mardi 28 octobre 2025

Le pigeon serait la cause de la déconfiture des cerveaux ?

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Des naissances réduites aux turbo-cancers, myocardites, AVC et maladies auto-immunes, c’est la facture laissée par les vaccins via des effets secondaires avérés. Et qui pour passer à la caisse ?
Les faits le démontrent, les statistiques le confirment, le con l’infirme : il y a eu préméditation. Avant la santé, le profit et la domination. 
La disparition de l’OMS en tant que gouvernement par la santé s’impose comme une nécessité vitale. L’avenir de sociétés civilisées ne peut reposer sur une telle avanie.
La cause de tout cela ? Tout, sauf la santé ! Sans surprise, aucune chaîne d’information française – ailleurs, c'est globalement pareil – ne vous le dira franchement, puisqu’elles sont la propriété de milliardaires qui l’ont ainsi décidé.
Milliardaires qui se remplissent les bourses en entretenant et développant, par ailleurs, des conflits et des guerres partout où ça génère de la dette, de l’emprunt et des intérêts ! 
Le vrai gouvernement, ce n’est pas nous, comme on cherche à nous le faire croire, ni les pantins qui s’agitent dans les assemblées, ce sont eux !
Tout est bon pour nous tenir en laisse et nous faire cracher au bassinet 24/24 et 365 jours par an !
Quand une guerre prend fin ici, avant même que l’odeur de putréfaction se soit dissipée, une autre éclate plus loin. On ne respire pas, on halète !
De la flatulence du pigeon et de son impact sur le dérèglement climatique, à l’invasion plus qu’improbable de la France par la Russie, ce n’est plus l’espoir qu’on nourrit, mais le blaireau à deux pattes qu’on gave. Bien que le pays plonge dans une amnésie soigneusement entretenue par tous les moyens – de l’enseignement aux standards de l’information –, qui pour croire de si grossières obscénités  ?
Le chaos est tel en notre chère France que la folie s’empare de tous. Pour chasser l’Amadeus de la finance, dont la cote de popularité saigne tous les paramètres, on imagine des remplaçants dont les noms feraient tressauter les morts, si ceux-ci avaient les moyens de participer à une telle foire aux andouilles !
Le dernier projet de liste que j’ai zieuté m’a flingué la vue. Des sionistes partout. Au ministère de l’Intérieur. Aux Affaires étrangères. À l’Immigration. Aux Affaires sociales. Dans les préfectures. Au Pôle emploi. À la pompe à essence. Partout, partout ! Tant et tellement qu’on se demande si Netanyahou en personne aurait osé une telle liste !
Le pays est incontestablement désorienté. Les citoyens commencent tout doucement à ouvrir les yeux, accordant de moins en moins de confiance aux représentants de l'État. À cela s'ajoute la volonté d'anéantir une économie et un mode de vie que les élites ont choisi d'effacer. Sacré chantier en perspective !
Faire le dos rond semble être la seule stratégie accessible aux plus vulnérables. Faire le dos rond, c'est croire que le mal est temporaire, qu'il finira par disparaître, tout comme les perturbations météorologiques. Attendre que le ciel passe du sombre de la tourmente au bleu immaculé des contes de fées. Mais cela, c’est dans les histoires à faire dormir les enfants. Dans la réalité, il en faut un peu plus que cela pour sortir la tête du marais.
Ce que nous percevons comme une classe politique « fortement » divisée, s’empoignant à qui mieux mieux, n'est en réalité que la stratégie de groupes similaires jouant la rivalité sur le dos (rond) des victimes de toujours. 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

dimanche 19 octobre 2025

Quoi de plus agréable pour se détendre qu’un voyage ?

