lundi 29 septembre 2014

Elections sénatoriales

En ce dimanche de septembre finissant, au temps magnifique, il y avait élection en France, mais cela, comme il est d'usage en la matière, ne concernait pas le menu fretin, puisqu'il s'agissait du Sénat qui renouvelait la moitié de ses membres. C'est donc d'une paluche tremblotante, mais on ne peut plus sûre, que les dentiers volants de la très aristocratique chambre haute ont fait joujou en introduisant dans l'urne des petits rectangles de papier, ce qui provoque chez les prothésistes dentaires, dont la profession va mal, un frémissement positif...
De l'autre côté des barrières de sécurité, bien à l'écart, le peuple apprenait par porte-voix et très peu d'émotion que de gauche, la haute assemblée venait de passer à droite, avec une nouveauté : le Front National fait son entrée en cryogénie avec deux élus !
Pas concernée un calot par l'effet de cette intrusion, apprenant la nouvelle, la foule a eu un haussement d'épaules et s'en est allée vaquer à ses occupations coutumières : consulter l'arrivée du tiercé-quarté-quinté +, remplir quelques grilles de loto (on ne sait jamais) et gratter du morpion comme on se gratte les glaouis jusqu'au sang quand la chose lui tombe dessus pour de vrai !
Ainsi va la démocrasse ordinaire !

Sous l'casque d'Erby

dimanche 28 septembre 2014

Dimanche zyzycal : harpe

Nous voici dimanche et pas grand-chose à nous mettre sous la dent, hormis, mais cela est chose routinière, la carne que l'actualité livre par wagons entiers à une meute privée de bonne nourriture.
Hier des milliers de manifestant, arborant le Gwenn ha Du, ont défilé à Nantes pour la réunification bretonne, autrement dit, le retour de la Loire-Atlantique dans son berceau d'origine, la Bretagne. Le mot d'ordre était des plus simples : «Comme les cinq doigts de la main, les cinq départements bretons»
Pour mettre mes pas dans les pas des frères bretons, il m'a semblé que la harpe était le symbole le plus représentatif de l'unité celte.
On écoute ?


Harpe celtique à Lorient 2008 

Harpe celtique à Lorient (2)


Sous l'casque d'Erby


miâââââââouuuuuuuuuuu !

samedi 27 septembre 2014

La légende des gens

...hé bien dansez maintenant...

IL Y A UNE LÉGENDE
sage et belle comme une image
il y a une folle image sans légende


il y a la révolution de la terre
tout autour du soleil
la révolution à faire
et ce temps qu'il fait
qui n'est plus, ma bonne dame,
ce que c'était.


C'était au bon vieux temps légendaire
où Pénélope tissait sa toile
où Ariane dévidait sa bobine
où Jeanne délivrait Orléans et
où Marie était immaculée
ad vitam eternam.
 

On tissait, on devisait, on faisait des miracles, 
on repoussait le sarrazin ou l'anglois,
et Madeleine, érotique ingénue, lavait
de ses cheveux les pieds sales de Jésus.


Depuis, on a inventé la photographie,
la légende si sobre de chaque photographie
(Genève-4/05/1985-19 h- f.70mmdiaph.2,8-I/125sec)
et puis la signature (Rem*photographe indépendant)
avec le business (réflex Chinon CE-3, film Kodak...)


Depuis, les Madeleine-Pénélope-Marie-Jeanne-Ariane
posent nues
pour que les braguettes d'hommes s'enflent

et que les concurrentes s'affolent et se dépêchent
à entrer en légende.


Avec un appareil photo, j'aime flâner dans la rue ou un espace fréquenté. Y trouvant à l'improviste des situations cocasses et belles, phoésiques. Y inventant ma légende des gens, le plus souvent des inconnus... C'est ce que je hasarde là où je vis, à la faveur d'assez de lumière, temps libre, petits moyens : cela diffère de la pratique du touriste ou du reporter dont les photos, éloquentes ou pas, visent à témoigner de leur bref passage, soit de loisir, soit de commande.
Je souhaite que votre imagination se nourrisse, si besoin, de telle ou telle photo, pour y broder votre légende. Et souhaite que nous ayons tous goût d'observer la beauté de notre environnement humain, si riche, drolatique, émouvant, dramatique. Malgré tant de morosité sociale qui incite à fermer les yeux...



