samedi 27 juillet 2024

Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Paris occupé !

Le rêve de l’État profond depuis toujours – de l’Amérique au cœur de la City : que l’Europe ne se fasse pas. A aucun prix. Mais si oui, parce que les aléas et les « caprices » de l’histoire... ce serait en tant que « puissance » vassale. Et si – tout n’est jamais écrit d’avance -, par malheur, elle échappait à son contrôle, il s’agirait alors de tout faire pour la détruire.
Nous y sommes.
Les « élus », corrompus jusqu’à la moelle, sont désignés pour mener à bien leur sale entreprise, les moyens allant du chantage au crime de masse et plus si la « cause l'exige ».
Des vents néfastes soufflent sur la France et l’Europe en général. La peur de l’admettre, d’en reconnaître, ne serait-ce que les signes les plus flagrants, laisse perplexe quiconque possède un peu le sens de l'observation.
Dans un contexte sombre, le pays donne l’impression d’être fin prêt à accepter l’idée d’un totalitarisme « sécurisant » ! Orchestré et réalisé rien que pour « notre bien » !
Trêve de sinistrose ! Nous sommes en vacances et mettons tout en œuvre pour « décompresser », sous des températures qui, à partir de 20 °C, relèvent du chaos climatique, comme inoculé par des propagandistes du monstre mondialiste. L’infantilisation des masses bat son plein !
Depuis quatre ans tout s'est accéléré, et nous avons tout avalé : confinement, couvre-feu, port du masque, tests pcr, vaccination, attestation dérogatoire de déplacement, licenciements abusifs pour refus de se faire vacciner et maintenant, pour cause de JO d’été, le QR code et la reconnaissance faciale ! 
Que faut-il de plus pour sonner le Tocsin ?
Pour revenir chez toi, après une journée de taf, c’est la bataille de Marathon ! L’histoire dit que ce fut la victoire du courage et de l’honneur ! Nous en sommes encore loin !
Au fait, la flamme olympique, connaissez-vous l’origine ? Merci monsieur Goebbels !
Riez, riez, le pire est déjà dans le fruit et l’insecte dans la farine. Riez !
Des JO, où des blindés paradent, pendant que des longues files longent les quarante mille barrières transitoires de bétail. Accessoires nécessaires aux contrôles et à la traçabilité des bestiaux !
Des jeux ? Moins de public dans les enceintes sportives ? Aucune importance. Des figurants rétribués suffiront pour faire illusion et une sonothèque pour ambiancer la diffusion à la télé. Car l’objectif de ces jeux n’a rien à voir avec les jeux et beaucoup avec le totalitarisme dont rêve l’État profond et leurs très serviles serviteurs, fausse opposition comprise, comme on le voit depuis les dernières élections neurodégénératives !
Les mêmes avant le scrutin, les mêmes après, pendant que le pays chauffe du cul dans le Chaudron magique !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

