mercredi 8 janvier 2025

L’habitude, c’est l’oubli. Gaza ne passe pas !

Je ne regrette pas celui que j’étais, 
 car cela m’a aidé à devenir celui que je suis. 

Quand j’entends dire : « Oui, mais il y a des Juifs antisionistes », je ne peux empêcher la révulsion me saisir au gosier.
Récemment, des amis de la marge, avec qui j’ai jadis fait un bout de chemin, me reprochaient mon manque de discernement concernant Israël et sa politique du génocide. De m’essuyer le cogito sur le tapis de mes anciennes convictions.
Tout ça, parce que s’il y a crime, il ne faut pas tomber dans l’antisémitisme « basique » (sic) !
Alors, crime ou pas crime ? Où se situe la ligne rouge ? Voilà où en sont « mes » joyeux drilles ! Le genre, tout n’est pas blanc, tout n’est pas noir et la petite chansonnette d’accompagnement sur le pauvre juif errant !
Je me suis levé, j’ai ouvert la porte et ai invité ces grands humanistes à déguerpir et à ne plus s’arrêter devant chez moi. Jamais !
Quel que soit le costume, un nazi est un nazi ! En Ukraine et en Israël aujourd’hui, en Allemagne jadis !
Posons la question différemment, en ce qui concerne ces antisionistes pris entre le marteau et l’enclume : Ces anti sont-ils d’accord pour rétrocéder le territoire confisqué aux propriétaires d’origine ? Sont-ils à ce point traumatisés par les crimes commis pour aller jusqu’à reconnaître comme « crime contre l’humanité » les atrocités commises au nom de leur religion par l’État d’Israël ? Sont-ils d’accord, après rétrocession des territoires occupés, pour l’existence d’un État Palestinien dans les dits territoires ?
J’ai beaucoup plus qu’un doute sur la question ! Je doute de leur « bonne conscience » qui n’est en somme que l’alibi d’une névrose mal contenue par une histoire et une politique du déracinement soigneusement entretenues afin de perpétuer son emprise sur le monde par la pitié.
S’en émouvoir, gesticuler, protester, tout cela est fait à l’intérieur d’un cadre unique : le monolithe juif. Rien n’existe en dehors de celui-ci, hormis une forme de fausse empathie pour donner le change à une opinion de plus en plus libérée du trauma de l’holocauste et qui demande des comptes.
Peuple élu un jour, peuple élu toujours. On ne se mélange aux autres que pour mieux les dominer ! Peuple élu dont le dialogue passe par l’expropriation et l’arasement des villes, la disparition des civilisations sur lesquelles on greffe des segments apocryphes. Pas de sentiment à l’égard de ceux que l’on dézingue comme des animaux, sans distinction de statut, d’âge ou de condition. Tous ennemis !
Qu’on arrête avec le délire de la Shoah, car la Shoah aujourd’hui c’est la Palestine, ou ce qu’il en reste !

Sous l’Casque d’Erby

dimanche 5 janvier 2025

E la nave va…

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Le sujet est brûlant, on marche sur des œufs. L’odeur d’œuf pourri sous la chaussure et sur le revers du veston !
Les faiseurs de monde pérorent sur la « chance » que nous avons de pouvoir compter avec la présence des migrants dans un continent gangrené par la crise sociale, politique et culturelle que les élites ont élaborée pour que l’on se tienne à carreau !
Ces savants martèlent avec fanatisme des concepts mal appris : l’Europe, la France en particulier, ne sont que le fruit du métissage. Tant pis si on confond brassage de population au sein d’un même continent et non métissage au sens propre ! Nous ne sommes plus à une absurdité près, quand on pense être dans le camp du bien !
Que ferions-nous sans ce « métissage » dont l’esprit buté n’assimile pas l’importance ? Sommes-nous dégénérés au point de refuser de comprendre que, sans lui, nous ne serions que des larves abjectes, grattant dans le noir le sol des profondeurs caverneuses ?
Aujourd’hui, qui dit métissage a tout dit ! Pas besoin de faire un exposé méticuleux sur la nécessité de cet urgent « brassage » : « Entrez sans frapper, c’est ouvert ! » Servez-vous ! Quoi que vous intentiez pour donner sens à ce qui n’en a plus aucun, vous met dans des sales draps !
Et, pour donner du poids à la théorie, le gougnaf de la gauche couchée ou extrême, n’ayant d’extrême que son extrême lâcheté, se drape dans un argumentaire de vente que seuls les présentateurs, animateurs et influenceuses d’une idéologie rance se complaisent encore à diffuser comme parole d’Évangile à une heure de grande écoute sur des réseaux sociaux bon chic, bon genre : comment ferions-nous pour régénérer la race ; peindre nos maisons ; nettoyer nos rues ; les salir aussi ; accomplir des tâches ingrates que le Français ne veut plus faire, comme brûler le drapeau national !
Laissons-nous envahir par la meute hurlante, payée pour ses actes de violences par cette oligarchie qui se présente comme garante de la morale. Plus on est fou, plus on rit !
À aucun moment, ces grands esprits égalitaires ne se posent la « bonne question » : comment ferait le patronat s’il devait payer le Français le prix de son travail ? Car tout est là : tout ceci est une affaire de patronat et de multinationales. Ce qui n’a rien à voir avec le métissage (un peu quand même) et beaucoup avec le profit de l’oligarchie, pas concernée par des soucis de « promiscuité » !
À aucun moment, ces adeptes du « laissez venir à moi » ne s’interrogent sur le recrutement de main-d’œuvre étrangère dans les années soixante du siècle dernier dans les pays du sud de l’Europe, Espagne/Portugal/Italie, par les grandes boites allemandes, suédoises, françaises. Le nord avait besoin de main-d’œuvre disponible à bas prix dans le respect des quotas de population. Pas plus de 10 % par rapport à la population globale du pays d’accueil. Une bonne partie de ces 10 % a fini par s’y installer dans les pays respectifs, dans le respect et la reconnaissance des lois de ces pays.
Hélas, ce qu’on appelle de nos jours le métissage n’est que l’invasion déguisée d’un continent par un autre, avec la complicité d’une classe politique trop lâche pour oser le reconnaître, hormis en loucedoc !
Quant aux petits soldats de la bonne cause, des mercenaires, bien rétribués, au service d’une élite prête à tout pour tout brûler, de la flore à la faune et jusqu’au plus petit souffle de vie, pourvu que “place soit faite” à son immense privilège !
Tous savent ! Tous se taisent ! 

