Violence et cynisme sont les ressorts de la gouvernance globale dont Macron est le mercenaire en France.
La notion de pays et de frontières est désormais obsolète, l’immigration sauvage en est la preuve, s’il en fallait une. Les gouvernements nationaux ne font que gérer l’ingérable à l’improvisation.
Outre la violence et le racisme que le flux migratoire génère et qui déstabilise la société dans ses fondations, elle fournit au capital de la main-d'œuvre dans l’esprit négrier d’avant l’abolition de l’esclavage.
Cela ne semble déranger personne, aussi bien à gauche qu’à droite, sauf pour assurer une présence médiatique nécessaire au commerce.
C’est ainsi que le pouvoir profond l’a décidé. Otages du Mondialisme et à la merci d’un « caprice » viral, nous faisons assurément partie des futurs disparus ! Pour cause de vaccination ou pour cause de refus !Quel que soit le camp dans lequel on évolue le sort qui nous est réservé ne fait pas de doute.
La « rivalité » gauche-droite avec laquelle on nous berne depuis 233 ans a vu le jour en 1789, lors de l’Assemblée Constituante à Versailles. Un peu d’histoire ne peut nuire.
Le décor était une grande salle rectangulaire où le Roi occupe la place centrale. Cette image je l’ai gardée depuis que, jeune, j'ai maté un film d’Abel Gance sur la révolution française.
A la droite du monarque, piaillaient les « modérés » ou « monarchistes constitutionnels », conservateurs à l’anglaise, avec l’intention de grignoter des parts du pouvoir à la royauté, parce que le pouvoir ça vous donne des moyens et de l’importance. A la gauche du Roi, on trouve jacobins et girondins, les plus hostiles au Roi et aux catholiques. Eux, c’est plus haineux. On les dits révolutionnaires (et ils le sont, mais pas à la manière que l’entendrait un gars du peuple comme moi). En réalité, ils appartiennent aux « Lumières », roulent pour les banques, et sont, dans la grande majorité, issus du protestantisme, dont ils ont hérité la rigidité idéologique. Luther et Calvin en sont les modèles. Autant dire que les chances de voir du sang sur les trottoirs et des têtes se détachant brutalement des troncs sont d’une probabilité absolue !
Le protestant est un monolithe qui s’inspire de l’ancien testament, se considère « choisi par Dieu » et engendre du puritanisme à la bétonnière. Ça vous maçonne de la conscience comme on creuse des fosses communes à la pelleteuse ! C’est une partie de cette famille qui s’en est allée coloniser l’Amérique (voyez le résultat !) et dont les restes traînent encore dans la vieille Europe, la France ayant gardé dans son panel politique des échantillons très parlants.
Comme on l’a vu dans cet épisode de l’histoire, le peuple c’est de la roupie de sansonnet. Il est de la pâte à modeler, pour applaudir aux exécutions publiques, pour claironner de la haine sur commande, servir de chair à canon et déglutir de la misère jusqu’à n’avoir plus dans le ventre que du dégoût à vomir ! Gauche et droite ne sont que l’illustration de ce que l’école n’enseigne pas.
Pour faire vite, les gilets jaunes en sont l’exemple le plus récent. Qu’avons-nous vu pendant l’occupation des ronds-points des va-nu-pieds avant un confinement sanitaire très opportun ? Rien que du très grossier : la gauche, la droite, les gauchistes, les bobos, les wokistes et autres collabos, dans une sorte d’Union sacrée, tapant du gilet jaune, hurlant à l’unissons contre l’horrible « facho », « l’antisémite irrécupérable », dans son habit le plus simple, celui qui inspire la peur aux nantis, priant pour qu’il ne quitte pas son sillon : le peuple !
Et que demandait et demande ce peuple des « fachos », provoqué, discrédité, bastonné par des hordes de provocateurs aux ordres de la préfecture, matraqué sans pitié par une police déchaînée tout au long des concentrations hebdomadaires ? Pour rappel :
- SMIC à 1300 euros net. - Favoriser les petits commences des villages et centres-villes. (Cesser la construction des grosses zones commerciales autour des grandes villes qui tuent le petit commerce.). + de parkings gratuits dans les centres-villes. - Que les GROS (Macdo, google, Amazon, Carrefour...) payent GROS et que les petits (artisans, TPE PME) payent petit. - Même système de sécurité sociale pour tous (y compris artisans et autoentrepreneurs). Fin du RSI. - Le système de retraite doit demeurer solidaire et donc socialisé. (Pas de retraite à point). - Fin de la hausse des taxes sur le carburant. - Pas de retraite en dessous de 1200 euros.
Quelle révolution ! Mais quel désastre économique !
Lisons ce que Laurent Cappelletti, professeur à la CNAM, a à nous dire sur l’opération destruction de l’économie par la gestion sanitaire : 600 milliards ! Explication.
Des « fachos », les Gilets Jaunes ? Des « antisémites » ? Où trouve-t-on les vrais criminels ? Regardons vers le haut de l'échelle sociale, chez les donneurs de leçons !
Sous l’Casque d’Erby