jeudi 28 janvier 2016

Taubira et les minables, le grand navet !

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Les Copé, Raffarin, Hortefeux, Fillon, Bertrand et autres cannibales du FN, ainsi qu'une partie de son propre gouvernement, voulaient sa peau, ils l’ont eue ! Tous aujourd’hui s’en félicitent. Traîtres et criminels, main dans la main, dansent une ronde sinistre, célébrant la belle victoire ! Rien n’est rationnel dans la Terreur, sinon l’abomination qu’elle inspire. Tout pareil que pour l’esclavage : quelle que soit sa forme et le nom qu’on lui donne, cela reste toujours de l’esclavage !  
Nul ne sait si la démission de Christiane Taubira du gouvernement est une « bonne » ou une « mauvaise » nouvelle. D’un point de vue purement fonctionnel, son organisme a dû éprouver un certain soulagement, tant la frangine des îles l’aura secoué dans tous les sens pour se persuader qu’elle faisait encore partie d’un gouvernement de gauche, défendant les valeurs d’un humanisme volontaire. La belle chimère !
La démission de la ministre de la Justice à peine remise au président, aussitôt acceptée, que le nom de Jean-Jacques Urvoas pour lui succéder flanquait sévère la chtouille aux partisans d’un internet libre et d’une liberté publique laissée à la volonté d’un pouvoir qui n’en veut pas.
Mauvaise nouvelle donc. On connaît la bête. Le gars Urvoas n’est pas du genre à rire avec la sécurité et le renseignement, c’est son dada ! Il milite pour le verrouillage des libertés comme on pratique la tonte des brebis avant transhumance, ou comme on biffe des tablettes un droit fondamental, sans plus de scrupule. Il se dit militant PS, il a la carte, mais il aurait pu être tout aussi à l’aise dans n’importe quel parti à visée dictatoriale, en Espagne, en Grèce ou dans n’importe quelle autre région du monde.
Animal poïkilotherme du signe de la Vierge, né à Brest, il est de l’espèce qui fait froid dans le dos : reptation sinueuse et morsure mortelle. Ce n’est pas pour rien qu’il convoitait le ministère de l’Intérieur, rêvant de faire fusionner la Justice et la Police en une seule et unique Grande Maison ! Il est grand ami du Premier ministre Manolo de la Guardia Civil, avec qui monsieur a plus d’un point commun. Le genre à vous faire passer la guillotine pour le guichet de la sécurité sociale avant que vous ne retrouviez votre tête parmi un tas d’autres formant un tumulus dans les grands cimetières sous la lune !
François Hollande a peut-être rêvé la démocratie mais oublié l’interrupteur pour faire la lumière. Nous voilà (avec ou sans Maréchal) dans le noir, si je puis dire !

Sous l'casque d'Erby


lundi 25 janvier 2016

Nicolas Sarkozy aurait signé un livre, ça alors !

Erby
Selon la rumeur médiatique du moment, Nicolas Sarkozy aurait signé un livre. « La France pour la vie », en est le titre. Le sous-titre, écrit à l’encre sympathique, ou jus de citron pour ceux qui connaissent : « Neuilly pour toujours, les riches à jamais ». Evénement microcosmique sur lequel une poignée de nostalgiques se pignole faisant briller les Rolex comme autant de lucioles dans les soirées mondaines, avec le fol espoir du retour revanchard de leur champi(gn)on aux affaires.
Un livre ! Et puis quoi encore ! Et le nègre dans tout ça ?... Car, ne l’oublions pas, dans chaque publication politicarde gît un nègre. Le seul moment où les nègres sont appréciés, sans forcément être respectés ! Honneur à eux de s’être avilis au point de ne plus être eux-mêmes !
Un journaliste complaisant (que ceux qui ne le sont pas lèvent le doigt, ça ira plus vite au comptage) a écrit que le « nouveau » livre de Sarko (il en avait commis un précédent en 2006) « passe le test de la page 99 » pour nous vanter les qualités d’un homme qui en quatre ans (depuis qu’il a été foutu à la porte par un pays exaspéré) a beaucoup changé. Au point que son obsession demeure intacte : récupérer son « bien » dès 2017 !
Telle la chrysalide, passant de chenille à papillon, le gars Sarko nous la fait j’ai « beaucoup changé », depuis son éjection électorale de 2012. Et pour cause ! Il regrette beaucoup de choses, mais une constante demeure : si son quinquennat était à refaire il le referait : il retournerait au Fouquet’s, irait faire un tour en mer dans le yacht de son ami Bolloré, devenu depuis le patron de Canal-boule, nous ferait de la Bettencourt sans la « pauvre » Liliane, avec le sosie d’Eric Woherts, du Kadhafi sans Kadhafi, de l’EPAD, du nespotisme, du Buisson à sondage déployé, du Pérol, du Karachi, du Clearstream, avec la tignasse du flamboyant De Villepin et, pour se passer les nerfs, il reprendrait une rincée du « casse toi pov' con ! », si bon au palais…
Dépenserez-vous une partie de vos maigres économies pour lui faire gagner des sous en achetant cette merde ?!
Je rassure de suite la cohorte citoyenne : ceux qui ont remplacé Sarko en 2012 ne valent pas mieux !
Une sixième république, sinon rien ! 

