Le voilà donc ce Tree qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en est vert, le traître !
Il fut mis sur la place pour qu’un sensé l'amputasse !
Devant tant d’audace. On pouvait dire... oh ! Dieu ! ...
bien des choses en somme…
A détruit l'harmonie ! Il en est vert, le traître !
Il fut mis sur la place pour qu’un sensé l'amputasse !
Devant tant d’audace. On pouvait dire... oh ! Dieu ! ...
bien des choses en somme…
En variant le ton, groupies ou non, de la pub en fait, au fabriquant de ballon qui juste souffla par tel à ces petites mains qu’on lui fabriqua un doigt livré place Vendôme. Il fallait bien que le prix en vaille la chandelle. 200 000€ la crise ne fait pas dans la dentelle. Si le gruyère à des trous, c’est pour qu’on y mette ce roc ! ... ce pic... ce sex-toy ! Que dis-je, ce cap ? ... Cette péninsule ! Non, mieux, cette quenelle inversée car elle est là pour le peuple qui consentant cotise pour sa culture gonflée « Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? ».
« De quoi sert cette oblongue capsule ? D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Il sert encore à leurrer les cerveaux, « gardez-vous, vos têtes entraînées », quoi, l'ami, ce croc est à la mode ? Pour les enfumeurs, quelle enseigne ! Ce monument, quand le visite-t-on ? Souffrez, monsieur, qu’on vous salue».
C’est là ce qui s’appelle avoir bite au cul !
Si vous aviez un peu de lettres, et d'esprit :
(l’imaginaire de vos phantasmes, vous auriez su garder)
Mais d’esprit créatif, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Nous servir toutes vos folles plaisanteries,
La subtilité vous manque, à vous et nos collecteurs d’impôts,
Vous salissez l’exception culturelle de la France
Vos œuvres n’en sont pas,
Du cul tout le monde en a.
Rien de bien nouveau ici bas.
Ce genre de con... sidération amène à des analogies graveleuses......qui n'auraient point leur place céans !
RépondreSupprimerJe me contenterai de cette apostrophe anodine, et néanmoins nécessaire au constructeur de cette vessie :
-- Eh mec, tu te dégonfles ?
Bonjour les caillasseux. Excellente mise en perspective de Martine.
RépondreSupprimerTout est planifié pour que le petit peuple s'étripe sous l’œil goguenard du puissant et autres arrivistes, comme le résume si bien DPP dans son billet de dimanche : "En poussant plus loin la réflexion, bien que n'étant pas spécialiste, ni historien de l'art, et sans tomber dans la subjectivité du beau et du joli, il me semble que ce sapin est caractéristique d'une époque où quelques riches sots dominent si puissamment économiquement, socialement et même intellectuellement que leur vision du monde et leurs goûts s'imposent au plus grand nombre d'une manière qui semble légitime et naturelle De profondis.
Nous prendrait-on pour des crétins ?!
Oula c'est du lourd ! ;-) Je vais avoir la tête qui ressemble à une baudruche comme d'autres ont un sapin qui ressemble....
RépondreSupprimerSalut DPP !
SupprimerPardon pour le sujet qui fait doublon ce matin mais je ne peux m’empêcher de reprendre la plume devant ces fausses oeuvres abjectes et dégénérées qui ne représenteront jamais la valeur de l’être humain ni sa culture. Heureusement que ses immondices ne pourrons tenir dans le temps. Imaginez les futurs archéologues s’ils tombaient dans 1000ans sur des horreurs pareils !
RépondreSupprimerIl suffit !
Lors d'une grande opération de com d'un certain Ayrault lorsqu'il était maire de Nantes, il y a eu - parmi des "œuvres d'art éphémères" -décorant l'estuaire de la Loire - un hirsute "canard-jaune de baignoire à bébé" d'une douzaine de mètres de haut, en baudruche gonflée...
RépondreSupprimer""" L'artiste""" de cette hœœuvre haudacieuze a empoché gros, mais son canard n'a pu flotter que quelques heures : il a basculé, coulé, gisant entre deux eaux, à demi dégonflé et dérivant... malgré tous les efforts des sauveteurs !
Pas dégonflé, Ayrault devenu 1°ministre a lancé ensuite une autre opé de com sur Notre Dame des Landes, "l'Ayroport de ses rêves"...
Ben oui , combien ont couté le sauvetage loupé et combien va couté la réparation de ce truc et dans le future les rénovations multiples. Les DRACS regorgent d’immondices de ce genre et il faut les rénover. Papiers , bois, produits chimique, colles.....Cela coute plus chère à l’entretien. Ils ne savent plus quoi en faire, c’est dingue !!!!!!
Supprimerexcellent de "bout en bout" si on ose dire !
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