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C'est
en allant rendre visite à nos excellents amis de Sodome et Gomorrhe
que je suis tombé (non pas sur le cul, bien que...) mais sur
la très brillante Esperanza Spalding avec qui je vous propose de passer
l'un de ces moments
rares que l'actualité nous refuse obstinément à toute heure du jour à longueur d'année.
Un petit tour de
biographie pour situer la frangine :
"Esperanza Spalding est une contrebassiste, bassiste et chanteuse américaine de jazz, née un 18 ocotobre 1984 à Portland en Orégon.
Elle débute par l'apprentissage du violon dès l’âge de 5 ans, instrument qu’elle abandonne plus tard pour la contrebasse. Une expérience de chef d’orchestre à 15 ans, elle entre au Berklee College of music de Boston à 16 ans. A 20 ans, elle devient le plus jeune professeur de l’école Berklee et sort un premier album au même âge.
La contrebassiste qui est aussi chanteuse, a composé la majorité des titres de son nouvel album sur lequel elle a invité le brésilien Milton Nascimento et la chanteuse Gretchen Parlato.
Malgré son jeune âge, 25 ans, Esperanza Spalding connaît et respecte les conventions promotionnelles du jazz : devant l'objectif, elle pose souvent avec son instrument."
"Esperanza Spalding est une contrebassiste, bassiste et chanteuse américaine de jazz, née un 18 ocotobre 1984 à Portland en Orégon.
Elle débute par l'apprentissage du violon dès l’âge de 5 ans, instrument qu’elle abandonne plus tard pour la contrebasse. Une expérience de chef d’orchestre à 15 ans, elle entre au Berklee College of music de Boston à 16 ans. A 20 ans, elle devient le plus jeune professeur de l’école Berklee et sort un premier album au même âge.
La contrebassiste qui est aussi chanteuse, a composé la majorité des titres de son nouvel album sur lequel elle a invité le brésilien Milton Nascimento et la chanteuse Gretchen Parlato.
Malgré son jeune âge, 25 ans, Esperanza Spalding connaît et respecte les conventions promotionnelles du jazz : devant l'objectif, elle pose souvent avec son instrument."
AVO Session 2012
Sous l'casque d'Erby
Bonjour les caillasseux. Des prix Nobel comme s'il en pleuvait dans le Gard, en veux-tu en voilà... C'est for-formi-formi-dable ! Le très discret Modiano l'a obtenu en littérature à la suite de Le Cléziot. Sartre l'avait refusé et Julien Gracq, dont on vient de publier un inédit, ne l'a jamais eu, après avoir refusé le Goncourt pour "Le Rivage des Syrtes"...
RépondreSupprimerAllez, un peu de zyque et ça ira beaucoup mieux après.
Ouais c’est chouette la bonne zic avec cette petite nana....!
RépondreSupprimerEt Sartre avait refusé AUSSI le Prix Nobel : solide parapluie !!
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