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M Art' IN |
Le Salut les amis.
Un petit moment que je garde le
silence, ce qui peut être interprété de plusieurs façons.
« Qui ne dit mot consent »,
dit la maxime. En réalité, il faut apporter un correctif à cette sentence latine
que nous devons à Boniface VIII et qui se traduit exactement comme suit : «
qui se tait semble consentir ». Cela
change un peu l’approche, il me semble.
Mais comme tout va si vite en ce monde de fous, laissons le doute en suspens et
la parole coloniser l’espace.
Oui, c’est vrai, mon ordi était en
panne et cela a duré, duré. Une vraie bonne panne !... Un vrai beau et bon
temps dont j’ai tiré grand profit.
Oui, c’est vrai, j’ai eu, aussi, mon coup de fatigue, même si, niveau santé, je me porte comme un charme. En réalité, je suis fatigué de la politique, de la corruption, des mensonges tous azimuts, de toutes ces choses graves qu’on banalise et qui donnent à cet ensemble baroque que nous avons devant les yeux un air de normalité affolant. Raison pour laquelle, je ne me suis pas déplacé pour aller voter lors du premier tour des législatives, tout comme je ne me déplacerai pas au second tour non plus. Nous avons tout dit, tout répété. Tout radoté !
Oui, c’est vrai, j’ai eu, aussi, mon coup de fatigue, même si, niveau santé, je me porte comme un charme. En réalité, je suis fatigué de la politique, de la corruption, des mensonges tous azimuts, de toutes ces choses graves qu’on banalise et qui donnent à cet ensemble baroque que nous avons devant les yeux un air de normalité affolant. Raison pour laquelle, je ne me suis pas déplacé pour aller voter lors du premier tour des législatives, tout comme je ne me déplacerai pas au second tour non plus. Nous avons tout dit, tout répété. Tout radoté !
Voilà pour les généralités.
Maintenant, le cas particulier. C’est
perso et je n’aime pas trop en parler. Mais bon, ceci expliquant cela…
Ayant commis un polar, Il faisait encore nuit, dont l’accueil
est plutôt favorable, malgré les coquilles que l’éditeur « alternatif »
que j’avais choisi n’a pas pris soin de corriger totalement, les lecteurs qui l’ont
aimé me réclament la suite. Suite sur laquelle je travaille depuis un petit
mois et qui m’a permis de torcher une douzaine de chapitres afin de la lancer,
ce qui n’est rien. Sachant que si le premier volet n’est pas trop nul, le
deuxième (sur les trois prévus) demande confirmation. Sur ce point, je me
fracasse la pastèque pour que cette suite soit la meilleure possible… Ce qui,
ma foi, est très relatif.
Question importante : vais-je
laisser tomber Cailloux dans l’Brouill’Art ?
La réponse est non. Seulement voilà, mes interventions seront plus ou moins espacées,
gardant un œil attentif, à ma façon, sur l’arnaque politique qui nous submerge et autres caprices poétiques. Cela durera le temps que ça durera.
Sous l'Casque d'Erby
Le bonsoir aux caillardeuses et aux caillouteux. Eh, oui, c'est moi en chair et en pixels. La bonne bourre à toutes et à tous. Plaisir.
RépondreSupprimerPLAISIR!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerC'est donc çà, l'truc: tout baigne... ouf!
Non seulement je comprends tes problèmes, y compris de panne d'ordi mais de ras'l'bol de la politicaikllerie,etc. mais j'en ai de similaires... y compris en projets d'écritures!
Alors chacun(-chacune aussi!)à ses oignons, et on en pleure et en rit tous ensemble - "en semble" précise Erby, que cela fait plaisir de revoir aussi ! Rém*
essai de reconnection : ça marche ou pas...
SupprimerBen, oui Rémi. Parfois les choses sont aussi simple que ça. Même mon téléphone était en rade. C'est dire ce qu'on peut imaginer à l'autre bout de la ligne...
SupprimerTu nous as beaucoup manqué. :-)
RépondreSupprimerJe ne sais pas si j'ai beaucoup manqué, mais en tout cas, MERCI.
SupprimerQuel bonheur...
RépondreSupprimerje croyais que tu avais disparu dans la nébuleuse macronnienne...
Embarqué par les sbires de Philippe Edouard pour entrave à la bonne (en) marche de la république. Ou de l'arrêt public. Ou de la raie publique.
Bref, chuis trop contente.
T'as intérêt à plus recommencer !
¸¸.•*¨*• ☆
Merci Dame Céleste. Pour la peine, je nous gratifie d'un nouveau billet à l'étage au-dessus !
SupprimerBises.
Au vu des résultats, je ne suis que "En Pétard" (çui du 14 juillet). Mes copains ont réussi à récolter quelques dizaines de voix chacun, pas assez pour faire la maille. La copine pour qui je me suis déplacé avait affaire à forte partie ! Ce n'est que partie remise, Patricia. Incidemment, là où il avait été prévu que je fasse campagne, il y avait entre autres Bruno Mégret. L'Eure est très révolutionnaire.
RépondreSupprimerBravo Rodo, j'attendais la suite de ton polar avec impatience, comme tous les autres. Je n'avais pas osé appeler au téléphone, te pensant bien occupé, ce qui est le cas.
Courage ! Bise à tout le monde !
Babel, tu nous donne un lien pour savoir combien peu de voix a eu ta copine Patricia, sous label "divers gauche"(...je suppose...) mais, plus précisément, quel est ce divers gauche ? Cela me semble plus important!
SupprimerSalut Jean-Claude. Le week-end dernier j'ai participé à une séance de dédicace, ma première, en compagnie de quelques auteurs et, ma foi, je ne me suis pas trop mal démerdé. J'ai même vendu quelques exemplaires du polar, ainsi que de mon recueil de poésies. J'étais content.
SupprimerOn a tous des amis à qui on peut téléphoner et demander qu'ils préviennent d'un commentaire sur le blog... Bonne fin de semaine !
RépondreSupprimerAh de bonnes nouvelles !
RépondreSupprimerBonne nouvelle, c'est vite dit, le nouveau billet en est l'illustration DPP.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe viens de chez les Caphys,
Un peu de curiosité.
J'admire ton engagement et ton courage.
Moi aussi, j'ai renoncé aux votes des législatives pour cause de résignation et d’écœurement, mais ce n'est sans doute pas courageux?
Bonne chance pour ton roman.
Bon dimanche,
Mo
Merci Mo. Je crois que la boussole est en rade.
SupprimerOn attend la suite d' Il faisait encore nuit... Bel été !
RépondreSupprimerMerci Elly. Je viens à bout. Ne reste plus que l'épilogue. Pas facile, mais je crois que je tiens quelque chose au bout de la gaffe. Je touche du bois. Bises.
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