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Lorsqu'on met en lumière la dérive totalitaire d'un système entier, les naïfs, bien plus nombreux qu'on ne l'imagine, versent dans le sarcasme ou même dans le mépris : « Mais où vas-tu pêcher de telles idées ? Observe autour de toi. Aucun policier en vue. Ouvre les yeux ! Arrête de nous prendre la tête et profite du paysage. Songe à la chance que tu as de mener une vie sans accro ! »  
Rien n’émeut des gens aux yeux et aux oreilles obstrués. Rien ne peut les sortir de ce coma artificiel. Rien pour les alerter sur les demandes de plus en plus excessives exigées pour un simple déplacement chez le voisin Anglais. Sous prétexte de « sécurité », vous voilà submergé, accablé, englouti par les démarches informatiques ! 
Rien de plus facile que de pénétrer – en toute décontraction – au pays des Beatles et des Pink Floyd. Une seule condition : remplir tous les paramètres du citoyen irréprochable. Paramètres qui, pour l’initié au maniement du clavier et des applications mobiles sans questionnement métaphysique, est une activité ludique ! En un tour de main et sans coup férir, vous voilà jouant le rôle de l’animal consentant pour votre bien propre et celui de tous, aux pays du libre arbitre !
Mieux : heureux du bien que l’on vous fait, vous fournissez les menottes et le montant du loyer pour mieux profiter d’une cellule personnalisée dans les nouvelles prisons mentales !
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage ! 
Du déverrouillage des smartphones à la reconnaissance faciale. De l’iris à la voix, et autres QRCode, la surveillance globale étale tout son arsenal sous le regard satisfait d’une population heureuse de l’attention qu’on lui porte !
On appelle cette petite formalité « l'ETA de déplacement », Electronic Travel Authorisation. Petit détail : le site est entièrement en anglais. Si vous parlez une langue régionale...
Pour vous éclairer sur l’importance de ces mesures sécuritaires, voici : si vous ne cochez pas les bonnes cases, tant pis, vous resterez à quai !
Qu’elle est belle l’ETA ! À ne pas confondre avec son homonyme basque au pays de Cervantès, vous vous embarqueriez dans une nouvelle galère.
Cette plateforme a été conçue pour endiguer l'arrivée non contrôlée de migrants susceptibles d'envahir et déstabiliser des nations déjà colonisées, sachant que les nouveaux arrivants en sont exemptés, puisqu’ils n’empruntent pas un circuit sécurisé !
Ce sésame, l’ETA, si vous parvenez à franchir l'obstacle de la demande en « bonne et due forme », bien plus complexe que d'empêcher un migrant de commettre des méfaits, vous coûtera 19€. Il faut bien ce prix pour ne rien empêcher du tout, tout en favorisant la traçabilité numérique ou le grand marquage du bétail citoyen !
N'oublions pas que le grand George Orwell, dont les prédictions totalitaires ne concernaient pas que son pays d’origine, mais s’étalaient comme du beurre sur la tartine planétaire, n'aurait sûrement pas applaudi la clairvoyance. 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

jeudi 16 octobre 2025

L’histoire, c’est une drôle d’histoire.