samedi 20 juillet 2024

Lecture : Maurice Frot et le Roi des rats

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Les livres sont des drôles d'oiseaux. Même dans cette vie après la vie, dont on dit des choses étranges, les livres ont la force de vous entraîner vers des sentiers inexplorés.
« Salut... T'as deux minutes ?... Figure-toi ...»  
Au bout du fil, Rémi. Un drôle d'oiseau, lui aussi.
« Il y a deux jours, j'ai croisé un ami bouquiniste qui , bref ... » ; « j'ai quelque chose pour toi... » «  Je te l'envoie. » « Surprise !... » 
C'est ainsi que je suis entré en possession d'un Maurice Frot. Je dis un Maurice Frot comme on pourrait dire, je ne sais pas, un Kandinsky. Pourquoi Kandinsky ?... Peut-être pour ce que le peintre définit comme le « trouble mental de l'homme devant le monde ».
En ces temps d'allégeance, d'électoralisme effréné, de trahisons et des intentions criminelles de « nos élus », il est bon de pouvoir compter sur le hasard et sur l’amitié.
L'oiseau Maurice Frot est mort en 2004 à l'âge de 76 ans. Pour faire vite, on dira que le gars de la marge a de la ressource et un potentiel révolte propre à faire sucer de la tototte les petits rebelles de la néo planète NFP !
A dix-sept ans, il dégage son bled, son ennui, sa maternelle, qui le rejette et qui finira par se pendre, pour s'engager dans l'armée de l'air, direction l'Indochine...
Cette expérience traumatisante, nous la retrouverons tout au long de ses pages, tantôt sous forme métaphorique, tantôt de manière brutale... C'est l'histoire revisitée par un poète aussi vertical que viscéral. Un homme doublement blessé. Pas de place pour le regret, ni pour l'amertume, mais toujours cette douleur qui plane comme une ombre pour lui rappeler ce que le miracle de la vie a de précieux pour pousser le présent vers l'avenir, si incertain vous paraisse-t-il.
Chaque mot est une fenêtre et chaque paysage un monde à découvrir. Ils sont disposés non point pour faire joli ou pour l'épate, mais pour nous inviter à une chorégraphie que chacun prolongera au fil de son imagination.
Le bouquin s'ouvre sur l'histoire d'un gars qui a décidé de mettre les bouts. Ras calebasse. De Clichy, son bled, son quartier, son pays. Marre de sa gouaille, de cette vie de « civil à la con ».
C'est décidé, direction Lhassa, la capitale du royaume du Tibet. Plus tard, ce fut Katmandou... Mais auparavant, quelques bricoles à régler. Il faut qu’il se débarrasse d'un putain de rat qui prend sa tête pour un grenier. Aucun psy ne pouvant l’aider dans ce combat singulier contre lui-même.
On sent que cette extirpation va être rude, que pour vaincre la bête, il va lui falloir se surpasser, surmonter les derniers restes d’empathie afin d’atteindre ce haut niveau de détachement auquel il aspire.
« Le temps d'arracher cet enragé Gaspard qui s'agrippe à ma viande et circule comme chez lui dans la rue de mes artères. Qui se balade à l'air libre de mes poumons. Se paye des samedis dans mes testicules. Mais surtout, démon la vache, sait se blottir sans bouger d'un poil parmi les replis douillets de ma cervelle, ricanant tout son saoul, sous le jugement dernier de ma coupole. »  
Aura-t-il sa peau ? En plus de fort, il va lui falloir être rusé avec la bestiole ! Réussira-t-il à atteindre Lhassa ? Et si, finalement, Lhassa ne se trouvait pas là où les cartes l'indiquent ?... 
Autre bonne surprise de ce livre magnifique, la préface. Je l'ai lue après le livre. Œuvre de Léo Ferré, que Maurice Frot rencontra en 1956 et dont il fut secrétaire et régisseur jusqu'à leur brouille en 1973, sans que cela entache ni l'amitié ni le respect qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre… 
Voici ce que Léo écrit au sujet de son ami et complice : « Il me dit avoir écrit pour se libérer. La belle affaire ! On n'écrit jamais que pour un miroir possible, pour se regarder d'abord, et puis partir dans des yeux lecteurs dont on ignore à jamais les capacités de rapt… ».
Ailleurs, Ferré ajoute : « Frot a une poche spéciale pour ses souvenirs : il les fait remonter et les remange.  C'est un ruminant. À son pis s'égoutte tout un breuvage d'inavouables ratages. Frot, le jour, vend du contreplaqué pour acheter des plumes qu'il usera, la nuit, loin de ses amis qui ne sauront le reconnaître qu'à force d'illusions dominées. » 
« Le Roi des Rats » est le premier volet d'une série de trois (« Nibergue », « Le tombeau des jaloux ») dans lequel Maurice Frot cherche à se débarrasser des sales choses commises pendant la « pute de guerre d'Indochine » qui lui a fracassé le cœur.
À défaut de s'en être débarrassé, il aura eu le mérite d'avoir dénoncé sa vie de « pauvre con » au milieu d'un tas d'autres qui n'ont pas eu cette chance ou ce mérite…
 
Le Roi des rats - Maurice Frot
 
Sous l'Casque d'Erby
 

 

dimanche 14 juillet 2024

La France est-elle encore une province ?

