mardi 27 mai 2025

Obama deep


Obama a les fesses sur le grill. Ne pensez pas à mal, ceci est une image. Ils sont nombreux dans l'univers sombre du pouvoir à connaître ce genre d'inconfort et à bien s'y habituer. Une petite ligne par-ci, par là et ça vous change la perspective.
Selon des sources « autorisées » — il faut toujours se méfier des sources, surtout quand elles sont « autorisées » — il serait, ou aurait été — lors de ses deux mandatures une des pièces principales de la CIA et le bras armé du pouvoir invisible dans le jeu de manipulation par lequel les États-Unis ont plongé dans l'une des séries les plus noires de sa jeune histoire. Pourtant, elles remplissent déjà nombre d'encyclopédies !
Barack Obama, pour qui la guerre aura été un jeu vidéo pour post-adolescent cruel, serait le dernier marionnettiste de la Maison Blanche. Celui qui dictait, après avoir été briefé, au personnel de ce pauvre Joe Biden, son ancien vice-président, où et quand on devait l'aider à nouer la cravate ou à lacer les chaussures. À lire un texte devant la presse, dont il oubliait le contenu quand il ne perdait pas les fiches rédigées par les conseillers. Que savons-nous des mystères diamantifères qui jalonnent l'univers et ses complexes ?
Un procès arrive, c'est imminent, affirment des « sources bien informées » ! Quand les sources sont « bien informées » on peut d'ores et déjà penser que le futur prévenu est entouré d'une nuée d'experts spécialisés en farces et attrapes. Une mise en scène par laquelle tout paraît vrai, mais tout est faux, du bras coupé aux faux serpents ; du coussin péteur au chewing-gum électrique. Une affaire qui télescope celle du procès de P. Diddy dans lequel il est « indirectement » impliqué, son nom ayant été cité au cours du « témoignage déroutant de l'ancien assistant du rappeur ». 
Et dire que je fus ému jusqu'aux tréfonds lorsque pour la première fois de son histoire l'Amérique se choisit un président noir ! Quel naïf ! 
Dans tout cela, il reste le spectacle. Que les Pangloss n'exultent pas trop vite. Ceci ne sera qu'un nouveau feu de paille ! Une énième diversion.
L'idée naïve que nous avons d'une justice immanente, bouc émissaire compris, n'est pas encore à l'ordre du jour. Cela est perturbant pour l'équilibre psychique, je l'admets, car de contrariété en contrariété, nous nous retrouvons dans un pays sous curatelle ! Adieu, veau, vache, cochonne et couvée ! 
Hélas, l'être déconstruit, reste coriace dans son tout petit costume, rien ne l'en débarrassera. Quand une créature du pouvoir est « terrassée », une autre est déjà dans les starting-blocks pour prendre le relais. On croit atteindre le Diable, nous n'avons affaire qu'à l'un de ses démons !
Handicapé, parce que formaté par l'éducation de l’État et un milieu ambiant métastasé par la frivolité et la course à la breloque, le petit homme pensera ce qu'on lui suggère de penser, en toute liberté. Dira ce qu'on lui dicte, crachera sans hésiter au visage de son voisin d'enclos, qui cherche à couper les barbelés, afin de respirer l'air vivifiant de la liberté et, pourquoi pas, du bonheur !

Sous l'Casque d'Erby 


vendredi 23 mai 2025

Pessimiste, moi ? A peine !

