dimanche 16 février 2025

Pleurera bien qui pleurera le dernier !

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Les médias pleurent et fustigent. Les ONG pleurent et déplorent. L’OMS ne sait plus où donner de l’ordonnance. Soros frise l'apoplexie et va devoir mettre la main à la poche s’il veut continuer à déverser impunément ses cargaisons de migrants sur les rives du continent.
Le petit monde parasite de la subvention redouble d’énergie pour porter des coups fatals au nouvel antéchrist personnifié par l’affreux blond de Washington ! Dans une sorte de production où « tous les coups sont permis », ça frappe et re-frappe pour poursuivre impunément le commerce des sales affaires.
Certains journaux n’ont plus de quoi acheter du papier pour faire imprimer les discours dictés dans les ministères et les chancelleries pour nous expliquer en quoi la guerre est « bonne » comme une choucroute maison. Leur devise : tout faire pour faire taire la voix montant des profondeurs, pour mettre en lumière la vérité en allumant de contre-feux.
Les larbins médiatiques (certains ont déjà commencé à retourner leur veste) manquent de flouze pour employer des freluquets (grosse tête, petit corps) sans culture pour débiter du mensonge à la pelleteuse, fabriquant du narratif comme on distribue des calmants dans les asiles !
Les insultes tous azimuts ne suffisent plus. Comment faire pour arrêter l’hémorragie ? Il ne reste à l’engeance de l’UE, métastasée par le chantage, la haine et la corruption, sous l’emprise du pouvoir profond, que le terrorisme d'État et la guerre totale pour se sauver du naufrage. Attitude d’autant plus folle que si avant elle désignait Poutine comme seul ennemi, désormais, elle en compte deux avec Donald Trump. Une autre paire de manches ! Car ces deux-là n’envisagent nullement la participation au banquet des dignitaires européens afin de prendre les décisions qu'ils veulent prendre sur l'Ukraine et sur tout le reste ! Comme disait le regretté Michel Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent. » 
Si tout ça n’était pas si horrible, on serait tenté d’en rire ! Et ne comptons pas sur un sursaut des représentants nationaux de ce Parlement fantoche pour mettre un frein définitif à cette folie en claquant la porte ! Pourtant, c’est le moment de retrouver la souveraineté de la France. En d’autres temps (de Gaulle pour ne pas le citer) nous serions en train de jouer le rôle qui a été le sien pendant la guerre froide, marquant ses distances avec les USA (sortie du commandement intégré de l’OTAN en 1966) sans pour autant rompre avec le camp atlantique,  « déployant une politique en direction des pays de l’Est qui place la France en position de charnière pour éviter le pire  » en cas de tension extrême, ce qui fut souvent le cas.
L’Europe a bien des pages noires dans ses registres, mais celle qu’elle est en train d’écrire est d’une noirceur particulière.
On dit que l’humain est capable de tout, du meilleur comme du pire. Pour l’heure, c'est du pire qu’il s’agit. Et avec la conjugaison du nucléaire et de la folie des nazillons de l’UE, le cocktail peut se révéler particulièrement dévastateur. Si personne ne met le holà, bientôt ce ne sont pas les feuilles mortes que l’on ramassera à la pelle !
Dormez, braves gens qui refusez de regarder la vérité en face, creusez des trous dans le sable pour y enfouir vos têtes, c’est par le cul que vous prendrez du pruneau !

Sous l’Casque d’Erby 


5 commentaires:

  1. Le bonjour aux Dames et itou aux messieurs. Voilà un jour où je n'envisageais pas grand-chose. Puis... ça m'a asticoté un brin tout ce chaos. Donc, voilà. Le bon dimanche.

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  2. Ah j'ai bien fait de regarder ! Not'Rodo a semé sa petite graine, en ce beau dimanche ensoleillé !
    Quand je repense à de Gaulle, qui, fine mouche, avait pensé à reconnaître la Chine du temps de Mao Zedong : tout le monde lui avait tiré la tronche ! Mais, détail pas du tout sans importance, la diplomatie de ce temps-là reconnaissait "un pays", pas son gouvernement, et à l'époque la Chine n'était déjà pas négligeable ! Mitterrand n'était pas content, mais lui reconnaissait un régime, pas un pays, ce qui lui compliquait la vie ! 1964, c'était peu de temps avant le voyage de Rémi dans l'empire du Milieu, où il avait poussé "le vice" jusqu'à demander une prolongation d'une semaine pour aller planter le riz avec le Chinois de base, dans les rizières... les deux qui l'accompagnaient, eux, qui étaient en fait des commissaires politiques, étaient rentrés bien sagement à Paris.
    Ah la Chine... grâce à des intervenants chez le Grand Soir y vivant, on en sait un peu plus, et pour le moment il semble que, mise à part une civilisation très différente, pour le moment la situation soit presque plus enviable qu'en France : études gratuite, soins de santé gratuits, pratiquement pas de SDF, culture valorisée, même chez les Ouïgours ou les Tibétains qui sont plus libres que nous, y compris pour le droit d'expression. De plus leur langue a été très simplifiée du temps de Mao, alors que l'île de Taiwan où sévit le régime du Guomindang, ils en sont encore au chinois mandarin d'une complexité terrible (témoignage d'un frère de mon gendre qui y habite, avec l'inconvénient comme au Japon DES tremblements de terre QUOTIDIENS).
    Dommage que ce soit si loin, pour un peu on irait s'y installer : à ceci près que, comme l'avait rapporté un autre Français vivant en Chine, mais loin au sud, un Français est bien accepté à condition de rester français et de ne pas chercher à faire ami-ami : ça ne se fait pas. Autant, alors, aller s'installer en Sibérie orientale, où des facilités sont données à condition de connaître la langue. Un peu rude, mais sans doute pas pire que certains coins d'Allemagne.
    Bonjour Rodo, bonjour Oma, bonjour ceux qui hésitent à se montrer, et pour ceux qui craignent la perte d'anonymat je propose cette séquence vidéo où à la fin c'est moi qu'on voit (d'ailleurs ce coup-là, le drone de mon fils a bien servi).
    Bon dimanche !
    JC

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    1. Bonjour Jean-Claude. Cela s’appelle porter le commentaire à un niveau supérieur. Il n’y a pas que la réflexion, mais, aussi, le poids qu’on y met. Puisqu’il est question de diplomatie et d’équilibre politique. Deux qualités que la France possédait hautement, que des dirigeants corrompus et irresponsables ont vendu au plus offrant (parfois offert), poussant le pays à jouer une partition ridicule dans un monde qui échappe lamentablement à son influence. Mais au fond, n’était-ce là le prix à payer par ces camelots (le fameux retour d’ascenseur) pour se faire élire au poste de Líder Maximo  ?
      Ah, la vidéo ! Je l’avais déjà visionnée. Il faut en faire d’autres. Tu diras ça à qui de droit.

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  3. Merci pour ces mots tant vrais de Pierre Dac !!! J'ai dû décrocher d'ici pour cause famille et amis, de belles heures grâce à vous, et décroché par force de l'actu...Aujourd'hui, appris beaucoup également par JC sur la Chine que je n'ai jamais soupçonné être la dictature prônée par nos vicieux médias ...Et j'ai pu voir la vidéo et faire connaissance avec plaisir de JC ;-) ... A bientôt, bon dimanche !
    Oma

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    1. Bonjour Oma. Que ce « décrochage », comme tu dis, fut beau ! Le cadre et la météo dans une conjugaison parfaite. Avec les amis, la famille, les enfants. Sublime instant dont on gardera longtemps le souvenir. Bises.

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