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À une période où les architectes de l’UERSS ajustent le narratif officiel, tout en s’effondrant, le souvenir du chef-d'œuvre de Luchino Visconti, Les Damnés, me revient à la mémoire avec un étrange pressentiment. Le film évoque l'ascension d'Adolf Hitler, depuis l'incendie du Reichstag en 1933 jusqu'à la tragique Nuit des Longs Couteaux en 1934.
Le cinéma a une histoire et l’histoire n’est pas du cinéma. Sans donner dans le mélo, cela souligne, si besoin, le lien de parenté entre le passé et le présent. Des lignes qui se croisent et se perdent dans le smog de la mémoire, avant un retour fracassant pour de nouvelles tragédies !
On vieillit sans trop comprendre les hommes et les choses et, quand, parfois, ces choses finissent par vous éclairer, vous êtes hors-jeu. Je ne me souviens plus, ou alors très vaguement, qui a dit que la lune au ciel, quand elle est pleine, « on dirait un Zéro transparent ».
Il est impossible de comprendre l’arrivée d’Hitler sans évoquer (l’histoire est cruellement têtue) l’appui des grandes entreprises allemandes, notamment celles du secteur chimique et pharmaceutique (suivez mon regard), ainsi que des industriels les plus puissants. Si cela ne suggère pas un air de remake, comme on dit dans le jargon du cinéma, c’est que vous êtes victimes d’un grand coup de fatigue ! Et Dieu sait si la fatigue est grande en ce bas monde !
Non seulement ils ont investi d’importantes sommes d’argent dans le parti national-socialiste, mais ils ont également confirmé que la gouvernance par la puissance et la richesse devait rester entre les mains des élites.
Qu’un cinéaste marxiste, ait été « diligenté » pour réaliser un film sur le passage d’un régime traumatisé par la défaite, faible et sans défense, vers la dictature nazie peut sembler surprenant à qui a perdu ses lentilles de contact, mais nullement celui qui lit dans les nuages l’arrivée de l’orage. 
Visconti montre comment le nazisme a englouti la famille décadente des Von Essenbeck, qui l’avait soutenu et alimenté lors de sa marche impitoyable vers le pouvoir. Cette recherche de justice poétique, non dépourvue d’une certaine naïveté, bien que porteuse d’espoir et de symbolisme, n’a malheureusement pas trouvé de véritable résonance dans les faits historiques.
Les influentes dynasties allemandes, qui avaient fourni un soutien financier et idéologique au régime nazi, ont rapidement récupéré leur position privilégiée ainsi que leurs fortunes. Malgré quelques condamnations symboliques infligées lors des procès de Nuremberg, les sanctions reçues par ces familles furent relativement légères, laissant intacte la structure sociale d’avant-guerre et permettant à ces élites de reprendre leur pouvoir et leur influence avec une étonnante facilité...
Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé est totalement volontaire, vous vous en doutez ! 
 
Sous l’casque d’Erby 
 
 

samedi 11 octobre 2025

Du brut et du brutal

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Dans sa fausse guerre contre la Russie, l'UE ne pénalise que ses sujets. Ceux qui connaissent les méthodes sournoises dont elle a le secret haussent les épaules ou s'indignent dans le vide. Interdire le pétrole brut russe, mais l’acheter raffiné à l’Inde, issu du même brut, avec une marge se comptant par milliards pour le nouveau fournisseur, n’est rien moins que de l'escroquerie en bande organisée !
A Chicago, du temps d’Al Capone, le règne ayant duré moins longtemps que celui de l’UE, les choses étaient pour le moins beaucoup plus nettes : « Ma protection ou la mort ! » !  Ici, c'est pareil, le lustre en plus. Comme disent les marins : « La peinture est belle, mais la coque est pourrie ! »
En termes de politique politicarde, on ose appeler cela une guerre de résistance contre la Russie, dont on claironne par ailleurs qu’elle est la réponse au projet d’invasion de nos contrées par des cosaques sans pitié !
Dieu, que ce spectacle est surprenant ! Tout autant que la crainte du crétin colportant les éléments de langage diffusés par des médias sous psychotrope !
Nous en sommes là aussi dans notre triste Hexagone où la liste des Premier ministres va bientôt figurer dans le Livre Guinness des records ! Du jamais vu dans l’histoire de l’agonisante Cinquième R. 
Et qui pour lui faire du bouche à bouche afin de l’aider à revenir ? Assurément pas les complices de tout ça, se jetant la pierre l’un l’autre pendant que le cadavre pourrit sur le trottoir !
La vraie question est, si tant est que ce terme ait encore un sens : veulent-ils vraiment redresser le pays, autant qu'ils sont ? 
Mais que vise l'UE avec ce commerce, sinon faire profiter les usines de raffinage indiennes et quelques intermédiaires véreux ? C'est cela la fameuse résistance contre la Russie ou la vraie mise à mort de l'Europe des nations ? 
« Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines... » 
Qui va finalement passer à la caisse pour laver l'honneur supposé d'une caste hautement nuisible ? Qui est le véritable ennemi de l'Europe des nations ? Les Russes ? Vraiment ? Les Chinois ? Vous le pensez sérieusement ?
Ne faudrait-il pas commencer à chercher nos ennemis au cœur même de cette UERSS créée, nourrie et entretenue comme une cinquième colonne pour nous rayer de la carte ?
Tout ça pour planifier le manque de carburant et imposer des nouvelles hausses, les tarifs atteignant, voire dépassant ceux de 2022 !
Quitter l'UE n'est pas un caprice, mais un acte de survie pour les peuples européens ! 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