L’anesthésiant est puissant et son soulagement si doux, que l’amnésie s’installe dans les consciences comme si de rien n’était : un corps politique au pire de sa forme, une vie qui perd le fil de sa dignité dans l’odeur des vallées profondes et des lacs sombres du Walhalla, agissant sur les organismes comme une fatalité inéluctable.
Ce n’est pas le début. Ce n’est pas la fin, mais un aller simple vers cette dimension duveteuse où, dit-on, débarrassé des contraintes matérielles, l’esprit est enfin à son aise.
Rien à gauche. Rien à droite. Droit dans le mur ! 
La manipulation politique est à son pic le plus élevé dans notre 5ᵉ mourante : faire passer une exécution pour un accident malheureux ; une défenestration pour un suicide par dépit amoureux ; un tremblement de terre pour une catastrophe naturelle ; un empoisonnement alimentaire pour de la gloutonnerie incontrôlée ! Ni nouveau ni surprenant : l'histoire humaine est remplie de ces atrocités. Les Borgia n'ont rien inventé, car avant eux, c'était déjà comme ça...
Depuis longtemps, le cinéma n’invente plus rien, il puise son pis-aller dans le réel ! Toute ressemblance, blablabla, n’est pas fortuite !
La foule doit y croire. Elle y croit ! Pas toujours par conviction intime, mais par confort. Quand le crime est à son apogée, le blaireau fait ce qu’il fait de mieux : l’autruche !
Jouer avec le chaos en tripotant le flûtiau comme dans les contes anciens. Sortir de la bacchanale électorale un parasite pas trop médiatisé, qu’on présentera comme du nouveau, de l’antisystème, du révolutionnaire pour instiller un nouvel enthousiasme et rafler une nouvelle fois la mise, c’est ainsi que les choses fonctionnent et ce n'est pas près de s'arrêter. Alors, changer le monde ? 
N’avons-nous pas eu notre soûl de mensonges, toujours les mêmes sous déguisements divers ? D’évidence, entre la première gorgée et l’addiction, la graine a poussé comme plante fourragère, ce qui a pour effet de fixer l’azote dans le sol au profit de l’exploitant !
Applaudissant à tout rompre, la masse se trémousse, affiche des tronches réjouies, lance des hourras jusqu’à l’aphonie ! Criera des On a gagné jusqu'à se déchirer le gosier !
Fera des dons, comme si elle n’était pas assez dépouillée, parce que la toute nouvelle campagne a besoin de fonds, d’un soutien indéfectible, si on veut que « ça change vraiment » !
Par ailleurs, plus nous sommes distraits, moins nous avons de fonds, et plus aucune autonomie pour finir le mois. Par ici les agios !
C’est cela le « confort » d’une paralysie volontaire. Le peu d’argent que la banque autorise en découvert, on l’investit dans l’achat de papier hygiénique, à cause d'une menace de pénurie !
Pauvres, mais les fesses propres !

PS Le blog Lezarceleur a été supprimé par Google sans aucune explication. La démocratie a ses caprices. Pas moyen de discuter, d'expliquer que la plateforme se nourrit majoritairement de traductions et de partage. Cela emmerde le Prince et ça suffit ! Circulez, il n'y a rien à voir !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 20 mai 2025

Halte ou encore ?

Source

En Roumanie, le candidat de l’ordre mondial (proeuropéen) finit par l’emporter devant le candidat « souverainiste ». Le spectre d’une extrême droite utilitaire abondamment exploité s’avérerait plus efficace que le danger totalitaire déjà à l’œuvre partout en Europe ? Ou bien s’agit-il, encore une fois, de trucage électoral, une chose expliquant l’autre ?
Le corps politique est dévoré par la nécrose et aucune thérapie n’est, en l’état actuel des choses, assez efficace pour arrêter l’hémorragie. Même l’imputation partielle d'un membre ne semble pas pouvoir y venir à bout.
Dieudonné, Soral, Jovanovic, Branco, Fourtillan plus tôt, pour ses déclarations dans le film Hold-up sur la manipulation covidienne… Tous estampillés « faibles d’esprit » ou extrémistes de droite ! 
Certains, sans faire de bruit, prennent le chemin de l’exil. Baissent-ils les bras ? Qui sera le prochain à se faire « rafler » à l’heure où la ville dort ?
Ne prenez pas ceci pour du délire complotiste, l’affaire est plus grave qu’on ne l’imagine ! Cela me rappelle ce poème qui date, mais toujours actuel, où tout est posé, comme on creuse les fondations d’un monument funéraire. Cette chose qui nous concerne tous, mais à laquelle, pour de multiples raisons, personne n’ose imaginer le retour.
Ce petit poème a été jeté dans les courants pour que l’on se souvienne, comme un cri contre l’horreur. Petit texte, si chargé de conséquences, si électrique, que l’on lit la chair à vif chaque fois qu’un danger se profile pour l’oublier aussitôt, tant cela paraît impossible !
Un poème si violent. Si cruel, qu’on le lit comme on regarde un film d’épouvante en grignotant du corn-flake, les fesses bien calées dans son fauteuil, un frisson rassurant nous parcourant l’échine ! 
Poème qui retrouve aujourd’hui les couleurs sombres qui l’ont motivé, le voici, aussi actuel qu’auparavant :

Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas communiste. 
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas social-démocrate. 
Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas syndicaliste. 
Lorsqu’ils sont venus me chercher, 
il ne restait plus personne 
pour protester. 
  
