Source |
Enfonçons-nous bien dans le crâne que le communisme n’a jamais été l’affaire des prolos ! Les pauvres gens n’ont rien à voir avec le machiavélisme des élites.
Les petits soldats du marxisme, formés à l’école de « réponse à tout », diront sans ciller que la première étape du communisme est (naturellement !) la dictature, oubliant le paradoxe comme on écrase un mégot sur la conscience !
Profitant du désordre accumulé dans le cerveau des « masses prolétariennes », écartées des connaissances les plus basiques, traitées comme des animaux de portage, le capitalisme testait sous faux drapeau un variant expérimental, avec une opposition sous contrôle, telle que nous la voyons aujourd'hui s’épanouir dans tous les parlements du monde, au nom d'idées dites « révolutionnaires ». Tout commerce se doit d’avoir une vitrine bien achalandée, n’est-ce pas ?.
C’est dans la rivalité de deux concepts et d’une même matrice qu’est né le capitalisme d'État et le fameux « rideau de fer ». Le combat farouche et parfois mortel entre gens du même bord se disputant âprement le pouvoir, comme dans une partie d’échecs, était la mise en scène qui permettait le contrôle absolu des masses. Avec ou sans l'État, vous en conviendrez, le capitalisme avait déjà gagné son combat contre les peuples par KO technique.
Dans son cheminement vers la « lumière », la nécessité d’un totalitarisme d’accompagnement était la carotte imaginée pour faire avancer l’âne. Il s'agissait de faire croire au peuple que la dictature du prolétariat servait à faire disparaître les riches et mettre enfin un terme à la misère. C’était d'autant plus habile de la part du capitalisme que le peuple restant numériquement la force sans laquelle les élites ne pourraient jamais réaliser ce qu'elles ont réussi magistralement par la manipulation des esprits : le crime parfait.
La télévision (ou tout autre média mondialiste), servant de guide, sera l’auxiliaire idéal. Pour vous faire atteindre ce niveau de savoir lustré au vernis de l’ignorance en fabricant des faux ennemis et des vraies guerres ; vous inculquant de la terreur, de la haine et du fanatisme. Jusqu’à nous faire atteindre cet état de bovin grâce auquel nous brouterons de l'herbe synthétique que l’on prendra pour du foin de la meilleure facture, et étancher la soif avec des solutions à base de Roundup que nous prendrons pour de l'eau cristalline tirée des sources les plus pures. La vaccination Covid faisant entièrement partie du même procédé.
C’est ça l’Agenda mondialiste et son communisme bestial. Autrement dit, la face occulte du totalitarisme à l’échelle du monde dont a toujours rêvé l’élite.
Si, comme c'est le cas actuellement, l'État vient vous dire que vous devez bêler comme un mouton, sous peine d'être envoyé dans un camp de rééducation pour refus d’obtempérer, vous le ferez comme le ferait un bon mouton…
Ça c'est pour commencer. Le reste n’est que la suite logique de ce qui précède. Si ce même État annonce qu'il va saisir les biens que vous avez construits à la sueur de votre front, pour construire ce « Monde meilleur » pour lequel vous ne militez pas du tout, vous découvrirez, trop tard, que cette version du « communisme » dont vous ne voulez pas en entendre parler est mondialisée par l'ultralibéralisme, poussé au train par le pouvoir occulte dont on parle beaucoup et qu’on ne voit pas ou à peine !
Tel est le programme des mondialistes : l’extermination de la moitié de la population de la planète pour que l’autre moitié jouisse d’une « vie durable » !
Evidemment, dans cette heureuse moitié restante, les mondialistes seront aux premières loges !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour. C'est vrai que j'avais le choix : ruminer seul dans mon coin ou partager mon soliloque. J'ai choisi. La bonne journée.
RépondreSupprimerSalut Rodo. Tu es bien optimiste ! Le nombre de ceux qui seraient autorisés à continuer à paître le brouet concocté par "les maîtres" risque de s'avérer bien plus réduit : juste assez pour y puiser les serviteurs des maîtres, allant chercher dans les champs choisis par les maîtres la nourriture adéquate pour des maîtres. Les autres devant se contenter de brouets dont les pourceaux ne voudraient pas.
RépondreSupprimerLa solution ? Dès à présent égaliser (ô le beau mot !) la hauteur des maîtres au mètre étalon, rakkkk. Que ces maîtres s'appellent Rockfeller ou Engels, peu importe.
Là-dessus, joyeux matin malgré les grommellements d'un orage qui dure, qui dure....
Gotch : ah, il y avait longtemps que je ne l'avais pas sorti, celui-là, sauf avec le copain Laval de l'autre côté de "la flaque à harengs".
Salut Jean-Claude. Je partage ta remarque sur mon optimisme. Eh bien, figure-toi qu'il ne suffit pas à rassurer certains interlocuteurs quand la conversation roule sur le sujet, à propos du vaccin et du totalitarisme qui se développe de manière inquiétante. La peur est un puissant paralysant. Protège-toi de la chaleur, qu'elle soit sèche ou moite!
SupprimerComme tu fais bien de le partager ton soliloque... Merci :-)
RépondreSupprimerAh mais j'ai vu la marie-noëlle lienemman , ex ministre de "gôche" devenue sénatrice venir alimenter le discours ambiant pour entretenir la peur !
Le dégôut, l'amertume c'est devenu très très oppressant...Heureusement grâce à Twitter il m'arrive de trouver des liens tout plein qui font du bien: les acteurs ? Des animôs !!! :-)
Le bonjour à toi. Justement, à propos de la Marie-Noëlle et consorts de la même eau, je viens de recevoir "Le livre noir de la gauche française" de Xavier Moreau que je me dépêche de lire et te le passer si ça te dit. La Bise.
SupprimerLa marie-noëlle lienemman , elle a du coup avec moi perdu ses majuscules :-)...
SupprimerOui Rod, Xavier Moreau, me le passer, bien sûr ! merci....
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer