mercredi 1 octobre 2025

La vérité qui dérange. Qui dérange qui ?

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Face aux flux migratoires délibérément encouragés et aux tensions qu'ils engendrent, il est légitime que les citoyens se sentant exposés adoptent une attitude de défiance, quelles que soient leurs convictions. Qui peut rester maître de soi, lorsqu’il est confronté à une menace clairement perceptible ? 
Lorsque les individus perçoivent un danger, associé à l'inefficacité d'un système politico-judiciaire défaillant devant la perte d'identité progressive de leur communauté ou nation, exprimer colère ou inquiétude est un droit démocratique dans des pays qui ont fait de la « tolérance » la maison des courants d’air. Cela n'impliquant nullement le rejet de la diversité culturelle ou des pratiques différentes, à condition que ces dernières ne cherchent pas à supplanter les valeurs fondamentales du pays d’accueil et le respect du « vivre en paix ». 
En quoi cette position serait-elle irrationnelle ou répréhensible ? D’autant que les pays européens ont largement contribué au cours des siècles à l’intégration de millions d’individus issus de l’immigration, sans que cela mette le péril en la demeure. 
Cela est aussi vrai qu'il y avait un cadre, des lois et des quotas qu’on respectait. Désormais, ce cadre est jeté aux orties et la loi remise aux calendes grecques !
La théorie du « grand remplacement », si promptement qualifiée d'extrémiste, identitaire et conspirationniste par ses détracteurs, devient dans les faits, qu’on le veuille ou non, une réalité. La rue nous est témoin. 
Dans certaines grandes villes, à la nuit tombée, c’est black-out ! Prétendre ne rien voir, par fanatisme idéologique ou par confort, est une pure inconscience !
Cette rhétorique, associée à une crise économique très grave, provoquée elle aussi, est conçue pour créer des tensions sociales entre populations vulnérables, manipulées pour apporter de l’eau au moulin totalitaire !
Ironie de l'histoire, ou le clou qu’on enfonce : jadis, on risquait l'incarcération pour manque de patriotisme, démonstration fut faite à chacune des conflagrations mondiales voulues par les élites dirigeantes, lorsque les citoyens réfractaires refusaient d’aller se faire massacrer dans des guerres et des intérêts qui n’étaient pas les leurs !
Aujourd'hui, c'est l'expression même de ce patriotisme, en arborant le drapeau du pays, pour montrer qu’on est chez soi, qui suscite la répression policière et même l’incarcération pour « perturbation de l’ordre public » !
C’est le cas en Angleterre où les citoyens sont interpellés et réprimés par la police parce que, n’en pouvant plus, ils arborent le drapeau britannique.
Il suffit à l’ordre dominant de dire que cela relève d’un acte identitaire d’extrême droite ou conspirationniste pour justifier la mise au ban de personnes qui ne font qu’alerter l’opinion publique sur les dangers d’une politique de pompier-pyromane !
Sommes-nous désormais assimilés à des refuzniks lorsque nous exposons des vérités objectives, au risque de perdre nos libertés fondamentales, nos emplois et notre liberté individuelle ?
Nous appartenons – dans le sens de possession d'une chose – de manière directe ou indirecte, à l'Union européenne, nous rappelle-t-on sans cesse quand nos représentants déclarent la guerre à des pays qui n’ont rien fait pour mériter notre hostilité. 
Comment qualifier les individus qui prennent des décisions cruciales affectant nos sociétés sans légitimité démocratique, puisqu'ils ne sont pas élus ?  
Il s'agit d'une guerre déclarée par les instances dirigeantes contre des citoyens partageant une même condition humaine, point, c'est tout. 
Un nombre croissant de gens prend conscience que les migrants ne constituent pas la source de nos problèmes. Ce sont les élites dirigeantes qui ont décidé de faire échouer de centaines de milliers de « naufragés » avec de très mauvais desseins : engendrer le chaos, déclencher des tensions sociales profondes et instaurer ce totalitarisme dont elles rêvent depuis longtemps.
Prenons garde à ne pas nous tromper d'ennemi !

Sous l’Casque d’Erby