Martin Niemöller, poème écrit en 1942.
 
Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 18 mai 2025

Maman, c’est quoi un facho ?


L’esprit de résistance d’un pays en souffrance monte. Avec lui sont arrivés les contre-feux imaginés dans les officines et répercutés dans toutes les salles de rédaction d’une presse à l’agonie, perfusée avec l’argent public, avant d’échouer dans des oreilles polluées par des croyances absconses. Les petites mains du pouvoir font le reste, dans la rue comme dans les débats publics, en échange de misérables avantages.
De même qu’une escouade d’extrême gauche dans la rue ne fait pas une révolution sociale, un groupuscule d’allumés, photographié en plan serré pour grossir l’effet, arborant des drapeaux à l’emblème d’Occident, ne préfigure pas l’avènement du nazisme. Pourquoi ? Parce que le nazisme est déjà au pouvoir en Europe. Subsidiairement, ces groupuscules, téléguidés par les services de l’État, servent les intérêts des véritables agitateurs, ceux qui tiennent le palpitant du système sous divers déguisements, qui pondent des lois, imposent des directives, inventent des catastrophes sanitaires pour soumettre le monde à ce nazisme qu'on chérit en silence.
C'est à peine si ces nostalgiques 2.0 se retiennent d’exulter, tant la chose leur paraît enfin réalisable !
La question qu'une «  gauche  » traumatique aux militants manipulés – vivant la « souffrance de l’histoire » par procuration – doit se poser est celle-ci : le nazisme a-t-il seulement quitté le pouvoir depuis la défaite de 1945 ? 
La réponse étant avérée, à quoi servent ces cris d’orfraie, ces moulinets anti-fachos et ces votes « salvateurs » à chaque mouvement électoral sinon à cacher la poussière sous le tapis ? 
Dans son soutien à l’Ukraine de Zelensky et son obstination à poursuivre une guerre contre la Russie, d'ores et déjà perdue, l'UE ne fait que corroborer le fait que son objectif final est bel et bien la dévitalisation du continent par la guerre, quoiqu'il en coûte aux peuples. Le prétexte démocratique n’est que le marronnier !
L’histoire ne nous enseigne-t-elle pas que tous les totalitarismes, de l’Italie mussolinienne à Hitler, de Staline à Mao, j’en oublie, ont pour dénominateur commun l’appellation « socialiste » » ? 
Qu’il est étrange que ce qui nous est vendu comme le bonheur universel cache une si épouvantable escroquerie ! 
Le plan, d'une simplicité enfantine, est de niveler les peuples par le bas. Convaincre celui qui est socialement au plus mal qu'il est l'homme le plus fortuné et élevé au monde ! Empêchant par le fait l'apparition de citoyens intelligents, se posant les bonnes questions et trouvant le chemin du bon sens perdu, car plus l'individu se cultive, plus il est difficile à duper. D'où une société qui remplace les librairies par des boutiques de fringues, des opérateurs téléphoniques et une culture de supérette. 
Dans sa politique migratoire, qui ne cache plus la fin des pays souverains, l’UE annonce sans le dire le « grand remplacement ». Le pousse-toi que je m’y mette pour créer et développer le chaos avec une « espèce » nouvelle d’individus, plus corvéable, parce que totalement abrutie ! 

Sous l’Casque d’Erby


mercredi 14 mai 2025

Tellement paumés que s'en devient dément !

