ils veulent prendre sur l'Ukraine et sur tout le reste ! Comme disait le regretté Michel Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent. » 
Si tout ça n’était pas si horrible, on serait tenté d’en rire ! Et ne comptons pas sur un sursaut des représentants nationaux de ce Parlement fantoche pour mettre un frein définitif à cette folie en claquant la porte ! Pourtant, c’est le moment de retrouver la souveraineté de la France. En d’autres temps (de Gaulle pour ne pas le citer) nous serions en train de jouer le rôle qui a été le sien pendant la guerre froide, marquant ses distances avec les USA (sortie du commandement intégré de l’OTAN en 1966) sans pour autant rompre avec le camp atlantique,  « déployant une politique en direction des pays de l’Est qui place la France en position de charnière pour éviter le pire  » en cas de tension extrême, ce qui fut souvent le cas.
L’Europe a bien des pages noires dans ses registres, mais celle qu’elle est en train d’écrire est d’une noirceur particulière.
On dit que l’humain est capable de tout, du meilleur comme du pire. Pour l’heure, c'est du pire qu’il s’agit. Et avec la conjugaison du nucléaire et de la folie des nazillons de l’UE, le cocktail peut se révéler particulièrement dévastateur. Si personne ne met le holà, bientôt ce ne sont pas les feuilles mortes que l’on ramassera à la pelle !
Dormez, braves gens qui refusez de regarder la vérité en face, creusez des trous dans le sable pour y enfouir vos têtes, c’est par le cul que vous prendrez du pruneau !

Sous l’Casque d’Erby 


jeudi 13 février 2025

Quel barouf cette élection américaine !

Il a fallu cela et la dose de manipulation habituelle pour voir s’agiter aux balcons les bonnes âmes pour une sorte de bacchanale de la bonne conscience ! « À bas le fascisme ! » C’est beau !
En revanche, on ne moufte pas, ou alors timidement, quand l’UE annule des élections dans des pays souverains, parce que le peuple n’a pas bien suivi les consignes. Les non-élus de l’Union appellent cela le « bouclier démocratique » ! 
Avec tout ça, rien ou si peu sur l’épuration de Gaza, ni le déplacement du reste de sa population vers une diaspora 2.0 ! Motus également quand cette chère CIA — si chère aux multiples ONG des pays atlantistes — balançait des millions (à elles et aux médias) pour déstabiliser le gouvernement légitime du Venezuela ou d’ailleurs ! On continue ? Parce que la liste est longue !
Je ne sais pas si l’effondrement d’un certain système de gouvernance aura pour effet le « réveil » des consciences, dont on parle à perte de salive. C’est très tendance, le « réveil des consciences » et la parole subconsciente… 
Je rêve à voix haute de la disparition de l’empire américain et de l’État d’Israël, ne sachant plus qui est l’auxiliaire de qui. Deux plaies dont le monde civilisé devrait se passer fort bien. Le rasage gratuit n'est pas pour aujourd'hui.
Malgré son éjection temporaire du pouvoir, les ex-tenanciers sont encore puissants et ont à leur disposition une armée frustrée par les coupes budgétaires opérées par le nouveau locataire de la Maison-Blanche. Cela rend nerveuses les petites mains éparpillées dans tous les milieux de la société, journalistes, voire rédactions entières, ONG et autres gauchistes, attendant des signes de la maison mère pour retrouver leurs statuts et surtout la manne qui en découle ! Par maison mère, on entend la CIA, acronyme d’un État dans l’État ! Ce pouvoir à la fois visible et profond possède le poison absolu : les médias et les réseaux dits de « gauche », petits suzerains de la « bonne conscience », agissant pour servir d’éclaireurs à l’armée de l’empire quand celle-ci a décidé d’intervenir n’importe où dans le monde. 
On parle de journalistes pissant de la copie ou postillonnant des mots d’ordre, sans se soucier de déontologie ! Avec l’écran plat dans le salon/chambre/cuisine, la corruption des esprits est totale ! Une véritable lobotomie chimique : « N’oubliez pas vos pilules bleues, vous vivrez mieux ! » 
On oublierait, si ce n’est déjà fait, la décennie épuisante passée à subir les assauts d’une administration impériale plus impliquée que jamais dans les coups tordus et la corruption tous azimuts. Un passif à donner la chair de poule à tout un poulailler : l’Ukraine, les biolabs, la répression ignoble par des nazis ukrainiens de la population russophone du Donbass, le génocide palestinien, le développement du mouvement woke, LGBT++++, l’OMS, l’ingérence éhontée dans des élections de pays légitimes, ainsi que la mise en circulation du tranquillisant des foules, le covid-19, tentative avérée d'un meurtre de masse et l’instauration d’un système totalitaire mondial, version George Orwell. La dystopie est totale !
Tout ça est oublié ! La télé m’a dit… ONG, médias et gouvernements du monde, gavés comme des oies, c'est des milliards investis pour notre perte que Trump fait économiser à son pays. À propos des ONG, lire l’ouvrage de Julien Teil édité en 2015 aux éditions Kontre Kulture : « Le livre noir des ONG ». Un témoignage décapant sur la collecte de fonds pour de grandes ONG. De quoi revoir sérieusement la copie sur le business « humanitaire » !
Mais, à partir du moment où l'on fait barrage au RN ! … qu’on lève le majeur à la verticale, hurlant « Vive le NFP », tout va pour le mieux dans le pire des mondes !
Rien n’est jamais vraiment dégagé dans le ciel tourmenté de la pensée !

Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 9 février 2025

La véritable fausse histoire de Jean Majeur, en LA mineur.

On ne change pas le monde, on l'accompagne dans sa chute.

Tu me suis ?... OK… Parce que moi, je suis largué total… On y va ? Peut-être qu’à plusieurs, on aura une petite chance… Déjà qu’un nœud, c'est pas facile à dénouer… Imagine un sac ?
C’est l’histoire d’un type… Comment dire ?… Enfin, quand on dit un type… C’est ça, et ce n'est pas ça… Tu vois où je veux en venir ? Non ? Pas grave, ce qui est important, c’est l’importance des choses… Vraies ou fausses… Cela ressemble un peu à ces icônes pieuses qu’on distribuait autrefois dans les écoles religieuses… et dans les organisations politiques. T’avais des saints patrons à la pelle, un pour chaque fonction… Le saint des chauffeurs, les saints des alcoolos, ils sont deux !… Matthias et Martin… C’est le minimum !
T’es largué ? Je te rassure, moi aussi !... Le gars de mon histoire aurait eu 2 enfants… Qu’on dit… C’était du temps où il était encore le gars qu’on croît et que tout le monde prenait pour ce qu’il disait être. Adolphe et Benito qu’ils se nommaient, les petiots…  
Ils font leurs vies les uns sans les autres… C’était courant à l’époque… La « révolution » de Mai 68… La « permissivité », je t’abuse dans le berceau et j’explique tout ça à la télé… Tout le monde applaudit… La vie était un acte sexuel permanent… N’importe qui s’en vantait… Et Jean Majeur n’était pas le dernier à la fête… 
Ellipse…
Le temps a passé… Le gars a changé… Je veux dire Jean Majeur est devenu… Autre chose… À présent, c’est une « femme », qu'il dit. Elle est genrée, si tu vois ce que je veux dire… Hyper engagée dans son nouveau costard ! Rien d’extraordinaire dans son milieu… Ils sont nombreux à emprunter le sexe de la voisine de palier… Perruque, maquillage, talon aiguille, guêpière et porte-jarretelles… Sauf qu’au sous-sol, c’est toujours le service trois pièces ! Jean Majeur est pour son éradication, le clame haut et fort, mais garde le sien ! Je crois… C'est ce qu'on raconte.
Il retrouve Adolphe à ses 14 piges, sur les bancs de l'école, après trans-formation. Iel est enseignant(e). Désormais, son nom de scène, c’est Bribri, ou Véro, dans les cabarets interlopes…  Elle est en chasse… Coup de foudre de l’un pour l’autre. C’est le père, le fils, la mère et… T'imagines ?… 
Ni une ni deux, la Vorace t’alpague le bourgeon, te l’entortille sous l’édredon et lui murmure des choses définitives qu'un garçon de 14 ans ne peut entendre sans chavirer de la cafetière : « Je suis ton mari et ta femme, et tu vas aimer ça ! Question d’habitude. A nous la belle vie ! Ne reste plus qu’à mettre de l’ordre dans tout ça… Le narratif, c'est important… Pour tout le monde, je suis ta femme !... Je connais une chirurgienne plasticienne à la sécu, qui va nous arranger le coup… Tu verras, nous allons nous amuser. »
Tu suis toujours ? Pas trop mal à la tête ? Bref, ce qui à la base était une anomalie… « Anomalie ! », ça sonne bizarre… On dirait l’anagramme d’animal !
Pris au jeu et par la « vertu » des réseaux… Réseau est un terme générique… Ça veut dire un tas de choses… À commencer par la principale : se mettre à l'abri… Grâce donc aux réseaux, ce couple dysfonctionnel (le père qui devient la mère du petit, puis sa femme) se hisse au plus haut degré du pouvoir d'un pays imaginaire dans lequel il a été parachuté avec pour mission de le détruire !
Ce mensonge d’État est tellement énorme qu’il occupe les rédactions des médias du monde entier… Toutes les rédactions, sauf celles du pays où l’histoire se déroule ! Mieux, même l’opposition politique de ce pays imaginaire (j'insiste) s’est murée dans un silence de sépulcre ! En bouche close n'entre mouche !
Tenu en laisse, le peuple, guidé par des médias sous contrôle, méchamment conditionné, nie fortement de la tête : « Rien à battre ! » « Complot, que tout ça ! »… « Malfaisance ! »… 
Puis, vient le mot magique qui élimine les derniers doutes, comme on purge son organisme le lendemain d’une grosse cuite : « Fake news ! » ; « C’est mon écran plat qui l'dit ! ».
Grosse affaire judiciaire en vue. Si procès, les charges, c’est du lourd : usurpation d’identité, détournement de mineur, inceste, pédophilie… Pratique du pouvoir sans mandat, visant à ruiner le pays imaginaire, le précipitant dans un nouvel âge de pierre… 
Avec ça… Finie la vie en rose, mon poulet ! Mais, faut dire les choses, si on veut être juste, tout ceci est un conte à dormir debout : « Toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. » 
 
