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dimanche 19 avril 2015

Dimanche zyzycal : Carolina Chocolate Drops

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Page musicale inspirée par un lien trouvé chez l’ami Olivier, l’oxymoron fractal, qui lui-même le tient de sa frangine.
Caroline Chocolate Drops est un groupe qui tourne bien et tout le mérite leur revient. Entre musique blanche et noire, country, folk et blues, nous avons là un retour aux sources de la tradition américaine.
Ce quatuor de Caroline du nord s’est saisi d’un banjo, un violon, une guitare et un violoncelle pour déverser d’une voix puissante un son aussi brut que vif.
Les trois membres originels se rencontrent à un « Black banjo gathering » à Boone, dans leur Etat d’origine, et décident de raconter ensemble la vie d’aujourd’hui dans le sud des Etats-Unis. Fans de Johnny Cash, dont ils ont entre autres repris la "Jackson song", les Carolina Chocolate Drops font pourtant plus penser à la Carter family, dans le son comme dans la forme. Ils sortent en 2010 chez Nonesuch records l’album qui les fait connaître, Genuine Negro Jig, qui est pourtant leur cinquième LP, et se voient offrir des premières parties aussi prestigieuses que Taj Mahal ou Bob Dylan. Et parviennent à faire passer un blugrass habituellement confidentiel sur le devant de la scène puisque leur bouleversante Leaving Eden est inscrite à la BO du blockbuster Hunger games. L’ambiance qui découle de leur son comme de leur look rappelle la grande dépression : c’est peut-être bien pour ça qu’ils marchent aujourd’hui.


Full Session
    

Sous l'casque d'Erby

dimanche 29 mars 2015

Dimanche zyzycal : ALA.NI

Petit peuple de la basse, cours... ouvrir les écoutilles. Tu votes, pour choisir entre les maitres que l’on t’impose ?... Tu ne votes pas ? On s’en fout ! Voilà qui va te faire un bien fou. C’est du pur jus de douceur, de bonheur, de calme et de sérénité… A passer en boucle sioux play… Je comprends rien à l’anglais, ce n’est pas grave... Plaisir !

Cherry Blossom (Official Video)

A Take Away Show



Sous l'casque d'Erby


dimanche 18 janvier 2015

Dimanche zyzycal : Dick Annegarn

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En hommage à Pilblues, ancien ruminant, qui adore, et qui désormais voyage en solo, dont c'est l'anniversaire ! La bonne bourre !

Dick Annegarn est né aux Pays-Bas, mais sa jeunesse s'est déroulée pour l'essentiel à Bruxelles, ville dont il est citoyen d'honneur.
Après avoir appris la guitare en autodidacte, en écoutant des disques folks et blues américains, il s'installe à Paris en 1972, où il enregistre en décembre 1973 son premier disque, lequel rencontre un succès public immédiat avec des chansons comme Ubu, Bruxelles, Sacré géranium… Deux autres suivront, avec un autre grand succès, Mireille, et de nombreuses tournées.
Mais le chanteur se lasse vite de ce rôle et choisit assez rapidement la voie underground, vivant sur une péniche, participant à la vie associative de la banlieue parisienne, mais n'en continuant pas moins à enregistrer, par exemple cet album en public Ferraillages en 1979 (dont il partage l'affiche avec le bluesman légendaire Robert Pete Williams), ou Frères ? en 1985, l'un des quatre joyaux de sa collaboration avec le saxophoniste Jean Avocat et où joue également l'accordéoniste Richard Galliano.
Ce n'est qu'en novembre 1997, avec l'album Approche-toi, qu'il reparaît sur le devant de la scène.
En 2001 est édité un disque devenu rare ABCDrom de Dick Annegarn, manuel de bande dessinée, par plus de 30 artistes de l'univers underground parisien parmi lesquels on retrouve entre autres Jean Marc Bombeau et José Cuneo.
En 2006, le disque Le Grand Dîner, sous-titré Tribute à Dick Annegarn, réunit des artistes comme Alain Souchon, Alain Bashung, Arno Hintjens, Louis Chedid, -M-, Mathieu Boogaerts, Bertrand Belin ou encore Bénabar, chacun reprenant des chansons de Dick en hommage à sa carrière de plus de 30 ans.
En décembre 2008 sort Soleil du Soir, un nouvel album aux accents blues enregistré à New York. Il y rend hommage à Brel avec le titre Jacques. En 2011 il reprend des classiques du répertoire folk-blues américain sur le disque Folk-Talk. Sur ces deux disques il est rejoint par le guitariste Freddy Koella.
En 2009, il reçoit le grade de Docteur Honoris Causa de l'Université de Liège.
En 2010, il apparaît dans Mammuth, film de Benoît Delépine et Gustave Kervern, aux côtés de Gérard Depardieu et d'Isabelle Adjani.
En avril 2012 il est nommé Chevalier de L'Ordre des Arts et des Lettres par Frédéric Mitterand.
Il réside actuellement dans le Sud-Ouest de la France, à Laffite-Toupière où il organise chaque année le Festival du Verbe.
Il écrit des chansons pour Calogéro, Raphael et Nosfell. 
"Pire" - Live Ce soir (ou jamais!)

