Source |
On dit parfois sur quelqu'un qui ne nous inspire pas confiance : « il porte ça sur la gueule » ! Bien que nous sachions d'expérience que « l'habit ne fait pas le moine », il est des cas qui n'échappent pas au consensus.
Jean-François Copé est de ces exceptions salement pittoresques avec lesquelles on coupe les lignes jaunes de la décence en toute conscience « républicaine ». Si tant est que décence et légalité riment avec morale, terme confus sous lequel on cache toutes les saloperies d'une gouvernance dégueulasse.
Il suffit d'un coup d’œil pour voir que le gars ressemble à ces produits hautement toxiques que la politique fabrique à grands coups de pelleteuses. Dans le cinéma de série B, Jean-François Copé aurait joué le fourbe. Ne pariez pas sur ses bons sentiments, vous seriez le tocard qu'on console après la fermeture des guichets au PMU. Tapi dans l'ombre, poignard à la main, le pégreleu est du genre à attendre son meilleur ami pour le planter comme un mauvais vent dessouche un chêne séculaire. Dans un western, avec Ronald Reagan, le gentil benêt amerlocain, il aurait été celui qui tire dans le dos de son ami le convoyeur de fonds.
Il suffit d'un coup d’œil pour voir que le gars ressemble à ces produits hautement toxiques que la politique fabrique à grands coups de pelleteuses. Dans le cinéma de série B, Jean-François Copé aurait joué le fourbe. Ne pariez pas sur ses bons sentiments, vous seriez le tocard qu'on console après la fermeture des guichets au PMU. Tapi dans l'ombre, poignard à la main, le pégreleu est du genre à attendre son meilleur ami pour le planter comme un mauvais vent dessouche un chêne séculaire. Dans un western, avec Ronald Reagan, le gentil benêt amerlocain, il aurait été celui qui tire dans le dos de son ami le convoyeur de fonds.
Le branque que le scrupule ne freine pas, tout au contraire. Ni coup de poignard, ni combines, rien ne peut arrêter sa course ni étancher la soif de pouvoir qui le submerge. C'est un animal politique dangereux pris la main dans le sombrero dans une affaire juteuse de surfacturation, lit-on dans la presse...
Accusé par Le Point d'avoir « sponsorisé avec l'argent de l'UMP, la société Bygmalion, fondée par deux de ses proches », il hurle aujourd'hui la douleur qu'il a toujours infligé à autrui, clame haut et fort qu'il s'agit d'un « coup monté ignoble », qu'il a les mains aussi propres que celles du gars qui les sort du purin, qu'il s'agit d'une cabale orchestrée par des ennemis dans l'ombre...
Accusé par Le Point d'avoir « sponsorisé avec l'argent de l'UMP, la société Bygmalion, fondée par deux de ses proches », il hurle aujourd'hui la douleur qu'il a toujours infligé à autrui, clame haut et fort qu'il s'agit d'un « coup monté ignoble », qu'il a les mains aussi propres que celles du gars qui les sort du purin, qu'il s'agit d'une cabale orchestrée par des ennemis dans l'ombre...
A l'entendre, c'est juste si cette opération n'a pas été montée par le Ku Klux Klan, téléguidée par des islamistes à la solde de Ben Laden : « un tissu de mensonges » des plus « sordides » !
Pour aider Jean-François Copé à se sortir de ce traquenard, une solution : envoyez vos dons à SOS piscine, chez monsieur Takieddine, il fera suivre. Mais, patientez, la ligne est momentanément co(u)pée !
Sous l'casque d'Erby