Sous l'casque d'Erby


samedi 23 janvier 2016

Etat d'urgence...

Sous l’casque d’Erby



Je me demande si je ne vais pas faire parvenir ces photos à Hollande et à sa clique gouvernementale.... et même à tous les politiques pour que tous ces « baveurs » soient dans le même sac !!!

Les amis ont écrit :
L'Etat de Nécessité [Art.122-7 du Code Pénal] : Heil Manuel !
Et puis ça se fête, les 11 ans d’Oxymoron Fractal ! Mine de rien, avec la seule rumeur de l’âme, dérivant d’îlot en archipels, par mille chemins de traverse, c’est à une révolution intérieure permanente que nous avons affaire, pour que danse la vie !
Et puisque tout n’est que cinéma, tout compte fait, la vie des bêtes ne serait que cela ?... 
Pour ne pas être en reste, le toujours frétillant NRV cui-cui.
Sans oublier DPP et ses indomptables !

jeudi 21 janvier 2016

L'imposture de l'art contemporain, une utopie financière - Aude de Kerros

Eclairage - M art'IN
« Un combat sourd, silencieux, secret, tragique, met les créateurs dans une situation de riche dépendance ou de misérable solitude. Ce conflit sans équivalent dans l’histoire a mis beaucoup de temps à être perçu et élucidé par les artistes, leur public et les amateurs. »
Aude de Kerros, artiste et essayiste dénonce comme ses pairs en dissidence, une marginalisation destructrice du créateur français. Cependant une institution culturelle a été mise en place depuis plus de trente ans, soit disant, pour produire exactement l’effet inverse. L’impôt pour la « Culture » est collecté pour aider les artistes à exposer dans les meilleures conditions, promouvoir, vendre et acheter leurs œuvres. C’est à travers un travail d’enquête extrêmement approfondi, sur le plan artistique, philosophique, sociologique, économique, dans la capitale et à travers le monde, que l’essayiste fait le constat implacable sur la réalité chronologique référencée et du suivi « événementiel » de ce fameux « Art Contemporain ». Cet art qui se voudrait perpétuellement à la mode et actuel, ne vante depuis plus de trois décennies que le style conceptuel qui n’évolue pas. Il remplace et nous confond en se substituant à l’art naturellement riche de  styles et d’évolution permanente.

