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Commentaire De Rem* dans « Impressions sur l'expo de M art' IN à Montmirail »
Quand
un être humain meurt de manière violente c'est toujours choquant.
Un peu plus quand il s'agit d'un otage, un quidam pris au
hasard faisant les frais de ce que l'on désigne de façon
mécanique comme une « victime collatérale » prise dans le jeu
de la saleté politique.
Hier c'était Untel, aujourd'hui, c'est Untel. Et le suivant, demain ? Toujours Untel – un gars innocent – qui passait par là pour faire de la randonnée, de la photo ou tout simplement pour poser des arpions dans un lieu insolite, sans autre idée que celle de se partager avec les autres, se découvrir au-delà de son joug, pour s'accomplir ailleurs que dans le champ étroit d'un milieu étouffant. Ou pour des milliers d'autres raisons dont nous ne saurons jamais rien. Ces nombreux Untels, ayant trouvé la bonne oxygénation, se sont trouvés là où il ne le fallait pas et peu importe la façon dont ils ont quitté ce monde imparfait avec lequel chacun accommode sa propre sauce : balle dans la nuque, dans la tempe, dans le cœur ou simple décapitation, ils crèvent brutalement - sans même comprendre goutte aux enjeux, pour certains -, leur mort servant les combines d'une caste politique experte en manipulation de masse. Le ban et l'arrière-ban de la bécane à pixels, dont les larbins sont légion, attaquent le blaireau là où il est le plus vulnérable, réveillant sentiment de haine et peur maladive de l'Autre, de façon à lui faire oublier sa misérable existence, tuant dans l’œuf l'idée d'une revendication quelconque. Cependant, la question demeure chez le facteur : dans quelle boîte dois-je déposer le courrier ?...
Quand j'entends les Valls de la planète et tous les Hollande, dont l'intervention de hier soir à la téloche reste un modèle de saloperie politicarde, mouliner de la diversion tous azimuts, proclamant que l'Irak, la Syrie, l’Afghanistan, l'Ukraine, qu'importe la cible, sont choses nécessaires pour « le bien de la nation », ça me fourgue sévère la chtouille et une sourde colère s'empare de moi, comme l'homme honnête peut l'être devant une immonde arnaque !
Et si nous faisions de nos vomis l'océan où noyer cette bande d'escrocs et de criminels ?...
Je finis avec ce lien on ne peut plus éclairant pioché chez l'ami Pim...
Hier c'était Untel, aujourd'hui, c'est Untel. Et le suivant, demain ? Toujours Untel – un gars innocent – qui passait par là pour faire de la randonnée, de la photo ou tout simplement pour poser des arpions dans un lieu insolite, sans autre idée que celle de se partager avec les autres, se découvrir au-delà de son joug, pour s'accomplir ailleurs que dans le champ étroit d'un milieu étouffant. Ou pour des milliers d'autres raisons dont nous ne saurons jamais rien. Ces nombreux Untels, ayant trouvé la bonne oxygénation, se sont trouvés là où il ne le fallait pas et peu importe la façon dont ils ont quitté ce monde imparfait avec lequel chacun accommode sa propre sauce : balle dans la nuque, dans la tempe, dans le cœur ou simple décapitation, ils crèvent brutalement - sans même comprendre goutte aux enjeux, pour certains -, leur mort servant les combines d'une caste politique experte en manipulation de masse. Le ban et l'arrière-ban de la bécane à pixels, dont les larbins sont légion, attaquent le blaireau là où il est le plus vulnérable, réveillant sentiment de haine et peur maladive de l'Autre, de façon à lui faire oublier sa misérable existence, tuant dans l’œuf l'idée d'une revendication quelconque. Cependant, la question demeure chez le facteur : dans quelle boîte dois-je déposer le courrier ?...
Quand j'entends les Valls de la planète et tous les Hollande, dont l'intervention de hier soir à la téloche reste un modèle de saloperie politicarde, mouliner de la diversion tous azimuts, proclamant que l'Irak, la Syrie, l’Afghanistan, l'Ukraine, qu'importe la cible, sont choses nécessaires pour « le bien de la nation », ça me fourgue sévère la chtouille et une sourde colère s'empare de moi, comme l'homme honnête peut l'être devant une immonde arnaque !
Et si nous faisions de nos vomis l'océan où noyer cette bande d'escrocs et de criminels ?...
Je finis avec ce lien on ne peut plus éclairant pioché chez l'ami Pim...
Sous l'casque d'Erby
Si Roseline m'était contée !...
La phrase du jour de Roseline Bachelot dans "Le grand 8" : « Rien ne ressemble plus à une coupe de cerveau qu'à une coupe de testicules ». Tiens donc ! J'ai retrouvé ça dans mes archives :
La phrase du jour de Roseline Bachelot dans "Le grand 8" : « Rien ne ressemble plus à une coupe de cerveau qu'à une coupe de testicules ». Tiens donc ! J'ai retrouvé ça dans mes archives :
Bonjour les caillasseux. Temps de faire la vidange, y en a marre de cette mare à limaces !
RépondreSupprimerMerci de ton "coup de gueule" vigoureux et bien à ta façon talentueuse que les talents d'Erby (quelle image saisissante!), des Brins d'Herbe et de Pim développent à leurs façons... : Y a toutes les sauces, au choix, mais c'est en contre-poisons du même plat indigeste : la dictature sanguinaire du kapital... dont le terrorisme d'État "démocratique" (??) est la façade...
