dimanche 24 avril 2022

Election présidentielle : qui veut un chauffard ?

Erby
Voici le « Grand Jour » ! Jour de festoyance démocratique !
C’est le moment de sortir la belle vaisselle, de mettre les petits plats dans les grands. C’est le jour du choix du futur locataire élyséen pour les cinq années à venir et plus si affinité.
La question étant : allons-nous continuer à rouler avec un chauffard, fortement poudré, ou allons-nous nous donner les moyens de retarder ou d’empêcher l’inéluctable ?
Quelles que soient nos craintes, nous n’avons pas le choix. Car si deux conducteurs s’offrent à nous, aucun ne présente les garanties de « bonne conduite » requises par le bon sens.
En réalité, nous sommes comme des souris tournant dans une roue de hamster, observées par des individus en blouse blanche aux intentions nullement louables.
Et ne comptons pas sur le sursaut d’une opposition politique sous contrôle pour tirer le peuple du merdier dans lequel elle l’a précipité.
Si récemment je parlais de frocs descendus jusqu’aux chevilles pour l’acte que l’on imagine, cela n’est plus le cas. Désormais, le masque étant tombé, c’est cul nu que ces « radicaux » empruntent avenues et boulevards pour qui veut s’offrir une « passe gratuite » !
Tous ont quitté le navire « peuple » pour, ouvertement, se ranger du côté du crime. Pas comme pirates, mais comme corsaires, la version félonne de la rapine.
Et tous parlent d'une voix unique, de choix au « nom de la démocratie » !
Cela me fait penser au condamné à mort à qui on offre le choix de sa disparition prochaine : la corde, la guillotine, le peloton d’exécution, la chaise électrique ou l’injection létale.
Voilà notre choix !

Sous l’Casque d’Erby 



9 commentaires:

  1. Le bonjour. Bon courage à ceux qui s'y rendent. Dans tous les cas de figure, je compatis.

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  2. Hélas, dans ces cas-là, tourner soixante-dix-sept fois sept fois les deux bulletins dans sa bouche, l'un après l'autre, et se servir du moins répugnant et du un peu moins dangereux. J'y suis allé le plus tôt possible, c'est fait, je ne regrette rien. Certains me le reprocheront, pourtant après avoir goûté au pire cinq ans, y'a pas photo.Faut pas avoir les foies ! D'autant que par ici, le foie, on l'appelle la pire.
    Et si le (je pense dans ce cas qu'on dit LE) pire sera évité, ce sera la corrida....
    https://www.youtube.com/watch?v=dW-_6U3dO1I&t=15s
    Ollé !

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  3. Au « nom de la démocratie » qu'ils disent .....
    #Présidentielle2022 "Le ministère de l’intérieur a acheté 91 blindés pour le maintien de l’ordre il y a 3 mois. Ça envoie un message assez sidérant" non?

    https://t.me/trottasilvano/23207?comment=332978

    Je suis mal là, c'est normal ? ;-((

    oma

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    1. La démocratie a existé en France entre le 10 août 1792 et le 30 juillet 1794 : c'est tout. Plus l'épisode de la Commune à Paris en 1871.
      JC

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    2. Nous sommes tous plus ou moins mal et je ne me rassure pas en disant que cela va encore durer, au minimum, cinq longues années. Dès le début de la fausse pandémie j'ai senti l'odeur du fascisme envahir mes narines. Et j'ai peu ou aucun espoir dans le pouvoir de la rue, surtout quand on sait l'arsenal dont dispose le psychopathe pour éteindre la moindre tentative d'insurrection. Si on ajoute à cela la crédulité d'une grande majorité sur la santé de nos institutions, aie, aie, aie !
      Bref, la Constitution a perdu ses garde-fous et du coup l'espoir de démettre ce mercenaire de l'Empire.

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  4. Bon, comme prévu les chiffres on été tripatouillés place Beauvau.....
    Je ressors mon cri d'il y a cinq ans....
    http://babalouest.eklablog.com/apres-le-despotisme-roue-le-despotisme-sombre-a155670798

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    1. C'est tellement habituel qu'on ne s'en étonne plus. Ce qui est étrange c'est que le Grand Opposant Méluche ferme sa goule sur le trucage électoral, pourtant si scandaleux… Ah, la bonne opposition contrôlée !

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