mardi 7 octobre 2025

A force de creuser... On finit au trou !

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Trump, Poutine, Xi Jinping, il n’y a que pour eux dans toutes les bouches « bien faites ». Ils sont le problème planétaire ! Même si on ne sait quel est en vérité le problème, ce sont eux les coupables !
C’est toujours à la protubérance qu’on juge le cœur des choses. 
Chacun de ces « vilains canards » défendant les valeurs et les frontières de leurs nations respectives en agrandissant leur zone d’influence, quel qu’en soit le moyen, comme le ferait n’importe quel gouvernant, se font caillasser par au moins aussi vilains qu’eux !
C’est de « bonne guerre » qu’on nous dit, un peu penaud, lorsqu’on met le doigt dans la plaie ! 
En réalité, le véritable hic se trouve chez nous, mais on fait semblant de rien. On compte les mouches au plafond. Pourtant c’est gros comme une verrue sur le tarbouif !
La véritable préoccupation des français réside dans le fait d'avoir un usurpateur comme président, usant de Premier-ministres comme Forrest Gump usait de la semelle ! Un camelot animé de sales intentions, bradant le pays comme on organise un vide-grenier un dimanche de pluie dans un oued perdu.
Il met en vente à vil prix les murs et le fonds. Une France qu’il déteste comme rarement on déteste. A ce niveau, ce n’est plus de la haine, c’est de la pathologie ! La clientèle est cependant ravie. On vient de loin pour saisir la bonne affaire du week-end : 
« Prenez, c’est une affaire en or et, moi, ça me débarrasse. Merci. A une prochaine ! »
D’Alstom à la montée de capitaux étrangers chez Lafarge (ciment), Alcatel (télécoms), la vente de STX France (Chantiers de l’Atlantique) à l’italien Fincantieri, ou encore de Péchiney (aluminium) aux Canadiens d’Alcan, ne sont que la face visible d’un chantier de démolition scrupuleusement planifié !
Pour cela, la France n’a pas eu besoin de recourir aux services de Trump, Poutine ou Xi Jinping ! Nous avons assez de malfaisants sur nos terres ! La pègre banquière pour qui il œuvre est aux anges. Le petit « Mozart de la finance » fait mieux que du zèle. Il invente de nouveaux concepts, que même les commanditaires n’auraient pas osé !
L’idée d’offrir la dissuasion nucléaire française à l'Union européenne, comme on offre un cadeau d’anniversaire à sa bien aimée, fait partie de cette braderie à laquelle se livrent nos dirigeants en toute impunité. Comme on dit dans les films de série, tout est permis !
Bien que cela ne soit pas encore concrétisé, ça couine un brin dans les couloirs et la rumeur monte des bas-fonds !
Ce dernier joyau d'un pays en perdition est bien plus qu'un simple gadget qu’on prête comme on prête une perceuse à un voisin bricoleur ! C'est la garantie de notre souveraineté. Même si le terme semble galvaudé, il a encore un sens aux yeux d’une grande majorité, silencieuse ou pas !
A ce point, on atteint des limites qu’on n’imaginait pas dans nos pires cauchemars ! L'histoire ne serait que ça : tout casser pour tout recommencer ? Une course contre la montre où l'on se piétine soi-même, on se marche sur le corps et sur le cœur pour passer la vie suivante à le regretter ?
La retraite, le travail, la sueur, la santé, l’éducation, la culture. Les acquis si durement acquis. Poubelle ?
 