L'artiste prend la mouche !
Grandir ?
Balade dans la géométrie

Mise en réseau
Revue des troupes
Au labyrinthe

Confrontation
Le coq et le poulailler
Le journaliste et son marronnier

Pause entre la gare A et la gare B
L'énergie
Tambours et baguettes

Des mondes qui s'ignorent
Sourire chipé, casquette aussi !
Faut que j't'explique...

Hommage à Makhno
Les oiseaux l'apprivoisent
Un ballet incertain

Ne pas céder à la provocation
L'échappée belle
On va chez moi ou chez toi ?

Le Ku Klux Klan bancaire
J'suis toute ouïe !
Blaise Cendrars, le retour

J'ai vu quelqu'un, qui...
Chouette, on m'observe...
Le long temps du passé

Les lieux voyagent aussi
Tu viens, Papa ?
Que vient-il faire en cette galère ?

Le poète se tait
Vite, la vie !








Source texte et images dans le vivier de Rem*


Sous l'casque d'Erby 
 

jeudi 25 septembre 2014

Guerre au vrai terrorisme, celui de l'Etat !

Source
« ... et comme un pied-de-nez au "plus jamais ça!" que suppose une bonne exposition sur la boucherie de 14-18 et qu'impose une superbe exposition de tableaux de M art' IN, voilà qu'hier soir j'ai enfin compris (j'étais réticent à l'entendre) que NOUS SOMMES EN GUERRE, nous, toi et moi. Il paraît que "l'État Islamique" t'a déclaré la guerre, grand citoyen français, héros de l'humanisme rrrévolutionnaire, en avant marche, vive la guerre au méchant... Vivent les plans vigipirates et entourloupes antidémocratiques contre nos droits fondamentaux : si t'es pas enthousiaste, t'es terroriste ! C'est un cauchemar ?… »


Quand un être humain meurt de manière violente c'est toujours choquant. Un peu plus quand il s'agit d'un otage, un quidam pris au hasard faisant les frais de ce que l'on désigne de façon mécanique comme une « victime collatérale » prise dans le jeu de la saleté politique.
Hier c'était Untel, aujourd'hui, c'est Untel. Et le suivant, demain ? Toujours Untel – un gars innocent – qui passait par là pour faire de la randonnée, de la photo ou tout simplement pour poser des arpions dans un lieu insolite, sans autre idée que celle de se partager avec les autres, se découvrir au-delà de son joug, pour s'accomplir ailleurs que dans le champ étroit d'un milieu étouffant. Ou pour des milliers d'autres raisons dont nous ne saurons jamais rien. Ces nombreux Untels, ayant trouvé la bonne oxygénation, se sont trouvés là où il ne le fallait pas et peu importe la façon dont ils ont quitté ce monde imparfait avec lequel chacun accommode sa propre sauce : balle dans la nuque, dans la tempe, dans le cœur ou simple décapitation, ils crèvent brutalement - sans même comprendre goutte aux enjeux, pour certains -, leur mort servant les combines d'une caste politique experte en manipulation de masse. Le ban et l'arrière-ban de la bécane à pixels, dont les larbins sont légion, attaquent le blaireau là où il est le plus vulnérable, réveillant sentiment de haine et peur maladive de l'Autrede façon à lui faire oublier sa misérable existence, tuant dans l’œuf l'idée d'une revendication quelconque. Cependant, la question demeure chez le facteur : dans quelle boîte dois-je déposer le courrier ?...
Quand j'entends les Valls de la planète et tous les Hollande, dont l'intervention de hier soir à la téloche reste un modèle de saloperie politicarde, mouliner de la diversion tous azimuts, proclamant que l'Irak, la Syrie, l’Afghanistan, l'Ukraine, qu'importe la cible, sont choses nécessaires pour « le bien de la nation », ça me fourgue sévère la chtouille et une sourde colère s'empare de moi, comme l'homme honnête peut l'être devant une immonde arnaque !
Et si nous faisions de nos vomis l'océan où noyer cette bande d'escrocs et de criminels ?...
Je finis avec ce lien on ne peut plus éclairant pioché chez l'ami Pim... 