Le foot, le tennis, le cyclisme, les JO... La ministre Amélie Oudéa-Castéra patauge dans la vase de la Seine pour prouver qu'on « ne risque rien » à s’y baigner, démontrant qu'au milieu du chaos, la bêtise pavoise !
Le monde s'effondre sous nos yeux, mais on fait semblant... D'être beaux. Intelligents, même si nous devenons bêtes jusqu'à ne plus savoir qu'en faire de la bêtise !
Si nous devions mettre une épitaphe sur nos tombes, nous pourrions graver : « Ci-gît une promesse qui n'a pas tenu la sienne ».
C'est avec un générique dystopique que des élections européennes se sont transformées en scrutin législatif national sans que personne ou presque y trouve à redire. Rien dans le contenu. Même pas le moindre semblant de programme, comme nous pouvons légitimement l'espérer, dans un monde où penser est un luxe hors de prix.
Une seule idée en guise de programme : la désignation d’un faux ennemi. On le fabrique et on le jette en pâture comme on donne le foin aux bovins. Un plat mille fois réchauffé : le fascisme !
Lente et inexorable dégringolade de l'esprit. Comment en demander à des gens à qui on ne donne aucune chance de s’en pourvoir ?
Composée de trois tiers, à un poil près, la nouvelle assemblée fait ce que font de mieux toutes les assemblées : troquer, marchander, chantager. Pas pour le « salut du peuple », ça non, mais pour perpétuer les privilèges d'un groupe, d'un clan, d'une organisation mafieuse.
À ce jeu, la quête d'un Premier ministre « consensuel » se transforme en guerre intestine. Otage de ce jeu, l'électeur. Après avoir donné le max de ce qu'il pouvait offrir dans l'urne, triche comprise, il se repose sur le front de mer les pieds en éventail, si la « sécheresse humide » le permet dans la région de son choix.
Comme si la désignation d’un Premier ministre allait changer quelque chose au destin d’un pays dont le sort est décidé hors de ses frontières. 
« Mission accomplie ! » « No pasarán ! » « On vous a niqué ! » crient les petits pions qui s'agitent dans des bastilles improvisées, comme s'ils venaient de vaincre le nazisme, alors même qu'ils le nourrissent ! Alors même que ce sont eux qui dirigent l'Europe et sont en train de biffer ce que nous prenons encore pour notre nation.
La France est en train de se dissoudre sous nos yeux avec la complicité d'une horde de décérébrés pensant « sauver le pays » !
Dans une atmosphère de confusion totale, le globalisme tisse son horrible toile avec des parodies d’élections et des lois liberticides, afin de supplanter les États publics par des systèmes prédateurs sans foi ni loi, où le crime devient monnaie courante !
Applaudir cela comme cela est le cas avec les résultats de ces législatives, c’est se condamner à une mort certaine !
 
Sous l’Casque d’Erby
 
 

samedi 6 juillet 2024

Jours de Fête

Erby
On la fait courte. Marre des redites ! De devoir supporter les mêmes scénarios et les mêmes dialogues débilitants à chaque saison électorale que Dieu fait : Il fait chaud. Il fait froid. Quelle horreur ! Vivement que ça change ! Je m’en fous, je prends mes cliques et mes claques et je me tire ! Bonsoir Clara ! Attention à ceux-ci. Gaffe à ceux-là !
En général et entre nous, c’est plus de claques que de cliques qu’on s’en prend dans le steak !
Les candidats n'ont qu'un projet : « Moi, et personne d’autre ! » 
Demandons à Ruffin, en ballottage défavorable dans « sa » circonscription, qui n’en peut plus de ce « Boulet » de Méluche, à cause de qui il risque de perdre un « job » si durement acquis !
Ça, c’est du compagnonnage !
Aucun pictogramme sur l’écran pour avertir le public du caractère pornographique des débats politiques et campagnes électorales en particulier. Car de projets, il n’y a qu’un seul : MOI !
Celui qui pense le contraire est bon pour la camisole !
Pas de journée de la gentillesse en l’occurrence. On laisse ça dans le rayon Bisounours, à côté d’autres Utopies infantiles !
J’y pense : À quand la journée OCT : On Casse Tout ?
Désolé, c’est l’émotion. Parfois ça me prend, comme une éruption cutanée chez l’enfant.
Le pouvoir a toujours un train de mesures d’avance !
C’est dans la joie et la fausse colère que ces marlous piétinent les valeurs institutionnelles depuis des décennies, font semblant d’être en désaccord, s’envoyant piques et diatribes comme dans une pièce de boulevard. Pas pour tirer le pays vers le haut, mais pour tirer la couverture à soi et détruire ce qui reste des parties communes de l'édifice ! 
À la fin de la représentation, quand la mer retrouve son balancement apaisant, on quitte le costume, on se démaquille, et on passe à la caisse pour toucher son cachet !
« Les candidats lâchent leurs coups », lit-on sous la plume des analystes qui, sans cela, n’auraient pas grand-chose à analyser, hormis leur zèle à nous faire croire qu’ils sont honnêtes !
Tout est planifié pour que celui qu’on prend pour une andouille fournisse le couteau pour se faire tailler en rondelles ! 
Disons au-revoir — que dis-je, au-revoir, adieu ! — à ces bateleurs manipulateurs ayant fait de l’enfumage une profession !
Mais là, je rêve !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