Trois essais sur le sujet, parmi d’autres écritures : « L’art caché », « Sacré art contemporain » et enfin ce dernier, « L’imposture de l’AC, une utopie financière ». Livre le plus abouti quant à la recherche du nœud gordien qui assujetti l’art, l’artiste et le public en cette époque si sombre. Aude de Kerros évoque à plusieurs reprises George Orwel, « 1984 » et Aldous Huxley, « Le meilleur des mondes ». On ne peut être plus précis quand on sait, en tant qu’artiste, que la création nous offre l’image du monde.
Naomi Klein dans « La stratégie du choc » démontre comme il est facile de manipuler les hommes et les peuples à travers leurs sens et leurs émotions, Aude de Kerros tente de comprendre le cheminement de la tragique destruction de l’art et de la condition d’« artiste libre », comme on dit si joliment.
« L’art est lié à la condition humaine, le développement de ses formes ne s’achèvera qu’avec le dernier homme. », écrit-elle, avant d’ajouter « qu’il y a autant de pratiques artistiques, autant de facettes, styles et genres que d’êtres humains dont on sait qu’ils sont tous singuliers. » Elle note que l’artiste sera toujours libre et ruse contre la censure. On ne peut enfermer les sens.
Il est malheureux de constater qu’en France perdure un art totalitaire avec son lot de censures finement orchestrées. L’installation de l’institution culturelle dans les années 80 n’a servi qu’aux marchés dominants, l’élite marchande et politique occidentale. Le style conceptuel fut adopté en force pour imposer l’élimination des autres langages  artistiques. Si l’on en croit des études psychiatriques, le choc, ou le gavage des sens permet de manipuler et assujettir des peuples entiers. L’épanouissement des sens est indispensable à l’équilibre de l’homme et de la planète.
Jadis, la France possédait « l’exception culturelle », aujourd’hui elle n’est qu’instrument financier. Notre coq français transformé en corbeau ne serait-il pas devenu victime de son ego, tout comme nous l’a conté La Fontaine. N’aurait-il pas lâché son fromage pour que perdure sa jolie voie à travers le monde. En lâchant ses propres artistes, il se retrouve colonisé par une mouvance instaurée par de malins marchands aussi futés que le renard de la fable.
L’artiste français, même formaté au conceptuel, est abandonné,  humilié, déni par les agents institutionnalisés.  « … en France, sur les 60 000 artistes répertoriés, 35% sont au RSA ». Or beaucoup d’artistes n’étant pas célibataires, leurs partenaires possédant un revenu, ne sont pas répertoriés dans les statistiques !… L’Etat finance ses universités et écoles artistiques pour fabriquer une population de précaires qui n’ont même pas appris les bases du dessin, de la peinture et de la sculpture. Seul l’art conceptuel est enseigné. L’autre côté de la barrière. « La masse salariale répartie entre les 200 fonctionnaires de l’inspection de la création est de 12 000 000 €. »…  « En trente ans d’AC, 27 000 achats  d’œuvres ont été effectués par l’Etat et les régions … 50% d’œuvres sont  étrangères ». Les œuvres acquises par l’Institution, manquant la plupart du temps de pérennité, des sommes folles sont investies aussi  par l’Etat pour leur rénovation perpétuelle.
Les agents de l’institution ont phagocyté tous les lieux d’expositions convenables. Le contribuable français participe à son insu au système et finance son abrutissement. La grande majorité ne comprenant rien au conceptuel se détourne de l’art imposé. Une poignée entre en religion et  s’accroche à capter le vide qui l’enfume. Les travailleurs de l’institution sont payés pour y croire. Pendant ce temps, une élite savante fabrique avec cet « art » de l’argent comme en  bourse.
La frustration et les dégâts sont dévastateurs mais cela rapporte beaucoup à certains en leur offrant de plus en plus de pouvoir.




« Les artistes d’aujourd’hui » empruntent des chemins détournés. Soit ils feignent d’être conceptuels, tout en cachant leurs vrais travaux artistiques, soit ils tentent de détourner la mouvance en y glissant du sens caché. La plupart des artistes sont rebelles et débrouillards. Ils font fi de leur précarité et sans chercher plus loin, se créent des lieux alternatifs sauvages, exposent par vents et pluies, même si leurs œuvres s’abiment dans la boue. Le public court les jardins, les rues, les salles communales, de plus en plus réceptif, car souvent confrontés dans leur vie aux mêmes effets néfastes du pouvoir. C’est surtout sur internet que les plages sont libres d’expositions pour les amateurs sensibles d’être en connexion avec l’art sensé qui offre  l’émotion.
Aude de Kerros nous détaille par le menu l’accouplement forcé de ce soi-disant art soumis à l’argent, grossier, choquant, prostitué, enfanté par ce monde libéral qui passe à côté des sources vitales pour que le capital puisse régner sur la vie. Tout pouvoir a une fin. Comme la mouvance est un retour aux sources, à la terre nourricière, avec un rejet du consumérisme, la recherche de l’harmonie, du sens et du beau, « l’art d’aujourd’hui » se lève, prend les voiles. 30 ans caché mais tout de même exprimé, il refait surface.
« L ArTche des sens » est gentiment mentionné par Aude de Kerros, ce qui nous honore ! Merci pour ce combat qui nous est commun et pour ce travail colossal d’éclairage sur cette réalité toute crue si dure à assimiler tant cela parait à ce point corrosif.
Pour la lumière, lisez le dernier livre d’Aude de Kerros !