Sous l'Casque d'Erby


vendredi 7 février 2025

Trump : le très probable et le presque improbable

Comme l’a dit le poète – et avant lui un tas de sceptiques – « rien n’est jamais acquis », en matière de pouvoir, sauf le désamour ! L’enthousiasme de la veille laissant la place à l’amertume et à la culpabilité. Se sentir coupable est une constante dans la relation de l’homme avec la chose politique. Rien n’est plus décevant que la politique et son panier de crabes. Ça pince dans les casiers !
Ôtez cette main que je ne saurai lâcher ! 
Ainsi Trump qui veut récupérer les restes de Gaza au nom de L’Empire, mais pour le compte de qui ? Ferait-il de la sous-traitance, invitant les Palestiniens à prendre leurs baluchons et à se mettre en route vers des terres promises, loin de chez eux ? L’idée ne manque pas d’audace, mais tient la route !
Oncle Donald, si bien sous tous rapports jusqu’à présent, aurait l’idée de laisser Israël finir le boulot et s’en approprier la poussière pour bâtir un mini Dubaï, qu’il nomme modestement « La Riviera du Moyen-Orient » !
Ne vous mettez pas à yoyotter de la toutouffe gratuitement, il est taquin, le pépère. Nous ferait-il le coup de l’annexion du Canada à l'envers ? Ce qui est une manière d’amuser la galerie, pendant qu’il oriente la lunette vers le véritable objectif : exploiter les champs gaziers au large de Gaza et laisser Israël creuser un canal qui lui tient à cœur, de la mer Rouge (golf d'Aqaba), jusqu'à Ashkelon, afin de récupérer une partie ou la quasi-totalité du trafic du canal de Suez ?
Ni facho, ni monstre, c’est l’esprit pratique de l’homme d’affaires à la tête d’un empire vacillant qui fait des affaires sur le charnier palestinien, en essayant de redresser la barre !
Autre gros nuage dans le ciel étoilé : la reprise d’envoi des armes à l’Ukraine ! Quel est son projet cette fois-ci ? Laisser la Russie consolider ses frontières, et, comme pour la Palestine, une fois l’Ukraine morcelée, biffée, intégrant les livres d’histoire dans les écoles, récupérer les « terres rares, clé de voûte de l'industrie high-tech mondiale » ? 
Comme on ne se lasse pas de le répéter, la guerre en Ukraine, ce n’est pas Poutine qui l’a déclenchée. Ni même Donald Trump ! Mais il est certain que Père Donald ne rassure pas le petit peuple, méchamment torturé par l’État profond depuis l’avènement du contrôle mondial des populations par la santé et par la peur, via le covid, parmi d'autres joyeusetés !
Garde-t-il des cartes dans sa manche, comme il en a l’habitude ? Je suis tenté de le croire, tout en gardant une dans la mienne. De carte !
Optimistes et laudateurs n’en démordent pas : « Donald va tous les niquer ! »  Le problème est qu’en la matière, n’est niqué que celui qui veut y consentir. Sauf le cas contraire et, dans ce cas, on parlerait de viol !

Sous l’Casque d’Erby 


mardi 4 février 2025

Les villes à la campagne et la main de ma sœur.

