samedi 20 janvier 2024

A vos ovules les meufs, c'est la bacchanale !

Quand Macron parle du déclin de la population française, dans un sabir inaudible, de la natalité et de la famille, de la politique la plus adaptée pour l’équilibre et le bonheur national, cela devient dans son groin et dans celui de ses ministres le « réarmement démographique » !
Comme s’il savait ce qu’est la joie de la naissance et le poids que cela représente de guider un enfant vers l’âge adulte !
À vos ovules les meufs ! À vos spermatos, les mâles alpha ! Et que ça saute ! Le gouvernement et ses tribunaux autorisent le tir à vue !
Les petites annonces du bon coin : « Spermato  frétillant comme un banc de maquereaux à la haute saison, cherche ovule disponible. » 
Par ici les reproducteurs. Remplissez le formulaire. Cochez les bonnes cases. Big Brother vous tient au bout de la gaffe ! N’oubliez pas les références de votre calendrier de vaccination, ainsi que le nombre de doses. Élaboré dans les meilleurs laboratoires, il fera de vous, le parent idéal, dont l'enfant se souviendra longtemps après votre disparition. En cas d’effets secondaires imprévus entraînant le décès, vos enfants seront accueillis dans des centres spécialisés créés par des pédophiles agréés, où ils seront pris en charge pour le plaisir des membres fondateurs. Ceux-là qui, sous la houlette des laudateurs de la cause, placent et déplacent les dirigeants politiques de par le monde. Ce qui est déjà le cas en divers pays, comme le Canada, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, la France, etc.
Ce bonhomme est totalement cinglé, mais il faut garder à l’esprit (sans pour autant lui pardonner) son parcours, son éducation et sa totale absence d’empathie ! Il a été élevé pour cela.
Quand je pense que des gens ont voté deux fois pour ce naze, je me dis que les complotistes ne méritaient pas qu’on leur inflige une telle dérouillée ! Pas plus que les victimes de cette escroquerie ne méritent pas mon égard !
Bien sûr, la France compte un nombre important de détraqués dans sa classe politique, mais là, nous atteignons la cote d’alerte !
Quel est ce monde, et quels sont ces gens qui contrôlent ou veulent contrôler nos vies par le sexe et la santé, se remplissant les poches au passage ?
Si Macron a été désigné Président de la France, il n’est nullement le représentant du pays. Il est au mieux le larbin d’un gouvernement mondial autoproclamé, dont le siège se trouve dans la quiète région de Davos, le joli canton des Grisons en Suisse. La station de ski où les élites se rassemblent chaque année pour sauver le monde. Or depuis qu’elles (les élites) se réunissent pour nous sauver, le nombre de guerres, de morts et de psychopathes augmente de façon atterrante ! 
N’oublions pas que ces gens qui veulent nous sauver depuis Davos ont tous ou la plupart une descendance nazie qu'on ne cherche même plus à cacher. Des gens non élus, à l’esprit aussi tordu qu'un arbre tors !  Malades jusqu’à la folie, cherchant à faire payer aux peuples une dette imaginaire.
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

dimanche 14 janvier 2024

J’ai peur, pas vous ?

