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Tulle, où il s’était rendu pour une
distribution de breloques à des mandarins locaux, qui n’avaient rien d’autre à
espérer avant un ultime soubresaut, est devenu le centre d’un nouveau concept :
la non diplomatie. Le genre « je ne
suis plus rien sans l'assistance de mon tuteur ! ».
N’être qu’un objet, cela fait
comment aux tripes, François, quand on tente d’être grand alors qu’on l’on est un
acteur de seconde zone dans un navet ? Y a-t-il un psy dans le studio ?...
Depuis son maquis Tulliste, le
supplétif de l’Amérique en Hexagonie minaude et se demande si oui ou non il
doit recevoir Poutine en son fief parisien, comme prévu de longue date.
Un hobereau ça réfléchit à deux fois
avant de donner dans l'excès de précipitation. Un retors beaucoup plus !
Objet de la discorde, le refus russe
d’une trêve à Alep aux conditions mijotées par la Maison Blanche.
Tout pareil qu’en Ukraine au sujet
de la Crimée, où le Pentagone n’avait pas hésité à retirer du budget 2016 « l’amendement interdisant le
financement des programmes d'entraînement du bataillon ukrainien Azov en raison
du caractère néo-nazi » de ces joyeux soudards.
Aucune importance puisque l’intérêt
est dans le semblant. Mais surtout dans la colonisation des esprits par la
manipulation. Et ne comptons pas trop sur les médias entre les sales pattes de l'oligarchie pour éclairer les esprits.
Place donc à la poudre en Syrie et
partout où la loi de la jungle se pare du costard trois pièces. Comment ferait
sinon l’estimable George Soros pour arrondir ses fins de mois ? Le voici montant
au créneau pour se farcir Poutine à son tour, lequel ne fait pas dans la
dentelle, mettant un acharnement diabolique
à dessouder du djihadiste made in Al-Qaïda, jadis ennemi planétaire ayant
permis l’invasion de l’Irak par les américains, aujourd’hui chouchouté en Syrie
par les mêmes...
Voilà la politique défendue par
François Hollande aujourd’hui, par Sarko un peu plus tôt, au nom d’un pays et d’une
diplomatie jadis indépendants !
C'était la lumière avant, maintenant ce sont les ténèbres. J'étais ici et maintenant, où vais-je ? Où ? - La mort d'Ivan Ilitch - Tolstoï
C'était la lumière avant, maintenant ce sont les ténèbres. J'étais ici et maintenant, où vais-je ? Où ? - La mort d'Ivan Ilitch - Tolstoï
Bonjour aux caillardeuses et aux caillouteux. Tout est mensonge !
RépondreSupprimerSalut Rodo, nous fûmes synchrones, ce matin.
SupprimerLes grands esprits !
SupprimerEt en plus c'évrrrré, les rondeurs corréziennes des collines et des vals (ou des veaux ?) deviennent le point sommital de la diplodocus (euh, de la diplomatie) fromagère.
RépondreSupprimerC'est ça la France !