Sous l'Casque d'Erby 
 

samedi 4 octobre 2025

Troisième guerre mondiale, envisageable ou pas ?

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Quel que soit le primo dirigeant, les États-Unis ont toujours mené la danse depuis qu’ils se sont découvert une âme de bon samaritain et devenus le redoutable empire que l’on sait.
Pas que le premier dirigeant soit congénitalement animé de mauvaises intentions, pas plus qu'il n'en possède de bonnes, mais parce qu’il est le jouet d’un pouvoir bien plus fort que celui que la fonction qu’il occupe ne le laisse supposer. Il est – le fameux pouvoir occulte – le faiseur de pluie et de beau temps, quand la météo nous est favorable.
Lorsque ce grand frère – ou cousin germain – fait la guerre, ce n’est jamais de gaîté de cœur. C’est comme si la planète entière s’était passé le mot pour l’obliger à se sacrifier, pour faire le bien, partout où, au préalable, il s’est arrangé pour que ça n’aille pas bien.
Sur le terrain, le « non-engagement » Américain fait sourire ou enrager selon le degré de consentement. L’Amérique n’a qu’un souci et il est de taille : les puissances rivales, Chine et Russie en particulier. L’affrontement ne sera jamais direct et brutal. Même si cela ne l’affecte pas exagérément, elle préférera donner la bride aux pays vassaux, tout en gardant le mentorat.
Pour aller vite, sans pour autant oublier les paramètres essentiels, petit tour d’horizon, non exhaustif, mais édifiant : les chiots de la politique ne le savent peut-être pas, l’école servant à arranger l’histoire et non point à l’éclairer : 
Au Vietnam, 1955 – 1975 (ceci avant l’envoi massif de troupes, avec les pertes humaines et le traumatisme que l'on sait, Washington poussait déjà le Sud-Vietnam contre le Nord, lui, soutenu par l’URSS et la Chine… 
Ensuite, après ce cuisant échec, très mal digéré, ce fut la filante horrifique :
En Afghanistan (1979-1989) : l’Amérique finance et arme les moudjahidines afghans pour affaiblir l’Armée rouge soviétique, dont on se demande encore aujourd’hui ce qu’elle faisait là, sinon faire du ridicule une « œuvre d’art »
Que l’émotion ne fasse pas oublier l’Amérique latine pendant la Guerre dite froide : soutien à des dictatures et guérillas « anticommunistes » au Chili, au Nicaragua ou au Salvador… Ici les trois points sont de mise tant la latitude laisse une grande marge à l’imagination.
Puis, saut dans l’histoire, vient l’Ukraine où, depuis 2014, et surtout depuis 2022 : aide militaire massive, renseignements et soutien économique à Kiev contre la Russie, avec l’engagement aveugle d’une U.E. dans le rôle de mercenaire, la stratégie ne change pas d'un iota : pas d’engagement direct de l’armée américaine, même si personne n’est dupe. Patte blanche, en toute circonstance !
Mais la Chine dans tout ça ? Les auxiliaires ne manquent pas. Comme l’écrit pertinemment Bruno Bertez : « Outre le Japon, les Philippines et la Corée du Sud, le Népal vient d’être ajouté à la liste, avec de nombreuses autres nations d’Asie confrontées à un potentiel changement de régime et à une mainmise politique des États-Unis. » 
Patte blanche, je vous dis !
Alors quand on me parle d’un risque de Troisième guerre mondiale, avec Washington et son pouvoir profond à la manœuvre, pourquoi ne suis-je pas étonné ?

Sous l’Casque d’Erby 


mercredi 1 octobre 2025

La vérité qui dérange. Qui dérange qui ?