M art'IN




Sous l'casque d'Erby

Illustration pour un blog ami


dimanche 17 janvier 2016

Vidéos de l'Expo de l'ArTche des sens, 19-20-21 décembre 2015, à Perros-Guirec

Dimanche. Joie !
Voici, comme promis, les vidéos tournées lors de la manifestation artistique de l’ArTche des sens pendant le week-end du 19/20/21 décembre à Perros-Guirec. Deux versions on été montées. L’une dite « classique » et une « électro », aucune n’ayant rien à envier à l’autre. En outre, les vidéastes de l’ArTche ont ajouté, à la suite une vidéo « intello », la première d’une trilogie récemment réalisée.
Au pied de la dernière vous trouverez le lien vers les autres.
Je ne peux finir ce petit chapeau d’introduction sans tirer le mien, de chapeau, au crobardier en Chef, j’ai nommé l’ami Erby, distingué à Bucovina, Roumanie, au Festival du crobard satirique.
Que du bon chez les caillouteux !



Version d'Ivanhoé Merlin

   



Version électro de Miguel P.Diaz
 

Lien de la liste de lecture contenant les deux vidéos 

Notre « trilogie intellectuelle » (2013-2015) :
Quand on a commencé à s'amuser avec l'Ankou, il y a deux ans, on ne pensait pas forcément revenir dans le terrain du film pseudo-intellectuel l'année suivante...
Ivanhoé et Miguel


Échec en bois
   


Sous l’casque d’Erby


Les dessins classés sont ICI

jeudi 14 janvier 2016

La justice n'est pas là pour faire plaisir aux "sans dents" !

Source
Voguant sous fausse bannière, le gouvernement français se livre au sabordage généralisé des valeurs constitutionnelles en toute impunité. Tous les voyants sont au vert pour faire basculer le pays d’un état semi-démocratique vers un régime fascisant, où la libre parole sera considérée comme un acte subversif passible de prison.
Pas un instant, ce gang (car c’en est un) n’affiche la moindre pensée respectueuse à l’égard des salariés (ou ce qu’il en reste), les prenant pour de la matière corvéable, juste bons à se faire condamner, quand à bout de force et de mépris, en dernier recours, pour qu’enfin on remarque leur agonie, ils séquestrent quelques lampistes envoyés par le patronat pour en faire des sous-hommes en licenciant à tour de bras, comme cela a été le cas récemment à Air-France, ou précédemment à Amiens, avec « la prise en otage » de deux cadres de l'entreprise par des employés de Goodyear condamnés mardi à deux ans de prison, dont neuf mois fermes, par le tribunal correctionnel d'Amiens ! Pour « l’exemple » ! Rarement le patronat n'aura été aussi rassuré !
« Je n’ai pas bien entendu, vous avez dit « abjecte » ?... Répétez, s’il vous plaît, le tribunal voudrait vous entendre clairement… Je me disais… Sachez que la justice n'est pas rémunérée pour s’en prendre aux nantis, elle est là pour servir l'Etat ! Au gnouf, les manants ! Cela vous fera réfléchir, graines de séditieux !... »
Nous voici devant le nouveau mur des fédérés, au pied duquel on jette dans une fosse ouverte les restes de ce pourquoi l’humain se bat depuis toujours, la liberté, la justice et la fraternité. Le versaillais n’a jamais quitté nos murs ! C’est la loi du bâillon ! Loi que la maffia gouvernementale cherche à renforcer par tous les moyens à disposition, et ils sont nombreux !
Dernier exemple, celui de l’amendement (on en parle peu) signé par les députés solfériniens visant à sanctionner plus « durement les « hoax » (canulars) lorsqu’ils sont suffisamment bien élaborés pour avoir connu du succès sur les réseaux sociaux »… Tout colporteur de « mauvaises rumeurs », l’internaute en l’occurrence, conscient de son acte ou pas, pouvant mettre en danger la « paix publique » risque 135 000 euros d’amende !
Rien dans l’amendement n°CL387 n’indique qui sera aux commandes pour déterminer ce qui est « vrai » de ce qui ne l’est pas. Pas plus qu’il ne dit s’il existe dans cette disposition un alinéa punissant  « la diffusion de fausses promesses électorales », ni si cela n’est au fond la vraie « menace pour la démocratie » !
En somme, il n’y a qu’une vérité : le mensonge d’Etat !