Penser, dire, écrire, partager relève presque d'une conversation d'asile, où chacun ânonne, gesticule, vomit sa part d'irréalité en guise de vérité. Tout est fait pour que le quotidien soit un centre d'échange pour aliénés !
Du mutisme au hurlement, le point de bascule glissant de la raison à la folie n'a plus de frontière, sauf peut-être celle de la barbarie par la désolation. En un tournemain, on travestit le réel ou ce que nous prenons pour tel. Ce qui, l'instant d'avant, était une habitude ancestrale ayant fait ses preuves devient la chose proscrite et vous le coupable d'un délit dont on ignore la raison.
Ces portes qu'on enfonce à coups de bélier. Ces jeunes et ces vieux qu'on extirpe de leurs véhicules, qu'on envoie de force à l'abattoir du côté de l'Ukraine, avec l'aval d'un non-élu et d'une UE sous acide, révèlent un totalitarisme qui ne cache plus ses intentions, sauf aux yeux de ceux que la lâcheté et la bêtise rendent aveugle ! 
Des images de dirigeants de nations souveraines attablés pour tirer des lignes, tentant de cacher le sachet de la honte devant la caméra, révèlent un esprit hautement voyou ! Des images qui circulent en jet continu sur les réseaux sociaux brisant d'un coup le narratif d'un pouvoir en perdition.
Paniqué par l'ampleur du scandale, l’Élysée tente de se défendre en arguant qu'il s'agit d'un montage et d'un complot de l'extrême droite ! Comme si nous n'avions pas affaire à des multirécidivistes pris la main dans le sachet !
En tout état de cause, ce ne sont pas eux qui feront la guerre, car ce qui les intéresse, c'est l'orgie mégalomane que le pouvoir procure. Cette ivresse permanente, cette puissance qu'ils pensent tenir des dieux, qui conduisent les peuples à la mort et à la ruine.
Combien de morts a fait cette « opération spéciale » que l'Otan, le gouvernement Biden et notre « chère » UE ont fomenté de longue date ?
Ne me dites pas que poser une telle question est aussi un complot de l'extrême droite ! Je pense aux morts des deux côtés. Autant qu'à tous les pulvérisés dans la bande de Gaza. Il n'existe pas de « bons » et de « mauvais » morts. Il n'y a que des mauvais dirigeants ! Il ne reste sur les monceaux de cadavres que la honte d'avoir fait du monde un enfer !
Pendant que les peuples dorment se faisant allègrement dépouiller, notre France cache sa misérable ruine sous les tapis. Les services de police rendent visite (ce sont les ordres !) aux résistants un peu trop entreprenants, histoire de rappeler qui tient la poêle par le manche. 
Nous ne sommes pas encore aux rafles, mais à l'allure où vont les choses, le penser n'a rien d'excessif ! Sous prétexte de les protéger d'eux-mêmes, on fait des descentes chez qui pratique le poil à gratter. Dernier cas en date : Pierre Jovanovic à qui les forces de l’ordre, GIPN, BAC, commissaires, pompiers, agents de la préfecture… sont allées rendre une visite de courtoisie au cœur de la nuit, pour lui sauver les fesses, ont-ils dit !
La réalité serait d'empêcher la publication de son prochain livre qui, justement, gratte là où ça pique !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 6 mai 2025

Notes contre l'oubli

Le chaos psychologique dans lequel « nos » dirigeants occidentaux ont plongé les peuples est tout sauf fortuit. Un scénario écrit et mis en scène par des experts en chantage et manipulation dans les sous-sols du pouvoir profond.  Ne riez pas, c'est sérieux. Il s'en trouve encore des esprits corrompus par la propagande qui demandent des preuves ! Non seulement ils ne foutent pas une ramée pour s'ouvrir les mirettes, en plus il faut leur donner la becquée. Et même comme ça, pas sûr que ça ouvre correctement les écoutilles !
Le but de cet acte de guerre contre les peuples déclenché en 2020 : amener les individus à accepter une dictature mondiale par consentement mutuel. L'OMS et son auxiliaire, l'UE, distillant consignes et directives, prélevant et distribuant l'argent public par milliards à des gangsters et à des escrocs sous les yeux d'une opinion sonnée par l'épouvante.
Les cadavres imaginaires s'amoncelant dans les salles de rédaction comme si nous assistions au retour de la peste bubonique puissance mille ! 
BigPharma et ses brigades de la terreur, grassement rétribuées, colonisaient les plateaux télé pour alimenter en charbon les locomotives de l'horreur. En moins de temps qu'il ne faut pour remplir les coffres, des vaccins sortaient des chapeaux en un délai record, pour une série de ponctions qui, à défaut de nous sauver d'un virus fabriqué de toute pièce, remplirait les poches des concepteurs développant une flopée d'effets secondaires, tous attribués à la pugnacité du pangolin !
Un train de mesures, sorti des brumes maléfiques d'esprits dérangés, poussait les peuples vers l'abîme et les élites vers ce monde idéal, dont elles ont tant rêvé, enfin débarrassé de ses encombrants !
N'ont-elles pas ouvertement annoncé la nécessité d'éradiquer le surplus d'humains, la planète devenant trop petite pour tous ?
Klaus Schwab, pour le forum mondial de Davos ; Bill Gates, Fauci, etc. pour BigPharma ; Tedros Adhanom Ghebreyesus pour l'OMS ; la galaxie Soros pour le « pacte migratoire » ; Ursula von der Leyen pour l'UE, composent l’état-major de cette conspiration à échelle mondiale. À la suite, l'ensemble des classes politiques, qui, par pression, par chantage ou par pure corruption, toutes tendances confondues, ont tout fait pour hisser un citoyen sous influence du statut de clampin ordinaire à celui de super-clampin !
Port obligatoire du masque, confinement, distanciation sociale, rien ne lui a été épargné. Comme aux heures sombres du nazisme, les villes sont devenues des déserts et les sirènes hurlantes des ambulances vides traversant la nuit déserte, maintenant la population dans une terreur et un stress permanents. Pourtant, les hôpitaux n'affichaient pas une affluence inhabituelle et les pompes funèbres ne croulaient pas sous la mise en bière !
La question demeurant : où sont passés tous ces morts ? 
Et gare à ceux qui mettaient en doute la « parole sacrée » ! Honnis ! Poussés dans les cordes par des journalistes et des consultants hystériques, salis, ostracisés, licenciés de leur travail et donnés en pâture aux lâches et aux collabos, tenant bon sous le mauvais vent du totalitarisme, passant de citoyens sceptiques à citoyens résistants, voire des fachos, sans autre récompense que l'honneur des braves et le mépris des soumis.
Qu'en est-il cinq ans plus tard, au moment où se multiplient les procès contre des responsables de cet homicide collectif et les effets secondaires avérés d'un vaccin génique néfaste ?
Il nous reste l'espoir d'un Nuremberg 2 et la condamnation des coupables afin de retrouver un peu de la dignité perdue !

