mardi 15 mars 2022

Des candidats et aucun homme d’Etat dans l’tas !

Erby

Les bons et les mauvais nazis. Les bons et les mauvais djihadistes. Les bons et les mauvais citoyens. C’est ainsi qu’on nous l’enfonce dans le crâne, au point qu’on finit par oublier les choses simples, comme l’insouciant art de vivre et le respect de la vie. Cette vie jetée aux oubliettes à force de propagande et de vacuité.
Il y a à peine un souffle, Laurent Fabius, l'homme du sang contaminé et président du Conseil Constitutionnel, considérait le travail de al-Nosra en Syrie comme du « bon boulot », tandis qu’en zone intérieure, autrement dit en France, quiconque affichait une attitude « déviante » (ex. les gilets jaunes et leurs revendications sociales) on hurlait et on faisait hurler dans la caisse de résonnance médiatique, après bastonnade en règle : « halte à l’antisémitisme » ! comme si ces ouvriers étaient des monstres pires que des terroristes !
Itou pour BHL, le fossoyeur des pays libres. Pour lui, toute guerre est « bonne » dès lors qu’elle sert son décolleté et sa pulsion pathologique pour le crime de masse. Entendons par là l’idée qu’il se fait de sa « mission » sur terre, rêvant à ce monde inique qu’il veut instaurer quel qu’en soit le prix à payer. Aucune pudeur de sa part sur le sujet, il est l’élu !
Quand on entend un type comme Klaus Schwab balancer tranquillement sur un plateau télé son orgueil sur ce qu’il considère comme une réussite, à savoir l’infiltration des gouvernements du monde par ses disciples pour asservir, réprimer, esclavager et tuer les « hérétiques », on ne peut qu’éprouver un grand sentiment de dégoût pour ce malade.
Jacques Attali le dit et le répète depuis des décennies : trop de vieux sur cette terre, trop de jeunes, trop de tout. Une solution : faire du vide. Tout pareil que lorsqu’on entreprend de rénover l’intérieur d’une maison : on abat des cloisons, on perce, on reconfigure, on jette, on brûle, on donne aux « bonnes œuvres », la conscience en paix, sans état d’âme.
L’encombrant en l’occurrence étant l’humain. Si cela posait encore des scrupules à une époque cela n'est plus le cas désormais.
En pleine comédie électorale, trompeusement démocratique, c’est à ces questions que les candidats doivent répondre, au lieu de se tenir chaud entre eux, jouant le jeu de la planification d’une pandémie pour terrasser l’économie, justifier le port du masque, le couvre-feu, le confinement et un vaccin aux effets secondaires néfastes, remplissant les caisses de Big Pharma et posant les jalons d’un monde totalitaire, sans rien dénoncer de l'orchestration de la guerre en Ukraine pour le compte de l'Amérique.
Cela n’est plus une élection démocratique, ça constitue un crime dont tous les candidats sont complices !

Sous l’Casque d’Erby 



3 commentaires:

  1. Le bonjour à toutes et à tous. Temps chauds ! Vingt dieux oui !

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  2. Excellent...;-)
    Comme le disait un certain Georges Frêche : "pour être élu, il faut convaincre les imbéciles, car ce sont les plus nombreux des électeurs" !
    Le minable BHL se vantait hier sur BFM d'avoir "lui-même" !!!), avoir eu le courage, l'audace, de taguer en Ukraine la française devise (tant bafouée par le même: LIBERTE EGALITE FRATERNITE. Allez,une révérence pour ce héros de PQ.

    oma

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    1. Il aurait pu tout aussi bien taguer : "je kiffe les nazis" !

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