A lire absolument : « Le camp des saints » de Jean Raspail. Un livre édité en 1973 par le courageux Robert Laffont. Un texte d’une extraordinaire prémonition.

Sous l’Casque d’Erby



mercredi 1 janvier 2025

Bananée 2025. Nous en avons besoin !

Erby
La réalité égale et dépasse la science-fiction. Genre littéraire et cinématographique dont je me détourne pour des raisons évidentes.
Pareillement avec la gouvernance. On la tartine, avec du faux beurre de préférence. On bavasse sur le Premier ministre, entrant ou sortant ; on crache sur le président, parce qu’il est missionné pour ça… On accable le sous-fifre pris à la volée, coupable de corruption active ou passive, sachant que le gouvernement de la France, ce n’est pas en France qu’on le trouve, ni même au cœur de l’Union européenne, ce vaillant petit soldat !
C’est sous les traits d’une créature invisible qu’on adjective vainement que le vrai gouvernement nous aspire. Silencieux comme un reptile, la reptation au zénith de sa sinuosité, il enroule sa proie pour mieux la briser. Anneau après anneau, la bête fait de nos chairs de la pâtée pour chiens et des escarbilles avec nos os ! Si l’on regarde dans la bonne direction, on trouve sans peine le centre d’entretien et les pièces de rechange de la machine à broyer. La City étant un de ses redoutables anneaux !
Les esprits « indifférents », qui s’agacent quand on les invite à réagir, désignent cette lente et fatale dérive d’un mot passe-partout : « On ne peut rien contre le progrès. » Machine inarrêtable, roulant/volant/écrasant, tout ce qui est inutile, inapproprié, obsolète, non rentable, vers ce qu’elle juge bon pour son plaisir mégalo.
L’inconsistance faisant loi, l’émerveillement citoyen devant la futilité est à ce point hypnotique qu’il en fait sa mie, comme on accepterait un don du ciel : « Si ça va bien pour moi, tout va bien ! »
La pluie de crétins est affaire de clonage. On fait cela comme on moule des objets en série. Du moins, c’est ce que pensent les créateurs de nouveaux mondes !
Ils en sont à ce point convaincus de la nécessité d’un modèle planétaire unique, qu’ils en ont agendé la mise sur orbite définitive pour 2030. Plus que cinq ans avant le grand feu d'artifice !
Sauf que si l’humain est un objet corvéable qu’on jette après utilisation, comme on le pense dans les laboratoires d’ingénierie sociale, de manière hâtive et brutale, on commet une grossière erreur. L’humain n’est pas une chose inerte que l’on place sur une étagère, mais un être sensible, capable de prouesses incroyables et de révoltes épiques imprévues. Le fameux grain de sable qui grippe le rouage.
À commencer par foutre en l’air les concepteurs de ce système et leur machination diabolique. On ne mesure pas l’intelligence ni le degré de soumission à l’aune d’une croyance totalitaire ! Les apprentis sorciers oublient que l’humain est un être vivant doté d’instinct et d’une envie de vivre supérieure aux crimes qu’ils cherchent à commettre !
Que 2025 sonne le glas de leur maléfique dessein !

Sous l'Casque d'Erby