mercredi 18 juin 2025

« Je te préférais quand tu ne réfléchissais pas » !

C’est par cette phrase du titre qu’un ami de longue date s’est esquivé de la soirée de retrouvailles.
La vérité est que nous traversons des temps infâmes où le simple fait de condamner une agression est considéré comme un acte répréhensible.
Être agressé, violé ou tué nous obligerait à accepter notre sort en silence, comme une punition méritée. Comme si nous devions expier des fautes sans savoir lesquelles devant le tribunal de la pensée : « Pardon, je vous demande pardon. Je ne sais pas pour quels crimes, ni pour quels péchés, ni pour quelles futilités expurgées des poubelles de l’esprit, mais, je vous en supplie, pardonnez-moi ! »
L’inversion perverse de la réalité est-elle le résultat d'une tendance passagère, comme une représentation artistique de mauvais goût, que le calendrier biffe de ses pages au hasard des épisodes ? Ou, plus concrètement, la volonté criminelle des élites, jamais en panne d’inspiration dès qu’il s’agit de bastonner le gueux  ?
Le russe contre tous ! Tous contre la Russie ! Par jalousie ! Par prédation ! Par amour du crime ! Et, apothéose, tous contre tous !
D’évidence, cela correspond au projet que la haute nous réserve dans un final d’apocalypse programmé pour 2030 — nous y arrivons ! — Et son maudit calendar !
De nos jours, affirmer des choses aussi banales que le jour est jour et la pluie est pluie, quand cela est, devient un acte d’insoumission aux yeux d'une population aliénée et de plus en plus masochiste.
Ce monde est un asile dans lequel la « guérison » passe par l'expiation de tous les péchés, agrémentée par des séances publiques d’autoflagellations, bientôt diffusées en direct sur Mondovision, la chaîne des enchaînés ! Un show dans lequel chacun bat sa coulpe se fouettant les douze paires de côtes jusqu’au sang !
En dehors du sillon tracé par le dominant, le dominé, est heureux sous le joug de ce qu'il s'est persuadé être son bonheur !
Le point d’accroche s’est solidement scotché dans les esprits, au point qu’en dehors des directives expectorées par des diseurs de brèves insanes aux informations en continu, aucune autre possibilité ne trouvera grâce aux yeux de l’addict. Sans sa dose quotidienne, il est tendu comme un arc !
C’est ainsi que le type ordinaire, qui n’aime pas le chinois, le russe, le juif, l’arabe et très moyennement l’Américain, surtout depuis que Trump est revenu aux affaires, vous traite de raciste parce que vous posez les questions qui dérangent. Et de facho quand vous dénoncez le laxisme de la justice à l’égard des coupables de viols, de coups de couteau ou des violences urbaines causées par des migrants sortis du chapeau de la bien nommée galaxie Soros.
La réaction violente de la population irlandaise devant des décisions de justice sur des tentatives de viols sur des jeunes filles est jugée démesurée par ces mêmes décérébrés, sans chercher à comprendre qu’elles ne font que répondre au laxisme d’une justice aux ordres du pouvoir profond.
Combien d’actes similaires enregistrés dans tous les pays d’Europe passés sous silence ? Si la police fait son travail, qu’en est-il de la justice ? 
Comme de bien entendu, ces irlandais n’ont rien compris au film ! Du moins, c’est ainsi que les médias nous présentent le narratif !
C’est par le même procédé que l’on accepte l’idée d’une Troisième guerre mondiale, parce qu’il faut nous mettre du plomb dans la tête ! C’est du pousse-toi de là que je m’y mette où je n’entends plus bien de mes deux oreilles !
Ce n'est pas la goutte qui remplit la vase, mais c'est elle, si insignifiante qu'elle soit, qui le fait déborder.

Sous l’Casque d’Erby 


samedi 14 juin 2025

Hier, aujourd'hui, demain, une seule alternative : la guerre !