"Karlsbad" (teaser vidéo officiel)

Brahim Alham (en concert à Carros)

« Oracle »

Bataclan 03/2011

"Boileau"


 Sous l'casque d'Erby

Le Xyloglotte illustré - Anthroposmovirenquociste

dimanche 30 novembre 2014

Dimanche zyzycal : Manou Gallo

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Ex-bassiste de Zap Mama, Manou Gallo nous vient de Côte d'Ivoire. Elle mêle français, anglais et langue dida dans ses chansons et ajoute à la musique ancestrale du village de Divo les influences récoltées tout au long de son parcours.
Pour donner forme à sa zyque, Manou Gallo crée en 2001 son propre groupe "Le Djiboi". Artiste sensuelle et sensible elle répand sur les ondes la musique ancestrale du village de ses origines.
"La musique que j’ai voulu créer, c’est le mélange de tout ce qui a fait ma vie jusqu’ici : c’est mon histoire, mon parcours qui m’ont donné l’inspiration."
La frangine est comme on dit "une femme moderne africaine de la diaspora" et sa musique en est le reflet, "tressant ensemble et admirablement ses différentes racines culturelles et historiques".
Elle fut désignée en 2009 par les MAMA Awards comme la meilleure artiste de scène de la Côte d'Ivoire.


Manou Gallo

Manou Gallo & le Djiboi @ Afro-Pfingsten Festival 2003

sleeping camels M1 amour


Sous l'casque d'Erby



dimanche 16 novembre 2014

Dimanche zyzycal : Vaudou Game


Dans la tradition de l’afro-funk qui a marqué l’histoire de la musique africaine dans les années 70, le groupe Vaudou Game monté en France par le chanteur togolais Peter Solo crée la surprise avec Apiafo, un album aussi risqué que réussi.
Un léger doute affleure, au moment où les yeux se posent sur le CD pour la première fois. Réédition ou nouveauté ? L’interrogation se prolonge, au-delà des apparences visuelles qu’on sait trompeuses, lorsque démarre No Problem, le premier des douze morceaux : cette batterie-là n’est pas d’aujourd’hui. Les coups donnés sur ses futs font remonter le temps, comme sur ces 33 tours disparus qui resurgissent à travers les blogs de mélomanes passionnés. Mais sans les craquements des sillons caractéristiques des vinyles. Et pour cause : s’il a été enregistré à l’ancienne, avec du matériel analogique, de vieux instruments, de vieux amplis, Apiafo correspond au nouveau projet de Peter Solo, basé "à 80 % sur le son", évalue le chanteur togolais installé à Lyon depuis plus d’une décennie. Son précédent album Analog Vodoo, paru il y a 18 mois, aura servi d’étape sur ce chemin, lui montrant la direction à suivre : celle d’un afro-funk tel qu’il était pratiqué dans les années 70 par les artistes togolais et béninois, auquel il a ajouté sa propre recherche sur les harmonies vaudou. S’il affirme ne pas être dans une attitude revendicative, son objectif était aussi d’apporter une autre image de la culture vaudou, lui qui a grandi au milieu des cérémonies. Il regrette aujourd'hui que les clichés donnent une vision déformée de ces croyances, de ces rites tournés d’abord vers la nature et ses éléments.
S’effaçant derrière le collectif Vaudou Game qu’il a monté pour ce répertoire et formé aux spécificités de cette musique, n’hésitant pas à faire écouter à ses membres convertis les vieilleries d’époque rééditées par quelques labels spécialisés pour qu’ils s’imprègnent de ce style, Peter a peaufiné son idée, jusqu’à pouvoir se passer de paroles, comme sur Dangerous Bees, avec des cuivres qui inévitablement vous conduisent à chantonner...