Erby
La segmentation des cauchemars en un tout entrelacé, c’est la vie de demain enseignée d’ores et déjà dans les centres de rééducation scolaire. Un tout s’appuyant sur des projets bien ciselés, afin que les futurs citoyens deviennent de la pâte à modeler entre les mains d’un Folamour excité par le pari !
Nous sommes entrés de plain-pied dans l’ambiance décrite dans « Le Maître du haut château », série télévisée tirée de l’œuvre de Philip K. Dick. Un récit dans lequel l’auteur réécrit l’histoire dans un décor sinistre, imaginant une partie du monde si (et seulement si) les nazis avaient gagné la Seconde guerre mondiale. Or tout notre environnement nous conduit à penser que nous sommes en train de rattraper la dystopie et même de la dépasser.
Klaus Schwab, le si bien nommé, n’a-t-il pas déclaré, sans le moindre doute, qu'il faut intégrer l’idée d’une disparition totale de la vie privée : « Si tu n'as rien à cacher, tu ne devrais pas avoir peur », a-t-il dit devant un clone médiatique à sa botte. 
Et pourquoi éprouverait-il des scrupules ? Aussi vrai qu’il fait jour quand il fait jour, 2+2 ne font pas ce à quoi on pense. Tout pareil que pour les lettres, où chacun met la définition qu’il veut dans le mélange des voyelles et des consonnes.
C’est par la bouche vénéneuse d’Ursula von der Leyen (pas élue, mais désignée) que nous allons aider Israël à définitivement nettoyer Gaza en accueillant un million de gazaouis ! Ce million, ajouté aux centaines de milliers d’Ukrainiens poussés vers l’UE, suite à une guerre préparée et provoquée par les atlantistes, c’est à une guerre civile qu’il faut s’attendre sur nos terres.
Le noir contre le blanc, l’arabe contre le noir et contre le blanc ; les jeunes contre les vieux pleins de flouze ! Et à la fin, le panier bien garni, sur les décombres de notre civilisation, les mondialistes exulteront !
Ce n’est plus de la politique, c’est du crime organisé !
Mais ne dites rien autour de vous. Ne tentez pas d’alerter vos proches, ils sont capables d’appeler le numéro d’urgence pour vous faire enfermer !
Je ne sais pas vous, mais moi, tout ça me fait peur !
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

mercredi 10 janvier 2024

lundi 8 janvier 2024

La vie qu’on nous vole

Source
3 décembre 1967, une heure du matin, gare d’Austerlitz, moins 11 °C. 
Je venais de quitter, trois jours plus tôt, le sud de l’Espagne où la température oscillait entre 18 et 20 °C. Beaucoup plus quand on croisait la Garde civile. 
À l’époque, on parlait une langue saine. On parlait de froid et d’hiver rigoureux. On se battait avec des pulls, des manteaux, des écharpes, des bonnets, des gants, le chauffage au charbon et de la solidarité. L’abbé Pierre était à l’ouvrage depuis le terrible hiver de 1957 !
Le climato-hystéro à grosse tête et petit corps, ou la bimbo passée au bistouri, véritable machine à décerveler sévissant sur les ondes, n’était pas né, et le monde vivait la fin des trente glorieuses, sans hululer à la mort parce que le thermomètre plongeait en dessous de zéro degré !
Une époque où l’héritage du CNR (Conseil National de la Résistance) avait donné sens à la vie en société. Période de prospérité marquée par le « consensus social », droite gaulliste et gauche communiste surmontant leurs différends pour le bien de la nation.
La nationalisation de l’énergie, des usines Renault, les assurances, les banques et la Sécurité sociale donnait à la France un visage civilisé et aux habitants un bonheur mérité, que le monde nous enviait.
Une situation que l’oligarchie ne pouvait souffrir et allait tout faire pour y mettre fin. La France, telle que l’histoire l’avait façonnée, allait connaître un sort funeste dont nous voyons aujourd’hui les ruines !
« Sous les pavés, la plage », fut l’illusion conceptuelle et ce fut le début de la fin. Ce que nous pensions atteindre d’un geste simple ne fut qu’une lente et inexorable descente aux enfers, orchestrée par des redoutables marionnettistes !
Tout l’édifice s'est fracassé sous l'onde de choc de mai 68 et l’attaque violente menée par les banques privées. Dès lors, elle fut privée de son autonomie politique et financière, avec la chute orchestrée du général de Gaulle, sous prétexte de « révolution culturelle ».
Il fallait que la France quitte son rôle de « troisième voie », qu’elle a si bien tenu pendant la guerre froide, servant d’intermédiaire quand la tension montait entre l’Union soviétique et les États-Unis.
Il fallait qu’elle rentre dans le rang et devienne une puissance vassale sous la botte américaine. Et pour cela, qui de mieux que Georges Pompidou, employé de la Banque Rothschild ? Félon parmi les félons !
Presque soixante ans plus tard, L’Union européenne, contrôlée par le pouvoir profond et toute sorte de bestioles malfaisantes, enfonce le clou, vidant l’ensemble des nations qui la composent de leur substance pour créer un ensemble hybride dépourvu d’identité.
Et qui trouvons-nous à la tête de la France ? Emmanuel Macron, un employé de la Banque Rothschild !
Si nous ne mettons pas fin à l’Union Européenne et à son état profond, c’est elle qui effacera nos vies et notre histoire.
 