lundi 1 juillet 2024

Élections : n'ayez crainte, c'est pour rire.

Erby
Jour de vote. Jour de rien. 
On a annoncé tant de procurations de vote (les maisons de retraites sont prises d’assaut par les milices), que cela ressemble à une chasse à l’homme du temps du Ku Klux Klan !
Je me suis demandé à quoi servirait-il de me déplacer jusqu’aux latrines électorales, sinon pour tirer la chasse d’eau !
À vrai dire, entre un voisin qui vote Bardella, parce qu’il « présente bien » et qu’il a des refoulements compatibles, un autre qui bene son rectangle dans la fente pour Macron, parce que Macron « fait ce qu’il peut » dans un pays « ingouvernable », et un antifa attifé de noir de la tête aux pieds, scotché dans des chaussures Rangers chopées dans les surplus de l'armée, je me sens comme un condamné attendant l’heure de son exécution dans les couloirs de la mort !
Cette guerre civile qu’on cherche à déclencher par tous les moyens vicieux dont le pouvoir dispose, n’est pas le fait du peuple français, mais la volonté des élites pour parachever l’œuvre de destruction du pays entreprise par des mercenaires au service des mondialistes.
Pompidou, Mitterrand, Chirac, Sarko, Hollande et maintenant Macron n’ont été et ne sont que les bras armés ! Tout comme le Nouveau Front Populaire, consciemment ou pas, en est l’auxiliaire ! Les siècles passent, l’horreur demeure. Quel que soit le temps reculé d’où arrive un bout de pensée humaniste qu’on utilise comme citation, une constante s’en dégage : si le monde bouge, dans sa spirale négative, l’homme reste fidèle à « sa » logique, inoculée dès les bancs de l’école : soumission et bêtise.
Avec ces législatives anticipées, le peuple s’offre un frisson comme au cinéma. Quoi de mieux que de lui faire croire avant sa transhumance estivale qu’il est le « maître » de son destin !
Ça s’agite. Ça trépigne. Ça s’égosille. Mais tout ça ne porte pas à conséquence. Cela fait partie du spectacle. C’est la générale comme on dit dans le milieu du théâtre. Une générale avortée ? Probablement. Pourtant, que des promesses !
Voyons, rapidement, les tendances de l’urne. Pas de quoi partir en courant, demander asile politique dans un pays voisin : 
L’extrême droite fait le plein. 35 % c’est le max qu’elle peut faire, sachant que dans ce nombre, il y a un vote « sanction » contre une politique qui plonge le pays dans le chaos, avec une dette abyssale et des décisions prises par l'UE allant à l’encontre des intérêts de la nation. Le reste des voix de ce scrutin somme toute très convenu se répartit entre les cadors habituels, quelle qu’en soit la défroque, gauche « relookée » et droite éparpillée ! 
Les états-majors font d’ores et déjà des tractations, négocient, donnent dans le chantage, afin d’obtenir la « bonne part » de gâteau. Sinon à quoi servirait de se « péter l’cul » avec tout ce cirque !
Il faudra bien consentir quelques « sacrifices », mais le jeu en vaut la chandelle ! Où est le danger ? Ce ne sont pas les quelques sautes d’humeurs d’une foule bien attelée qui vont mettre en péril un commerce si lucratif. 
À la revoyure... Au prochain tour, si vous le voulez bien !
 
Sous l’Casque d’Erby