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 1 mai 2025

En mai, fais ce qu'il te plaît !

Source
Je déteste les célébrations !  Le tintouin m'agace. Tout pareil que pour le rituel des adieux. Ce qu'il y a d'acceptable, quand cela se passe dans une gare, c'est le train qui fait le boulot. L'heure, c'est l'heure !
Tout jeunot déjà, quand j'écoutais les grandes personnes, viocs, assoupis, prosternés, se livrant au salamalec, à l'église ou dans les lieux publics, cela m'ennuyait déjà très fortement.
Plus tard, ayant intégré certaines règles, acquises à coups de férule ou de déception, voyant les gars de ma génération reproduire le même copier-coller, ça faisait déborder la boîte à rouscailler que c'était misère.
Pour un n'importe quoi, forcément injuste, célébration ! De la mort du bébé phoque à la mue de l'aiglon ; du piaf le plus insignifiant, phagocyté par son prédateur naturel, au hanneton maltraité par les coupeurs de buzuc, célébration !
Fidèles au rendez-vous de la pleurniche, mes amis font dans le déploiement massif de bannières. On se croirait dans une version pauvre d'un film de Kurosawa ! 
« Pour lutter contre l'oubli » et pour quelques revendications ponctuelles. En souvenir des clampins de tous les continents, défalqués pour nourrir grassement les gangsters qui gouvernent le monde depuis la nuit des temps. Avant, pendant et longtemps après les grèves sanglantes du mois de mai 1886 à Haymarket Square, Chicago, on n'oublie pas le sang versé, avec ou sans tapage.
Comment oublier que la racine sous les arpions, ce n'est pas du muguet  ? Bien que, à bien y réfléchir, l'offrande du muguet le 1ᵉʳ mai remonte à Charles IX
La kermesse m'a toujours été pénible lorsque j'y participais dans une autre vie. Conception de banderoles, slogans usinés à la diable, deux ou trois hymnes hurlés dans une sono tuberculeuse sur le « mal que l'on nous fait », le ramassage du matos en fin de cortège et à la revoyure ! Chacun vantant le produit dérivé de sa chapelle, probablement fabriqué par des mains chinoises ou indiennes. 
Finalement, sans concertation formelle, attendant les mots d'ordre des instances supérieures, date est prise pour le prochain lâcher de salive, sans plus de précision ! Assurément, un massacre perpétré par le haut gratin au nom d'une idéologie mondialiste plus génocidaire que jamais !
Tant d'atrocités à commémorer qu'on en perd le fil à force de banalisation.
1ᵉʳ mai ou pas, les célébrations, c'est gonflant ! Cela dit, je suis bien d'accord : les salauds, les escrocs, les criminels, il faut faire un pack, bien lester le tout et les envoyer par le fond !
Ce jour-là, j'y serai !

Sous l'Casque d'Erby