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Ouvertement déclarée ou non, la guerre nous est proposée comme on offre des produits à la consommation pendant les soldes. Un bras, une jambe, un crâne ou tout un corps à prix discount. Elle est l'entrée, le plat principal et le dessert d'un menu à la carte. 
L'Iran aujourd'hui, l'Ukraine plus tôt et Gaza pour garnir ce gros sandwich bien bourratif pour faire taire les consciences, avec deux fronts rangés en ordre de bataille : le Bien et le Mal. On gave l'opinion publique à qui on demande de donner une note de un à cinq à cette sinistre nourriture. 
De la chair à canon au silence des cimetières, c'est la mort qu'on revêt d'une étrange lumière. Si tant est que « lumière » soit le terme approprié en l'occurrence. Comme s’il n'existait dans un univers déshumanisé qu'une seule voie, celle de notre peur et de notre lâcheté dans une réalité virtualisée. La voie la plus directe et la plus aisée pour atteindre un confort qui nous pousse à penser que pour enrayer la gangrène, l'amputation d'un membre suffit à sauver l'organisme.
Nous sommes dans un jeu vidéo, comme en Irak avant et en Ukraine après, nous disputant le monopole d’une raison séquestrée par les organisateurs de cette sanguinaire odyssée. 
Au jeu de qui a raison et qui refuse d’avoir tort, nous finirons tous six pieds sous terre sans avoir creusé la question.
Quoi de plus évident pour escamoter un arbre que la forêt elle-même ? L’histoire est cette pute qui écume les champs de bataille pour, dans la putréfaction des cadavres, tirer un narratif qui la rendra appétissante au regard des futures victimes !
Quand le réel et le virtuel s’amalgament, il ne reste plus que des promesses qu’on ne peut pas tenir. Des propos sans témoins et des témoins qui disent les avoir entendus dans la bouche des muets.
Quand il ne restera plus que le souvenir flou de ce qui aurait pu être un monde différent, ceux qui auront échappé au carnage iront commémorer le martyre comme on célèbre une page glorieuse dans le grand livre noir de nos consciences.

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 12 juin 2025

L’euthanasie pour mieux vivre ?

Du droit de « mourir dans la dignité » au droit de vivre, selon des critères décrétés, il n'y a qu'un pas que nos concepteurs en savoir-vivre franchissent le plus naturellement du monde.
En réalité, on nous prépare à accepter l'idée que mourir est une bonne idée dans une planète saturée de gens qui n'ont rien à y faire, selon des critères globalistes !
Réduire la population nous pousse vers ce monde dystopique imaginé par des romanciers omniscients, mais qu'en est-il en vérité de ces « prophéties » ? La littérature d'anticipation n'a jamais fait autre chose que d'exprimer, sous le couvert de distorsion imaginaire, la vérité sur les intentions cachées de la caste dirigeante.
À force de conditionnement, bientôt (et pourquoi pas dès maintenant) les futurs macchabées seront convaincus que ce sont eux qui ont décidé de dire halte, acceptant « librement » le trépas ! On nous a bien convaincu que le Pangolin avait des mauvaises intentions à notre égard. Pauvre bête ! 
Tous les moyens d'information sont au vert pour nous convaincre des bienfaits du « suicide assisté » ! Comme pour la retraite, bientôt, nous aurons un droit de vie à la carte. Une sorte de passeport à points.
Autrement dit, vous travaillerez jusqu'à tel âge, avant de prendre votre retraite – le plus tard possible – et vous mourrez assez rapidement afin d'éviter un déficit budgétaire au gouvernement, à votre famille, à vos amis, à vos semblables, à la nation ! Soyez patriotes, effacez-vous dignement !
On passe une vie à imaginer un monde convenable, débarrassé de ses multiples merdes et quand vous pensez avoir atteint l'âge raisonnable pour profiter d'une retraite que vous avez mille fois méritée, le malin vous prépare à vous faire volontairement sauter le caisson !
Ne soyez pas égoïste, pensez à vos enfants. À vos petits-enfants. À ces gens que vous aimez et que par votre acharnement à vivre, vous plongez égoïstement dans l'embarras ! Acceptez dès maintenant votre passeport pour la mort ! 
L'Assemblée nationale débat sur l'âge raisonnable d'une fin de vie digne, que vous soyez dans un état végétatif ou pas.
Soyez citoyen, acceptez votre destin, le gouvernement y tient. C’est pour votre bien !
Fait extraordinaire, mais à peine, ce discours est tenu par des dirigeants bien âgés qui n'ont aucune intention de se suicider !

Sous l’Casque d’Erby 


mardi 10 juin 2025

Oh, mon bateau ! Tu es le plus beau des bateaux !