Sous l’casque d’Erby

Athée souhait !...


mardi 12 janvier 2016

David Bowie est mort ? Pas si sûr !

Source
Série noire au boulevard des allongés en ce début d’année. C’est au tour de David Bowie de casser sa pipe à l’âge de 69 ans. Beaucoup de pixels pour l’accompagner dans son dernier cabanon au cœur des étoiles. Si tous ceux qui lui doivent quelque chose allumaient un briquet, les flammes suffiraient à éclairer durablement les ténèbres d’un monde en panne d’imagination. Parmi les choses lues à son sujet, il y en a beaucoup, j’aime l’hommage que lui rend Grosse Fatigue, colonne de droite, un blog que je lis quasiment tous les jours, du moins chaque fois que la page est actualisée. Voici l'extrait du jour : 
« A 7h55 j’ai reçu un message : David Bowie est mort. J’ai répondu à cette amie que je ne voulais pas. Même si le dernier clip me semblait très prémonitoire. On ne peut pas revenir à une musique personnelle et - un peu - difficile dans un âge aussi commercial si l’on n’a pas derrière la tête une perspective plus abrupte. Je m’étais dit cela en regardant Bowie sur mon ordinateur, avec les enfants dubitatifs et inquiets. Je pensais qu’il se moquait de la mort, qu’il en était loin, et puis surtout que des millions de salauds vivent très vieux sans jamais être condamné ce qui devrait être une raison suffisante pour ne jamais croire en dieu, ou du moins en un dieu juste.
Mais Bowie mort ? Impossible. Dès lors que l’on a passé les vingt-sept ans dans ce métier, on est immortel.
Je n’ai pas envie que Bowie soit mort. Je crois encore à un happening à cause de Warhol par exemple, et même s’il reste Iggy Pop ou Mick Jagger, ça n’a plus grand-chose à voir nos années soixante-dix. Bowie. Avec un vieux copain, on écoutait en boucle des pirates japonais où l’on n’entendait rien, et j’essayais de comprendre les paroles sombres des albums allemands, sans grand succès. Et le voir en 1984 à l’hippodrome d’Auteuil : on était cinquante-mille je crois. Ecrasé au premier rang, comme le paroxysme de mes dix-huit ans, en juillet. J’écoutais Bowie avec Sophie Jumeau, on était snob et je croyais que ça nous rendait beau : l’adolescence, comme une fuite en avant. »

David Bowie - Tokyo 12-12-1978 (full video)



Sous l’casque d’Erby

dimanche 10 janvier 2016

l'ArTche des sens à la fête

Bonjour les amis. C’est dimanche et la détente n’est pas un luxe. Comme promis (et attendant les vidéos en cours de montage) voici un petit tour en images de ce que fut la manifestation artistique organisée par l’ArTche des sens les 19/20/21 décembre à Perros-Guirec dans un contexte météo mitigé, mais riche d’une assistance nombreuse pour une première (texte complet ici). Le bon détour.

Œuvre de Nicole Scalbert, photo de Guillemette Clément


Photo de Jean Ducouet, œuvre de Claire Gablin

Œuvre de M art'IN, photo Jean Ducouet

Photos de J.J. Furet, photographiées par de Jean Ducouet

Aquarelles de Chantal Droumaguet et marqueteries de J.J. Dugué, photo de Jean Ducouet

Œuvres de Vanessa Tréhorel, photo de Jean Ducouet
Œuvres de Vanessa Tréhorel, photo de Guillemette Clément

Œuvres de Otznek, photo de Jean Ducouet

 Photo de Jean Ducouet

  Photo de Jean Ducouet

Œuvres de Pathys, photo de Jean Ducouet

Œuvres de Pathys, photo de Jean Ducouet

Illustrations de P.Diaz,  photo de Jean Ducouet
 
Le coin des cinéastes P.Diaz et Ivanhoé Merlin, avec leur écran sur lequel défilait leurs courts-métrages, et un bout du stand de Zorba Diaz et ses œuvres photographiques sur la gauche. Photo d'Ivanhoé Merlin


