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Bien qu’il existe d'autres moyens de converser, l’homme n’a trouvé que celui-là pour apprendre à parler. Et cela, je le crains, ne prendra fin qu’avec sa disparition.
Quitter l’Europe ou tourner le dos à l’Union européenne ? La réponse se trouve dans la question.
Quitter notre bout de terre est faisable. Un avion, un bateau, une voiture, un train, et même à pied ! Les moyens ne manquent pas. Mais quitter son « chez-soi » par obligation, par soumission, c’est renier ce que nous sommes au nom de l’intérêt supérieur d’un pouvoir politique étranger.
Je veux parler de la « grande » Amérique, dont l’emprise sur les peuples montre des signes de faiblesse indéniables. Sans dire qu'elle est au bout du rouleau, on ne peut pas passer sous silence son état de santé.
D’autres forces, ayant eu à subir la violence d'un règne sans partage, se conjuguent pour mettre fin à une domination outrageante reposant sur des fausses doctrines, la démocratie faisant partie de ces illusions ! J’ignore quelles sont les véritables intentions des nouvelles puissances, une fois la victoire acquise, ni quel sera le modèle de régime qui se s'imposera pour un renouveau de la gouvernance, mais une chose est sûre : un nouvel empire est en train de naître.
Je suppose que, comme toute nouvelle puissance, elles sera soumise à des pressions et reprendront, comme celles qu’on vient de chasser, des schémas de gouvernance similaires. Car ce qui nuit n’est pas la gouvernance en soi, mais le pouvoir et la tentation de son abus !
La disparition de l’Amérique en tant que puissance dominatrice est quasiment actée. Ceux qui pensent que c’est aller vite en besogne n’ont qu’à jeter un regard rapide sur l’histoire. On découvrira sans surprise que ce fut le cas pour toutes les puissances depuis que l’homme a foulé cette terre, croyant et entretenant l’idée d'un statut éternel.
C'est ce qui arrive quand on vend son âme au diable. On grille les dernières cellules vivantes de l'organisme au profit d'une mégalomanie psychopathe.
Les États-Unis sont comme ces personnes sur le point de se noyer que vous tentez de sauver en vous jetant à l’eau et qui vous entraînent par le fond. L’Amérique ne peut survivre à son chaos qu’en entraînant l’Europe dans son naufrage.
Allons-nous accepter l'idée du suicide vers lequel nous pousse une classe politique corrompue, ne possédant d’autre pouvoir qu’un ordre de mission délivré par le maître, sans piper mot ?
J’accepte l’excuse du conditionnement par l’éducation et la culture des sociétés modernes, instillées dès la naissance. Mais accepter notre disparition comme une fatalité historique pour le seul bien-être d'une minorité de malades, de pervers, de pédophiles, de satanistes et des criminels en tout genre, c’est tout bonnement inacceptable !
Est-ce si difficile que de devenir humains ?
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour à toutes et à tous. C'est dimanche et voici mon petit sermon qui, ajouté à d'autres, fera en sorte d'aider à nous sortir du merdier dans lequel nous sommes empêtrés.
RépondreSupprimerOui, Rodo, notre machin en chef pense être presque au niveau de Chuck Norris...
RépondreSupprimerOn a les ambitions qu'on peut !
Vivement un conducteur de troupeau moins au niveau de celui qui fait la queue de ce troupeau...
" Tailler la bavette sur des monceaux de cadavres, comme on prend un thé à la menthe à l'ombre d'un baobab".
RépondreSupprimerAh l'image qu'elle est bonne et juste ! Merci Rod… mais reprogrammer le cerveau de tous ces monstres froids délirants, qui ont voulu rendre le contrôle de l'humain, de la terre, et du ciel, et maintenant la folie de croire possible être maitres du soleil … çà serait trop dur…Les voir se dissoudre dans d'horribles torsions, çà serait jubilatoire... Bon dimanche à vous et à JC :-))
Oma