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L'équipage du Madleen, composé de militants de diverses nationalités, a mené une opération médiatique pour briser le blocus de Gaza. Cette action, visant à attirer l'attention d’une foule de gogos, préalablement chauffée, s'est transformée en vacances médiatiques aux frais de la princesse.
L'événement a été médiatisé comme si nous assistions à la renaissance des guérilleros de la Sierra Madre, Rima Hassan dans le rôle de guévariste et Greta Thunberg en gardienne de l’orthodoxie castriste, ou quand l’histoire pisse le vinaigre !
L'humanitaire n'étant ici qu'un prétexte à une mascarade macabre, dont les protagonistes tireront des souvenirs en conserve et des avantages subséquents. Lorsque l'homme atteint ce niveau de cynisme et de stupidité, on touche du doigt la fin d'une civilisation en totale décomposition.
On fait la guerre comme on prend des selfies à la BHL. Non seulement nous touchons le fond, mais pire, nous continuons de creuser à la recherche du diamant du Nil !
Cette version médiocre d'une nouvelle Chasse au Trésor serait risible s'il ne s'agissait pas d'un business, identique à celui du mouvement migratoire, sur la souffrance et la mort des peuples. Ce qu'il y a de cruel, c'est l'idée que l'élite et sa représentation politique se font des habitants de la planète. 
Arraisonné par l'armée israélienne (quelle surprise !), après un séjour dans les prisons sionistes, on a libéré le pack de malins et de cinglés sous les hourras d'une militance en état de coma dépassé !
Stimulée par le frisson héroïque d'une telle aventure, l'escouade dira avoir vécu l'enfer dans des cachots dignes de celui d'Edmond Dantès dans le Conte de Monte-Cristo. Pas moins.
L'opération suivante est prévisible comme le jour succède à la nuit. Réglée comme du papier à musique : Des micros déployés dans les salles de rédaction. Des interventions virulentes à l'antenne, soulignant ou pas le bon ou le mauvais comportement des autorités israéliennes, décrivant avec force et émotion cette odyssée du pauvre !
Annonçant d'ores et déjà, pourquoi pas, la diffusion de témoignages choc à venir dans des plateformes vidéos de diffusion en flux.
Un temps de parole que les médias n’accorde jamais aux vrais résistants !
Pendant ce temps, les Gazaouis continuent d'être décimés au lance-flammes !

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 9 juin 2025

Mon éolienne ne vaut pas un clou et me coûte une blinde !

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Quelqu’un parle-t-il l'éolien parmi nous ? Un volontaire dans le public pour traduire la bête en justice ? Ce n’est pas une blague écologique 2.0, c’est un acte de terrorisme majeur que nous devons juger sans délai !
La bête est gourmande. Il ne faut pas faire semblant de la nourrir, elle en redemande !
Rien que le générateur vous pompe trois tonnes de terres rares, importées de Chine. Ne me dites pas que les Chinois sont des vilains canards qu'il faut éradiquer, alors qu'ils sont si gentils avec nos industriels !
Les affaires sont les affaires ! 
Sans parler de la soif. Un véritable pilier de comptoir : 400 litres d’huile à la fournée ! D'accord, de temps en temps, l'organisme sature et régurgite le tout sur le paletot, laissant des grosses taches sur le blanc jabot ! 
Pas d’inquiétude, la terre est une éponge !
Tous les ans, chaque pale chie dans nos campagnes dans les 180 kg de son poids en poussières fines, faites de fibres de verre, de carbone et de résines époxy. Tout ça est projeté dans l’air, ce qui reste invisible à l’œil nu. Ni vu ni connu. 
Bonjour les ZFE pour zones à faible émission !
Quand ça clamse, les ailes de ces oiseaux stylisés, si classieux, bien sûr non recyclables, sont enterrées sous nos pieds. Ce qu’on ne voit pas, n’existe pas, n’est-ce pas ? 
Aucune plaque n’y est apposée pour célébrer sa mémoire  : ci-gît une escroquerie à échelle planétaire !
Quant au socle, voici de quoi alimenter le détail : 60 camions de 25 tonnes de béton chacun. Total : 1500 tonnes ! De quoi fabriquer de la pierre tombale low cost pour plomber la mémoire ! Quant à la ferraille, il y a là de quoi vous alimenter plusieurs générations. Ça vous comble votre déficit en fer, que c’est miracle : fatigue, essoufflement, ongles cassants, on oublie. Une véritable usine de rénovation !
Si des écologistes (je parle de vrais écolos) avalent l'anaconda, ce ne sont que des pauvres gens au cerveau en fin de course ! 
Toute cette merde ne sert que des industriels. Autrement dit, des escrocs !
Conseil pratique : Si quelqu’un vient louer vos terres pour y installer ces bestioles, moyennant une somme séduisante 30 000€ l’an pendant 20 ans (durée de vie de la chose), refusez, c’est un piège ! Le démontage du bidule est à votre charge, puisque vous êtes propriétaire du terrain. Coût minimum : 450 000€ l’unité ! Comme on vous en installe une paire, faites le calcul !
Malins, les mafieux !