Pas Contente - (official video)  


Meva - live in Utrecht 09/2014  


Sous l'casque d'Erby

dimanche 12 octobre 2014

Dimanche zyzycal : Esperanza Spalding

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C'est en allant rendre visite à nos excellents amis de Sodome et Gomorrhe que je suis tombé (non pas sur le cul, bien que...) mais sur la très brillante Esperanza Spalding avec qui je vous propose de passer l'un de ces moments rares que l'actualité nous refuse obstinément à toute heure du jour à longueur d'année.
Un petit tour de biographie pour situer la frangine :
"Esperanza Spalding est une contrebassiste, bassiste et chanteuse américaine de jazz, née un 18 ocotobre 1984 à Portland en Orégon. 
Elle débute par l'apprentissage du violon dès l’âge de 5 ans, instrument qu’elle abandonne plus tard pour la contrebasse. Une expérience de chef d’orchestre à 15 ans, elle entre au Berklee College of music de Boston à 16 ans. A 20 ans, elle devient le plus jeune professeur de l’école Berklee et sort un premier album au même âge.
La contrebassiste qui est aussi chanteuse, a composé la majorité des titres de son nouvel album sur lequel elle a invité le brésilien Milton Nascimento et la chanteuse Gretchen Parlato.
Malgré son jeune âge, 25 ans, Esperanza Spalding connaît et respecte les conventions promotionnelles du jazz : devant l'objectif, elle pose souvent avec son instrument."
AVO Session 2012  


Sous l'casque d'Erby

dimanche 5 octobre 2014

Dimanche zyzycal : Otis Taylor, le "bluesman aux yeux clairs"

"Ne vous fiez pas aux apparences de cet homme soixantenaire et débonnaire, de sa voix douce, voilée mais franche, de ses yeux d'acier, de son jeu instrumental minimaliste et de ses petites mélodies...
Oui, oui, tout ça, tout ça...
On sent bien qu'il a fait son petit bonhomme de chemin ; jeune il jouait de la pop, il s'est même produit à Londres en jouant du banjo, de l'harmonica ... Mais il s'arrête en 1977.
Il vit de quelques petits boulots, beaucoup le brocanteur.
Puis voila t'y pas qu'il revient en 1995 avec une guitare, des reprises et des chansons inclassables, country, blues, ballades hypnotiques...
Il publie 7 albums, tourne difficilement avec son groupe et le public spécialisé le plébiscite, il obtient une bourse en 2001, est cité aux Music award. 11 fois et reçoit le prix du meilleur cd de blues de l'année pour 3 cd d'affilée. Bien. Mais c'est la bande sonore de film qui va le faire connaître. Tout d'abord..."




"Nasty Letter"

Un petit concert avec "Ten million slaves" en entrée
La suite, texte et vidéos, vous la voulez ?... Elle est superbe !... Ben, c'est chez Pilblues, pardi ! Il a ouvert boutique sur Rue et il faut s'y rendre dare-dare ! Je vous y invite. C'EST ICI !