Sous l'casque d'Erby

Si Roseline m'était contée !...
La phrase du jour de  Roseline Bachelot dans "Le grand 8" : « Rien ne ressemble plus à une coupe de cerveau qu'à une coupe de testicules ». Tiens donc ! J'ai retrouvé ça dans mes archives :

mardi 23 septembre 2014

Impressions sur l'expo de M art' IN à Montmirail

Image de l'affiche de M art' IN choisie par les responsables culturels
Pas très actif ces derniers temps sur le blog. Pour cause, une expo de Martine le week-end dernier à Montmirail en Champagne-Ardenne, dans le cadre des journées du Patrimoine, avec célébration et tintouin du centenaire de la première grande boucherie des temps modernes.
Dans un contexte voué au tire-larme et au frisson que l'uniforme instille dans le subconscient, la présence de quelques artistes était souhaitée, sinon comme le symbole d'une présence antimilitariste, rejetant le métier des armes et celui de gouvernements sanguinaires à la solde d'une finance sans frontières, du moins comme alibi, histoire (peut-être) de laisser sur le mouchoir imbibé de larmes la minuscule empreinte du dégoût de l'artiste pour la guerre…
Le thème de l'expo aurait pu porter pour titre « Une lumière dans le noir », tant la documentation sur le carnage était abondante. De la lettre du conscrit relatant misère, humiliations et mort, détaillant les faits de manière brutale, sans fioritures, découvrant horrifié qu'on lui avait fourgué une daube en guise de Patrie, aux chansonnettes au patriotisme en état de surchauffe, cette journée se voulant pédagogique n'a laissé guère de place à la liberté artistique, au regard libre, sauf peu-être chez quelques irréductibles qui ont gardé au cœur une certaine idée de la verticalité. Des îlots à la dérive dans un univers phagocytaire, beau à côtoyer mais très insuffisants pour former un archipel. Ainsi de Bernard Blazin, homme digne de ce nom, qui a tout fait pour que les peintures de Martine prennent la meilleure place dans la Salle de Fêtes et qu'il définit comme une « peinture évolutive », tant chaque toile ouvre des « univers parallèles »…
Et comme la vie est faite, quoi qu'on dise, de lumière, les retrouvailles avec Étienne Begouen, fiston de notre nazairien préféré, photographe talentueux et artiste complet, que nous n'avions pas vu depuis des années, a été ce rayon de poésie que toute personne normalement constituée accueille les bras ouverts. En partance de Montmirail, où il a vécu avec sa compagne durant des années, nous avons partagé l'apéro, échangé et admiré son magnifique travail dans sa superbe maison, en nous laissant conduire avec plaisir dans la campagne champenoise, faite de reliefs et de lacets, qu'il connaît par cœur...
Sinon, dans l'actualité, nous n'avons rien perdu de l'essentiel, y compris le fait que Manuel Valls s'est couché devant la Merkell, tout comme précédemment Sarko, dont on nous claironne le retour jusqu'au vomi !

Sous l'casque d'Erby

EXPO CHYPRE - KYRENIA
3nd International “Olive” cartoon contest (Kyrenia - Cyprus" - 2014
Sur le thème : "olives and women"

samedi 20 septembre 2014

"LA PROCHAINE"

Chapeau, le champion !


J'ai le bonheur d'avoir retrouvé, dans le fouillis de mes archives épargnées par ma poubelle gourmande, ce texte de 1983 dont je n'avais nul souvenir. Je le reproduis intégralement (à quelques mal-dits et coquilles près) tant il me reste actuel…
Rem*



