Être contre la guerre ne fait pas de quelqu'un votre ennemi.

« La façon d'empêcher la guerre en Ukraine d'être comprise est de supprimer son histoire. » 

Joe Lauria

L’UE se désintègre et nous avec. Il ne faut pas avoir de scrupule à quitter ce Titanic de malheur !

Ce qui a été vendu-fourgué comme une abstraction utopique devient un misérable champ de ruines dans les mains des réseaux occultes. N’ayons pas de crainte à le répéter, car nombreux sont les ignorants qui kiffent la propagande oligarchique et sa guerre contre les peuples ! Cherchez qui fournit l’encre et vous saurez qui est à la rédaction !

Bâtie sur du vent par des tiers qui voulaient l’avoir à portée de férule, l’UE ne résiste pas à la guerre déclenchée par ses commanditaires en Ukraine. Le masochisme est comme le suicide : de façon générale, on y laisse sa peau !

On se souvient qu’on nous avait vendu ce projet supranational pour que « jamais plus l’Europe ne revive les atrocités du passé » ! Projet que les urnes avaient rejeté, mais que la classe politique a imposé, « démocratiquement », bien sûr !

Des hommes de paille sans empathie, désignés comme on tire les boules du loto, nous détestant autant qu’ils haïssent les pays qu’ils dirigent, sont le matériau avec lequel on bâtit les geôles, on brûle les innocents, on incinère des valeurs millénaires, on mitraille le « bétail », en achevant les survivants !

Un énième exemple du délitement de cette UE s'est produit avec la rencontre Zelensky/Trump, organisée pour mettre un point final au massacre ukrainien. Ou plutôt, pour « obliger » l’amuseur de Kiev à y consentir. S'est ensuivi l’empoignade que l’on sait, activant le narratif de ceux qui veulent la guerre, mais qui ne la feront jamais  ! 

Certains pays de l’Union ayant conservé un reste de bon sens, voyant se pointer la Bérézina, font discrètement marche arrière, jetant un coup de givre à l’édifice babélien. Ne s’accrochant à cette folie que la ridicule triplette France/Angleterre/Allemagne, persistant à faire éclater une Troisième guerre mondiale.

Le passé, le présent, l'avenir. La mort. La misère. Tout est la faute du Russe ! N’importe quel clampin le répétera, intoxiqué par la propagande des faiseurs de guerre, l'affirmera avec l’aplomb et l’innocence d’un bedeau  : les jeunes, les quadras, les vieux, chacun sa dose et même sa surdose !

Sauf qu’une partie grandissante de la population – celle-là même qui avait refusé le vaccin, entre autres sales projets – évite de sauter à pieds joints dans ce mauvais traquenard !

Le Donbass, avant « l’opération spéciale » de la Russie, c’est quinze mille morts, vingt-cinq mille blessés et 1,5 million de déplacés par Zelensky. Leur crime ? Être russophone ! Les nazis bandéristes des bataillons de représailles ukrainiens s’en sont donnés à cœur joie dans la région ! Mais, chut et chut ! Nous sommes des antifascistes, que diable !

Depuis la disparition de son dernier grand homme d’État, Charles de Gaulle, la France creuse sa tombe. Sarko, Hollande et maintenant Macron, pour ne parler que des déchets les plus récents, en sont des exemples vivants. Des trois, l'un est sous bracelet électronique ! Ça en dit long sur la nature des personnages qui ont pouvoir de vie et de mort sur le pays. 

Désormais, faisant du stop, la France se trouve en rase campagne, le pouce en l’air, les pieds dans la fange, recevant une fiente de pigeon sur le haut du crâne et ne trouvant pas de chauffeur charitable afin de la conduire à la gendarmerie pour y déposer plainte !

Emmanuel Macron, qui n’a pas fait son service militaire, qui n’a pas d’enfants, qui ne sait pas ce que le mot famille signifie, engoncé dans un treillis sataniste, se posant en chef de guerre, veut envoyer notre jeunesse et le pays au casse-pipe !

On ne doit plus le taire : guerre, pénurie et vaccins sont clairement les armes avec lesquelles le totalitarisme prend ses aises dans cette partie du monde.

Sous l’Casque d’Erby

Semaine 8