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Selon le magazine cher au très visqueux BHL, le couple infernal aurait employé au blackos une « sans papier » qu’il sous-payait pour faire le ménage propre, ce qui n’est ni républicain, ni humain ! Comme preuve de ce délit social, la capture d’écran d’un échange de messages téléphoniques entre l’exploitée et l’exploiteuse Raquel Garrido.
Tollé ! Cris d’orfraies ! Plainte en diffamation ! La totale ! La vérité si je mens, j’y ai cru !
Un mensonge, encore un, dans la presse de caniveau (comment la nommer autrement ?) ! Mais qu’avons-nous d’autre pour nourrir et réconforter un esprit abîmé par ces temps de pauvreté morale et de pré-totalitarisme galopant !?
Pris les pinceaux dans la confiote, le magazine avoue, fait sniff-sniff, multiplie les messages d’excuses sur les réseaux sociaux, dépublie le texte incriminé et ostracise le journaliste coupable de calomnie, espérant que, comme d’habitude, tout ça sera mouliné par les oubliettes en peu de temps, avant de reprendre sa marche en avant vers la déchéance.
Ne dit-on pas « faute avouée, faute à moitié pardonnée » ? Oui, mais à moitié seulement, on n’oublie pas la grosse moitié coupable !
Mais revenons au cœur du sujet : le mensonge et la calomnie. Ne sommes-nous pas dès lors dans le droit de mettre en doute le reste du contenu informatif de ce magazine « respectable », sur le Covid, sur l’obligation vaccinale (1), le confinement, le couvre-feu, le laissez-passer, copié sur le modèle nazi pendant l’occupation ? Ne pouvons-nous exprimer des doutes sur la couverture de la guerre en Ukraine, sur les véritables enjeux et sur l’objectivité des récits ? N’avons-nous pas le droit de douter de la rigueur intellectuelle de sa ligne éditoriale (ici j’englobe l’ensemble de la presse nationale), sur la politique de destruction massive des peuples de l’Europe entreprise par une minorité psychopathe qui ne rêve que de Mondialisme, d’esclavage et d’éradication ?
Que cela serve de leçon est un vœu bien pieux dans le contexte actuel. Mais aujourd’hui, à tête reposée, je m’interroge : pourquoi sommes-nous si nombreux à avoir cru aux mensonges et aux calomnies jetés sur la classe politique sans nous donner la peine de vérifier plus à fond les faits ? Est-ce parce qu’elle n’est pas aussi propre qu’elle le dit ? Est-ce parce que s’étant rendue coupable à de multiples reprises d'infamies qu’aujourd’hui on prend le mensonge pour de la vérité ?
Combien d’affaires étouffées en son sein, classées sans suite, bénéficiant du non-lieu ou des peines si symboliques que grand-mère perd son appareil dentaire en s’esclaffant !? Combien d’autres, des criminelles celles-ci, qui dorment dans des tiroirs cadenassés par le « secret défense » !?
Par pitié, n’ouvrez pas la boîte !... Que les innocents (et futurs manchots) lèvent le bras !
(1) Sur ce point la NUPES doit quelques explications au pays et ici il n’y a pas de mensonge que vaille ni plainte en diffamation qui tienne !
Sous l’Casque d’Erby