1. POÉSIE & PHOTOGRAPHIE
La poésie se glisse partout : parfois dans une photo, voire dans un ...poème. La poésie est regard, qualité de regard, audace de regard, rythme du regard, réflexion du regard - aux deux sens du mot "réflexion". La poésie est passion, vision. Elle est respiration tout autant qu'émotion, qu'émotions.
Il est de poètes dits "légers" et d'autres dits "graves" : il y a surtout des poèmes barbants et d'autres - rares ! - inouïs, bouleversants, quel qu'en soient le sujet et la forme.. De même pour la musique, de même pour toute œuvre d'art traversés par le "souffle" du vrai, que j’appelle poétique.
"C'est à l'artiste que le beau se révèle, mais sans qu'il l'ait recherché puisqu'il ne tend que vers le vrai" écrit Arnold Shönberg, compositeur, musicien, philosophe.
Dans l'écriture de la lumière comme dans l'écriture des sons ou dans celle de la parole, l'artiste-vrai ne peut, comme tout aventurier, que s'engager entier,, en terrain inconnu, avec ce qu'il peut emporter de bagages, certes (sa culture générale et ses techniques particulières...), mais surtout avec son "âme"(son esprit, son cœur, ses tripes, sa passion, ses colères, ses patiences, son humour, ses désespoirs et espoirs, son souffle).
Dans l'écriture de la lumière, du blanc pur au noir pur vis toute la gamme de gris ou toute celles de l'arc-en-ciel, le photographe est un aventurier, un découvreur, pour chaque prise de vue.
2."PRENDRE"
"Prendre une vue" piquer au temps qui passe une épreuve instantanée, ce peut être banal comme de "prendre femme", comme prendre une douche, mais ce peut être une épreuve redoutable aussi. Qu'il est très délicat d'essayer de transcrire par des mots.
Dire "oui" à Monsieur le Maire est, de même, une simple formalité élémentaire qui ''permet de prendre femme" (ou homme!) ...derrière laquelle se cache une extrême complexité d'émotions pour cet acte redoutable.
Prendre une douche...froide, par exemple(ou écossaise : la pire) peut même être un acte aussi peu banal que de "prendre femme" ou de "prendre un instantané" : Dans les trois cas, c'est le corps entier qui est en jeu, se transforme, se mouille, s'exprime. Et aspire au bonheur...
Le bonheur du photographe est d'avoir comme le marin, "bon pied - bon œil". Les pieds du photographe-reporter sont à peu près aussi indispensables que ses yeux, ou sont du moins son premier "accessoire", bien avant les "prolongements" de son corps que sont ses matériels-photos.
La preuve ? : De même qu'un pianiste sans piano peut très bien créer dans sa tête une nouvelle mélodie qu'il jouera plus tard, il m'arrive de devoir "prendre", faute d'appareil ou de film, des "photos mentales"... dont j'ai un souvenir très précis, au point de pouvoir plus ou moins la réaliser, beaucoup plus tard et dans bien d'autres lieux. Puisque l'essentiel de la photo n'est pas "le décor", moins encore tel visage, tel objet, mais LA LUMIERE et LA FAÇON de l'inscrire, de "piquer" au temps une étincelle de bonheur. D'en faire un vrai-bel objet, pour une quasi-éternité, en tout cas une "éternité'', par rapport à ce moment fugitif !
Qu'importe le "réalisme'', la ressemblance du modèle, voire la netteté (le fameux"piqué" des fans de la technologie-photo) de cet objet que j'ai créé, s'il répond à ma vision, tant objective que subjective, tant intérieure (émotionnelle) qu'extérieure (rationnelle) !
3- Il n'importe d'arrêter d'écrire, maintenant que le soleil m'invite "trotter" à la rencontre aventureuse de ma meilleure photo : la prochaine !

vendredi 19 septembre 2014

500 noyés au large de Malte

Image du Blog laparousiedejesus.centerblog.net
Source
La lune a disparu et avec elle le ciel aussi.
Bonne nouvelle pour les embusqués, ces clandestins envahissants dont on trouve le teint inapproprié par chez nous. Ils n'attendaient que ça, qu'elle s'en aille, cette putain de clarté, qu'ils aiment pourtant ! Ils la reverront plus tard, ailleurs que sur cette côte oubliée des dieux et des hommes qu'ils cherchent, groupés corps contre corps, supportant l'odeur commune de transpiration avec dégoût, ainsi que celle, bien plus tenace, de la peur. Cette peur avec laquelle ils vivent comme s'il n'existait d'autre parfum en ce monde. 
Au loin, le scintillement de quelques géants de ferraille tracent une ligne toute trouvée sur la grande bleue, cette dévoreuse, transportant à leurs bords toute l'exploitation du monde. Toute la misère et cette part de richesse à laquelle ces fugitifs aspirent une fois parvenus de cet autre côté pour lequel ils payent le prix fort !
C'est le moment... Qui a pas peur reste... Tout le monde y va ! 500 personnes d'un coup ça fait du remous dans les barcasses, mais pas plus, dans ce lieu désert, que celui de l'escarpin sur une moquette soyeuse dans un bureau de ministère où le cerbère veille à ce que la vague ne fasse trop de bruit au moment où elle saisi son pourcentage. Cette vague scélérate, toujours la même, traitresse, indifférente aux lois, puisque la loi c'est elle, a englouti 500 personnes, parmi de milliers d'autres, dont nous ne saurons jamais rien, sinon que ça respirait, vivait et rêvait d'atteindre l'autre rive pour vivre en paix, une paix désormais éternelle.
Pour eux, comme pour les précédents, c'est rideau dans l'indifférence presque générale ! Et pour les suivants ?... Parce que la file d'attente est longue !
Cela a eu lieu il y a une huitaine au large de Malte. Vers là-bas. Là où on attend la lune noire comme on attend la pluie dans le désert !