Sous l'casque d'Erby

dimanche 28 septembre 2014

Dimanche zyzycal : harpe

Nous voici dimanche et pas grand-chose à nous mettre sous la dent, hormis, mais cela est chose routinière, la carne que l'actualité livre par wagons entiers à une meute privée de bonne nourriture.
Hier des milliers de manifestant, arborant le Gwenn ha Du, ont défilé à Nantes pour la réunification bretonne, autrement dit, le retour de la Loire-Atlantique dans son berceau d'origine, la Bretagne. Le mot d'ordre était des plus simples : «Comme les cinq doigts de la main, les cinq départements bretons»
Pour mettre mes pas dans les pas des frères bretons, il m'a semblé que la harpe était le symbole le plus représentatif de l'unité celte.
On écoute ?


Harpe celtique à Lorient 2008 

Harpe celtique à Lorient (2)


Sous l'casque d'Erby


miâââââââouuuuuuuuuuu !

dimanche 14 septembre 2014

Dimanche zyzycal : le bois qui chante

Que deviendrions-nous sans la Zyque ?… 
Laissons de côté, un instant, sans pour autant tourner le dos à la réalité, un monde cruel et des dirigeants abjects. Laissons-nous bercer par la magie créative de certains de nos semblables. Ainsi de José Le Piez, artiste sublime, créateur de l'Arbrassons, qui, à force d'écouter les arbres, a fini par trouver le secret des caresses et le chemin des sons, comme nous l'explique Galadriel dans son superbe billet de ce 13 septembre chez les Brindherbes Engagés :


Le Bois qui chante  

Toujours chez les Brinsdherbes, cette fois c'est JP31 qui nous offre un superbe instant avec Estas Tonne dans un live de tonnerre à Moscou. Elle n'est pas belle la vie ?


Live Moscow 2014  


Sous l'casque d'Erby

dimanche 31 août 2014

Dimanche zyzycal - JAMES CARTER

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Né le 3 janvier 1969 à Detroit (Michigan, Etats-Unis).


Il y a bien longtemps qu'on n'avait pas vu débouler sur la scène du jazz un saxophoniste doué d'une virtuosité aussi étourdissante et possédé par une telle frénésie de jouer. C'est une évidence : ce jeune homme natif de Detroit – ville très spéciale dans la géographie musicale afro-américaine – d'emblée fascine et impressionne par son encyclopédique culture du jazz. Court-circuitant gaiement toute l'histoire du saxophone, il réconcilie dans le feu de son jeu, Coleman Hawkins avec John Coltrane, Ben Webster avec Albert Ayler. Jouant de sa prodigieuse mémoire, il connaît sur le bout des doigts tous les grands et petits maîtres, même les oubliés comme Chu Berry, Don Byas, Buddy Tate, Eddie Lockjaw Davis. Avec une désinvolture savante, sans l'ombre d'un pastiche, cet athlète des anches a décidé de mettre en mémoire tous les styles et de dévider tous les répertoires avec une impétuosité toute gourmande.
Son jeu nomade affirme le droit à une liberté de circulation entre les sons et les époques. « Je ne cherche pas à brouiller les pistes mais je refuse, proclame-t-il, de me laisser enfermer dans une image. L'impossibilité de classifier un artiste, c'est le secret de sa longévité ».
Quant à sa technique, dire qu'elle est phénoménale est un euphémisme. Justesse, précision, vitesse, tout y est. Tournoiements de registres, couinements subtils, claquements de langue staccato, allers et retours vertigineux du grave à l'aigu, grands écarts harmoniques, rien ne manque. Pendant un solo, les notes peuvent s'éparpiller furieusement de son sax pour tout à coup se rassembler, comme le mercure, en un son énorme, un souffle fou chaudement coloré de musique. De la langueur onctueuse au free frénétique, rien ne l'effraie. C'est que ce diable de jazzman aime prendre tous les risques. C'est avant tout un « saxomaniaque », un collectionneur, historien et réparateur fou de saxophones. Du sopranino au baryton, bien sûr, mais aussi du plus rare, le « freak » comme il l'appelle, un Fmezzo (instrument entre le soprano en si bémol et l'alto en mi bémol qui ne fut fabriqué par la forme Conn qu'entre 1928 et 1930), au plus gros, le basse à qui il sait donner comme personne l'ivresse des profondeurs. « Je crois honnêtement qu'une personne n'a pas commencé à vivre tant qu'elle n'a pas joué du saxophone basse. »