Sous l’Casque d’Erby
 


samedi 7 juin 2025

L’Ukraine refuse de récupérer les corps de ses soldats morts au combat pour faire des économies



 
Aujourd’hui 6 juin 2025, devait avoir lieu la première partie de « l’échange » à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine de corps de soldats morts (en réalité, il s’agit d’un transfert quasi unilatéral de la part de la Russie, car l’Ukraine n’a pas un grand nombre de soldats russes morts en sa possession). Mais au dernier moment, l’Ukraine a refusé de récupérer les corps de ses soldats, pour des raisons particulièrement cyniques.
La première étape de « l’échange » de corps à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine devait avoir lieu aujourd’hui. Kiev devait recevoir les corps de 503 soldats tués (sur les 6 000 corps qui sont en possession de la Russie), et Moscou devait en recevoir 42. Cependant, le transfert n’a pas eu lieu.
Environ 150 camions réfrigérés transportant les corps de soldats ukrainiens sont arrivés à la frontière entre la Biélorussie et l’Ukraine, mais la partie ukrainienne a refusé de les prendre, sans donner de motif.
Ce refus peut sembler des plus étranges. En effet, quel gouvernement ne voudrait pas permettre aux familles des soldats morts au combat de les enterrer dignement au lieu de les laisser moisir dans les morgues ennemies ? La suite, c'est par ici

vendredi 6 juin 2025

Marre d’être heureux, pas vous ?

Pixabay
Les campagnes contre l'homophobie se multiplient, comme si la société était engagée dans une guerre de cent ans sur une pratique sexuelle ancestrale désormais banalisée.
On vous demande de porter des signes distinctifs, symbole de soumission aux nouvelles règles du ministère de la Vérité ! Un concept politique qu’on impose dans tous les milieux sociaux et lors des manifestations sportives où le public est nombreux, afin de généraliser la pensée unique. À l'instar de l'ex-Union soviétique et de la Chine maoïste, que les gauchistes fanatisés de la décennie 1970/80 cachaient pudiquement sous les écharpes rouges lors des campagnes de prosélytisme décomplexé.
Un moule pour chacun et tous dans le même moule, c'est la grande reconfiguration des cerveaux !
Le refus de porter un signe distinctif n'implique pas nécessairement l'homophobie, l'antisémitisme ou le racisme. Par exemple, je refuse de porter des t-shirts imprimés, parce que je ne suis pas un homme-sandwich. Mais je n’oblige personne à suivre mon exemple !
Hommes, femmes et enfants ne suffisent plus à appréhender un monde qui sombre dans la folie au nom d’une déchéance programmée ! Il faut quelque chose de nouveau, de créatif, de bien dégénéré pour se sentir quelqu’un d’important. C'est le prix à payer pour être dans l'air des nouveaux temps barbares ! 
Les regrets viendront plus tard, quand nous aurons oublié jusqu'à la notion d'espoir ! Quand nous aurons subi toutes les infamies  et accepté la dépopulation comme une forme de vaccination contre la démographie !
Le problème migratoire, orchestré par la galaxie Soros et politiquement appuyé par l'UE, sans autre règle que celle de mettre en place une politique du naufrage ! S’y interroger sur les dérives et les conséquences générées par ce flux continu, n’implique pas de l’hostilité, comme on cherche à le faire croire en crachant sur les gens du pays qu’un certain personnage du showbiz traite avec haine de « fin de race » ! Les excuses qui ont suivi ne servant qu’à souligner l'immense mépris qu'il éprouve pour le pays qui le nourrit !
Plus on désarçonne l'individu, plus on le dépouille et l’enfonce dans la boue, plus on l'entraîne vers l'indifférence, et plus docilement il intégrera la nécessité de se saborder en tant que personne. 
Rien ne fait tant frissonner l'être nourri à l’aliment consumériste que l'idée d'une agression imaginaire, comme celles que l’on regarde sur les plateformes de streaming vidéo, où Russe et Arabe, toujours vaincu à la fin, endossent le rôle de mafieux ou de terroristes, parfois les deux !
« Qu'est-ce que je n'aimerais pas être à la place d'un Palestinien ! Ou d’un Ukrainien ! Ou d'un catholique. Brrr ! » 
Du coup, l'être optimiste reste à la place qu'on lui assigne devant la télé, la tête enfoncée dans le sable et le cul fouetté par les vents mauvais !
En réalité, l'optimiste n'a qu'une idée et des couleurs basiques en tête : le rose pour les femmes ; le bleu pour les hommes, binairement parlant !
Et moi, dans ce concert ? J’en ai marre d’être heureux ! 