Sous l'casque d'Erby

T'as le bonjour de Nessie

 

jeudi 18 septembre 2014

Vive la Macron économie !


Une jolie saillie de notre nouveau ministre de l’économie, le sieur Macron diplômé de partout au micro d’Europe1 et évoquant le cas de la société bretonne GAD : « Il y a dans la société GAD une majorité de femmes illettrées… ». Ben voyons ! Et c’est bien connu en Bretagne ils portent encore sabots et vivent dans des cabanes en terre battue. Ni eau, ni électricité et encore moins de wifi !
La preuve ultime, Ces bretons là, ils sont incapables d’écrire correctement le mot BAGAD

 
Tout ça nous a rappelé une rencontre il y a quelques années avec Jean-François Kahn, patron de Marianne qui nous avait affirmé en parlant des élites : « vous ne pouvez pas savoir à quel point ces gens là vous méprisent !». Mépriser le peuple ? Pour notre part ça ne nous a jamais surpris.


- J’ai une idée. Dès que je quitte mes fonctions de ministre je me lance dans la rédaction de « La reconversion pour les nuls »
Ben quoi ! C’est pas du mépris, juste qu’il pense filer un coup de main au bas peuple !


Sous l'casque d'Erby


mercredi 17 septembre 2014

Faites-nous confiance !

M art'IN
Manu Valls a exsudé les derniers résidus de son petit corps de roquet libéral pour prouver à une petite (toute petite, hein !) partie du pays qu'il était d'origine marxiste lors du fameux vote de confiance à l'Assemblée nationale.
Ceux qui ont une idée sur la question ont rit à s'en tordre. Les vilains ! Pour ce qui est des contestataires de la gôche saumâtre, eux aussi ont ri. Mais Jaune ! Le jaune n'est-elle pas la couleur avec laquelle on désigne avec mépris les vendus chez les syndicalos ?…
Tout a un prix. 
Laissons là un débat qui n'intéresse plus grand monde et concentrons-nous sur la création, l'artistique, le déjanté, la folie douce. Si douce que les caresses en sont fortement recommandées. Il n'y a que par que notre salut viendra... Ou ne viendra pas !...
La chose étant gratuite, raison de plus pour ne pas s'en priver ! Merci à nos amis de WikiStrike pour cet extra !

 

Taré 

Un artiste a consommé chaque jour un type de drogue différent et a tenté de réaliser son autoportrait. 

Voici Bryan Lewis Saunders

"Cet artiste a réalisé un projet un peu spécial : Il a consommé chaque jour un type de drogue différent et a tenté de réaliser son autoportrait, tout en étant sous l'emprise de ces substances. On voit bien à quel point les produits qu'il a consommé ont altéré sa perception des choses, en affectant différentes parties du cerveau...
Plus qu'un simple junkie muni d'un pinceau, son travail fait penser à ceux de ces scientifiques ayant volontairement consommé des drogues pour mieux en connaître et en expliquer les effets sur le cerveau, et qui ont contribué à mieux comprendre le fonctionnement de notre cerveau en se prenant eux-mêmes pour cobaye. 
Il est aussi intéressant de constater qu'une bonne partie des drogues mentionnées ci-dessous sont en fait des médicaments prescrits dans certains cas de troubles psychiatriques, nerveux ou autres..."

Champignons hallucinogènes

Cocaïne  
Crystal Meth
Marijuana
Haschich
Morphine
Valium
Absinthe