Merci à Roland Schlachter qui a donné le lien à Martine pour Cailloux dans le Brouill'Art.



James Carter Organ Trio - Jazzwoche Burghausen 2004
 


Sous l'casque d'Erby


dimanche 22 juin 2014

Dimanche Zyzycal - Sierra Leone's Refugee All Stars

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Formé sous l’impulsion de Reuben M. Koroma et de Francis John Langba « Franco », Sierra Leone’s Refugee All Stars est un groupe de musiciens issu d’un camp de réfugiés en Guinée pendant la guerre civile qui a fait plus de 200.000 morts en Sierra Leone entre 1991 et 2002. C’est aussi dans ce camp qu’ils rencontrent l’auteur, compositeur et interprète canadien Chris Velan ainsi que les cinéastes américains Banker White et Zach Niles qui réaliseront en 2005 le film documentaire consacré au groupe et qui sera couronné de multiples récompenses à sa sortie en 2006.
Une extraordinaire aventure humaine de dix années, jalonnée de centaines de concerts mémorables et couronnée de quatre albums (Living Like A Refugee en 2006, Rise and Shine en 2010, Radio Salone en 2012 et Libation en 2014). Ce dernier a été enregistré dans les montagnes du Vermont, toujours produit par Chris Velan. Il a été mixé à Londres par le britannique Lestryn Polson, connu pour son travail avec David Gray, Patty Smith ou encore David Bowie. Le groupe s’est immergé pendant de longues semaines pour répéter et enregistrer dans les studios de leur label Cumbancha, une ferme du XVIIIe siècle aménagée dans la petite ville de Charlotte, VT. Une atmosphère champêtre et bucolique, une approche plus acoustique que celle de leurs deux précédents albums comme un retour aux sources et à l’esprit de leur premier album.




Living Like a Refugee with UNHCR Introduction - Diksmuide, Belgium
 

Rise & Shine Preview
   

"Libation"
   

Interview - The Radio Salone World Tour
       


Sous l'casque d'Erby


dimanche 15 juin 2014

Dimanche Zyzycal : The Puppini Sisters

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The Puppini Sisters est un trio féminin de pop/jazz britannique spécialisé dans la Close harmony vocale très utilisée dans les années 1940.
Leur style se veut à la fois glamour, rétro et burlesque. Ses membres sont actuellement l'Italienne Marcella Puppini et les Anglaises Kate Mullins et Emma Smith. Leur nom a été choisi en référence aux Andrews Sisters qui sont une de leurs principales influences. Le trio cite1également l'influence de The Chordettes, The Boswell Sisters, Marlene Dietrich, Fred Astaire, Ginger Rogers, Joan Crawford mais aussi Kate Bush, Mike Flowers, The Smiths, Tom Waits, Carole King et même Marilyn Manson.
Marcella Puppini, Italienne expatriée en Angleterre, a d'abord étudié le stylisme à la St Martins School of Art avant de rencontrer Kate Mullins et Rosanna Schura au Trinity College of Music de Londres avec qui elle forme le trio. Marcella a eu l'idée de fonder le groupe en septembre 20042 après avoir vu le film d'animation Les Triplettes de Belleville. Rosanna Schura quitte la formation peu de temps après. Elle est remplacée par Stephanie O'Brien.
Le premier album, Betcha Bottom Dollar édité en 2006 au Royaume-Uni, est entièrement composé de reprises dont Boogie Woogie Bugle Boy, chanté à l'origine par The Andrews Sisters. Outre des titres appartenant au répertoire du jazz, l'album comporte plusieurs reprises de pop et de rock, comme Wuthering Heights de Kate Bush, I Will Survive de Gloria Gaynor, Heart of Glass de Blondie ou encore Panic de The Smiths, toutes revisitées dans le registre close harmony.
Le second album paru en 2007 au Royaume-Uni, The Rise and Fall of Ruby Woo, contient des compositions originales signées par le trio et de nouvelles reprises, dans le même esprit décalé que sur le précédent disque, comme Walk Like an Egyptian de The Bangles ou Crazy in Love de Beyonce.

