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Si quelqu’un avait un doute, le
doute n’est plus : la passerelle entre pouvoir politique et haute finance s’étale
avec insolence.
Quand on dénonce le fait comme la
lèpre d’un système à vocation totalitaire, cherchant par le chaos à instaurer
une dictature mondiale, les commentaires ne manquent pas de fleurir au balcon.
De « pauvre illuminé » à « complotiste » la nuance n’est
pas ce qui se fait de plus courant chez ceux qui croient encore au miracle de Noel.
C’est pourtant le cas avec l’embauche
de José Manuel Barroso, l'ancien président de la Commission européenne, par la
Goldman Sachs, petite banque provinciale qui gère le destin du monde avec le
bonheur que l’on sait : du banditisme organisé à l'échelle planétaire.
Et comme le bonheur est dans le prêt,
le comité d'éthique européen, avec qui il a partagé la tablée, même s’il estime le choix de José Manuel Barroso « peu judicieux » (quand même !)
cela s’arrêtera là, ledit comité estimant que la « base des informations fournies par M. Barroso dans une lettre
adressée au président Juncker, et considérant le Code de conduite pour les
commissaires, il n'y a pas d'élément suffisant pour établir une violation du
devoir d'intégrité et de réserve » ! Ça c’est envoyé !
Quelques bandits notoires de la
pègre, pas uniquement marseillaise, ayant bénéficié du non-lieu à maintes
reprises, pourquoi pas monsieur Barroso ?...
Indigné, moi ? Tout juste écœuré ! Et encore...
Sous l'casque d'Erby
Bonsoir aux caillardeuses et aux caillouteux. Un seul mot : que disparaisse la pègre politique !
RépondreSupprimerDu bar osé (très osé même) à la truie tedeuch Uber, en passant par le gouda Mertume, on est plutôt bien entourés...
RépondreSupprimer"Tyrans, descendez au cercueil !"
Sans passer par la case départ, sans recevoir 20 000 francs ! Non, mais !
Du bar à la truite, il n'y a qu'un pas... du bar au trottoir, voire au caniveau, aussi !
RépondreSupprimerIncidemment, je rappelle que comme chaque année, les 24, 25 et 26 novembre c'est le Festival Bar-Bars, comme on en parlait hier au bar où j'étais allé, avec l'un des co-inventeurs de cette manifestation.
Toujours précieux sur la mémoire des lieux et des gens. Merci JC. Je me souviens avoir visité il y a trois-quatre ans le passage Pommeraye et l'endroit m'avait bien plu.
SupprimerEn France, tu as l'ancien directeur du Trésor parti pantoufler dans un fonds de pension chinois...
RépondreSupprimerRelire le livre noir du capitalisme...