M art' IN
Grosso et Modo sont sur un bateau, l’un tombe à l’eau… Qui reste-t-il ? Fastoche. Il reste Mélenchon, caricature du chef d’une opposition mise sous scellé, donnant de la voix comme un sous-off de bataillon disciplinaire dans un camp de rééducation citoyen.
Méluche est celui qui, quand il y a plus de deux boutons pour voter au Parlement européen, demande à faire un stage de formation rémunéré pour en apprendre le fonctionnement. Plus de deux cents erreurs enregistrées sous son patronyme et celui de la FI. Qui dit autant ? Ne quittez pas, la réponse est tombée : Marine Le Pen !
Méluche qui dit sans rire à des jeunes étudiants dans un amphi bondé qu’il faut se faire à l’idée que les paysans ne sont plus des paysans, ni la France, le pays de leur enfance. Que s’y accoutumer est un acte de résilience. Une façon de moins souffrir devant un choc traumatique.
En outre, il milite pour le repeuplement des campagnes par le déplacement massif de la racaille des grandes villes vers le désert rural. À l’instar de Ferdinand Lop, l’humour et la causticité en moins, qui militait pour « les villes à la campagne », Méluche nous fait une cagade globaliste. Au moment où les mondialistes sont au plus mal, il remet une pièce dans la machine !
Puisqu’il le dit, acceptons – nous avons déjà tant accepté – l’idée d’une expropriation massive de nos biens par des migrants expédiés sans billet de retour dans nos belles contrées par la galaxie Soros. Oublions les valeurs sur lesquelles Méluche et d’autres ont bâti leurs campagnes électorales de jadis : la propriété privée, la famille, la fierté d’être français, pays de référence ! Place au nouveau paradigme !
Bouton rouge, bouton vert ou bouton blanc ?
Si, d’aventure, cette aventure vire au vinaigre, ce qui est hautement prévisible, et aux coups de couteau dispensés, entraînant la mort et des traumatismes durables, ne blâmons personne. Surtout pas les auteurs, car ce serait facho ! Tout comme nous sommes antisémites dès lors qu’on dénonce le nettoyage ethnique – là, je suis soft – en Palestine !
Dieu aurait-il ses bonnes et ses mauvaises brebis ?
Écoutons le berger Mélenchon. Rendons-nous massivement aux frontières, organisons des kermesses citoyennes. Ouvrons nos cœurs aux néocolonialistes dans un élan de soumission qui ne serait qu’un juste retour des choses pour tout le mal que nos ancêtres ont fait.
Certes, certes. Mais nous ? Rien à foutre, vous paierez, car il existe une justice immanente, parole de berger !
Car si malentendu il y a, cela est dû à la distance culturelle et civilisationnel de deux groupes humains : l’entrant et celui qui fait ses valoches ! Rien de grave.
Ainsi, quand une femme se fait violer et tuer, on ne parle pas de viol ni de meurtre. On dira que l’apport culturel de l’un n’est pas bien compris par des femelles affriolantes, n’ayant aucunement conscience de l’impact visuel et les dégâts que des tenues suggestives provoquent chez le violeur !
Broutille que cela ! Ce n’est quand même pas la faute du nouvel arrivant si les français ne s’alignent pas sur leurs mœurs !
Et dire que quand j’étais plus jeune et plus con, j’avais un fond d’estime pour Mélenchon !

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 2 février 2025

Les aiguilles du temps

Au pied des crêtes chevelues, 
Où serpente l’esprit des choses vues, 
Des choses sues. Des choses ignorées, 
M art'IN
Une graine patiente et vulnérable,
Sommeille dans le silence des tiroirs.
Son attente peut durer des jours, des mois.
Des années avant d’éclore et s'épanouir.
Si tout va bien pour elle. Sinon…
La terre gardera à jamais le secret de ses promesses, 
Le remous complexe de ses élans.
Je sais… Je suis… La pensée submergée…
Je suis le néant d’une portion imaginée.
Microparticule agitée par le fantôme des idées.
C’était hier. Ou il y a des années.
Le quand et l’endroit n’ont pas de planète où loger.
À nous prendre pour Dieu, on finit par faire du miracle
La nourriture du diable.
Pouvons-nous, comme on le fait de jour en jour,
De siècle en siècle,
Rendre responsable de la folie le dernier venu ?
Des ravines creusées par des larmes chagrines,
Tracent des voies en dedans et en dehors.
Le monde file son train d’enfer.
Des hommes jouent avec les aiguilles d’avant les temps.
Dans le soleil tombant des crépuscules incendiés.
Des ombres mouvantes font des ricochets,
Sur l’eau indifférente des lacs confinés.

Sous l’Casque d’Erby