Source Texte


Boogie Woogie Bugle Boy


"Wuthering Heights" Kate Bush Classic


Heart of Glass - LeTransistor


Panic
        


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dimanche 1 juin 2014

Dimanche Zyzycal : Loreena McKennitt

Loreena McKennitt, née le 17 février 1957, est une auteur-compositeur-interprète, harpiste, accordéoniste et pianiste canadienne. La qualité de ses compositions et de ses interprétations lui a donné une renommée internationale.
En 1985, elle crée Quinlan Road, une société de production pour gérer sa carrière et assurer la production de ses disques. Cette même année, elle sort son premier album Elemental, basé sur des mélodies traditionnelles d'origine celtique, où se combinent sa voix et le son de la harpe ; l'album se vend à 100 000 exemplaires. Son deuxième album, To Drive the Cold Winter Away, est inspiré par les chants de l'hiver. Parallel Dreams en 1989 est un mélange de reprises et de compositions personnelles, c’est un succès commercial, qui confirme la renommée grandissante de l'artiste. Puis en 1991 elle livre The Visit, son quatrième opus, dont elle vend 2 millions d'albums. Elle joue au Festival international d'Édimbourg. Elle part en tournée avec Mike Oldfield, dont elle assure la première partie de Tubular Bells II.
The Mask and Mirror est une ouverture sur d'autres univers musicaux traditionnels, pour les textes elle reprend des extraits de William Shakespeare et William Butler Yeats. The Book of Secrets (1997) rencontre un succès international grâce à la diffusion sur les radios du titre The Mummer's Dance remixé en version raccourcie.
En février 2006, Loreena McKennitt entre au Real World Studio (Grande-Bretagne) pour l’enregistrement d’un nouvel album, sorti le 20 novembre 2006 sous le titre An Ancient Muse. En septembre de la même année elle a enregistré un concert à l'Alhambra de Grenade en Espagne filmé pour un documentaire qui sera diffusé à la télévision en Amérique du Nord.

Source Wikipédia 

Stolen Child



The Mystic's Dream


The Bonny Swans



Sous l'casque d'Erby

dimanche 18 mai 2014

Dimanche Zyzycal : Les Ballets Trockadéro

"Créés en 1974 par un groupe passionné de danse classique désirant présenter une vue ludique et humoristique du ballet classique traditionnel sous forme de parodie et de travestissement, Les Ballets Trockadero sont d’abord apparus dans des spectacles de second ordre dans des lofts Off-Off de Broadway. Les Trocks, comme on les a surnommés affectueusement, ont rapidement défrayé la chronique, suscitant des articles élogieux dont celui d’Arlene Croce dans le New Yorker et des critiques dans The New York Times et The Village Voice, contribuant à établir le succès populaire et artistique de la troupe. Dès la mi-1975, les Trocks alliant une connaissance et une technique de la danse irréprochable à un humour irrésistible, tout en démontrant à la stupéfaction générale que des hommes pouvaient réellement danser « en pointe » sans perdre l’équilibre, se faisaient remarquer au-delà de la scène new yorkaise. Des articles et des annonces dans des publications telles que Variety, Oui, The London Daily Telegraph, ainsi que des photos de Richard Avedon parues dans Vogue, ont répandu la notoriété de la troupe à l’échelle nationale ainsi qu’à l’étranger..." 