RépondreSupprimerPour la magnifique image qui ouvre le billet, y a intérêt à cliquer dessus pour l'apprécier... mais je la trouve "limite hors-sujet", non ?
...Quant à la citation de moi que tu reprends en "chapeau" du billet, bon d'accord, elle est en plein sujet. Mais je déplore, surtout, que l'article sur l'expo de Montmirail ait été si peu commenté...
SupprimerEn ce qui me concerne, je lis quasiment tous les billets ici, mais je suis feignasse sur les com'.
SupprimerJe vais tacher de faire des efforts.
Oh, pute vierge ! Oh, Sainte mère ! Si tu crois qu'on va t'en vouloir pour si peu,le marseillais, t'es fada, parole de Bengous !
SupprimerHello, en fait nous sommes encore une fois sur la même longueur d'ondes.
RépondreSupprimerJe viens de voir ton billet ;) et j'ai terminé le mien.
Eh oui, Rosa ! Encore une fois, on reste les yeux ouverts, sauf que le désert s'étend et il fait terriblement soif ! Nous aurons, peut-être, la satisfaction (la belle blague !) d'être restés debout un peu plus longtemps que certains autres...
SupprimerTu sais, tous les prophètes ont commencé comme cela, oh, nous n'en sommes pas là mais la métaphore laisse espérer quand même.
SupprimerLes petits ruisseaux font les grandes rivières.
Peuple Français , nous sommes en guerre !. Nous ne l’avons pas choisi. C’est le cas à chaque fois.....
RépondreSupprimerNous déplorons dans notre camp une victime....
Désolé ! je viens d'écorcher ton pseudo. Ce n'était pas volontaire.
SupprimerMerci pour les superbes peintures.
Merci lediazec, pour ce site, où de si belles illustrations - de M'AR'In, d'Erby - nous sont données à voir, et à lire des analyses que je trouve importantes du moment que nous subissons. Merci aussi pour les sites que tu proposes en lien et pour le relais que tu donnes de mon texte.
RépondreSupprimerUn salaud en vaut-il un autre ? Je me pose la question, à la lecture de ton texte, qui me semble faire écho, dans ma tête du moins, à celui de Garrigou paru sur le Diplo, et concernant le sempiternel débat à propos d'Heidegger et de sa compromission à l'idéologie national socialiste.
Il me semble y faire écho en ceci qu'il signale le discours du national socialiste Hollande et de son acolyte en Kollaboration, le Catalan Valls-en-guerre : pourra-t-on en arriver enfin à mesurer les effets de cette collaboration de la France avec l'empire nazillon des USA, qui nous vaut, entre autres délicates attentions, le meurtre d'un touriste en Kabylie ?
"Tué parce que Français" éructe le bougre qui se fait ainsi de la pub sur la mort d'un autre et qui, au passage, omet de dire, dans sa tentative de reprendre à ce propos l'argument de la lutte contre l'antisémitisme - "tué parce que juif" - que la SEULE ET UNIQUE CAUSE du meurtre du Français est celle de l'implication de la France dans la violence impérialiste comme supplétif de l'armée des assassins US en Irak, Libye, Syrie, Mali, etc ..
Certes, le petit monsieur fait le taf pour lequel il est payé. mais non celui pour lequel il aura été élu. personne ne lui a demandé de faire la guerre, Mais c'est poutrtant là, depuis le début, la SEULE ET UNIQUE cause à laquelle il s'attelle avec l'acharnement d'un crétin obtus qui veut se faire voir et reconnaître par ses maîtres comme un bon toutou qui en a. On ne sait pas, on n'ira pas jusqu'à aller vérifier de peur de constater l'innommable, mais ce qui est sûr c'est que ça le gratte.
Bonsoir Pim. On en est tous là, à gueuler dans le désert comme des chiens abandonnés. A la différence, il me semble, que les clébards c'est nous !
SupprimerJ'ai lu ça sur "rue affre" ( et tout l'article est à lire):
RépondreSupprimer- Mais que non, pensez donc, la France ne cède pas au chantage - nous déclare martialement ce qui nous sert de chef d’état, ce colonel moutarde déterminé qui ne cède à rien, sauf aux USA, à l’UE, au Medef, à Merkel, à Nétanyaou, aux bonnets rouges, aux pigeons, aux poussins…aux banques et à la finance qu’il combat vaillamment en leur roulant des pelles.
http://rue-affre.20minutes-blogs.fr/archive/2014/09/25/deplacer-les-montagnes-905910.html
J'ai croisé tout à l'heure dans la rue un kurde de Turquie, avec qui j'ai beaucoup sympathisé il y a environ dix ans, quand il était illégal et fauché... Depuis, je le savais + ou - dans l'étrange galaxie des propagandistes de l'islamisme, que je ne pas le goût d'approcher...
RépondreSupprimerMais là, il m'aborde, l'air féroce. Je lui demande des nouvelles des kurdes en guerre contre "l'émirat de l'état islamiste", il me répond :
Il n'y a pas de guerre avec les kurdes ! C'est la France que fait la guerre ! Et l'Amérique ! et les juifs, les juifs, les juifs!!!... ça en est resté là, c'est triste...
Cela n'a rien à voir avec le sujet, d'accord... :
RépondreSupprimerEn rentrant du marché, c'est sur la liste de droite que je découvre que - enfin! - paraît mon nouveau et 4°chapitre du site Phoésie 3 : "La Légende des Gens"... c'est pas du Victor Ugo, dont je ne suis ugolâtre encore que, c'est p'têt' ben du Victor Nazaire... tout en photo, surtout noir/blanc...