mercredi 12 octobre 2016

Entre Paris et Moscou, c'est à gla-gla !

M art' IN
François Hollande, alias le Rondelet, fait son sumotori depuis Tulle pour signifier à Poutine, le judoka, qu’il aime le Mc Do et que ni lui ni personne ne l’empêcheront de s’en gaver si son Dieu l’Amérique lui en fournit de quoi apaiser le coup de fringale.
Tulle, où il s’était rendu pour une distribution de breloques à des mandarins locaux, qui n’avaient rien d’autre à espérer avant un ultime soubresaut, est devenu le centre d’un nouveau concept : la non diplomatie. Le genre « je ne suis plus rien sans l'assistance de mon tuteur ! ».
N’être qu’un objet, cela fait comment aux tripes, François, quand on tente d’être grand alors qu’on l’on est un acteur de seconde zone dans un navet ? Y a-t-il un psy dans le studio ?...
Depuis son maquis Tulliste, le supplétif de l’Amérique en Hexagonie minaude et se demande si oui ou non il doit recevoir Poutine en son fief parisien, comme prévu de longue date.
Un hobereau ça réfléchit à deux fois avant de donner dans l'excès de précipitation. Un retors beaucoup plus !
Objet de la discorde, le refus russe d’une trêve à Alep aux conditions mijotées par la Maison Blanche.
Tout pareil qu’en Ukraine au sujet de la Crimée, où le Pentagone n’avait pas hésité à retirer du budget 2016 « l’amendement interdisant le financement des programmes d'entraînement du bataillon ukrainien Azov en raison du caractère néo-nazi » de ces joyeux soudards.
Aucune importance puisque l’intérêt est dans le semblant. Mais surtout dans la colonisation des esprits par la manipulation. Et ne comptons pas trop sur les médias entre les sales pattes de l'oligarchie pour éclairer les esprits.
Place donc à la poudre en Syrie et partout où la loi de la jungle se pare du costard trois pièces. Comment ferait sinon l’estimable George Soros pour arrondir ses fins de mois ? Le voici montant au créneau pour se farcir Poutine à son tour, lequel ne fait pas dans la dentelle, mettant un acharnement diabolique à dessouder du djihadiste made in Al-Qaïda, jadis ennemi planétaire ayant permis l’invasion de l’Irak par les américains, aujourd’hui chouchouté en Syrie par les mêmes...
Voilà la politique défendue par François Hollande aujourd’hui, par Sarko un peu plus tôt, au nom d’un pays et d’une diplomatie jadis indépendants !
C'était la lumière avant, maintenant ce sont les ténèbres. J'étais ici et maintenant, où vais-je ? Où ? - La mort d'Ivan Ilitch - Tolstoï 





Sous l'casque d'Erby



4 commentaires:

  1. Bonjour aux caillardeuses et aux caillouteux. Tout est mensonge !

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  2. Et en plus c'évrrrré, les rondeurs corréziennes des collines et des vals (ou des veaux ?) deviennent le point sommital de la diplodocus (euh, de la diplomatie) fromagère.
    C'est ça la France !

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