Dying Swam


Le Grand Pas de Quatre 1/2


Swan Lake parody





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dimanche 11 mai 2014

Dimanche zyzycal : Totó La Momposina

Petit détour par l'Amérique Latine d'aujourd'hui et de toujours. Merci à Kevin pour le tuyau. Normal, quand on est harpiste, d'avoir toujours un doigt sur la (bonne) corde !
Totó La Momposina, de son vrai nom Sonia Bazanta Vides, est née à Talaigua Nuevo (Bolívar), 
sur l'île de Mompos, dans la côte atlantique de la Colombie, au large de la Grande rivière de la Madeleine, dans la Région Caraïbe de Colombie, est une magnifique chanteuse, danseuse et compositrice. 
Elle a gagné le respect et l'admiration du public partout où elle s'est produite par l'authenticité de ses prestations. S'appuyant sur la musique et la danse des Caraïbes colombiennes, son travail est un mélange culturel qui racine en Afrique, chez l'indien indigène et dans les traditions espagnoles ou cubaines. Sur scène, Totó utilise des instruments traditionnels et se produit avec trois générations, dont sa fille Eurídice, et sa petite-fille, María del Marpero.

Site et source image





Soledad
   

Tres Golpes
       

La Plata
     

"El Pescador"



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dimanche 4 mai 2014

Sic du dimanche

De la Zyc de femelles pour réveiller nos sens noyés dans les horribles infos de la semaine.... Celles-là sont extras ! Messieurs accrochez-vous, ça décolle avec Salut Salon. Quatuor féminin hors du commun.

"We'll meet again"

La dispute

Lady-Power im Quartett

"Adios Nonino"



Sous l'casque d'Erby

Un pour tous, tous pourris (Coluche)...

dimanche 6 avril 2014

dimanche 30 mars 2014

Dimanche zyzycal : Joe Bonamassa

En ce dimanche très rock 'n' roll, où prise de tête et prises de bec iront de paire avec les aiguilles déboussolées du changement horaire, quoi de mieux que d'écouter un gars qui a la gratte et la grattouille dans la peau. Ses références étant de celles qui inspirent le respect, on l'écoute, sachant qu'à huit piges, monsieur accompagne BB King et qu'à 12 il est déjà seulâbre sur scène, comme un grand ! Pour savoir qu'à 37 ans le gonze à déjà plus de 30 ans de métier dans le corps. Pour le reste, fiche technique et tintouin, pour ceux qui ne le connaissent pas, on fait tout pareil que quand on va à Rio, on suit la flèche

 "So It's Like That" at Guitar Center's King of th  

Ballad of John Henry  

Acoustic Guitar Solo  


Sous l'casque d'Erby

Second tour (dans mon sac !)

dimanche 16 mars 2014

Dimanche zyzycal : Grand Corps Malade

Grand Corps Malade est un gars qui jongle, une sorte de baladin  qui va chercher dans les mots  de quoi fabriquer des guirlandes pour rehausser la vie, saisir l'instant qui passe avec l'idée qu'ils peuvent aider à soulager certaines douleurs.
La prise de risque flirtant avec la prise de tête, le bien, le mal, le vécu, les crises de nerfs et les crises tout court c'est affaire de tous et de chacun.
On apprécie ou pas : les riches le trouvant pauvre, les pauvres trop riche, mais une chose est sûre, entre les deux berges, l'eau du canal  glisse vers l'océan de la poésie.
On écoute ?...




 Avec Reda Taliani - Inch'Allah - Clip officiel  

Rencontres  

JE M’ÉCRIS avec Kery James et Zaho LIVE  

Au Bout Du 6ème Silence - avec SOULEYMANE DIAMANKA  


 

Sous l'casque d'Erby

Ah larmes !!! Ahhh larmes !!!

dimanche 9 mars 2014

Dimanche zyzycal

Parov Stelar - Catgroove  

Caravan Palace - Suzy  

Caro Emerald Back It Up (The Original)



Sous l'casque d'Erby


Je vous salis mari...