Idem


Œuvre de P.Diaz et poème de Rodolphe Diaz,  photo de Jean Ducouet

Œuvre de P.Diaz et poème de Rodolphe Diaz,  photo de Jean Ducouet


Œuvre de Pathys, photo de Jean Ducouet

Vernissage
 Photos de Jean Ducouet









                                                    Claire Gablin tricotant du lien, photo de Jean Ducouet


Œuvre de Claire Gablin. À l'intérieur du véhicule, une œuvre peinte de Claire, Kaléidoscope de la nature, était à découvrir en musique, au plafond.
 
Photo de Guillemette Clément


Atelier de dessin installé par Claire Gablin , photo de Jean Ducouet

L'autre côté, qui n'a pas été pris en photo, était aménagé par Claire pour un voyage dans l'espace que vous découvrirez dans la vidéo des cinéastes Ivanhoé Merlin et P.Diaz, qui est en cours de montage.



Œuvres de Monique Luyton, photo de Jean Ducouet
 Claire Gablin avait installé l'arbre à vœux
Œuvres de Monique Luyton,
p
hoto de Jean Ducouet



Oeuvre de M art'IN, photo de Jean Ducouet
Œuvres de M art'IN, photo de Jean Ducouet



Oeuvre de P.Diaz, photo de Guillemette Clément.

Œuvres de M art'IN sur la table poésie de Rodolphe Diaz et MK Luth. Photo de Guillemette Clément


Sculptures de Françoise Desmaison, peintures M art'IN, poésie de R. Diaz, Marko Luth et J.J. Gourdin (la poésie de nos trois artistes était éparpillée dans tous les stands.)
 Photo de Guillemette Clément


Sculptures de Françoise Desmaison, peintures M art'IN,
 poésie de R. Diaz, Marko Luth et J.J. Gourdin, photo de Jean Ducouet


Sculptures de Françoise Desmaisons, peintures M art'IN, poesie de R. Diaz, Marko Luth et J.J. Gourdin, photo de Jean Ducouet



Œuvres de Françoise Desmaison,
photo de Jean Ducouet




Œuvres de Françoise Desmaison,
photo de Jean Ducouet





Œuvres de Françoise Desmaison,
photo de Jean Ducouet





Œuvres de Françoise Desmaison, photo de Guillemette Clément

Œuvres de Brigitte Ségers et mosaïques de Carlos Sa Péreira, photo de Jean Ducouet

 


Œuvres de Nicole Scalbert avec de la peinture, de la gravure sur verre, de la broderie, et des dessins. Bijoux de Laura Nadal, photo de Jean Ducouet
                        Œuvres de Brigitte Ségers sur chevalets et de M art'IN sur le portique


Sculptures de PIERO lemuTanT, photo de Jean Ducouet
Œuvres de Gilberte Latify, Erwan, Naïg Lemeur, photo de Jean Ducouet


Photo de Guillemette Clément, œuvres de Naïg

Photo de Guillemette Clément. œuvres d'Erwan
Photo de Guillemette Clément. œuvres d'Erwan



Photo de Guillemette Clément. œuvre de Guillemette Clément


Une prestation musicale surprise de la part de notre petite bijoutière Laura Nadal à la bombarde et du sonneur Jérémie fut fortement appréciée du public.


Auberge espagnole entre les artistes
 dans le barnum de Guillemette Clément qui présente ses photographies, et Monique Luyton ses œuvres picturales. Photos de Jean Ducouet






Lbobo et sa compagnie La B.A.i.T.
(Band'Amis Improvisée Totalement) ont joué le dimanche après-midi « le cabaret show ». Une suite de courtes improvisations choisies par le public, avec des masques-bidons ainsi que des masques de la commedia dell'arte.
 Photos de Jean Ducouet





C'était pas chouette ????
Photos de Jean Ducouet, œuvre de Pathys

Une vidéo d'Ivanhoé Merlin et de P.Diaz est en préparation, à suivre !

Œuvre de Nicole Scalbert, photo d'Ivanhoé Merlin

Sous l’casque d’Erby