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 2 juin 2025

Réflexions et ressentiments à la volée

Les « je vous l'avais dit » sont un genre très répandu, un peu comme les « indispensables », ça remplit les carnets de rendez-vous des psys avant d'échouer sous une pierre tombale, au terme d'un parcours épuisant ! Comme n'importe quel anonyme !
On trouvera toujours aux carrefours de nos erreurs un « savant » prêt à déposer sa bile dans notre foie pour le plaisir de le voir exploser. Un pur produit toxique qui promène son spleen de forum en réseaux sociaux pour polluer des débats qui, au fond, ne l'intéressent pas. Lui, sa dope, c'est clamer haut et fort qu'il est le plus fort !
C'est l'air triomphant qu'il hisse le drapeau de son ego sur l'éperon de sa bêtise : « je vous l'avais dit ! » En toutes circonstances, il arborera l'étendard de son savoir comme on exhibe la Légion d'honneur au revers de son veston. Sachant, qu'on n'obtient pas ce genre de breloque sans se déshonorer !
Au diable les scrupules ! Tout au fond de lui, ce « savant » de nouvelle génération sait ! Et si un jour, il a éprouvé quelque soupçon de contrition, il s'en est vite remis !
Je sais. Tu sais. Nous savions. Ils savent tout ça, tout en haut de la pyramide ! Chez les fabricants de clones et de sosies ! Ces fantômes qui arpentent la scène publique pour nourrir l'illusion des foules manipulées.
Pareil en ce qui concerne Donald Trump – je parle de Trump, mais cela pourrait être n'importe qui d'autre –, dont on dit qu'il a trahi ses promesses électorales dans « sa lutte contre le pouvoir profond » et le redressement d'une Amérique exsangue. 
Allié des globalistes jouant l'opposant avec brio ou une victime de plus ? L'ennemi est-il plus fort qu'il ne l'a imaginé ? Je pencherai pour ce dernier cas de figure.
Qui s'est trompé dans ce mélo ? Trump, en ne mesurant pas la puissance réelle de ce pouvoir dont l'Agenda 2030 déroule ses plans comme on tient un livre de comptes ? Le malheureux électeur est encore pour ses frais !
Peut-on lui en vouloir d'avoir rêvé à des « lendemains qui chantent » ? D'avoir osé espérer qu'un monde débarrassé de la vermine mondialiste, sans adrénochrome, sans pédophilie, sans biolabs, sans euthanasie, sans guerre, sans trafic d'êtres humains ni d'organes, si imparfait qu'il soit, est toujours possible ?
Voter contre l’État profond ne veut pas dire que le candidat pour lequel on « roule » est le candidat idéal. En matière d'idéal, l'urne n'a jamais tiré la panacée ! Elle n'est que la fête foraine par laquelle les élites donnent l'illusion démocratique. Ce placebo à effet psychologique immédiat !
Combien de fois, amis électeurs, avons-nous glissé un bulletin par défaut dans l'urne ? Si j'avais autant de millions que le poids des candidats, femmes comprises, pour qui j'ai voté par défaut, je serais en train de me la couler douce dans une île paradisiaque nettoyée de ces créatures inférieures qui dégoûtent tant les extra-terrestres qui gouvernent nos destinées !
Je fais face à des « savants » insupportables. Mais comme dans la vie, on ne peut pas séparer le bon du mauvais - et c'est tant mieux ! -, nous jouons les gentils couillons avec des gardiens de l'orthodoxie qui ne se soucient pas d'orthodoxie. 

Sous l'Casque d'Erby