Sous l'Casque d'Erby 
 

 

mardi 2 janvier 2024

Dans les Côtes-d'Armor, l’eau et l’argent coulent à flot.

Modèle de machine à sous
Je vis dans une petite agglomération des Côtes-d'Armor, à l’abri des remous de la vie, des agressions, des coups de couteaux et des violences urbaines. Tout le monde se sent à l’abri, protégé, sans autre réflexe que celui de faire « bonne figure » par n’importe quel temps.
La Bretagne, c’est cocagne. Une population pacifique, travailleuse, veillant à sa tranquillité sans se soucier de la couleur des nuages qui passent. Il en passe tellement !
Une population « docile et corvéable », selon une étude menée jadis sur le terrain par des grandes entreprises cherchant à s’y implanter, en évitant un terreau trop « politisé ». Un pays et des régions choisies désormais par les retraités des grandes villes pour profiter d'une retraite heureuse.
Selon des experts « comportementaux », le breton est la « cible idéale » pour n’importe quel groupe industriel cherchant à engranger des bénéfices sans avoir à gérer la « contrainte » d’une classe ouvrière organisée. Autrement dit, soumise.
Travailleur, taiseux, « chacun sa merde et les vaches seront bien gardées », le breton plaît beaucoup au patronat et aux malins de la politique. Mais gaffe quand même : quand la moutarde lui monte au nez, le breton peut devenir très emmerdant, voire ce rouage qui fait gripper n’importe quelle bécane. Les exemples sont nombreux et son histoire le prouve.
Si on ajoute à cela, un paysage à couper le souffle, n’importe quel cadre « supérieur » choisirait de joindre l’utile et l’agréable en venant s'y installer au service de n'importe quelle grande entreprise.
Depuis 2020 et l’arrivée de la COVID-19, la machine capitaliste s’est déréglée de manière vertigineuse, générant des bénéfices obscènes pour elle et ses actionnaires, foutant en l’air la classe moyenne et enfonçant le pauvre dans une misère croissante.
Si avant la pandémie, la vie n’était pas rose pour le pauvre, les gilets jaunes en témoignent, depuis, les choses ont empiré, de telle manière que cela a laissé sans voix ceux qui n’en avaient plus beaucoup.
Tout augmente, parce qu’il est normal que tout augmente. Nos systèmes s’écroulent parce qu’il est normal que cela s’écroule et que cela était planifié d'avance. Nos vies ne valaient pas grand-chose avant, elles ne valent plus rien désormais, parce qu’il est normal qu’il en soit ainsi !
Tous ceux qui en cette fin d’année, en notre paisible agglomération des Côtes-d'Armor, gérée par des notables opportunistes, ont découvert leurs factures d’eau, ont eu la surprise de remarquer une augmentation anormalement élevée de la consommation : entre 40 et 50 % d’augmentation !
Ni une ni deux, on prend le téléphone et on explique son cas à la personne qui dit « allô » à l’autre bout. Réponse de celle-ci (véridique !) : « Allez vérifier votre compteur, il doit y avoir une fuite. Si celle-ci se situe entre le compteur et chez vous, la dépense générée par la remise en état est à vos frais ; sinon, elle nous concerne. » 
La même réponse a été donnée à des dizaines de personnes. Toutes sont allées vérifier de manière disciplinée. RIEN !
Non, ce n’est pas le prix du m³ d’eau qui change, mais le bidouillage de la facture qui met à la peine le consommateur, sans que cela soit clairement explicité !
Des conseillers municipaux d'opposition ont publiquement dénoncé la manœuvre sans que cela produise plus d'effet que cela... Rouletabille et tour de passe-passe sont les mamelles du profit !
Nous prendrait-on pour des nouilles ? Ça en a tout l’air ! À propos d’air, ce qui ne manque pas en Bretagne non plus, à quand la facture, pour cause de courant d’air ?
 
Sous l'Casque d'Erby