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Face aux flux migratoires délibérément encouragés et aux tensions qu'ils engendrent, il est légitime que les citoyens se sentant exposés adoptent une attitude de défiance, quelles que soient leurs convictions. Qui peut rester maître de soi, lorsqu’il est confronté à une menace clairement perceptible ? 
Lorsque les individus perçoivent un danger, associé à l'inefficacité d'un système politico-judiciaire défaillant devant la perte d'identité progressive de leur communauté ou nation, exprimer colère ou inquiétude est un droit démocratique dans des pays qui ont fait de la « tolérance » la maison des courants d’air. Cela n'impliquant nullement le rejet de la diversité culturelle ou des pratiques différentes, à condition que ces dernières ne cherchent pas à supplanter les valeurs fondamentales du pays d’accueil et le respect du « vivre en paix ». 
En quoi cette position serait-elle irrationnelle ou répréhensible ? D’autant que les pays européens ont largement contribué au cours des siècles à l’intégration de millions d’individus issus de l’immigration, sans que cela mette le péril en la demeure. 
Cela est aussi vrai qu'il y avait un cadre, des lois et des quotas qu’on respectait. Désormais, ce cadre est jeté aux orties et la loi remise aux calendes grecques !
La théorie du « grand remplacement », si promptement qualifiée d'extrémiste, identitaire et conspirationniste par ses détracteurs, devient dans les faits, qu’on le veuille ou non, une réalité. La rue nous est témoin. 
Dans certaines grandes villes, à la nuit tombée, c’est black-out ! Prétendre ne rien voir, par fanatisme idéologique ou par confort, est une pure inconscience !
Cette rhétorique, associée à une crise économique très grave, provoquée elle aussi, est conçue pour créer des tensions sociales entre populations vulnérables, manipulées pour apporter de l’eau au moulin totalitaire !
Ironie de l'histoire, ou le clou qu’on enfonce : jadis, on risquait l'incarcération pour manque de patriotisme, démonstration fut faite à chacune des conflagrations mondiales voulues par les élites dirigeantes, lorsque les citoyens réfractaires refusaient d’aller se faire massacrer dans des guerres et des intérêts qui n’étaient pas les leurs !
Aujourd'hui, c'est l'expression même de ce patriotisme, en arborant le drapeau du pays, pour montrer qu’on est chez soi, qui suscite la répression policière et même l’incarcération pour « perturbation de l’ordre public » !
C’est le cas en Angleterre où les citoyens sont interpellés et réprimés par la police parce que, n’en pouvant plus, ils arborent le drapeau britannique.
Il suffit à l’ordre dominant de dire que cela relève d’un acte identitaire d’extrême droite ou conspirationniste pour justifier la mise au ban de personnes qui ne font qu’alerter l’opinion publique sur les dangers d’une politique de pompier-pyromane !
Sommes-nous désormais assimilés à des refuzniks lorsque nous exposons des vérités objectives, au risque de perdre nos libertés fondamentales, nos emplois et notre liberté individuelle ?
Nous appartenons – dans le sens de possession d'une chose – de manière directe ou indirecte, à l'Union européenne, nous rappelle-t-on sans cesse quand nos représentants déclarent la guerre à des pays qui n’ont rien fait pour mériter notre hostilité. 
Comment qualifier les individus qui prennent des décisions cruciales affectant nos sociétés sans légitimité démocratique, puisqu'ils ne sont pas élus ?  
Il s'agit d'une guerre déclarée par les instances dirigeantes contre des citoyens partageant une même condition humaine, point, c'est tout. 
Un nombre croissant de gens prend conscience que les migrants ne constituent pas la source de nos problèmes. Ce sont les élites dirigeantes qui ont décidé de faire échouer de centaines de milliers de « naufragés » avec de très mauvais desseins : engendrer le chaos, déclencher des tensions sociales profondes et instaurer ce totalitarisme dont elles rêvent depuis longtemps.
Prenons garde à ne pas nous tromper d'ennemi !

Sous l’Casque d’Erby